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Fiscalité

  • Macron est l’ennemi de la France et des Français avec son harcèlement fiscal .

     

     

    Macron est l’ennemi de la France et des Français dans l’univers des taxes et des impôts.

    Son monde de petit banquier est le monde du spectacle médiatique où tout le monde se comporte en prévaricateur irresponsable de l’argent public, autrement dit de l’argent des autres. C’est la lutte fiscale qui est la drogue dure de Macron en forme de champignon hallucinogène qui a suffit à la révolte des Gilets jaunes.

    La drogue dure de la fiscalité de Macron est un produit dangereux. En conséquence, avec la prolifération des taxes et des impôts, mais pas pour tous, la pauvreté pour tous les Français doit s’imposer à tous.

    Macron aujourd’hui est le fossoyeur de la France dans les chaumières, jusqu’à la morgue.

    En clair, quand le terrorisme fiscal de Macron illuminé est En Marche, la liberté individuelle s’éteint.

    Grâce à Macron, la France et les Français n’auront pas attendu longtemps pour la confiscation de l’argent des Français pour l’accélération fiscale afin d’augmenter la hausse des prélèvements obligatoires.

    C’est pourquoi Macron n’a même pas exprimé le désir de savoir si l’univers enchanté des taxes et des impôts était une mesure politique convenable pour préserver le pouvoir d’achat des Français. En clair, il menace les Français des bureaucrates de Bercy avec en ligne de mire le racket fiscal et la suppression des économies des Français les plus pauvres. On a beau savoir qu’un mensonge sur l’univers enchanté des taxes et des impôts, la gabegie de Macron ne peut justifier le racket fiscal organisé par Macron le petit banquier d’affaires.

    Macron Président détiendrait-il de l’argent placé dans un paradis fiscal ?

    Les journalistes de L’Huma, Jean-Baptiste Rivoire et Gauthier Mesrnier, soupçonnent qu’une part de sa rémunération par la banque Rothschild, en 2012, aurait été versée dans un trust à I‘étranger ! C’est pourquoi l’enquête de L’Huma jette le soupçon sur le patrimoine d’Emmanuel Macron déclaré officiellement par le candidat Macron à la présidentielle de 2022.

    Personne ne peut oublier la distance séparant Macron, le petit banquier d’affaires politicien, du monde réel et des besoins des vrais Français, aggravant le fiscalisme, le chômage et l’islamisme.

    Macron, le petit banquier d’affaires de la banque Rothschild, est venu sur terre d’une étoile éloignée de la vie concrète des Français envahis par les migrants et qui ont du mal à survivre et à se loger dans le pays réel. C’est pourquoi la vivre-ensemblophobie des Français va se développer sans espoir d’amélioration.

    Le cas de Macron venu sur terre d’une étoile éloignée de la réalité et de la vie des Français n’est pas différent de celui du Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry. Les rêves francophobiques de Macron, le petit banquier d’affaires politicien, devraient figurer dans les livres pour enfants. Macron devrait demander pardon d’avoir oublié qu’il s’adresse à des grandes personnes pauvres et pas à des enfants ignorants.

    Macron adolescent, le petit banquier d’affaires, devrait être une grande personne qui habite la France où il joue le rôle du président de tous les Français. C’est pourquoi la France a bien besoin d’être consolée.

    Mais toutes les excuses de Macron adolescent ne suffiront pas à calmer les esprits, car sa politique en forme d’enfantillage ne peut faire oublier que Macron reste un enfant qui joue à Macron Président.

    Macron enfant a vu une image dans un livre sur la Forêt Vierge qui s’appelait « Histoires Vécues ».

    Ça représentait un serpent boa qui avalait un fauve. « Les serpents boas (En Marche) avalent leur proie tout entière, sans la mâcher. Ensuite ils ne peuvent plus bouger et ils dorment pendant les six mois de leur digestion » (Le Petit Prince). Depuis, Macron vit dans le monde imaginaire de ses obsessions fiscalistes. Il se situe au-dessus des turpitudes du petit peuple, à l’écart des difficultés des vrais Français.

    C’est pourquoi il veut avaler les économies des Français pauvres comme  sa proie tout entière, sans la mâcher. Ensuite il ne veut plus bouger, il ne fait rien, et il dort pendant les cinq ans de sa digestion.

    Macron ne peut rassurer personne en inquiétant tout le monde et en harcelant tout le monde.

    Son obsession de la fiscalité pour tous les pauvres et les classes moyennes est à la fois insistante et maladroite. C’est encore un mauvais coup porté par Macron à la France qui travaille.

    Et le risque zéro n’existe pas pour Macron lors des élections de 2022, même pas dans ses rêves !

    Macron veut imposer une conduite énergétique plus chaste, ce qui relève du plus pur puritanisme !

    Se chauffer est une tolérance qui s’accompagnera bientôt de l’obligation soviétique de renoncer au chauffage. Avec Macron, la confusion est devenue totale entre les taxes et le prix de l’énergie.

    Avec Macron, le terrorisme énergétique promet le pire de la pandémie du Covid 19.

    Combien de nouvelles restrictions seront-elles nécessaires pour inverser la tendance naturelle de la spéculation énergétique ? Macron peut rêver d’une société sans chauffage pour les autres. Il fait partie de ces gens supérieurement autorisés par la loi à harceler la France qui travaille et à « emmerder » les Français (Pompidou dixit).

    De toutes parts, Macron attaque et harcèle fiscalement la France qui travaille et les retraités pauvres avec la CSG de la honte. Avec Macron adolescent, le petit banquier d’affaires, on vous condamne on vous taxe et on vous supprime toute forme de vie normale et devoir compter le moindre euro.

    #RothschildGate : Macron, le petit banquier d’affaires de la banque Rothschild, aurait planqué ses rémunérations via un compte situé dans un paradis fiscal. Source WikiStrike.

    Après le premier scandale déjà colossal du #McKinseyGate, voici que des journalistes  balancent une autre affaire d’argent qui concerne le véritable patrimoine d’Emmanuel Macron, qui ne serait pas de 500K seulement comme il l’a déclaré à la HATVP, et qui a étonné les Français, mais plutôt de plusieurs millions d’euros planqués en lieu sûr. En effet, des éléments troublants laissent à penser que lors de son passage à la banque Rothschild, Macron aurait été rémunéré via un compte situé dans un paradis fiscal (source : WikiStrike).

    Macron adolescent, le petit banquier d’affaires, ne tient aucun compte de ce que pensent les vrais Français. Le courage et la révolte sont de leur côté. Non seulement Macron n’œuvre pas pour la réconciliation des Français avec le pouvoir, mais encore il ne craint pas de harceler les gens par toutes sortes de décisions inadaptées. Le hasard a voulu que Macron soit élu par l’équipe de campagne de McKinsey qui le libère de toutes obligations. Comme le dit si bien Éric Zemmour : Macron adolescent,
le meilleur ennemi de la France

    Macron guignol LGBT n’a plus rien à faire à l’Élysée. Il n’est plus chez lui. Sa maison, c’est le PS.

    Moralité, avec Zemmour : Nous devons reprendre le contrôle de notre pays !

     

    Thierry Michaud-Nérard

     

     

  • Macron et le scandale McKinsey: on commence à mieux comprendre…

    Matthieu Aron, auteur d’une enquête sur l’influence des cabinets de conseil, a expliqué à  Marianne comment McKinsey a pris le contrôle de l’État grâce à Emmanuel Macron, sa proximité avec le responsable du groupe en France et sa vision du monde en PowerPoint et en « process ». Extraits :

    Marianne : Pourquoi le cabinet de conseil McKinsey est-il accusé par une commission d’enquête du Sénat de ne pas payer ses impôts en France ?

    Matthieu Aron : Le Sénat a mis au jour un système d’optimisation fiscale mis en place par McKinsey France. Un montage fiscal de frais facturés via la maison mère de McKinsey dans le Delaware, aux États-Unis. Ce mécanisme est légal, mais le problème est que le groupe ne paye pas d’impôts en France, tandis que son chiffre d’affaires a atteint les 330 millions d’euros. « Le cabinet McKinsey est bien assujetti à l’impôt sur les sociétés en France mais ses versements s’établissent à zéro euro depuis au moins 10 ans », dénoncent les sénateurs. C’est pour cette raison qu’ils ont saisi les enquêteurs de Bercy.

    « La personne responsable au sein de McKinsey de contracter les marchés avec l’administration française est un proche d’Emmanuel Macron. »

    Mais on retrouve plus globalement ce cabinet de conseil dans de nombreux secteurs : économie, défense, santé, éducation.

    Un marché qui dépasse les 18 millions d’euros a notamment été passé avec Bercy en 2021 pour identifier des coupes budgétaires de l’État français. Et le même Bercy ne s’est pas rendu compte, à ce moment-là, que McKinsey ne payait pas ses impôts, c’est tout de même extraordinaire… Dans l’éducation, les sénateurs ont mis au jour un contrat de plus de 500.000 euros pour lequel McKinsey était chargé réfléchir au « métier d’enseignant de demain ». Or en quoi un consultant de McKinsey a-t-il plus de compétences qu’un inspecteur d’académie ou un chercheur pour penser « l’enseignement de demain » ?

    (…)

    « Emmanuel Macron ? C’est l’idole des consultants ! Tout simplement parce qu’il est comme eux. Au ministère de l’Économie, il les fait déjà rêver. Il s’habille comme eux, il pense comme eux, il connaît leurs codes, les fondements de leurs métiers… » Alain Minc nous a livré ce diagnostic en octobre 2021, lorsque nous l’avons interrogé sur le rapport singulier du chef de l’État avec les « infiltrés ». Il faut revenir au logiciel d’Emmanuel Macron en 2017 pour comprendre. Il conçoit le monde comme les consultants, avec une approche très pragmatique, qui ne se veut pas idéologique, même si elle l’est aussi. Une manière de concevoir le monde par des « process », une approche stylistique qui ressemble un peu à une approche PowerPoint...

     
  • Macron et sa clique font une guerre quotidienne impitoyable aux Français de souche .

     

    L’épisode de Marlène Schiappa prenant la plume pour demander aux préfets de prioriser les clandestins dans la reconstruction du pays sera-t-il la goutte d’eau qui fera déborder le vase ?

    Mais si l’ineffable Marlène mérite ce verdict, y a-t-il un seul membre du gouvernement qui peut échapper à la sentence ? Notre ami Laurent Droit a depuis longtemps estimé que le chef de la clique, Emmanuel Macron en personne, méritait la peine de mort.

    Dans ce cas, que dire de Gérald Moussa Darmanin, mais aussi de ses prédécesseurs LREM Gérard Collomb et Christophe Castaner, mais encore d’autres prédécesseurs comme Bernard Cazeneuve ? Chargés de faire respecter l’ordre, et donc de défendre les Français dans leur sécurité quotidienne, ils ont d’abord imposé à notre peuple, depuis 2015, des millions de nouveaux venus, majoritairement africains et musulmans, qui, par leur présence et leur culture, fort différente de la nôtre, ont transformé nombre de nos villes et villages, et ensauvagé notre pays.

    Mais en plus, leur tradition faisant qu’ils se baladent, pour beaucoup d’entre eux, avec des couteaux, cela se traduit par de plus en plus de Français agressés, blessés à coups de couteaux, et hélas parfois tués, égorgés, au nom d’Allah, ou parfois pour de sombres raisons de vols avec violences. La formule, à présent, nous fait comprendre que la malheureuse victime était « au mauvais endroit, au mauvais moment », comme si c’était finalement de sa faute. Le fait que le frère d’une de ces victimes, à Bordeaux, ait choisi de montrer, en publiant des photos, la réalité physique de ces agressions, confirme que les nôtres sont abandonnés par nos gouvernants, qui veulent surtout cacher la réalité aux Français.

    Darmanin et ses préfets sont capables de multiplier les descentes policières chez des patriotes, à 6 heures du matin, pour leur confisquer leurs armes, mais ils n’ont encore pris aucune décision pour demander aux forces de l’ordre de multiplier les fouilles contre ceux qui ont le profil de porter des couteaux, ou parfois même des sabres, sur eux. Ils ne le font pas pour deux raisons. D’abord, cela ne les dérange pas, au contraire, que la racaille terrorise les Français, dans la rue. Cela leur permet d’asservir encore davantage notre peuple, qui, ne pensant qu’à sa survie, ne mène pas d’actions de lutte contre ce pouvoir d’assassins et de traîtres.

    D’autre part, ils peuvent s’appuyer sur toute la gauche et l’extrême gauche, le Conseil d’État et autres officines gangrenées par la propagande mondialiste et droit-de-lhommiste, pour interdire aux policiers d’effectuer des contrôles au faciès, comme si c’étaient les vieux Français qui faisaient du trafic de drogue ou multipliaient les attaques au couteau.

    Que dire de la guerre quotidienne menée aux Français au nom de la crise sanitaire ? Depuis un an, ce sont d’abord les nôtres qui sont touchés, privés de liberté, harcelés et sanctionnés par les forces de l’ordre, et victimes, notamment pour les professions libérales, de la politique criminelle de ce régime. N’oublions pas nos anciens, livrés à la solitude, au nom de prétendues précautions, qui meurent de désespoir, et les jeunes, privés d’avenir et désespérés, qui sombrent dans la dépression. Et manifestement, ce régime n’a aucune envie d’en finir avec ces restrictions, au contraire, il rêve d’imposer à la France un troisième confinement, pour mieux faire passer l’annulation des régionales, et mieux imposer l’asservissement du peuple.

    Et comme si cela ne suffisait pas, ils veulent nous imposer leur passeport vaccinal européen, même si Macron, selon sa bonne habitude, essaie de nous enfumer avec son « pass sanitaire ». À Nice, sous la direction de l’ineffable Estrosi, on voit même des caméras se mettre en place pour traquer les mauvais confinés.

    Tout cela est lié, et a sa cohérence.

    Les soixante-huitards, au pouvoir depuis 1981, ont méthodiquement détruit la France, tels des taupes creusant ses galeries pour que le sol s’effondre. Tous les secteurs de la société ont été minés de l’intérieur : armée, police, école, justice, médias, université, familles, sports, culture…

    Macron, imposé par le système avec la complicité des juges et des journalistes, a accéléré cette destruction, depuis bientôt quatre ans. Il a été mis là pour cela. Il bénéficie de la complicité de l’ensemble de la classe politique, qui l’appuie sur sa politique migratoire et sanitaire, très complémentaires pour achever une France déjà moribonde.

    Marine Le Pen est-elle le seul rempart, comme le disent nombre de patriotes, pour avoir une chance de gagner en 2022 ? Ou bien est-elle devenue la marionnette préférée de Macron, qui rêve de l’affronter de nouveau ? La candidature Zemmour, qui fait rêver de plus en plus de patriotes – séduits par son discours sans concession – sera-t-elle le grain de sable qui peut bouleverser la donne ? Ou bien serait-il instrumentalisé pour faire battre le RN et l’empêcher d’être au second tour ?

    Au-delà de ces questions, incontournables à quatorze mois de la présidentielle, la France a besoin de vrais Insoumis à la dictature immigrationniste et sanitaire, et ce ne sont pas les pantins de Mélenchon qui peuvent faire l’affaire.

    Les vrais Insoumis, les bêtes noires du régime, aujourd’hui, s’appellent les médias de la réinformation, ceux que nos ennemis de la collabosphère appellent la fachosphère ou complosphère, et nous avons la fierté d’en faire partie, avec d’autres. Mais nous avons aussi besoin de voix pour porter notre discours, dans les grands médias, qui demeurent, même si cela nous agace, les lieux où l’opinion de construit et se manipule quotidiennement. C’est un pot de terre contre un pot de fer, les moyens des uns, gavés de subventions bien que propriétés de milliardaires, n’ayant rien à voir avec ceux des autres, qui ne survivent que grâce à leurs lecteurs, et à leurs dons.

    Malgré tout, nous avons encore des porte-parole qui, sur les plateaux de télévision, nous rendent fiers d’être français et d’aimer notre pays. Aujourd’hui, nous avons trois fers de lance : Éric Zemmour, tous les soirs sur CNews, et Florian Philippot, qui mène un combat acharné – et seul – contre la dictature sanitaire, puis enfin Jean Messiha, qui, bien qu’ayant quitté le RN, continue à démasquer les imposteurs et les traîtres, sur les plateaux qui l’invitent encore.

    Face à la guerre quotidienne que mène Macron aux Français, c’est peu ; mais il ne dépend que de nos compatriotes pour que cela suffise à renverser la tendance, et, dans la rue ou dans les urnes, à balayer les nuisibles et les traîtres qui veulent nous éradiquer et nous empêcher de vivre .