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Europe

  • Une immigration forcenée, voulue et contrôlée par la Franc-Maçonnerie

     

    La France a subi trois invasions allemandes, elle subit une quatrième invasion, l’immigration, majoritairement islamique. Au problème démographique s’ajoute le problème religieux.

    Les trois premières étaient militaires et volontaires : les envahisseurs venaient avec leur armée. La quatrième est sournoise : les envahisseurs infiltrent le pays homme à homme, année après année. Il y a occupation, en douceur, sans combats … pour le moment.
    Les trois premières étaient partielles. Les Allemands n’ont jamais occupé tout le territoire, ni en 1870, ni en 1914, ni en 1940. Aujourd’hui, l’occupation vise tout le territoire, y compris l’outre-mer.

    Les trois premières étaient européennes : les Allemands étaient de culture chrétienne, parmi eux des protestants et des néo-païens. Leur occupation n’aurait pas changé la culture chrétienne de la France. La quatrième invasion, faite d’extra-Européens, fortement islamique, a une connotation religieuse extra-chrétienne. Selon Pierre Brochand, elle est « sans précédent historique, massive, croissante, cumulative, pilotée par les juges, très éloignée culturellement, économiquement dysfonctionnelle, budgétairement coûteuse, potentiellement conflictuelle, impopulaire, irréversible ».

    L’extrême gauche a obtenu en justice que soient distingués Islam et islamisme. Cette décision de justice érige une autorité civile en juge religieux. L’État décide en matière religieuse, subvertit la laïcité. Mais il y a un seul Islam avec ses croyances et ses rites. Le but de l’Islam est la conquête, quelles qu’en soient les étapes et les tactiques. C’est la doctrine de « l’Oumma », la nation musulmane que les fidèles doivent contribuer à établir sur la terre entière. Ce fait religieux a des incidences politiques : l’Islam prône une théocratie.


    Pour Mélenchon, franc-maçon, anticlérical haineux, athée ennemi de Dieu, les religions sont des « chicayas » qui troublent l’ordre public, sauf l’Islam. Cette position a déjà été suggérée au temps des Lumières, référence de Mélenchon.

    L’Islam est un instrument des forces occultes pour nous détruire.

    Mais ces forces occultes ne laisseront pas achever la conquête. Les musulmans participent à la déchristianisation de la France, mais ils n’en feront pas un pays musulman. L’Islam sera lui aussi interdit. En effet, l’ennemi des forces occultes est le catholicisme et Dieu. La Synagogue de Satan veut éradiquer le catholicisme, mais ce n’est pas pour lui substituer l’Islam, c’est pour établir une religion mondiale de l’humanité, cosmique et satanique, une gnose naturaliste. Elle utilise toutes les formes de religion pour abattre le catholicisme : l’Islam, le protestantisme, le bouddhisme, le Zen, le New Age, le wokisme.

    Pour les Grands Initiés, l’Islam doit servir, mais pas se servir.

    Dans leur esprit, l’Europe entière, puis le monde doivent être soumis, non pas à l’Islam, mais au « Roi du monde ».
    La pire occupation n’est pas l’occupation de l’immigration, occupation d’en bas, mais l’occupation du politique, occupation d’en haut. L’anti-France est au pouvoir, et elle veut lancer les musulmans contre les chrétiens, contre les athées. Tout le monde sera victime, y compris les immigrés, et au premier chef les enfants lancés dans la Révolution.
    Les gauchistes poussent à l’immigration musulmane en France et en Europe, mais ils méprisent l’Islam, ils méprisent toutes les religions.

    Parmi les ennemis de Dieu, figurent les Juifs apostats et les Francs-Maçons.

    La Franc-Maçonnerie spéculative, née en 1717, a été l’œuvre des Rose-Croix qui vénéraient Lucifer. Les Rose-Croix avaient appelé à la révolution anti-catholique. Leurs héritiers maçons ont préparé, mené et poursuivi cette Révolution. Les événements résultent d’un complot de forces occultes diaboliques. Les Francs-Maçons se sont compromis dans la Révolution avec la Finance apatride.
    Les Francs-Maçons, cosmopolites donc anti-catholiques et anti-Français, pro-immigration, sont des ennemis de la France.

    Les Francs-Maçons, initiés orientaux, sont anti-occidentaux. Le Grand Orient de France ne s’appelle pas le Grand Occident.

    L’immigration est voulue par la Finance apatride qui veut réduire en esclavage et les immigrés et les autochtones.

    L’immigration, instrument de la guerre des loges contre l’Occident, est un mot d’ordre maçonnique.

    Toutes les obédiences maçonniques sont immigrationnistes, même la Grande Loge Nationale Française. La GLNF est favorable à l’islam. Elle respecte un grand Architecte qu’elle prétend Dieu. Elle pratique des rites communs aux obédiences qui ont accueilli des athées. Elle partage l’omerta sur les crimes communistes dont les maçons athées se sont rendus coupables. Elle est complice de ces crimes.

    La distinction d’une Maçonnerie régulière et d’une Maçonnerie irrégulière est donc fictive. Les obédiences maçonniques nombreuses se disputent, mais la Franc-Maçonnerie spéculative est une. Sa « religion » est une gnose naturaliste, une gnose illuminative qui réunit toutes les obédiences dans un culte cosmique anti-chrétien : la Nature est le seul principe.

    Les Francs-Maçons sont des « co-Allah-bos ». L’islam est une religion cosmique qui leur sert d’instrument pour lutter contre la civilisation chrétienne. En effet, tous les maçons modernes héritent des Rose-Croix, qui eux-mêmes héritaient de l’hermétisme, de l’Islam et de la Kabbale. C’est pourquoi leur « tolérance » est à géométrie variable.

    La Franc-Maçonnerie accepte toutes les religions, sauf le catholicisme. La Franc-Maçonnerie impose l’indifférentisme, l’égalité des religions, mais l’histoire a toujours démenti ce conformisme. La Franc-Maçonnerie ment au peuple, et le mensonge est une signature.
    Le dogme des « Droits de l’homme » réunit toutes les loges. En son nom, les Juifs et les gauchistes instrumentent l’Islam, et un jour interdiront les religions, dont l’Islam.

    Les "Droits de l’Homme" participent à la destruction de la France. Les Droits de l’Homme, philosophie de la Révolution, complot maçonnique qui a institué la République.

    La République est donc maçonnique. Par conséquent, la République est anti-française et met à mort notre nation traditionnelle. La République favorise l’immigration islamique pour déchristianiser la France. La République n’est pas au service du peuple, elle est l’ennemie du peuple.

    Les révolutionnaires veulent rendre la situation irréversible. Si le pays de la Révolution abandonnait la Révolution, l’effet « domino » mettrait en cause le mondialisme. Notre nation, historiquement la plus symbolique, est devenu un laboratoire de l’irréversible. Et notre pays est particulièrement enclin à se soumettre. La masse est plutôt collaborationniste.

    Dans l’immédiat, l’immigration cause la ruine et le malheur. A la ruine économique, s’ajoute le péril religieux. L’Islam est une menace. Les anticléricaux ont éliminé le catholicisme, ils « bouffent encore du curé », mais l’imam est nettement moins comestible. Avec l’immigration islamique, l’identité de la France est en voie d’être supprimée. La République et ses fausses élites trahissent la France et les Français depuis des décennies .


    La France et l’Europe se laissent pénétrer par le cheval de Troie de l’immigration. L’Union européenne conduit cette politique à l’insu des peuples, sous couvert d’humanitaire. En effet, la toile de fond marxiste explique le succès de l’offensive islamiste : l’islam est la religion du pauvre.

    Au renoncement de la culture européenne, correspond l’affirmation de la culture musulmane. La normalisation de la culture islamique accompagne le refus des valeurs occidentales traditionnelles. La neutralisation de la pensée occidentale garantit l’affirmation d’un Islam conquérant.

    Le délit d’opinion permet d’éliminer toute critique de l’islam et de faire taire les Européens.

    L’islam a déclaré une guerre culturelle à l’Europe, et ses meilleurs alliés sont les intellectuels qui vendent la culture occidentale. Le déclin de l’intelligence, le déclin du savoir, le déclin des connaissances, participent à cette régression culturelle.
    Le « Pacte mondial pour les migrations », signé le 10 Décembre 2018 à Marrakech, couronne la politique d’immigration. Le pacte mondial prône « l’élimination de toutes les formes de discrimination dont le racisme, la xénophobie, et l’intolérance, à l’endroit des migrants et de leurs familles ».

    Les rédacteurs définissent l’esprit du pacte : « Les migrations ont toujours fait partie de l’expérience depuis le début de l’histoire, et nous reconnaissons qu’à l’heure de la mondialisation, elles sont facteur de prospérité, d’innovation et de développement durable, et qu’une meilleure gouvernance peut permettre d’optimiser ces effets positifs. ».
    Pas une seule fois n’est mentionné le respect des identités nationales. En revanche, les mots « travailleurs » et « travail » apparaissent à maintes reprises. Ce texte donne un cadre humanitaire au grand marché des esclaves du siècle qui vient, à une traite humaine. Nos sociétés devront être inclusives et multiculturelles. Toute protestation sera sanctionnée comme « crime de haine ».

    Par le pacte de Marrakech, le pouvoir prépare la submersion du pays par « l’armée de réserve du Capital », c’est-à-dire par l’immigration massive et permanente financée par le peuple. Les États signataires s’engagent à « recadrer le discours sur les migrations » afin d’en montrer « le rôle positif ». Les auteurs présentent le pacte comme « symbolique » et « non-contraignant », ils cherchent à éviter tout débat démocratique sur le sujet.


    Le traité de Troyes de 1420, signé » par la reine Isabeau de Bavière et le duc de Bourgogne Philippe III, stipule que, après sa mort, le roi de France Charles V aurait pour successeur le roi d’Angleterre Henri V. Le traité de Troyes donnait la France aux Anglais. Le pacte de Marrakech donne la France aux étrangers, avant de la donner au gouvernement mondial.

    L’immigration de masse doit conduire à l’uniformisation de l’être humain. Avec la religion humanitaire, ou religion des droits de l’homme, la promesse de perfection sociale réclame la négation de toute différence entre les humains. Au nom de l’humanité divisée, les droits de l’homme visent à la régénération des hommes par l’instauration sur terre du bien absolu.

    Le bien absolu met en œuvre une idéologie de l’identité entre tous les humains. Les peuples  européens se sont dotés de longue date d’un haut niveau de savoir et de développement économique et social. Pour le millénarisme humanitaire, leur disparition constitue l’équivalent de ce que fut pour le millénarisme communiste l’obsession de détruire la bourgeoisie.

    La civilisation de l’Europe occidentale est condamnée parce que sa population est blanche, et son niveau de vie est perçu comme une injustice. Les zélateurs du millénarisme des droits de l’homme, grands bourgeois intellectuels ou financiers, se conduisent comme des tyrans fascistes. Ils font payer au peuple leur train de vie fastueux : la rigueur n’est pas pour eux, le métissage n’est pas pour eux, la servitude n’est pas pour eux.
    Le socle de cette religion humanitaire est le dogme du mêmisme, le dogme du « tous pareils », l’indifférenciation entre tous les humains, une idéologie de l’identité entre tous les humains.

    Au nom de ce dogme, les Européens sont sommés de disparaître en tant que civilisation, en tant que nations … pour se fondre dans le grand tout d’une humanité mondialisée. Le millénarisme humanitaire est capable de broyer des millions d’êtres humains, comme le millénarisme communiste l’a fait. Dans les deux cas, au nom de l’amour...


    Et les Européens éprouvent une sensation de supériorité morale à s’effacer au profit d’autrui. La haine de soi, la culpabilisation, la repentance constituent un moyen de faire passer l’autre avant soi.

    Jean Saunier

     

  • Culture de mort et macronie .

    Légalisation de l’euthanasie et destruction accélérée des églises au programme de la Macronie .

    CE LUNDI SAINT le président de la République n’a rien trouvé de mieux que de demander au gouvernement et au Parlement de préparer ensemble avant la fin de l’été un projet de loi pudiquement nommé « fin de vie » et qui entend dépénaliser l’euthanasie active et ouvrir la voie au suicide assisté. Recevant la « convention citoyenne », un bidule qui a réuni pendant trois mois 184 participants prétendant débattre du sujet en toute impartialité, mais qui n’avait d’autre objectif que de légaliser l’euthanasie et qui, dans un rapport publié le dimanche des Rameaux, a d’ailleurs majoritairement voté en faveur d’une forme d’« aide active à mourir » (AAM), le chef de l’Etat a réaffirmé sa ferme volonté de faire évoluer la législation sur le sujet.

    Pendant sa campagne présidentielle, en 2022, Emmanuel Macron avait ainsi glissé discrètement qu’il était favorable sur le sujet au « modèle belge ». Rappelons qu’outre-Quiévrain l’euthanasie active et le suicide assisté ont été légalisés et s’appliquent même aux enfants. Une simple dépression, un traumatisme, un mal de vivre passager, une épreuve pénible, et Dieu sait que la vie ici-bas n’en manque pas, et hop, place à la piqûre létale, à la seringue funeste.


    Cette vieille revendication de la franc-maçonnerie est donc en passe d’être adoptée dans notre pays. Et ce n’est pas un hasard que la décision officielle soit prise et communiquée au début de la semaine sainte. Ils savent parfaitement ce qu’ils font. Il s’agit de se substituer à Dieu qui est l’auteur et le maître de la Vie, qui décide souverainement quand un homme vient au monde et quand s’achève son séjour terrestre.

    Que l’Exécutif annonce cette décision la semaine à l’issue de laquelle l’Eglise catholique célèbre le Christ ressuscité, vainqueur de la mort, la solennité des solennités, le centre et le sommet de l’histoire, est tout sauf une coïncidence du calendrier.

    On ne saurait manifester de manière plus outrecuidante le caractère antinaturel, antimoral et antichrétien du régime actuel qui ne se complaît que dans la mort, la profanation et la destruction.

    APRÈS sa réélection le 24 avril dernier, Macron n’a pas perdu de temps. Le 2 septembre 2022, recevant à l’Elysée la momie Line Renaud, défenseur acharné depuis longtemps de l’euthanasie et marraine de l’Association (maçonnique) pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), afin de lui conférer la Grand-Croix de la Légion d’honneur, la plus haute distinction en République, une Line Renaud qui le suppliait de faire « voter le plus vite possible » une loi sur « le droit à l’euthanasie », le président répondit, enthousiaste, à l’actrice nonagénaire : « Votre combat pour le droit à mourir dans la dignité nous oblige. C’est le moment de le faire… Nous le ferons ».

    Comme quoi Macron sait tenir ses promesses quand il s’agit de légiférer pour le pire ! Et de fait, dans la foulée, le gouvernement d’Elisabeth Borne a lancé une « Convention Citoyenne sur la fin de vie ». C’est toujours la même méthode : on prétend consulter, débattre, écouter mais la décision est déjà prise. Tout n’est qu’illusion et imposture, habillage et tromperie. Et comme toujours, on procède par étapes successives pour faire accepter l’inacceptable. Ce fut déjà le cas pour l’avortement et pour le “mariage” homosexuel. On procède de même pour l’euthanasie. Depuis une vingtaine d’années, plusieurs législations se sont succédé (lois Kouchner, Leonetti, Claeys-Leonetti) pour conduire graduellement à la dépénalisation totale de l’euthanasie. Depuis 2016, la France autorise ainsi  « la sédation profonde et continue jusqu’au décès », consistant à endormir définitivement les malades jugés incurables ou dont le pronostic vital est considéré comme engagé. On accélère sciemment le processus. Combien de fois avons-nous visité des patients en soins palliatifs qui parlaient et s’alimentaient normalement un jour et, tout à coup, dès le lendemain, ils étaient plongés dans un sommeil profond et irréversible parce que l’on avait fortement augmenté, souvent sans raison proportionnée, et sans même solliciter leur avis, la dose de morphine ou d’hypnovel. On va désormais aller plus loin avec la dépénalisation pure et simple de l’euthanasie en s’alignant sur des pays comme les Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg et l’Espagne. Signe de la profonde déchristianisation des Occidentaux, la plupart des pays d’Europe se dirigent vers ce chemin mortifère :  c’est le cas du Portugal, autrefois si catholique, de la Suisse, de l’Italie, du Royaume-Uni, de l’Allemagne, de l’Autriche.


    Ce n’est pas un hasard non plus si cette dépénalisation de l’euthanasie est concomitante à la réforme des retraites. Comme on ne peut pas réduire fortement les pensions, souvent déjà modestes, voire squelettiques, et qu’on ne peut pas augmenter non plus à l’infini les cotisations déjà très élevées, reste une troisième solution : réduire drastiquement le nombre des retraités. D’où le recours massif à l’euthanasie dont le “prophète” Jacques Attali (80 ans cette année !) avait expliqué dès 1981 dans son livre L’Avenir de la Vie (éditions Seghers) qu’elle « sera(it) un instrument essentiel de nos sociétés futures » : « Dès qu’il dépasse 60/65 ans,  écrivait-il, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. Je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé soient les plus réduites possible en termes de coût pour la collectivité. Il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle se détériore progressivement. L’euthanasie sera un instrument essentiel de nos sociétés futures. »


    Les obsessions idéologiques et les prétendus impératifs économiques se rejoignent pour qu’avance encore la culture de mort. En 2023, sauf miracle, nous aurons donc à la fois la dépénalisation de l’euthanasie et du suicide assisté et la constitutionnalisation d’un prétendu « droit à l’avortement », revendication de la France insoumise de Mélenchon depuis des années. Et on ne peut compter actuellement sur aucune formation politique au Parlement pour s’opposer fermement à ces projets sataniques, preuve de l’étendue et de la contagion du mal au sein de tous les partis. Pas même sur le Rassemblement national. Ce n’est pas en effet avec des Sébastien Chenu et des Julien Odoul imposés et promus par Marine Le Pen que l’on peut défendre la vie de la conception à la mort naturelle !

    A CETTE DESTRUCTION morale, à cette idéologie criminelle s’ajoute logiquement et concomitamment la démolition accélérée des édifices religieux catholiques. Un rapport récent sur l’état du patrimoine religieux en France, mené par le sénateur des Hauts-de-France Pierre Ouzoulias (PCF) et la sénatrice de l’Ardèche Anne Ventalon (LR), a ainsi avancé qu’entre 2 500 et 5 000 églises pourraient disparaître d’ici à 2030, soit une église (au moins) détruite tous les jours, tous les 24 heures. Voire pire encore. L’ancien ministre de la Culture, la calamiteuse Roselyne Bachelot, ne se soucie guère de cette sombre perspective car, a-t-elle asséné avec son culot habituel, « on a construit trop d’églises au XIXe siècle » !
    Et si les églises ne sont pas détruites purement et simplement, elles peuvent être transformées en logement, en bar, en bibliothèque ou en supermarché. C’est encore très peu le cas en France actuellement, contrairement aux pays anglo-saxons — depuis la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat “seules” 250 églises communales ou diocésaines ont été rachetées ou transformées par des particuliers, soit 0,6 % de l’ensemble du patrimoine religieux catholique —. Mais les choses pourraient changer. La journaliste LGBT Caroline Fourest s’est ainsi prononcée pour la transformation des églises en magasins. Et de fait le centre du village et de la vie des gens aujourd’hui, ce n’est plus l’église paroissiale, c’est le stade et plus encore le centre commercial, de plus en plus souvent ouvert le dimanche et où beaucoup de nos compatriotes se promènent et font leurs courses le jour du Seigneur. Il est fort possible aussi que de nombreuses églises soient transformées en mosquées. Il y a en effet aujourd’hui plus de mahométans pratiquants dans notre pays que de baptisés catholiques se rendant régulièrement à l’église.


    Il faut dire aussi que lorsqu’un objet ou un bien n’a plus d’utilité, il finit logiquement, cruellement par disparaître. La perte générale de la foi, l’effondrement de la pratique religieuse expliquent largement le phénomène actuel. Des édifices qui ne sont plus utilisés pour le culte ne sont plus entretenus et finissent par se détériorer, s’abîmer inexorablement. L’état des églises de France est un crève-cœur. Mais il est vrai que les bouleversements liturgiques, disciplinaires et doctrinaux engagés depuis Vatican II ont contribué, eux aussi, à vider les églises et à faire perdre la foi massivement. Le monde moderne, avec son matérialisme et son hédonisme, a fait le reste. A quoi sert-il de toute façon d’assister à un culte sécularisé, avec des ornements affreux, une laideur généralisée et des prêches qui ne font que répéter, souvent sans talent et sans originalité, ce que l’on entend quotidiennement à la télévision et à la radio, ce qui est dit à l’école et dans les media, sans élever l’âme vers Dieu, sans parler des fins dernières, sans dire d’où nous venons, qui nous sommes et où nous allons ?

    DES ÉGLISES détruites, c’est évidemment le paysage de la France qui change, c’est l’âme de notre pays qui est touchée. Mais, après tout, il y a une logique infernale et implacable du système républicain qui nous opprime : après avoir séparé l’Eglise de l’Etat (mais pas la synagogue de l’Etat, comme en témoigne entre autres le dîner annuel du CRIF !), après avoir organisé le plus grand vol de l’histoire en dépouillant l’Eglise de ses biens, en profanant les édifices avec la devise républicaine souvent inscrite à leur fronton, il est, somme toute, dans l’ordre des choses que ce régime contre-nature finisse par les détruire matériellement, par les éliminer purement et simplement. On s’en prend déjà régulièrement aux statues de la Vierge, des archanges et des saints, on détruit les calvaires, on interdit les crèches dans l’espace public au nom de la sacro-sainte laïcité qui n’est depuis le départ qu’une machine de guerre contre le catholicisme, contre l’âme de la France, il est donc logique que l’on s’en prenne aussi aux églises.
    Mais cela ne s’arrêtera pas là, compte tenu de la logique de Terreur de la République : tous ceux qui font leur la morale chrétienne, qui refusent totalement le LGBTisme, l’avortement, l’euthanasie, le laïcisme n’ont et n’auront plus droit de cité dans notre pays occupé et asservi. Au nom de la lutte contre l’homophobie. Au nom de la liberté des femmes de disposer de leur corps. Au nom du droit de mourir dans la dignité. Au nom de l’égalité, de la laïcité et du refus des discriminations. Le choix sera donc entre l’apostasie ou la persécution, la trahison ou la relégation sociologique, la honteuse abdication ou l’ostracisme systématique pouvant aller jusqu’à la réclusion.

     

  • Acharnement contre Vincent Reynouard : la France délivre contre lui un second mandat d’arrêt !

     

    L’ACHARNEMENT contre Vincent Reynouard atteint des niveaux inouïs.

    Alors que la justice écossaise devait décider le Jeudi Saint, le 6 avril, de son extradition ou non vers la France, voici que, lors de l’audience “relais” du 9 mars, les autorités françaises ont délivré contre le militant révisionniste un second mandat d’arrêt (voir l’interview de l’intéressé en page 3). Pourquoi cela ?

    Tout simplement parce qu’elles avaient conscience que leur dossier était mal ficelé, l’affaire mal engagée car, répétons-le, outre-Manche le révisionnisme historique n’est pas un délit.

    Le général de gendarmerie, le très conformiste Jean-Philippe Reiland, patron de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et contre les crimes de haine (sic !), dès l’arrestation par six policiers britanniques le 10 novembre 2022 du valeureux chercheur, avait pudiquement évoqué « des difficultés juridiques ». Mais, ajoutait-il, cela ne doit pas empêcher la police et la justice françaises de traquer les auteurs de « crimes de haine ». Accuser Vincent Reynouard de commettre des « crimes de haine », c’est particulièrement fort de café quand on connaît sa personnalité qui est incapable d’éprouver la moindre haine envers qui que ce soit. Craignant de perdre leur proie, les pouvoirs publics aux ordres du Lobby de la Mémoire ont donc décidé d’ajouter de nouvelles charges contre l’historien révisionniste afin d’obtenir son extradition vers la France. C’est ainsi qu’on l’accuse tout à coup d’incitation à la haine raciale à propos d’une vidéo de 2020 où il parle des juifs. Or tout esprit intellectuellement honnête et objectif ne peut déceler la moindre haine dans cette production. Mais qu’importe, comme dit l’adage, qui veut noyer son chien l’accuse d’avoir la rage.
    Ce nouveau mandat d’arrêt, dont Vincent et son avocat, Paul Dunne, n’ont eu connaissance que lors de l’audience “relais” du 9 mars, a pour conséquence directe et immédiate le prolongement de deux mois supplémentaires du séjour en prison à Edimbourg du militant révisionniste. En effet, les magistrats écossais ne rendront finalement leur décision quant à l’éventuelle extradition de Vincent que le jeudi 8 juin 2023. De sorte qu’il sera resté au minimum sept mois derrière les barreaux, de novembre 2022 à juin 2023, de manière tout à fait arbitraire. Car encore une fois il n’a commis aucun délit au regard de la loi britannique. Son arrestation et sa détention sont donc scandaleuses. Et l’acharnement des autorités françaises à son endroit est tout à fait révoltant. On a d’ailleurs mis les grands moyens pour le repérer, le traquer et l’appréhender puisqu’on sait maintenant que le contre-espionnage britannique s’en est mêlé comme si l’on avait eu affaire à un dangereux terroriste, à un poseur de bombes.
    Mais c’est qu’en réalité la bombe que constitue le révisionnisme historique est beaucoup plus redoutable pour les dirigeants actuels car elle met ouvertement en question la clé de voûte du Système mondial depuis 1945. Et c’est pourquoi, bien que Vincent Reynouard soit isolé, esseulé, suivi et soutenu par un nombre limité de personnes, il faut absolument le faire taire. Il a fallu aller le chercher au fin fond de l’Ecosse dans un introuvable lieu-dit, dans la modeste chambre d’hôte qu’il occupait au premier étage d’une maison délabrée, aux alentours du petit port de pêche d’Anstruther sur la côte est, au nord d’Edimbourg. Le Système actuel ne souffre pas même un murmure, pas même un bourdonnement. Il faut que le silence se fasse, que la vérité officielle règne partout, à l’école, dans les médias, sur la Toile, dans les cerveaux et les consciences, dans les esprits et dans les âmes.

    CE FAIT n’est pas nouveau. Il n’est que de voir la façon dont Vincent Reynouard a été traité depuis qu’il a osé s’intéresser de près à la tragédie d’Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944 et que, contrairement à beaucoup d’historiens qui se contentent de lire des livres et de les régurgiter, il s’est rendu sur place, a mené une enquête sérieuse, longue et approfondie, a interrogé les villageois contemporains du drame, a examiné de fond en comble l’église et le clocher, a étudié de près les corps des cadavres, lui qui est ingénieur chimiste de formation, a analysé les différents témoignages et dépositions pour juger de leur crédibilité, de leur cohérence, de leur véracité. Le premier livre qu’il a écrit et publié sur la question, Le Massacre d’Oradour-sur-Glane : un demi-siècle de mise en scène, en 1997, a été interdit. La cassette vidéo qu’il a réalisée sur le même sujet a été elle aussi interdite en 2001 et on a même utilisé pour l’occasion une disposition destinée à protéger les bonnes mœurs des mineurs ! A deux reprises, le tribunal et la cour d’appel à Limoges, en 2003 et en 2004, ont osé condamner le chercheur pour un délit qu’il n’avait pas commis. On l’a en effet condamné à trois mois puis à six mois de prison ferme pour apologie de crime de guerre. Mais comment pouvait-il faire l’apologie d’un crime dont précisément il contestait l’existence ? Comme à cette époque la contestation d’un crime de guerre n’était pas un délit, contrairement à la contestation d’un crime contre l’humanité (depuis la loi Rocard-Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990), il a donc fallu tordre le droit pour pouvoir le condamner. Cela n’a gêné ni le juge d’instruction qui l’a mis en examen pour apologie de crime de guerre, ni les magistrats en première instance et en appel qui l’ont jugé à Limoges dans un climat de terreur.
    Il est d’ailleurs impressionnant et en même temps terrifiant de constater que de longues décennies après les faits on ne puisse pas disposer de la liberté de recherche, d’expression et de publication sur les événements de la Seconde Guerre mondiale. On parle régulièrement de la mort du communisme mais en réalité ses méthodes, son état d’esprit, ses façons d’être et d’agir n’ont peut-être jamais été aussi prégnants. Le règne du mensonge, la désinvolture vis-à-vis de la justice et de la vérité n’ont peut-être jamais été aussi écrasants. Et ce hélas dans l’indifférence générale, dans un silence sépulcral. Faut-il que l’amour de la vérité et de la justice ait considérablement diminué dans la conscience de l’homme moderne pour que l’on accepte aussi facilement qu’un innocent soit à ce point bâillonné, maltraité, pourchassé, persécuté ?

    ET IL NE faut pas croire que Vincent Reynouard soit un cas isolé. Lorsqu’on ne dénonce pas publiquement et fermement une injustice, une ignominie, alors immanquablement les injustices se multiplient, se banalisent et finissent par avoir force de loi. Et c’est bien ce qui se passe actuellement. On ne compte plus les dissolutions arbitraires de mouvements, de groupements, d’associations que prononce régulièrement le ministre de l’Intérieur, Gérald Moussa Darmanin, alors même que lesdits groupements n’ont commis aucun délit, n’ont été impliqués dans aucune violence, dans aucun acte séditieux ou terroriste.

    Mais qu’importe, il suffit de déclarer, d’édicter que ce sont des associations incitant à la haine, et le tour est joué. Lutte contre la haine, que de crimes, que d’infamies on commet en ton nom ! C’est ainsi que certains sites communautaires, comme BTA (Balance ton antisémite), la LICRA et quelques autres, ainsi que le vice-président du CRIF, l’inénarrable Gil Taieb, demandent désormais aux pouvoirs publics l’interdiction de RIVAROL au motif que notre modeste publication, vieille de 72 ans, inciterait à la haine. On se permet ainsi de réclamer la tête de tous ceux qui n’ont pas l’heur de plaire, de tous ceux qui dérangent. Et hélas le plus souvent cet odieux chantage est couronné de succès. C’est ainsi que LCP, la chaîne parlementaire, a renoncé au dernier moment sous pression à un entretien avec Kémi Séba, agent d’influence du groupe russe Wagner, parce que ce dernier a tenu par le passé des propos jugés antisémites et négationnistes et que cela est insupportable au Lobby de la Mémoire. Il y a quelques semaines, une conférence prévue à Lyon à l’occasion du trentième anniversaire des accords d’Oslo entre l’entité sioniste et l’Autorité palestinienne, alors représentée par Yasser Arafat, a pareillement été annulée au dernier moment, à la suite des vives protestations et des violentes attaques du lobby judéo-sioniste parce qu’avait été invité à ce colloque, parmi bien d’autres participants, un avocat palestinien défendant les droits de son peuple à une terre et à un Etat. Or le Lobby le considérait comme un affreux terroriste. Il est vrai que le plus modeste soutien à la cause palestinienne est aujourd’hui assimilé à de l’antisémitisme et à de la complicité active avec le terrorisme. Voilà où l’on en est ! Mais là encore l’injustice nourrit l’injustice, le mensonge appelle le mensonge, la répression suscite la répression. Beaucoup se sont tus lorsque l’on a créé un ahurissant délit de négationnisme, empêchant la libre recherche et la libre expression sur l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Il n’y a aucune raison pour que l’injustice et la tyrannie ne s’étendent pas à d’autres questions, concernent d’autres domaines. C’est aujourd’hui la cause palestinienne qui est délégitimée, criminalisée, diabolisée. Et ses partisans avec elle. Mais ce qui est vrai pour la Palestine l’est également pour la famille et pour la nation française. Défendre la morale naturelle et la famille traditionnelle est aujourd’hui un délit nommé homophobie, transphobie, etc.  Lutter contre le Grand Remplacemernt, contre l’invasion migratoire est un délit appelé racisme, xénophobie. Et on pourrait multiplier le exemples. Tout ce qui déplaît au Système arc-en-ciel est considéré comme de l’incitation à la haine. C’est tellement facile !
    Nous sommes victimes d’un terrorisme intellectuel et moral de plus en plus violent, de plus en plus extrémiste, de plus en plus étendu qui a sans cesse besoin de chair fraîche, qui réclame quotidiennement que des têtes tombent, qui est assoiffé de sang, qui ne fonctionne que par la loi des suspects et par une impitoyable terreur. Plus que jamais le devoir de l’homme libre et brave est de résister calmement et vaillamment à cette oppression, à cette volonté d’engourdissement des consciences et d’asservissement des âmes.

     

    J.BOURBON