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Fiscalité

  • En 2023, la hausse de la taxe foncière s’apparente à un racket fiscal des propriétaires .

     

     
    Taxe-foncière 
     

    Hausse moyenne de la taxe foncière s’échelonnant entre 7,1% et 59% : 2023 sera une année noire pour les propriétaires immobiliers !

    Tant que le fruit rend du jus, il faut le presser. L’année 2023 risque de mettre sur le flanc des millions de contribuables locaux déjà en prise avec une inflation alimentaire galopante, et pris au piège de la fiscalité locale.

    Le rendement des taxes foncières (35,3 milliards d'euros en 2021), sur les propriétés bâties et non bâties va faire un bond significatif.

    Ces taxes touchent près d’un Français sur deux. En 2022, la taxe foncière a coûté 29 milliards d'euros aux contribuables.

    Et 2023 sera pire. Cette année, ce sera la double peine.

    La taxe foncière va augmenter pour deux raisons.

    D’abord, le montant forfaitaire des bases cadastrales a été revu à la hausse de 7,1% après le vote de la loi de Finances, en décembre dernier. Il avait déjà bondi de + 6,1% en 2022.

    Cette valeur locative représente le niveau de loyer annuel théorique qu’une propriété produirait si elle était louée. C’est l’une des bases servant au calcul de la taxe foncière.

    Cette valeur théorique est ensuite modifiée par des coefficients forfaitaires d’actualisation et de revalorisation.

    Effet mécanique de cette hausse de 7,1% appliquée urbi et orbi : quelles que soient les communes, toutes les taxes foncières subiront cette augmentation.

    Second facteur d’augmentation, beaucoup de collectivités, privées de taxe d’habitation font jouer la fiscalité locale pour pallier cette perte de revenus.

    Théoriquement ce manque à gagner devait être compensée par une dotation globale de fonctionnement (DGF), mais celle-ci a baissé entre 2014 et 2017 (- 11 milliards d'euros) et le compte n'y est pas.

    Taxe foncière : les collectivités incapables de réduire leur train de vie

    Plutôt que de se serrer la ceinture, la plupart des collectivités se tournent vers les propriétaires fonciers pour sauvegarder leur train de vie.

    Au final, si la fin de la taxe d’habitation a soulagé les locataires, elle a pour effet d’accabler des propriétaires à qui les collectivités reprennent d’une main ce qui leur a été donné de l’autre par l’État.

    Dans certaines villes, la hausse 2023 de la taxe foncière va atteindre des niveaux stratosphériques, notamment à Paris où à rebours de sa promesse électorale, la maire socialiste a annoncé pousser les feux de + 59,1 % (52% +7,1%) en un an !

    Le taux d'imposition passe ainsi de 13,5% à 20,5%. Ce coup de massue devrait rapporter 580 millions à la Ville.

    Parmi les plus beaux dérapages, on peut aussi mentionner + 25% à Grenoble, + 14,3% à Metz ou encore de + 9% à Lyon.

    L'outre-mer et la région francilienne sont les zones où la taxe moyenne est la plus élevée.

    Cette année, les augmentations sont si élevées qu’elles risquent de provoquer un risque social.

    Interrogé sur BFMTV, Christophe Demerson, président de l'Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI), estime notamment qu’à ce rythme, les classes moyennes, à qui l’exécutif promettait de l’aide il y a encore quelques jours, ne pourront plus rester chez elles.

    Les personnes âgées, dont le revenu est gelé, figurent parmi les principales victimes de l’emballement de la fiscalité locale.

    Ces hausses vont aussi naufrager les propriétaires bailleurs puisque le modèle économique se lézarde avec des rendements négatifs sur plus de la moitié du territoire, ajoute l’UNPI.

    Ces hausses de la fiscalité locale peuvent être remises en cause.

    Ainsi, à Marseille, des recours ont été déposés auprès du tribunal administratif par un conseiller municipal d’opposition et plus de 230 propriétaires marseillais s’opposant à l’augmentation de la taxe foncière 2022.

    En avril dernier, le rapporteur public a fini par annuler les hausses de taux des taxes foncières et la Ville pourrait être contrainte de restituer 50 millions d’euros à ses administrés !

     

  • Macron est l’ennemi de la France et des Français avec son harcèlement fiscal .

     

     

    Macron est l’ennemi de la France et des Français dans l’univers des taxes et des impôts.

    Son monde de petit banquier est le monde du spectacle médiatique où tout le monde se comporte en prévaricateur irresponsable de l’argent public, autrement dit de l’argent des autres. C’est la lutte fiscale qui est la drogue dure de Macron en forme de champignon hallucinogène qui a suffit à la révolte des Gilets jaunes.

    La drogue dure de la fiscalité de Macron est un produit dangereux. En conséquence, avec la prolifération des taxes et des impôts, mais pas pour tous, la pauvreté pour tous les Français doit s’imposer à tous.

    Macron aujourd’hui est le fossoyeur de la France dans les chaumières, jusqu’à la morgue.

    En clair, quand le terrorisme fiscal de Macron illuminé est En Marche, la liberté individuelle s’éteint.

    Grâce à Macron, la France et les Français n’auront pas attendu longtemps pour la confiscation de l’argent des Français pour l’accélération fiscale afin d’augmenter la hausse des prélèvements obligatoires.

    C’est pourquoi Macron n’a même pas exprimé le désir de savoir si l’univers enchanté des taxes et des impôts était une mesure politique convenable pour préserver le pouvoir d’achat des Français. En clair, il menace les Français des bureaucrates de Bercy avec en ligne de mire le racket fiscal et la suppression des économies des Français les plus pauvres. On a beau savoir qu’un mensonge sur l’univers enchanté des taxes et des impôts, la gabegie de Macron ne peut justifier le racket fiscal organisé par Macron le petit banquier d’affaires.

    Macron Président détiendrait-il de l’argent placé dans un paradis fiscal ?

    Les journalistes de L’Huma, Jean-Baptiste Rivoire et Gauthier Mesrnier, soupçonnent qu’une part de sa rémunération par la banque Rothschild, en 2012, aurait été versée dans un trust à I‘étranger ! C’est pourquoi l’enquête de L’Huma jette le soupçon sur le patrimoine d’Emmanuel Macron déclaré officiellement par le candidat Macron à la présidentielle de 2022.

    Personne ne peut oublier la distance séparant Macron, le petit banquier d’affaires politicien, du monde réel et des besoins des vrais Français, aggravant le fiscalisme, le chômage et l’islamisme.

    Macron, le petit banquier d’affaires de la banque Rothschild, est venu sur terre d’une étoile éloignée de la vie concrète des Français envahis par les migrants et qui ont du mal à survivre et à se loger dans le pays réel. C’est pourquoi la vivre-ensemblophobie des Français va se développer sans espoir d’amélioration.

    Le cas de Macron venu sur terre d’une étoile éloignée de la réalité et de la vie des Français n’est pas différent de celui du Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry. Les rêves francophobiques de Macron, le petit banquier d’affaires politicien, devraient figurer dans les livres pour enfants. Macron devrait demander pardon d’avoir oublié qu’il s’adresse à des grandes personnes pauvres et pas à des enfants ignorants.

    Macron adolescent, le petit banquier d’affaires, devrait être une grande personne qui habite la France où il joue le rôle du président de tous les Français. C’est pourquoi la France a bien besoin d’être consolée.

    Mais toutes les excuses de Macron adolescent ne suffiront pas à calmer les esprits, car sa politique en forme d’enfantillage ne peut faire oublier que Macron reste un enfant qui joue à Macron Président.

    Macron enfant a vu une image dans un livre sur la Forêt Vierge qui s’appelait « Histoires Vécues ».

    Ça représentait un serpent boa qui avalait un fauve. « Les serpents boas (En Marche) avalent leur proie tout entière, sans la mâcher. Ensuite ils ne peuvent plus bouger et ils dorment pendant les six mois de leur digestion » (Le Petit Prince). Depuis, Macron vit dans le monde imaginaire de ses obsessions fiscalistes. Il se situe au-dessus des turpitudes du petit peuple, à l’écart des difficultés des vrais Français.

    C’est pourquoi il veut avaler les économies des Français pauvres comme  sa proie tout entière, sans la mâcher. Ensuite il ne veut plus bouger, il ne fait rien, et il dort pendant les cinq ans de sa digestion.

    Macron ne peut rassurer personne en inquiétant tout le monde et en harcelant tout le monde.

    Son obsession de la fiscalité pour tous les pauvres et les classes moyennes est à la fois insistante et maladroite. C’est encore un mauvais coup porté par Macron à la France qui travaille.

    Et le risque zéro n’existe pas pour Macron lors des élections de 2022, même pas dans ses rêves !

    Macron veut imposer une conduite énergétique plus chaste, ce qui relève du plus pur puritanisme !

    Se chauffer est une tolérance qui s’accompagnera bientôt de l’obligation soviétique de renoncer au chauffage. Avec Macron, la confusion est devenue totale entre les taxes et le prix de l’énergie.

    Avec Macron, le terrorisme énergétique promet le pire de la pandémie du Covid 19.

    Combien de nouvelles restrictions seront-elles nécessaires pour inverser la tendance naturelle de la spéculation énergétique ? Macron peut rêver d’une société sans chauffage pour les autres. Il fait partie de ces gens supérieurement autorisés par la loi à harceler la France qui travaille et à « emmerder » les Français (Pompidou dixit).

    De toutes parts, Macron attaque et harcèle fiscalement la France qui travaille et les retraités pauvres avec la CSG de la honte. Avec Macron adolescent, le petit banquier d’affaires, on vous condamne on vous taxe et on vous supprime toute forme de vie normale et devoir compter le moindre euro.

    #RothschildGate : Macron, le petit banquier d’affaires de la banque Rothschild, aurait planqué ses rémunérations via un compte situé dans un paradis fiscal. Source WikiStrike.

    Après le premier scandale déjà colossal du #McKinseyGate, voici que des journalistes  balancent une autre affaire d’argent qui concerne le véritable patrimoine d’Emmanuel Macron, qui ne serait pas de 500K seulement comme il l’a déclaré à la HATVP, et qui a étonné les Français, mais plutôt de plusieurs millions d’euros planqués en lieu sûr. En effet, des éléments troublants laissent à penser que lors de son passage à la banque Rothschild, Macron aurait été rémunéré via un compte situé dans un paradis fiscal (source : WikiStrike).

    Macron adolescent, le petit banquier d’affaires, ne tient aucun compte de ce que pensent les vrais Français. Le courage et la révolte sont de leur côté. Non seulement Macron n’œuvre pas pour la réconciliation des Français avec le pouvoir, mais encore il ne craint pas de harceler les gens par toutes sortes de décisions inadaptées. Le hasard a voulu que Macron soit élu par l’équipe de campagne de McKinsey qui le libère de toutes obligations. Comme le dit si bien Éric Zemmour : Macron adolescent,
le meilleur ennemi de la France

    Macron guignol LGBT n’a plus rien à faire à l’Élysée. Il n’est plus chez lui. Sa maison, c’est le PS.

    Moralité, avec Zemmour : Nous devons reprendre le contrôle de notre pays !

     

    Thierry Michaud-Nérard

     

     

  • Macron et le scandale McKinsey: on commence à mieux comprendre…

    Matthieu Aron, auteur d’une enquête sur l’influence des cabinets de conseil, a expliqué à  Marianne comment McKinsey a pris le contrôle de l’État grâce à Emmanuel Macron, sa proximité avec le responsable du groupe en France et sa vision du monde en PowerPoint et en « process ». Extraits :

    Marianne : Pourquoi le cabinet de conseil McKinsey est-il accusé par une commission d’enquête du Sénat de ne pas payer ses impôts en France ?

    Matthieu Aron : Le Sénat a mis au jour un système d’optimisation fiscale mis en place par McKinsey France. Un montage fiscal de frais facturés via la maison mère de McKinsey dans le Delaware, aux États-Unis. Ce mécanisme est légal, mais le problème est que le groupe ne paye pas d’impôts en France, tandis que son chiffre d’affaires a atteint les 330 millions d’euros. « Le cabinet McKinsey est bien assujetti à l’impôt sur les sociétés en France mais ses versements s’établissent à zéro euro depuis au moins 10 ans », dénoncent les sénateurs. C’est pour cette raison qu’ils ont saisi les enquêteurs de Bercy.

    « La personne responsable au sein de McKinsey de contracter les marchés avec l’administration française est un proche d’Emmanuel Macron. »

    Mais on retrouve plus globalement ce cabinet de conseil dans de nombreux secteurs : économie, défense, santé, éducation.

    Un marché qui dépasse les 18 millions d’euros a notamment été passé avec Bercy en 2021 pour identifier des coupes budgétaires de l’État français. Et le même Bercy ne s’est pas rendu compte, à ce moment-là, que McKinsey ne payait pas ses impôts, c’est tout de même extraordinaire… Dans l’éducation, les sénateurs ont mis au jour un contrat de plus de 500.000 euros pour lequel McKinsey était chargé réfléchir au « métier d’enseignant de demain ». Or en quoi un consultant de McKinsey a-t-il plus de compétences qu’un inspecteur d’académie ou un chercheur pour penser « l’enseignement de demain » ?

    (…)

    « Emmanuel Macron ? C’est l’idole des consultants ! Tout simplement parce qu’il est comme eux. Au ministère de l’Économie, il les fait déjà rêver. Il s’habille comme eux, il pense comme eux, il connaît leurs codes, les fondements de leurs métiers… » Alain Minc nous a livré ce diagnostic en octobre 2021, lorsque nous l’avons interrogé sur le rapport singulier du chef de l’État avec les « infiltrés ». Il faut revenir au logiciel d’Emmanuel Macron en 2017 pour comprendre. Il conçoit le monde comme les consultants, avec une approche très pragmatique, qui ne se veut pas idéologique, même si elle l’est aussi. Une manière de concevoir le monde par des « process », une approche stylistique qui ressemble un peu à une approche PowerPoint...