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Politique internationale

  • Enorme camouflet pour Macron: la Russie disposera bientôt d’une base militaire en Centrafrique !

     
    La coopération militaire entre la Russie et la Centrafrique se renforcera par une base militaire russe sur le territoire centrafricain
    La coopération militaire entre la Russie et la Centrafrique se renforcera par une base militaire russe sur le territoire centrafricain

    L’ambassadeur centrafricain à Moscou a fait savoir que son pays était prêt à accueillir une base militaire russe. Celle-ci pourrait rassembler jusqu’à 10.000 soldats russes. Le président Touadéra fera un déplacement à Saint-Pétersbourg pour le sommet Russie-Afrique.

    C’est un véritable camouflet pour Emmanuel Macron qui confirme l’échec de sa politique africaine marquée par une arrogance déplacée. La coopération entre la Centrafrique et la Russie fait l’objet d’un entretien accordé par l’ambassadeur centrafricain à Moscou au quotidien russe Izvestia, dans lequel il évoque une augmentation considérable de l’aide militaire russe à son pays. L’ambassadeur Léon Dodonu-Punagaza a clairement évoqué la construction d’une « base militaire » russe sur le territoire centrafricain.

    Selon le diplomate, cette base militaire pourrait accueillir, à terme, « 5 à 10 000 soldats russes ». « Si nécessaire, ces troupes pourraient être utilisées dans d’autres pays » d’Afrique centrale, a-t-il ajouté. Le Soudan, voisin de la Centrafrique, vit depuis un mois et demi au rythme du conflit opposant les troupes d’Abdel Fattah al-Burhane et Mohamed Hamdan Dagalo, tandis que la situation dans l’est de la RDC a aussi alerté Moscou.

    Le prochain sommet Russie-Afrique promet d’être un grand moment à suivre, avec une redistribution des cartes géopolitiques.

    Nsango ya Bisu

  • Prions pour que les Serbes prennent leur revanche sur l' OTAN !

    Dans les troubles frontaliers qui secouent la Serbie et son ancienne province rebelle, les Russes ont peut-être une occasion unique de disperser les forces de l’OTAN en soutenant activement leurs frères Serbes, slaves comme eux.

    Sans s’engager sur le terrain militairement mais en leur fournissant des armes, des informations, une logistique et des mercenaires, comme les démocrassouilles ne se privent pas de le faire en Ukraine.

    Des journalistes de la BBC sont les premiers à avoir compris, ou à avoir été autorisés à dire que  « la situation évolue vite, et il est possible que la Serbie fasse monter les enchères dans le cadre d’une action géopolitique coordonnée avec la Russie. »

    J’imagine mal l’ami Vlad, fin stratège, laisser passer une telle opportunité. D’autant que la Russie n’a jamais reconnu, elle non plus, l’indépendance du Kosovo. Et est donc parfaitement fondée à réserver aux mahométans le même sort que les otanesques ont infligé depuis 8 ans aux russophones du Donbass.

    Avec Macronescu, la France partie à nouveau pour se déshonorer ?

    Après avoir bombardé et massacré nos amis de toujours, les Serbes chrétiens, pour obéir à l’OTAN et complaire au roi d’Arabie qui l’exigeait, la France a été un des premiers États à reconnaître la souveraineté pleine et entière du Kosovo mahométan, province historique arrachée à la Serbie.

    La Métochie, appelée Kosovo pour ne pas froisser les Turco-Albanais qui la désignaient ainsi, était à la Serbie ce que la Seine-Saint-Denis fut à la France.

    Une province royale où les souverains affirmaient la légitimité de leur pouvoir, sous les auspices de l’Église, et qui fut ensuite accaparée, saccagée et annexée par des envahisseurs mahométans.

    Parallèle saisissant qui explique sans doute pourquoi l’enseignement de l’histoire événementielle a été bannie des programmes scolaires en France. Pour être remplacée par la bouillie globalisée d’un braudélisme opportuniste qui efface les peuples et leur histoire en les noyant dans un conglomérat géographico-économico-anthropologique.

    La France qui ne reconnaîtra jamais la République du Donbass a reconnu un État mafieux qui exporte ses truands et ses trafics à travers toute l’Eurocrature, et prête volontiers ses voyous et ses tueurs aux démocrassouilles lorsqu’elles organisent des coups tordus, où elles hésitent à engager leurs polices parallèles. De crainte que ça se sache et que les populations  anesthésiées par les télés  finissent par se réveiller.

    Les raisons de la colère

    Au départ, la milice du Kosovo prétendait fermer la frontière au trafic de passagers et de véhicules aux points de Bernjak & Jarinje et le pont Kosovska Mitrovica, reliant les parties sud et nord de la ville frontière mi-albanaise mi-serbe. Manœuvres d’intimidation classiques, les Albano-Kosovars faisaient hurler des sirènes stridentes.

    Depuis dimanche soir, des centaines de Serbes du Kosovo ont bloqué les points de passage de la vraie-fausse frontière (puisque la Serbie ne reconnaît pas l’amputation de son territoire) avec des camions, camions-citernes, tracteurs, autocars et autres véhicules lourds. Une foule s’est massée autour des barricades pour y passer la nuit.

    Il s’agit de protester contre les nouvelles mesures vexatoires adoptés à l’encontre de leurs dhimmis par les mafieux Albano-Kosovars. À partir du premier août, toute personne entrant au Kosovo avec une carte d’identité serbe devrait la remplacer par un document temporaire pendant son séjour dans le pays, selon une décision du gouvernement de Pristina.

    En outre, les derniers Serbes du Kosovo, dont les voitures portent des plaques d’immatriculation délivrées en Serbie, devront les remplacer par des plaques de la République islamique du Kosovo dans un délai de deux mois.

    Les Albano-Kosovars utilisent ce prétexte pour les faire partir. Ou alors les obliger à se convertir. Ce qui depuis six ou sept siècles, dès le début de l’occupation turque, a toujours été le moyen idoine de se faire accepter dans son propre pays par les occupants. Comme au Francistan finalement.

    Cela peut surprendre les observateurs extérieurs de voir que de nombreux Serbes ont continué à vivre en Métochie malgré les agressions, vexations et humiliations quotidiennes depuis 25 ans. Mais d’une part, ils ne voulaient pas perdre définitivement et sans indemnités, leurs terres, leurs maisons ou leurs commerces… Comme naguère les pieds-noirs d’Algérie ou les Juifs du Yémen et d’Iran.

    Et d’autre part, ils n’ont jamais renoncé à prendre leur revanche sur les mahométans, le jour où l’occasion se présentera.

    En tout cas, il a suffi aux Serbes d’élever la voix et de taper du poing sur la table pour que les Albano- Kosovars fassent marche arrière et reportent ces mesures iniques. Jusqu’à quand ? Leurs dirigeants sont des marchands de tapis, et il faut négocier en permanence avec eux. En fait chaque fois qu’ils reviennent sur leur parole, habitude conseillée par le Coran avec les kouffar qu’un « croyant » doit berner par tous les moyens possibles, lorsqu’il ne peut les soumettre par le sabre.

    « Incidents de frontière qu’on ne comprend pas » disent les merdias du NWO.

    Puisque grâce à l’OTAN, la paix, le bonheur et l’harmonie sont censés régner sur les deux peuples ennemis depuis 1371, bataille de la Maritza gagnée par les Turcs. Suivie d’une longue série de victoires et de défaites de part et d’autre.

    Consciente du mécontentement des derniers Serbes qui vivent encore au Kosovo, l’Otan qui a pris racine dans la région depuis 1999 s’est dite « prête à intervenir si la stabilité est menacée » La stabilité, c’est-à-dire les diktats du Nouvel Ordre Mondial.

    Les dirigeants otanesques connaissent la valeur militaire des Serbes qui n’est pas nouvelle, pour les avoir affrontés avec des forces 100 fois supérieures. Et avant eux les Mameluks et les Waffen SS en ont pâti. Ils savent aussi que les Albano-Kosovars, grandes gueules arrogantes, ne feraient pas le poids dans de vrais combats.

    Ils excellent par contre dans les agressions quotidiennes, les égorgements de civils, les viols collectifs, les rackets à répétition, les trafics de stupéfiants, les expropriations manu militari, les églises et monastères incendiés. Finalement rien de très différent du sort réservé aux dhimmis du Francistan.

    Bien entendu, toujours dans la complainte et la victimisation qui leur a si bien réussi pour « justifier » le coup de force de l’OTAN en 1999, les Kosovars se plaignent que les Serbes leur auraient tiré dessus. Mais de blessés point. Ni de traces d’impacts de balles. Et encore moins de morts.

    D’ici à ce que l’OTAN et ses supplétifs mahométans nous concoctent une des ces mises en scène avec inversion accusatoire dont ils ont le secret, pour arracher une larme aux blaireaux des démocrassouilles dans leurs terriers…

    En toute hypothèse, les Serbes du Kosovo ne reconnaissent ni l’autorité de Pristina, ni l’indépendance de ce pays croupion préfabriqué par l’OTAN, et restent loyaux envers Belgrade.

    Le président serbe Aleksandar Vucic, dont la prudence est connue (mais peut-être Vlad l’a-t-il encouragé ?) n’a pas hésité à déclarer dimanche dans un discours à la nation que « la situation au Kosovo n’a jamais été aussi complexe  pour la Serbie et les Serbes qui y vivent. La Serbie est prête à se battre si les Serbes sont attaqués. »

    Ces propos martiaux sont pris très au sérieux par les pays de l’Otan. Car cette fois, ils savent que la petite Serbie n’est plus seule. Le « grand frère » russe est prêt à l’aider.

    D’ailleurs, dans un communiqué, les reîtres de la mission otanesque de « pacification» (mon œil !) excluent d’y aller à la hussarde comme en 1999 et se disent prêts intervenir uniquement sur mandat du Conseil de sécurité des Nations unies. Où la Russie dispose d’un siège permanent avec droit de veto.

    La Serbie n’a rien oublié, rien pardonné

     Sur la place des Guerriers-Serbes, en plein cœur de Kraljevo, ville du centre de la Serbie, les échos de la guerre en Ukraine ont retenti, jeudi 24 mars, dans la soirée.

    Au pied d’une monumentale statue d’un soldat en armes, des milliers de personnes se sont replongées dans le fracas de bombardements, le sifflement des sirènes, les images des frappes aériennes et des victimes hagardes devant des ruines fumantes. Il y a vingt-trois ans, jour pour jour, les premières frappes de l’OTAN s’abattaient sur cette ville, inaugurant la punition de la Serbie coupable de refuser de se soumettre aux mahométans fers de lance du Nouvel Ordre Mondial.

    En pleine campagne pour l’élection présidentielle du 3 avril 2022, percutée de plein fouet par la guerre en Ukraine, la commémoration a pris cette année une tonalité particulière. Elle a aussi souligné le traumatisme toujours vivace de ces événements douloureux d’un passé récent sur une grande partie de la population.

    Et rappelé le sentiment anti-OTAN nourri dans tout  le pays, aujourd’hui exprimé dans le soutien que l’immense majorité des Serbes apporte à la Russie, espérant que Poutine va faire payer cher ces ordures de l’OTAN.

    « Nous ne pardonnerons jamais ni n’oublierons jamais », clame un slogan repris comme un leitmotiv à l’attention des pays de l’Alliance atlantique.

    Christian Navis

     

  • Macron vient de couler Renault avec ses sanctions imbéciles !

     

    ……………………………Renault Arkana, un SUV Coupé pour la Russie

    Quelles qu’en soient les raisons !

    Renault se voit privé de son deuxième marché !
    2 ou 3 milliards d’investissements vont partir en fumée… et que récupèreront les Russes ! 
    Belle opération !!! Le travail de Carlos Ghosn est littéralement démoli… comme celui de son remplaçant !

     

    Renault quitte la Russie : chronique d’un départ en catastrophe

    Poussé par Macron dans ses retranchements, Renault a fini par céder en annonçant mercredi soir la suspension de ses activités en Russie et la possibilité de se désengager du constructeur russe Avtovaz. Un scénario inimaginable il y a encore un mois et qui se solde par une perte financière colossale. Récit d’un mois où tout a basculé.

    C’est jour de fête à Boulogne-Billancourt ce 18 février. Luca de Meo, le directeur général du groupe Renault, s’apprête à annoncer à la presse et à l’ensemble de la communauté financière des comptes de résultats miraculeusement bons dans un contexte pourtant défavorable avec la pénurie de semi-conducteurs, la hausse des prix des  matières premières, ou encore la baisse des marchés. Tous les voyants sont au vert : cash flow, profit opérationnel, résultat net…

    Tout semble sourire à ce nouveau Renault que l’Italien, arrivé en juillet 2020, est parvenu à remettre sur les rails en un temps record. Le groupe automobile français est même prêt à enclencher une nouvelle étape dans son plan de reconquête : l’international. Dans les couloirs du siège, on prépare le lancement imminent de trois nouveaux modèles en… Russie. Ces modèles sont fin prêts, et certains cadres préviennent les journalistes de l’imminence d’une grande opération de lancement à Moscou même.

    Inimaginable…
    Renault est à des années-lumières d’imaginer qu’une semaine plus tard, le président russe enverrait ses troupes en Ukraine…

    C’est tout juste si Luca de Meo est interrogé sur les conséquences d’un embargo sur la production russe. Il assure alors que la forte localisation des approvisionnements des usines de Renault, à plus de 90% explique-t-il, protègera les activités russes. Sauf que la crise du Covid a montré qu’il suffisait qu’une seule pièce manque pour paralyser pendant plusieurs semaines une usine.

    A ce moment de l’Histoire, personne chez Renault (comme ailleurs puisque le monde entier a été surpris par la tournure géopolitique des événements en Ukraine) n’envisage le pire. D’autant que la Russie représente des enjeux industriels colossaux pour le groupe français. C’est d’abord le rachat d’Avtovaz, le fabricant des célèbres Lada, dans lequel le groupe détient 63% du capital.

    Depuis dix ans, plusieurs milliards d’euros ont été injectés dans la modernisation des usines, puis la refondation d’une nouvelle gamme… Renault a commencé à tirer les premiers fruits de ses investissements avec un premier exercice profitable en 2021.

    Le groupe s’attendait à ce que la Russie, son deuxième marché mondial en volume, monte désormais en puissance dans la contribution aux profits du groupe. Avec la nouvelle gamme que Renault s’apprêtait à lancer, Luca de Meo voulait appliquer sa nouvelle formule visant à privilégier la création de valeur, c’est-à-dire augmenter la profitabilité unitaire par rapport à une stratégie de volumes. Pour Renault, le levier était alors perçu comme immense.

    Un déni ?
    Puis la guerre survint, et son cortège de sanctions internationales mais qui semblent préserver, sur le papier du moins, la légalité des opérations de Renault en Russie. « Nous resterons toujours en conformité avec les sanctions », a toujours expliqué Renault. Même le scénario d’une nationalisation russe n’est pas pris au sérieux : le pays de Vladimir Poutine ne serait pas capable de poursuivre les opérations industrielles, veut-on croire à Boulogne-Billancourt.

     

    Pertes et profits
    Un conseil d’administration réuni dans la soirée de ce mercredi 23 mars, a acté la fin de l’aventure russe. Et de préciser qu’il « évalue les options possibles concernant sa participation dans Avtovaz ». Autrement dit, Renault prépare son retrait de Russie, et passe ses lourds investissements autant en cash qu’en ressources humaines (ingénieurs, transferts technologiques…) par pertes et profits.

    Le préjudice s’élève à plusieurs milliards d’euros, trois milliards si l’on en croit la valeur comptable inscrite dans les comptes de 2021. Bien plus si on projette les profits prévus sur les dix prochaines années, additionnés aux investissements des dix années précédentes. Colossal !

    Au passage, Renault abandonne son objectif d’une génération de trésorerie d’un milliard d’euros cette année, et baisse d’un point son objectif de marge opérationnelle (3%). Une annonce qui ne devrait pas stopper la chute du titre qui a déjà perdu 21% en Bourse depuis un mois…

     

    Quoiqu’ils pensent de leur embargo, comme suite à celui de 2014, la Russie en ressortira gagnante !

    Les Européens, dont les Français, seront les grandes perdants !