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Loisirs

  • Amendement anti-banderoles exigé par les écolos retoqué en commission du Développement durable ! .

     

     

    L’amendement du groupe parlementaire Écologie Démocratie Solidarité (EDS) visant à interdire le tractage de banderoles par des avions certifiés ou des ULM a été rejeté en commission du Développement durable !
     
    Cette proposition surréaliste imaginée par Matthieu Orphelin et bassement attribuée à 150 citoyens inutiles est donc replacée dans la poubelle qu'elle n'aurait jamais dû quitter !!
     
    Cette décision est à mettre au crédit du parlementaire Jean-Luc Lagleize, député de Haute-Garonne, qui s’était positionné contre cet amendement.
     
    Il l’avait fait en partie grâce à la mobilisation d'Alexis Giordana, vice-président du Groupement des Industriels et Professionnels de l'Aviation Générale.
     
    La proposition avait été jugée absurde parce qu'elle privait d’éventuels annonceurs d’un support original, apprécié, suscitant la curiosité et plaçant l’aviation légère au cœur de l’imaginaire du grand public et qu'elle menaçait des entreprises, avec finalement pour résultat un impact dérisoire sur l’environnement et les émissions de CO2!
     
    Alexis Giordana avait été rejoint dans son action par Serge Marolle, président du Syndicat national des pilotes professionnels de l’aviation légère. Présidé par Françoise Horiot, dirigeante de Troyes Aviation, et constitué de 60 membres, le GIPAG se veut être un interlocuteur constructif avec toutes les autorités qui régissent le monde aéronautique, DGAC et EASA.

     

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  • Ce qui arrive à Strasbourg comme ailleurs en France est de la pleine responsabilité du gouvernement et de tous les élus et politiques .

     
     
     
    « De Taubira en Belloubet, de Cazeneuve en Castaner, zéro résultats en matière de lutte contre la terreur, le crime, les hybrides », nous indique le criminologue Xavier Raufer, à qui nous avons demandé son analyse, suite à l’attentat islamiste de Strasbourg, mais aussi à la mobilisation policière et répressive hors norme en marge des Gilets jaunes. Voici son analyse  :

    Strasbourg : comme toujours, l’assassin est un hybride terreur-crime, issu d’un des quartiers hors-contrôle de la ville. Retour au point de départ. Qu’a dit le nouveau ministre de l’intérieur, M. Castaner, à son arrivée place Beauvau ? Analyse critique.

    « Reconquérir, mètre carré par mètre carré, la souveraineté républicaine ». Quel aveu. Elle est donc perdue, cette souveraineté ? Du fait de qui ? Ca remonte à quand ?

    • « Quand vous mettez trente policiers de plus dans un quartier, ça change tout« . Oh que non. Ce propos reflète une classique illusion policière, l’afflux policier faisant jouer l’effet de déplacement – et courir les policiers après des voyous plus mobiles et flexibles qu’eux.

    « Partout où l’on voit que la République recule, il faut agir« . Triste logique réactionnaire-statique : réprimer le crime n’est pas attendre que le pire advienne, ni courir derrière les réseaux sociaux et les médias ; c’est anticiper, prévenir.

    Sinon, nulle allusion aux bandes, d’usage ethnique, formant 80% du problème de sécurité publique en France. Ainsi, la police-Castaner semble vouée à combattre des fantômes. Au total, nulle stratégie de sécurité claire mais des propos convenus, de la continuité banale.

    Dans les quartiers hors-contrôle, les armes grouillent

     

    Ces armes de guerre sont importées, stockées, utilisées ou vendues dans les quartiers et cités hors-contrôle, dits « sensibles » – ceux de la fameuse « Politique de la Ville ».  Tous ces trafics illicites sont le fait de bandes (stables) ou de meutes (instables), toutes criminelles, leurs actes devant ainsi mener leurs caïds et noyaux durs devant des Cours d’assises, où l’on juge des crimes. Ce bien sûr, si la justice française n’était pas en perdition !!

    Multiplication des émeutes sur le territoire – Gilets jaunes ou pas

    • Nuit de de fête égale désormais nuit d’émeute

    Saint-Sylvestre… 14 juillet… Mondial de foot… Halloween. Ravages, incendies, meutes violentes masquées et armées… jet de pierres et d’engins incendiaires… En prime maintenant, de bouteilles d’acide ! 15 000 forces de l’ordre mobilisées – en fait, servant de gibier aux voyous : policiers, gendarmes, pompiers, une seule cible. Selon de convergentes sources syndicales ou associatives, additionner tous les blessés lors d’émeutes, violences de voyous, etc. – polices nationale et municipales, préfecture de police de Paris, gendarmes, adjoints de sécurité, donne de  25 à 30 blessés par jour – de 9 000 à 11 000 par an.

    • Revue de détail

    Lyon « 200 individus »… Mulhouse « une cinquantaine de jeunes »…  idem dans toute la France : Toulouse, Poitiers, Rennes, Nantes, Metz. Mentions spéciales Halloween : Grenoble et sa région (Echirolles, Pont-de-Claix, Vienne) ; La Seine-et-Marne (Provins, Nanteuil, Lognes, etc.).

    Nouveauté inquiétante de la présidence Macron, après les cités et quartiers hors-contrôle de naguère, le département hors-contrôle. Il s’agit de l’Essonne, où embuscades anti-flics et émeutes deviennent quotidiennes : Corbeil, Draveil, Etampes, Les Ulis, Lisses, Longjumeau, Massy, Montgeron, Saint-Michel sur Orge, Vigneux, etc. : policiers caillassés depuis le toit des immeubles, guet-apens, attaques de patrouilles.

    • Ailleurs en France ?

    2 octobre : Roubaix : jetée du toit d’un immeuble, une « dalle de plusieurs kilos » fracasse une voiture de patrouille, deux policiers blessés. Suite à un accident de voiture à La Courneuve, des policiers assaillis par une meute de 20 voyous, un policier blessé.

    4 oct. : en voiture, un « Lyonnais » aux 76 antécédents judiciaires blesse deux policiers.

    12 oct. : Nîmes, 30 voyous attaquent des policiers « raccompagnant une victime chez elle »,

    1e novembre : Toulon, reconnu par des voyous, un policier est lynché devant chez lui ; le 8 nov. un autre policier toulonnais est gravement mordu par un chien d’attaque.

    3 nov. : Saint-Etienne, sortant d’un stade, un policier est lynché par des individus.

    Ceci n’est qu’une indication d’ambiance. Tout énumérer au quotidien emplirait un volume.

    Résultat, Strasbourg

    – Drame terroriste à Strasbourg. Comme pour Charlie-Hebdo et l’Hyper-Cacher, une cible évidente, énorme : les islamistes rêvent depuis vingt ans de frapper une fête de Noël chrétienne, au cœur d’une des deux capitales de l’Europe.

    Le terroriste : parfait hybride bien sûr – comme tous les auteurs d’attentats sanglants en France depuis Mohamed Merah en 2012. Le tueur – un « Strasbourgeois » disent les radios la bouche en cœur – se nomme Cherif Chekatt, criminel dangereux, radicalisé et fiché S. Il échappe aux contrôles d’accès à la zone sécurisée du marché de Noël, truffée de caméras de surveillance. Sur place, récemment, qui accéder au quartier du marché de Noël exigeait une fouille au corps, près de camions où les identités étaient vérifiées en temps réel.  Comment un islamiste dangereux, criminel et fiché S, est-il passé au travers de ce filet ?

    Ayant semé la mort dans ce quartier-camp retranché, Chekatt fuit vers le quartier hors-contrôle de Neudorf, où il a son repaire. Nos sources affirment qu’il y a trouvé des complices pour s’y planquer ou l’en exfiltrer.

    Xavier Raufer

    Docteur en géographie/géopolitique, université Paris-Sorbonne, auteur de nombreux ouvrages consacrés à la criminalité et au terrorisme, Xavier Raufer est professeur associé aux départements de recherches en sciences criminelles Fu Dan University (Shanghaï) et à George Mason University (Washington DC)

  • Paris 2024: à Lima, la délégation française dépense 1,5 M EUR pour une fête ! ...

     


    «Premier exploit olympique pour les Français: dépenser 1,5 million d'euros en six jours!».

    Quoiqu’assurée de recevoir les Jeux olympiques 2024, avant que le Comité international olympique n’ait voté, la délégation française a tout de même réussi à jeter l’argent par les fenêtres pour un voyage de six jours à Lima qui a coûté 1,5 million d’euros!

    Les Français s'attendaient déjà à ce que les Jeux olympiques 2024 soient coûteux, mais pas aussi tôt! Plus de 1,5 million d'euros pour une délégation de plus de 300 personnes, c'est la facture du séjour de la délégation française à Lima qui a été financée à 50% par des fonds publics, selon les révélations de Mediapart.

     

    Des joueurs d’e-sports
     
     
    Ce voyage, n'ayant pour but que d'assister à l'annonce des résultats du vote du Comité international olympique (CIO), comprenait les 320 personnes de la délégation, nombre maximum autorisé.

     

    Nuits au Swiss Hotel (cinq étoiles), dîner de gala chez «Astrid et Gaston», la meilleure table du pays (menu dégustation à 100 euros sans les vins) et un Boeing 777 Air France spécialement affrété pour l'événement, voici comment la délégation a dépensé cette somme.

    «4.687 euros par tête, à la charge du GIP Paris 2024 (financé à 50 % par l'argent public), pour une représentation sans enjeu et quelques jours de visites seulement», précise le journal.

    «Le montant est bien correct et recouvre toute l'opération: transport, hébergement, logistique sur place, restaurant, production de tous les contenus, prestataire local, programme hospitalité», a confirmé le comité d'organisation de Paris 2024 à L'Express. Le journal souligne aussi que le montant a été payé par le Groupement d'intérêt public (GIP) Paris 2024, lequel est financé à 50% par des fonds publics.

    Les réseaux sociaux ont réagi vivement à un tel gaspillage d'argent de l'État.

    «Premier exploit olympique pour les Français: dépenser 1,5 million d'euros en six jours!», a tweeté un utilisateur.

    «C'est beau les JO… plein de paillettes. Cela va être dur de tenir le budget si en une soirée on craque 1,5 million d'euros…», a écrit un autre.