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Christianophobie - Page 58

  • La république n’a reculé devant rien pour célébrer Chirac fossoyeur et manipulateur des français !

    Chirac : escroc au patriotisme, fossoyeur de la droite et de la nation

    Le panégyrique d’un saint. A écouter l’allocution télévisée d’Emmanuel Macron le jeudi 26 septembre au soir quelques heures après la mort de Jacques Chirac, on aurait dit l’oraison funèbre d’un canonisé. L’ancien chef de l’Etat était en effet paré de toutes les qualités, de toutes les vertus. Tout ce que Paris compte de tout pourri a multiplié les vibrants hommages à Super Menteur. La République judéo-maçonnique est en deuil. Elle a perdu l’un de ses plus beaux fleurons, l’un de ses représentants les plus emblématiques. Registres de condoléances ouverts à l’Elysée, puis aux Invalides, dans les vingt mairies d’arrondissement de la capitale, un peu partout dans le pays, mais aussi dans les ambassades et consulats de France à l’étranger, et jusqu’à l’OTAN dont Chirac fut, il est vrai, un zélé serviteur. Quatre-vingts chefs d’Etat présents à ses obsèques à l’église Saint-Sulpice. Portraits géants de Super Voleur accrochés à la façade de musées, d’autobus, de monuments. Immenses panneaux d’information annonçant à la sortie du métro parisien la mort du délinquant politico-financier. Batteries de sondages martelant que 80 % des Français considèrent que Chirac fut un bon président. Micro-trottoirs destinés à nous convaincre que l’homme de la rue pleure “son” Chirac. Pluie d’hommages de politiques, de chanteurs, d’acteurs, de comédiens, de sportifs dont l’icône Zinédine Zidane qui a confié son immense tristesse, sortez les mouchoirs ! 

    Comble du délire, une minute de recueillement a été observée avant tous les matches de football, tant amateurs que professionnels, disputés samedi et dimanche en France, en hommage à l’ancien président, selon le vœu de la Fédération française de football (FFF). La compagnie Flixbus a, quant à elle, célébré la mémoire de l’ex-Elyséen en déviant sa ligne entre la Corrèze et la capitale. Jusqu’au 30 septembre au soir, les autobus ne sont plus partis de Tulle mais de Sarran devant le musée du président Chirac. Les bus verts du transporteur sont à l’effigie de l’ancien chef de l’Etat. Santo subito !

     

    La république n’a reculé devant rien pour célébrer Chirac : la tour Eiffel s’est éteinte à 21 heures le soir de sa disparition pour lui rendre un impressionnant hommage. Le lundi 30 septembre a été décrété jour de deuil national. Les drapeaux ont été mis en berne.

    Le Premier ministre Edouard Philippe a poussé le ridicule jusqu’à annoncer sur RTL qu’il allait planter un pommier dans le parc de Matignon en hommage au slogan de la campagne présidentielle de Chirac en 1995 : « Mangez des pommes » ! . Il est sûr que le vrai-faux Corrézien a toute sa vie pris les électeurs pour des pommes et qu’il ne s’est toujours intéressé qu’à sa… pomme !

    La dépouille du politicien condamné définitivement pour détournement de fonds publics, abus de confiance et prise illégale d’intérêts a été présentée aux Invalides le dimanche 29 septembre, fête de la Saint Michel Archange, pour qu’elle puisse être vénérée par les Français qui se sont pressés par milliers...

    La foule était telle que la décision a été prise de laisser ouverts les Invalides toute la nuit de dimanche à lundi, jusqu’à 7 heures du matin ! Le 30 septembre à 11 heures Chirac a reçu les honneurs militaires dans la cour des Invalides en présence d’Emmanuel Macron. « Un service solennel » conciliaire a suivi à l’église Saint-Sulpice. Marine Le Pen qui souhaitait s’y rendre a dû y renoncer piteusement, le clan Chirac ayant fait savoir qu’elle était jugée indésirable. A 15 heures, à l’heure où le Christ est mort en croix, une minute de silence (maçonnique) a été observée dans les administrations publiques et les écoles, à l’instar de la minute de silence observée jeudi dernier à l’Assemblée nationale à la demande du mis en examen Richard Ferrand, tout un symbole. L’inénarrable Estrosi veut donner le nom de Chirac à un espace de la ville de Nice, à la hauteur de sa réputation. 

    Gageons que vont se multiplier les rues, les boulevards, les avenues (alors que Chirac mériterait de ne voir accolés à son nom que des impasses et des culs de sac !), les écoles, les collèges, les lycées, les bibliothèques, les musées, les aquariums, les médiathèques, les stades, les gares et les aéroports qui porteront le nom de l’ancien président. Les enseignants ont été vivement encouragés à faire mémoire de Chirac dans leurs cours. Le Premier ministre a publié une circulaire dans ce sens au Journal officiel. Sur un portail du ministère de l’Education nationale, les enseignants pouvaient dès vendredi soir trouver des idées de sujets sur lesquels s’appuyer pour rendre hommage à Chirac. Car naturellement il s’agit d’encenser la personne et l’action du défunt, non de les contester. Et sans surprise tout tourne comme d’habitude autour de la déportation et de la Shoah. Interrogée par Le Parisien, une enseignante d’histoire-géographie à Pontoise dans le Val-d’Oise, déclare qu’elle abordera « avec ses terminales l’ancien président à travers le discours sur la rafle du Vél’ d’Hiv, dans le cadre du cours sur la Seconde Guerre mondiale ». Tout est bon pour sans cesse réactiver la Mémoire ! Et il est somme toute logique que l’école de la République rende hommage au politicien qui a terrassé le fascisme avec 82,21 % des voix et 62 % des inscrits un 5 mai 2002. Car, comme le clamait un slogan comminatoire lors de la quinzaine de la haine : « Votez escroc, pas facho ».

     

    La République qui repose sur l’inversion encense logiquement Chirac et le donne en exemple : il était ambitieux, arriviste, cynique, menteur et corrompu comme elle, versatile, sans conviction, sans principe, sans doctrine, sans flamme intérieure comme elle.

    Chirac est l’archétype de leur régime, le symbole de leurs mœurs, le résumé de leurs valeurs et de leurs profils, l’incarnation de leurs méthodes et de leur mentalité.

    Comme Marianne, Chirac fut toute sa vie un aigrefin : un escroc au patriotisme, le fossoyeur de la droite et de la nation, infidèle en permanence à ses promesses et à ses engagements solennels tant dans sa vie privée que publique. Adultère permanent, cocaïnomane, piètre orateur (il lisait péniblement des prompteurs dans ses réunions publiques et ses interventions télévisuelles  depuis l’Elysée), lamentable débatteur (il fut en dessous de tout face à des lycéens en 2005 lors de la campagne sur le référendum européen et s’il refusa le débat d’entre-deux-tours face à Jean-Marie Le Pen, c’est qu’il savait au fond de lui qu’il serait étrillé !), changeant d’idées et de programmes comme de chemises et de maîtresses, Chirac incarne parfaitement ce monde moderne où les hommes ne croient plus en rien, n’ont ni Dieu ni maître, ni principes directeurs ni vertus cardinales, ni souffle ni flamme ni idéal et ne pensent qu’à leur petite personne, à leur ambition, à leur carrière à laquelle il sacrifie tout : l’honneur, la morale, la vérité, les convictions, les fidélités, les amitiés. 

    Mais, disons-le tout net, ce n’est pas seulement les politiciens qui rendent hommage à l’ancien escroc, ce sont beaucoup de nos compatriotes qui ont la larme à l’œil. Tandis que les files s’allongeaient devant l’Elysée, puis aux Invalides, pour rendre hommage à Chirac (des centaines de feuillets ont été griffonnés sur les registres de condoléances !), les passants se pressaient devant l’hôtel particulier où est mort Chirac rue de Tournon à Paris pour s’y recueillir, y déposer des fleurs, des bougies, des pommes ou… de la bière, boisson préférée de l’ex-président ! Comme quoi les peuples ont les chefs qu’ils méritent ! Notons d’ailleurs que le lieu où s’est éteint Chirac ne lui appartenait pas. Cet hôtel particulier lui avait été prêté par le milliardaire François Pinault, Chirac ayant vécu toute sa vie aux frais de la princesse. Auparavant les époux Chirac étaient hébergés quai Voltaire dans un majestueux hôtel particulier prêté par feu le milliardaire Rafic Hariri, affairiste notoire qui fut Premier ministre du Liban.

    De la mairie de Paris à l’Elysée en passant par ces palais qui étaient gracieusement mis à sa disposition, Chirac n’a jamais versé un centime pour se loger, et avec quel luxe, depuis plus de quarante ans ! Sans compter les valises de billets (bien loin des fameuses pièces jaunes de Bernadette !) qu’il a reçus, que l’on songe au témoignage de l’ancien entrepreneur Jean-Claude Méry évoquant dans une vidéo, peu avant son troublant décès, les trafics auxquels il se livrait en faveur et sur ordre de Chirac lorsque ce dernier sévissait à la mairie de Paris, sans oublier l’argent reçu de Saddam Hussein (on le surnommait alors Ch’irak !) et de moult potentats africains (la Françafric de Chirac) ! Alors même qu’il a occupé pendant des décennies les plus hautes fonctions, aussi prestigieuses que rémunératrices, qu’il percevait plus de 30 000 euros net mensuels de retraite du fait de ses différents mandats électifs et de ses diverses responsabilités exécutives (président de conseil général, maire, député, député européen, secrétaire d’Etat, ministre, Premier ministre, chef de l’Etat). En insatiable glouton, il cumulait les mandats et les fonctions comme il dévorait les têtes de veau sauce gribiche, descendait les bières Corona, s’empiffrait de charcutaille et forniquait avec les personnes du sexe qu’il trouvait sur son passage (il était surnommé : « cinq minutes douche comprise »). 

     

    Avec De Gaulle, Chirac fut probablement la pire catastrophe pour la nation et pour la droite au XXe siècle.

    Le premier sévit trente ans durant de 1940 à 1970, le second une quarantaine d’années de son premier secrétariat d’Etat à l’Emploi en 1967 (il créa les premières Agences nationales pour l’emploi, les fameuses ANPE, tout un symbole, le chômage progressant fortement à chaque fois qu’il fut aux responsabilités !) jusqu’au terme de son second mandat présidentiel en 2007.

    Premier ministre de Giscard de 1974 à 1976, on lui doit les deux réformes les plus détestables et les plus lourdes de conséquence du septennat : la dépénalisation de l’avortement en 1975 et le regroupement familial pour les immigrés en 1976. C’est clairement à partir de cette époque que se mit en œuvre le génocide des Français et une politique de substitution de notre peuple. D’un côté depuis 45 ans plus de 200 000 enfants français parfaitement viables sont tués chaque année légalement dans le ventre de leur mère et de l’autre environ 200 000 immigrés entrent tous les ans en France depuis cette époque, sans compter les naissances allogènes sur notre territoire. Si le visage de notre pays a tant changé depuis un demi-siècle, c’est en grande partie la conséquence directe de ces législations criminelles et mortifères dont Chirac est avec Giscard le premier responsable. 

    Alors que Chirac Premier ministre avait offert un immense bouquet de roses à Simone Veil après son discours à la tribune de l’Assemblée nationale pour présenter son projet de loi ouvrant le droit de tuer les enfants à naître, afin de la remercier de son prétendu courage, et qu’il a été depuis cette époque un partisan constant de l’avortement, que de surcroît c’est sous sa présidence qu’a été institué le Pacs pour les invertis, première étape vers le “mariage” homosexuel, l’adoption, la PMA et la GPA, que l’on doit également à Chirac la loi créant en 2004 un ahurissant délit d’homophobie qui empêche de s’exprimer librement sur les revendications exorbitantes du lobby LGBT et sur l’homosexualité, Bergoglio-François n’a rien trouvé de mieux que d’exprimer ses « vives condoléances » à la mort de Chirac sans émettre la moindre réserve sur son action politique. La « conférence des évêques de France » a fait encore plus fort : elle s’est livrée à un éloge sans nuances du défunt président dont elle a salué « l’énergie, le goût du contact humain, la capacité à affronter l’adversité ». Pas un mot sur la loi Veil (1975), sur le Pacs (1999), sur le délit d’homophobie (2004), pas un mot non plus sur les propos de Chirac pendant sa campagne présidentielle en avril 1995 lorsqu’il avait déclaré, à propos de l’opposition à l’avortement « Non à une loi morale qui irait au-dessus de la loi civile », se plaçant ainsi du côté de Créon contre Antigone, du côté des partisans de la culture de mort contre les défenseurs de la famille et de la vie, du côté de la déraison de l’Etat contre le respect du Décalogue, de la légalité formelle d’une assemblée provisoire contre la loi naturelle intangible. Pas un mot non plus de ces apostats modernistes contre les propos de Chirac qui a vanté à plusieurs reprises, pendant sa présidence, les « racines musulmanes de l’Europe » pour intégrer notamment la Turquie à l’Union européenne. Mais il est vrai qu’entre traîtres à la foi, à la morale et à la nation, il y a forcément des affinités !

     

    Le drame du gaullisme, comme du chiraquisme, c’est qu’il a drainé dans son sillage des décennies durant des millions de Français catholiques et patriotes, sincèrement nationaux, mais trompés, abusés, leurrés, manipulés par des imposteurs qui se grimaient en hommes de droite et de caractère, en défenseurs intransigeants de la nation (Le Canard enchaîné n’avait-il pas surnommé le Corrézien « Facho Chirac » et les portraits de De Gaulle du temps du RPF n’étaient-ils pas maculés par ses adversaires de gauche d’une moustache à la Hitler ?) A la fondation du RPF (Rassemblement pour la France) en 1947 comme à celle du RPR (Rassemblement pour la République) près de trente ans plus tard, militants et cadres intermédiaires étaient massivement patriotes, de droite, attachés à la défense de la nation, de la famille, de la religion chrétienne. Et pourtant la politique qui a été mise en place par leur maître à penser, une fois aux responsabilités, a été aux antipodes de leurs convictions, de leurs aspirations, de leurs intérêts aussi. Le plus effrayant sans doute, c’est que beaucoup d’entre eux par grégarisme, par bêtise, par aveuglement, par naïveté, par manque de formation et par perméabilité aux principes révolutionnaires (il y avait un bonnet phrygien sur la carte d’adhérent du RPR !), par libéralisme et relativisme, ont continué à voter pour ces hommes et leurs soutiens. C’est pourquoi on ne saurait exonérer le peuple de la situation dramatique dans laquelle se trouve aujourd’hui le pays. On ne le dira jamais assez : l’électoralisme rend fou et la bêtise en politique donne une idée de l’infini. 

    La manipulation des masses, si elle n’est pas une nouveauté de l’époque moderne, a cependant atteint des niveaux effrayants à l’ère des grands médias audiovisuels, des campagnes publicitaires, des spots, des slogans et des affiches en quatre par trois dont Chirac était friand. En 1985, on le voyait ainsi cheveux et cravate au vent avec un sourire éclatant nous vanter l’alternance et promettre un avenir radieux. Ces braves Français n’ont pas compris le poison de la démocratie moderne où ce sont les puissances d’argent qui décident des candidats et de la politique qui sera menée. Les électeurs pensent bénéficier d’un véritable choix grâce à leur bulletin de vote et grâce à la diversité apparente des professions de foi. Mais une fois aux responsabilités, les politiciens sont interchangeables, menant les mêmes politiques antinationales, antifamiliales, antimorales, antinaturelles. Il est vrai qu’ils sortent généralement des mêmes écoles, ont accompli souvent des cursus analogues et obéissent aux mêmes cénacles mondialistes. Ils respirent l’air du temps, cèdent aux modes, approuvent ce que la bien-pensance dit d’exalter (les droits de l’homme, la tolérance, le féminisme, l’égalité, le refus des discriminations, la diversité, le commerce équitable, le développement durable, la loi Veil, les lois Pleven et Gayssot que Chirac a encore aggravées avec la loi Lellouche en 2003) et réprouve ce qu’elle ordonne de condamner (le racisme, l’antisémitisme, la haine, la xénophobie, les discriminations, l’homophobie, le sexisme, l’intolérance, le réchauffement climatique, la contestation de la Shoah et de la version officielle du 11-Septembre).

  • Folie répressive contre les nationalistes: encore deux ans de prison contre Soral !

     

     

    Six ans, deux mois et dix jours de prison, telle est la peine à laquelle a été condamné le président d’Egalité et Réconciliation si l’on cumule toutes les condamnations judiciaires de ces derniers mois.

    Soit bien plus que la peine (quatre ans ferme) que doit purger le corrompu multirécidiviste Patrick Balkany qui bénéficie de surcroît d’un traitement de faveur, disposant dans sa cellule d’une douche, d’un coin cuisine et d’un téléphone fixe en plus d’un lit, d’une table, d’un lavabo et des toilettes.

    Le président d’honneur de la LICRA, Alain Jakubowicz, toujours très réactif comme son coreligionnaire BHL lorsqu’un membre de la communauté doit enfin répondre de ses délits ou de ses crimes, a jugé scandaleuse sur les réseaux sociaux l’incarcération, pourtant dans des conditions extrêmement favorables, de Balkany dès lors qu’Alain Soral est, lui, toujours en liberté. Car pour lui l’antisémitisme (supposé) est bien pire que la fraude fiscale et les détournements de fonds publics. Or si l’essayiste n’est pas encore derrière les barreaux, c’est uniquement parce que ses condamnations ne sont pas encore définitives et que le régime du droit de la presse ne permet pas en l’état la mise en détention préventive ou l’embastillement avant qu’une condamnation ne soit plus susceptible de recours en France. Mais tout hélas laisse à penser que lorsque les pourvois en cassation d’Alain Soral seront rejetés (s’ils le sont), le fondateur d’Egalité et Réconciliation devra se rendre en prison. Et y rester durablement. Sans passer par la case départ et sans toucher les 20 000 francs comme au Monopoly.

     

    Dernière décision de justice en date : le 19 septembre, Soral a été condamné par le tribunal correctionnel de Bobigny, décidément très chatouilleux quand il est question de près ou de loin de la communauté juive, à deux ans d’emprisonnement dont six mois assortis du sursis avec mise à l’épreuve pour une durée de trois ans !

    Damien Viguier, avocat de Soral, détaille la décision ahurissante du tribunal : « L’épreuve consiste en trois mesures : 210 heures de travaux d’intérêt général, soit pour un temps plein un mois et demi de travaux forcés, suppression de la publication incriminée sous astreinte de 1 000 euros par jour de retard et indemnisation des “victimes” Le total des condamnations pécuniaires pourrait dépasser les 171 000 euros : 45 000 euros d’amende, publication du jugement dans le journal Le Monde pendant 15 jours (en estimant à 4 000 euros chaque publication, car le prix du caractère, espaces comprises, est astronomique) et surtout 10 000 euros à verser en réparation à chaque partie civile dont les frais d’avocats sont pris en charge par Alain Soral à hauteur de 1 000 euros (les parties civile étaient six (Licra, Uejf, SOS Racisme, J’accuse, Mrap et Ldh). » 

    Notons que c’est la deuxième fois en quelques semaines que des prévenus ou des groupements du camp national sont condamnés par des tribunaux à la peine maximale prévue par le code pénal : 45 000 euros pour Génération identitaire coupable d’avoir arrêté et remis à la police quelques clandestins franchissant le col de l’Echelle, 45 000 euros pour Alain Soral coupable d’avoir seulement relayé sur le site d’Egalité et Réconciliation un clip, le rap des Gilets jaunes.

    L’écrivain est condamné à une peine aussi lourde simplement parce que, dans ce clip, pendant une poignée de secondes (la production dure plus de 4 minutes trente !), on voit les photographies d’Attali, de BHL et de Drahi ainsi que le nom de Rothschild jetés au feu. S’il fallait condamner à de la prison ferme et à des centaines de milliers d’euros d’amendes et de dommages et intérêts tous ceux qui brûlent des drapeaux, des effigies, des photos, surtout de manière virtuelle, symbolique, on n’en finirait plus ! Les magistrats de Bobigny ont toutefois considéré qu’il s’agissait d’images d’une extrême violence et que le mot parasite employé dans le clip, ainsi que les photos mises au feu, traduisaient une volonté d’extermination physique du peuple juif !

    On le voit, désormais toute critique de personnalités juives ou du lobby juif est considérée comme le prélude à un génocide ou une justification à une extermination de masse. Ce qui empêche, et c’est bien le but, de s’exprimer librement sur toute une série de sujets en lien direct ou indirect avec la coterie israélite. Sauf à risquer les pires avanies.

     

    Ce serait en effet une erreur des croire que seul Soral est visé et que personne d’autre ne pourra être condamné aussi lourdement que lui. Depuis quelque temps, Thémis n’hésite plus à taper très fort et à multiplier les peines de prison ferme simplement parce que des hommes libres ont usé de leur droit à la liberté d’expression et d’appréciation, ont fait des analyses, émis des jugements, élaboré des raisonnements et des conclusions argumentés qui ne plaisent pas à l’oligarchie cosmopolite qui nous asservit et nous détruit. 

    On le voit, aussi inimaginable que cela puisse paraître au premier abord, l’Union européenne devient chaque jour davantage l’Union soviétique et la France ressemble de plus en plus à l’Allemagne et à l’Autriche où des penseurs libres sont régulièrement condamnés à des cinq, dix ou douze ans de prison ferme, toutes peines cumulées, de Horst Mahler à Wolfgang Fröhlich. La jurisprudence et les principes détestables de Nuremberg étendent chaque jour davantage leurs monstrueux tentacules, détruisant la liberté de penser, de critiquer, d’analyser, de dire la vérité, démantelant la famille, démembrant la nation, criminalisant la morale traditionnelle, la civilisation chrétienne au nom de l’idéologie dite anti-discriminatoire, de l’égalité et des droits de l’homme. Leur monde est une vaste prison, une Cisjordanie géante, une bande de Gaza à l’échelle du Vieux Continent, et même de tout l’Occident !

    Tout le monde, précisons-le, n’est cependant pas logé à la même enseigne : quand Soral est condamné à 141 000 euros d’amende, de dommages et intérêts et de publications judiciaires et à deux ans de prison pour avoir seulement relayé un clip, Eric Zemmour ne devra débourser que 3000 euros, soit le dixième à peine de ses revenus net mensuels, pour des propos publics sur l’islam et les musulmans.

    Nous déplorons bien sûr sa condamnation qui participe aussi de l’enrégimentement de la pensée mais nous constatons une nouvelle fois que les nationaux-sionistes ne sont pas traités de la même manière que les judéo-critiques. Et que Zemmour continue de s’exprimer librement à la radio et à la télévision quand les judéosceptiques sont totalement interdits d’antenne. Voilà qui devrait donner à réfléchir !

  • Quand Macron parle d’immigration, il se moque des français !

     

    Quand Macron parle d’immigration en bombant le torse, il se moque des Français.

    Sa fermeté de façade n’est qu’un leurre destiné à tromper encore une fois la nation. Pour preuve, le débat organisé dans moins de deux semaines à l’Assemblée nationale puis au Sénat sur ce sujet de l’immigration, thème qui préoccupe grandement les Français, sera sans vote !

    Et les faux chiffres sur l’immigration abondent dans son discours.