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Partis politiques

  • Macron ose parler de relance de la natalité tout en constitutionnalisant l’avortement !

     

    La réalité ne peut plus être masquée!

    Selon l’INSEE, en 2023, la natalité n’a jamais été aussi faible en France que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Depuis dix ans, le nombre de naissances annuelles ne cesse de baisser dans notre pays. Mais le phénomène s’est brusquement accéléré l’année dernière. En 2023, 678 000 bébés ont vu le jour (en majorité hors mariage !), soit 48 000 de moins qu’en 2022. C’est près de 7 % de moins en un an. « C’est une baisse sans précédent » déclare à Libération Sylvie Le Minez, responsable de l’unité des études et enquêtes démographiques à l’INSEE. Ce passage sous le cap symbolique des 700 000 naissances s’explique par un déclin de la fécondité. Les femmes, en âge de procréer, font moins d’enfants, quel que soit leur classe d’âge, y compris celles de 30 ans ou plus qui étaient jusque-là relativement peu concernées par ce recul de la fécondité.


    Ainsi l’indicateur conjoncturel de fécondité s’établit désormais à 1,68 enfant par femme contre 1,79 un an plus tôt. On est loin des 2,1 enfants par femme nécessaire au renouvellement de la population selon les démographes. Malgré ces chiffres catastrophiques, la France reste le pays ayant le plus haut taux de fécondité en Europe, où la natalité moyenne tourne autour de 1,53 enfant par femme, la situation sur ce plan n’étant pas meilleure en Europe de l’Est qu’en Europe de l’Ouest. C’est tout le Vieux Continent, et au-delà l’ensemble du monde blanc, qui connaissent un hiver démographique sans précédent par son ampleur et sa durée.

    Il faut dire que tout est fait actuellement pour décourager de donner la vie. De plus en plus de magazines féminins et de discours, notamment dans les milieux écolo-gauchistes, insistent sur les pollutions engendrées par les enfants européens, vantent le fait de ne pas vouloir de progéniture afin de sauvegarder la planète, de lutter contre le réchauffement climatique. Ce discours mortifère commence à porter ses fruits vénéneux chez les nouvelles générations. A cela s’ajoute la montée des individualismes et des égoïsmes de plus en plus monstrueux. Il n’est pas rare aujourd’hui que des couples ayant finalement décidé d’avoir des enfants (même si au final c’est toujours le Ciel qui les donne) le regrette par la suite car ils ne supportent pas, ou très difficilement, les entraves à leurs libertés quotidiennes qu’entraîne subitement l’arrivée d’un enfant dans leur foyer. Il n’est plus possible de sortir tous les soirs, de mener une vie de bohème, de ne s’occuper que de sa petite personne, de rester toute la journée voire toute la soirée devant des vidéos ou scotché à son téléphone portable. Il faut consacrer du temps, de l’énergie à la chair de sa chair. Il faut faire preuve de dévouement, consentir à des sacrifices, ce qui est presque devenu un gros mot aujourd’hui. Il faut renoncer, au moins en partie, à un certain mode de vie et cela ne va pas sans grandes difficultés. Autour de nous, nous constatons ainsi l’explosion de nombreux couples parce que l’un des deux parents (et parfois même les deux !) ne veut pas prendre sa part et ne trouve aucun intérêt, aucun épanouissement à s’occuper d’un petit. Ils trouvent cela ennuyeux, pénible, répétitif voire liberticide. Ce qui semblait naturel pour des générations successives depuis des millénaires, depuis que le monde est monde, ne l’est plus, semble-t-il, aujourd’hui. Il est fréquent désormais que les couples se séparent dès les premiers mois, ou les toutes premières années, de leur enfant. Une directrice de crèche à Paris nous confiait récemment qu’en général le couple qui vient déposer sa progéniture lorsqu’il a quelques mois à peine n’est plus le même lorsque l’enfant a trois ans et qu’il faut l’inscrire en maternelle. L’arrivée du bébé a conduit à l’explosion du couple et de nouveaux partenaires apparaissent.  Ce phénomène ne cesse de s’accroître, surtout dans les grandes villes.


    On ne peut nier également l’impact des difficultés économiques et du travail féminin généralisé dans cette baisse de la fécondité. L’INSEE pointe l’impact de l’inflation, la baisse du pouvoir d’achat : « L’augmentation générale des prix, qui pèse sur les ménages, peut altérer l’envie d’avoir des enfants ». Les démographes considèrent que cette baisse continue et aggravée de la natalité peut également s’expliquer par les difficultés qu’ont les femmes à concilier vie familiale et vie professionnelle car, qu’on le veuille ou non, et malgré le féminisme ambiant, la charge des enfants, surtout en bas âge, continue à reposer principalement sur elles. Naguère, un homme, avec son seul salaire, arrivait à faire vivre toute sa famille. Pas forcément sur un grand pied mais enfin il parvenait à subvenir aux besoins du foyer. Tel n’est plus le cas aujourd’hui, sauf rares exceptions, et l’on voit à quel point le discours féministe vantant le travail féminin vu comme une émancipation a été un mensonge car le résultat c’est une double dose de travail et de responsabilités pour la mère. Avec toutes les conséquences négatives que cela entraîne.

    Dans son interminable et minable entretien télévisé le 16 janvier, Emmanuel Macron, réagissant à ces chiffres désastreux de la natalité, a appelé à « un réarmement démographique ». Il faut de sa part une sacrée audace quand au même moment (mais c’est sans doute une nouvelle mise en application de son fameux « en même temps » !) il encourage les députés et sénateurs à voter la constitutionnalisation du droit à l’avortement. Ce mercredi 24 janvier, le projet de loi constitutionnelle est en effet débattu à l’Assemblée nationale, avant de l’être au Sénat. Une fois voté dans les mêmes termes par les deux assemblées, le projet de loi sera solennellement adopté par le Parlement réuni en Congrès à Versailles. Les parlementaires vont, sauf miracle, voter massivement cette abomination, — l’avortement, rappelons-le, étant une boucherie où un être humain, parfaitement viable, ayant un cœur qui bat, un cerveau, des bras et des jambes, est déchiqueté, son crâne fracassé, son corps supplicié et brûlé ou jeté aux ordures —, dans le palais de nos rois chrétiens, à deux pas de la chapelle royale, dans le château symbole de la grandeur de la France. Et cela se fera vite. Très vite. Le chef d’Etat est pressé. Dans un courrier adressé aux chefs de partis en novembre, Emmanuel Macron avait évoqué la date du 4 mars pour cette réunion au Congrès dont l’issue ne fait pas de doute. En plein Carême. Quelques semaines seulement avant Pâques. Ils savent ce qu’ils font. Sur près d’un millier de députés et sénateurs, une petite poignée seulement (quelques dizaines tout au plus, d’après les derniers décomptes) devrait refuser cette constitutionnalisation du droit à l’avortement ,c’est-à-dire du permis de tuer l’innocence, de massacrer un être humain, de mettre à mort le fruit de ses entrailles en toute impunité. De le supplicier sur l’autel de ses égoïsmes, de sa dureté de cœur, de son irresponsabilité.


    Comment peut-on oser parler de « réarmement démographique » quand on promeut parallèlement une telle ignominie ? Les mots n’ont décidément plus dans ce sens dans ce monde orwellien. Et par ailleurs le congé de naissance de six mois qu’a promis Macron, que pourraient faire valoir les deux parents et qui doit se substituer au congé parental qui pouvait durer jusqu’à trois ans, n’est nullement de nature à améliorer la situation. Six mois, c’est un laps de temps extrêmement court. Beaucoup reculeront à l’idée de mettre au monde un enfant si au bout d’un semestre seulement  on doit le confier à une crèche ou à une assistante maternelle parce qu’on n’aura alors plus d’aide.

    On le voit, on démantèle toujours davantage la politique familiale qui a permis à notre pays de connaître une baisse des naissances globalement  moins calamiteuse que dans les autres pays européens. Mais de toute façon comment demander à des dirigeants de promouvoir une politique familiale et nataliste ambitieuse alors qu’ils n’ont ni famille ni enfants ? Le chef de l’Etat n’a pas de progéniture, le chef du gouvernement non plus, même s’il souhaitait il y a peu encore réaliser une « GPA éthique » avec son (ex- ?) concubin Stéphane Séjourné. La plupart des ministres sont de surcroît homosexuels, comme une grande partie des élus, tous partis confondus (et le RN n’est pas en reste là-dessus, tant s’en faut). Nous ne vivons pas les années folles mais les années des folles ! Dans ces conditions, le « réarmement démographique » n’est certainement pas pour demain !!

     

     

  • Gabegies et lubies des voitures électriques ...

     

    Voiture électrique ; ils sont devenus fous !, par François-Xavier Pietri, éditions LITOS

    François-Xavier Pietri, journaliste économique, a notamment dirigé la rédaction de La Tribune et le service économique de TF1. Il a également animé Le club de l’économie sur LCI. Il signe un véritable réquisitoire contre les politiques européennes imposant la voiture électrique au mépris du réel.

    L’ouvrage n’aborde que de façon marginale la fâcheuse habitude que peuvent avoir les batteries lithium-ion de facilement prendre feu. Les départs de feu dans les sites de recyclage commencent pourtant sérieusement à inquiéter les assureurs avec à la clé une augmentation sensible des primes, voire un refus d’assurer. Mais c’est sur les terrains de l’économie, de l’emploi et de l’énergie que François-Xavier Pietri concentre son tir et démontre l’absurdité des nouvelles règlementations européennes.

    Le 14 juillet 2021, la Commission européenne a annoncé sa volonté d’interdire, purement et simplement, la vente de véhicules émetteurs de CO, d’ici à 2035. Cela va du diesel en passant par l’essence, mais concerne aussi les hybrides qui tentent de concilier l’électrique et le thermique. Ne seront autorisés que l’électrique et l’hydrogène. Les vingt-sept Etats membres de l’Union européenne ont adopté définitivement le texte le 29 juin 2022. Mais tous les observateurs lucides constatent l’incohérence des choix politiques.

    En France, près de 83 % des déplacements (en kilomètres parcourus) s’effectuent en voiture, dont la moitié pour aller travailler.

    Une autonomie qui fond au moindre coup d’accélérateur

    Premier souci : l’autonomie du véhicule. Il y a les écarts liés à la puissance et au prix de la voiture. La différence va de 200 km à 600 km, la moyenne actuelle étant de 338 km. L’autonomie est proportionnelle au nombre de cellules de batterie, qu’on peut installer dans les planchers ou le coffre, en en diminuant donc la contenance. La voiture électrique la plus performante utilise les cellules comme des éléments structurels du véhicule, mais son prix tourne au bas mot à 130 000 euros, sans les options. Le consommateur lambda se contentera donc de ses 300 kilomètres – la moitié d’un véhicule thermique – mais il devra tenir compte d’une autre réalité : la moindre accélération, la moindre vitesse rapide, le moindre dépassement des 110 km/h sur autoroute provoquent une chute spectaculaire de l’autonomie. Idem pour la climatisation l’été, le chauffage l’hiver ou encore une route de montagne et ses cols : tout cela fait fondre la batterie comme neige au soleil. Or, sur une prise ordinaire, il faut au minimum une nuit pour recharger la batterie.

    Bien sûr, il y a la jungle des bornes de recharge. Des centaines de possibilités, des abonnements multiples à payer, des réseaux différents et concurrents, des données techniques complexes à assimiler et pas moins de 1 300 formules de prix différentes sur le seul territoire français !

    Un scénario insensé de technocrates

    Sachez aussi que la vitesse de la recharge dépend également du chargeur interne dont est équipé votre véhicule. que le temps de recharge s’allonge s’il fait chaud, qu’il dépend du type de courant “servi”, alternatif ou continu, que certaines voitures n’acceptent qu’un type de courant, que le système de contrôle des batteries qui équipe les bornes peut décider du volume et du temps de la recharge… Er encore faut-il trouver ces bornes de recharge publiques. Le gouvernement en avait prévu 100 000 à l’échéance 2021. Or les 53 000 sont tout juste dépassées à la fin de cette année. Le retard est énorme. Et 93 % des bornes installées par les pouvoirs publics délivrent une puissance à peine mieux qu’une prise électrique dans son garage. Dès lors, nul ne voit comment servir 15 millions d’automobilistes en 2035 dans ce scénario illusoire de technocrates.

    Bientôt 17,5 millions de véhicules interdits dans les agglomérations

    Ces aberrations ne freinent pas la loi qui prévoit qu’à partir du 1er janvier 2025, vous ne pourrez plus conduire dans 45 grandes métropoles et agglomérations, de Paris à Lyon, en passant par Annecy, Limoges, Metz ou Perpignan, si vous possédez un véhicule qui ne répond pas aux normes européennes Euro 5 et 6. 17,5 millions d’automobiles sont ainsi menacées d’interdiction de circuler dans toutes les agglomérations ! Or, une grande part des Français ne pourra pas se payer une nouvelle voiture électrique et se verra donc de facto fortement limitée dans ses déplacements.

    Des conséquences en cascade sur l’emploi

    François-Xavier Pietri examine également l’impact sur l’emploi. Selon l’Association européenne des fournisseurs automobiles, 500 000 emplois sont condamnés dans le secteur en Europe d’ici 2035, dont 100 000 en France. Par contre, les constructeurs automobiles devraient faire de plantureux bénéfices. L’objectif ne sera plus de vendre beaucoup mais de vendre avec les meilleures marges. Il faut aussi compter sur l’effet en cascade sur les sous-traitants dont l’immense majorité n’a plus d’avenir, des milliers de pièces mécaniques cessant d’avoir une utilité, sur les garagistes (l’entretien et les réparations d’une voiture électrique étant réduites à leur plus simple expression), et sur les stations-service indépendantes qui ne pourront pas se recycler.

    Et pour couronner le tout, l’Union européenne a ouvert une voie royale aux voitures électriques chinoises qui proposent des tarifs plus que concurrentiels par rapport aux constructeurs européens ! ...

    Ce livre stupéfie le lecteur de page en page.

    François-Xavier Pietri, éditions LITOS, 192 pages, 7,50

     

  • OUEST FRANCE un journal de gauche anti démocratique .

    Le quotidien “Ouest Torchon"” a-t-il sa place dans une démocratie ?

    La journaliste de Ouest-France, qui dénonce le recrutement d’un jeune militant Reconquête au sein de la police municipale de Lorient, pour la saison estivale, devrait relire la définition du mot démocratie, ainsi que l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme de 1789. Elle saurait ainsi de quoi elle parle. Elle devrait aussi feuilleter le Code du Travail… art. L.1132-1

    https://www.bvoltaire.fr/quand-ouest-france-denonce-le-recrutement-dun-militant-reconquete-a-lorient/

    1° Le fondement d’une société démocratique, c’est la défense des droits et libertés de la personne

    2° L’article 10 de la déclaration des droits de l’homme stipule que “Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.”

    Par conséquent, on voit mal en quoi un jeune étudiant qui travaille pour financer ses études, serait une menace pour l’ordre public, alors qu’il est précisément embauché pour assurer la surveillance de la voie publique. Un peu de sérieux  et de décence ne seraient pas de trop.

    Nous ne sommes ni en Corée du Nord, ni sous l’Inquisition ! Toute discrimination à l’embauche est interdite.

    • Le parti d’Eric Zemmour serait-il un parti interdit par la République ? Le vote Reconquête serait-il illégal ?
    • Le maire de Lorient doit-il enquêter sur les opinions politiques des employés municipaux ?

    Damien Rieu résume parfaitement la situation :

    “La France, ce pays où les gens qui ne sont pas de gauche sont ouvertement discriminés et persécutés. Honte à Ouest-France !

    Cette journaliste ignore ce que “discrimination à l’embauche” veut dire

    https://travail-emploi.gouv.fr/droit-du-travail/egalite-professionnelle-discrimination-et-harcelement/article/discriminations-a-l-embauche-de-quoi-parle-t-on

    Tout salarié, tout candidat à un emploi, un stage ou une période de formation en entreprise est protégé par la loi contre les discriminations à l’embauche et au travail. Le Code du Travail (art. L.1132-1) interdit toute distinction entre salariés fondée notamment sur :

    • l’origine ;
    • le sexe ;
    • les mœurs ;
    • l’orientation ;
    • l’identité sexuelle ;
    • l’âge ;
    • la situation de famille ;
    • la grossesse ;
    • les caractéristiques génétiques ;
    • l’appartenance ou la non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation ou une race ;
    • les opinions politiques ;
    • les activités syndicales ou mutualistes ;
    • les convictions religieuses ;
    • l’apparence physique ;
    • le nom de famille ;
    • le lieu de résidence ;
    • l’état de santé ;
    • le handicap.

    Dès lors, aucun de ces motifs ne peut être retenu pour écarter une personne d’une procédure de recrutement

    Je rappelle également à cette journaliste que livrer un jeune étudiant de 20 ans à la vindicte populaire pour ses positions politiques n’est pas très joli, ni glorieux. L’éthique et la déontologie du journalisme ne font pas, que je sache, l’apologie de la délation.

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    Faut-il aussi supprimer l’armée et la police ? Cela va devenir palpitant !

    Rappelons à notre donneuse de leçons que dans ces deux institutions, on vote à 64% pour les partis RN et Reconquête, contre 33% pour la moyenne nationale. Qu’en pense notre journaliste démocrate modèle ? On supprime l’armée et la police ? Voilà qui devrait être palpitant lors des prochaines émeutes !

    https://www.emilemagazine.fr/article/2021/11/28/vote-des-militaires-droite-toute

    On ne peut que saluer la décision du responsable de Reconquête Bretagne, qui porte plainte contre Ouest-France et la journaliste, tout en apportant son soutien au jeune étudiant injustement ciblé pour ses opinions politiques.

    En revanche on ne peut que regretter que le maire de Lorient culpabilise à outrance en jurant qu’on ne l’y prendrait plus, au lieu d’assumer son choix, puisqu’il est interdit de fliquer ses employés municipaux selon leur appartenance politique. Il vient de déclarer pour se justifier :

    « Le service des ressources humaines de la Ville a procédé à ces recrutements vers fin mai, début juin, sur la base du CV et des compétences (le chef de la police municipale est normalement associé à la sélection). Sans avoir googlisé les candidats. On le fera très certainement à l’avenir »...

    Il devrait lui aussi s’informer sur la discrimination à l’embauche…

    Ce maire n'est qu'un arriviste et un lâche ( qu'on se souvienne comment il s'est désolidarisé des militaires anti casseurs lors des dernières émeutes à Lorient ! ...).

    Tout cela démontre une fois de plus combien nos élus sont des lâches face aux médias, jusqu' à interdire même quand le pays est à feu et bientôt à sang aux patriotes et nationalistes de réagir face aux émeutes et défendre les idées de liberté et de souveraineté nationale .

     

    Jacques Guillemain