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  • Macron, l' homme de tous les désordres .

     

    C’est depuis la Nouvelle-Calédonie qu’Emmanuel Macron, au cours de son voyage en Océanie, a accordé une interview, le lundi 24 juillet, au journal de 13 heures de TF1 et de France 2 quelques jours après le remaniement de son gouvernement. Un exercice habituel d’autosatisfaction, de désinformation et de manipulation dans lequel le chef de l’Etat excelle.

    Ce qui est le plus frappant peut-être dans son intervention télévisuelle, c’est sa volonté de se grimer en garant de l’ordre ! ...

    Interrogé sur les émeutes qui ont mis le pays à feu et à sang plusieurs nuits durant après la mort d’un jeune délinquant maghrébin, Macron a martelé : « La leçon que j’en tire, c’est l’ordre, l’ordre, l’ordre ». A notre connaissance, c’est la première fois qu’un président de la République répète à trois reprises dans une même phrase le mot “ordre”. Le pire, c’est que cette façon de se déguiser en homme d’autorité, inflexible voire implacable, peut lui valoir un grand nombre de soutiens auprès d’électeurs naïfs et facilement manipulables. Dès qu’un homme public prétend représenter le parti de l’ordre, il bénéficie automatiquement de la sympathie voire de la confiance de millions de gens. Il y a une clientèle pour cela, des électeurs captifs. Le drame de la démocratie moderne, c’est qu’elle repose quasi exclusivement sur le magistère de la parole. Le verbe tient lieu d’action et les promesses valent réalisations.


     Macron se veut le garant de l’ordre alors qu’il est en réalité et par excellence l’homme de tous les désordres.

    Il a laissé toute une faune détruire, dévaster, incendier des quartiers entiers, du mobilier urbain, des commerces, des bâtiments publics, des voitures, des tramways, des autobus et il ose se dire attaché à l’ordre.

    Il prend le parti du délinquant contre le policier (sauf, précisons-le, quand il s’agit de gilets jaunes ou de Français défilant contre le “mariage” homosexuel), il promeut toutes les législations visant à la destruction de la société, de la famille traditionnelle, de la morale naturelle, veut constitutionnaliser « le droit à l’avortement » après avoir, l’année dernière, étendu de 12 à 14 semaines de grossesse le délai légal pour éliminer le fruit de ses entrailles, s’apprête à dépénaliser l’euthanasie active et le suicide assisté, a ouvert la procréation médicalement assistée aux lesbiennes et fait reconnaître les GPA (gestations pour autrui) réalisées à l’étranger, promeut par tous les moyens toutes les folies du lobby LGBTQI+, notamment la transsexualité, y compris et d’abord dans les écoles, afin d’avilir et d’affaiblir nos jeunes têtes blondes et crépues ..., il a transformé lors d’une fête de la musique l’Elysée en lupanar pédérastique, il a enlacé aux Antilles, de manière plus qu’équivoque, un prisonnier de couleur au torse nu, et il ose se prétendre le garant de l’ordre. Non, ce monde n’est pas le nôtre. Cet ordre n’est pas le nôtre. Il est celui du diable. Il est le désordre organisé, l’inversion institutionnalisée. Et ce dans tous les domaines.

    Les français n’ont vraiment rien à attendre de bon de Macron et de ses sbires. Le pire est probablement à venir. Et nul doute que le contribuable, taillable et corvéable à merci, va être mis à rude épreuve. Il lui faudra payer les milliards d’euros que va coûter la reconstruction de tous les biens et équipements détruits par les jeunes allogènes, ces fameuses « chances pour la France ». Il lui faudra en outre payer très cher l’électricité, nécessaire à tous les ménages. Le chef de l’Etat a en effet confirmé, lors de cet entretien télévisé, la fin progressive du bouclier tarifaire sur l’électricité qui se traduira, dès début août, par une hausse de 10 % de la facture d’électricité. Macron a déclaré cyniquement : « l’augmentation des prix de l’énergie, c’est une taxe de l’extérieur. Nous l’avons absorbé à hauteur de 40 milliards d’euros. C’est le contribuable qui finira par payer in fine »...


    Des articles récents dans la presse ont également indiqué que les pouvoirs publics entendaient réformer les droits de succession en aggravant fortement l’imposition, déjà très lourde, des héritages, officiellement dans une logique égalitaire. La vérité, c’est qu’il s’agit d’appauvrir et de déposséder les Français. On leur prend leur pays et logiquement on finit aussi par leur retirer leurs biens, le fruit de leur travail et des efforts de leurs devanciers. Ainsi la dépossession est totale. La guerre russo-ukrainienne a bon dos. Tout est fait pour nous détruire, nous paupériser, nous déposséder. Il faut être aveugle pour ne pas le voir !!

     

  • Plutôt que de restaurer l’ordre, l’État a laissé la racaille allogène et les trafiquants prendre le contrôle de cités où les forces de l’ordre ne pénétrent plus !

    Territoires perdus. Plutôt que de restaurer l’ordre, l’État, utilisant la complicité des médias,  a préféré laisser la racaille et les trafiquants prendre le contrôle de cités où les forces de l’ordre ne vont plus. Pour laisser le pouvoir aux islamistes demain ?

     

    une politique ville tous contribuables 2021

     

    Une semaine ordinaire en France… En sept jours, entre la fin février et le début mars, les banlieues ont une nouvelle fois flambé.

    Dans le Rhône, émeutes dans le quartier de La Duchère, à Lyon, avec de multiples affrontements entre « jeunes » et policiers, suite à l’accident d’un adolescent de 13 ans à scooter.

    À Bron, du mobilier urbain a été cassé, plusieurs voitures de particuliers incendiées, un véhicule de police attaqué. Émeutes à Rillieux-La-Pape, dans le quartier des Alagniers, douze véhicules et deux buts ont été incendiés.

    En Picardie, émeutes dans le quartier de Saint-Jean à Beauvais, où les policiers tombent dans un guet-apens. Une trentaine d’émeutiers ont envoyé des mortiers d’artifice sur les forces de l’ordre, obligées de reculer. Tirs de mortier contre des CRS à Nîmes.

    Tentative de meurtre sur un photo-journaliste à Reims qui venait couvrir des « violences urbaines » dans le quartier de la Croix-Rouge.

    Christian Lantenois est retrouvé gisant près de son véhicule. Son pronostic vital est engagé.

    Deux suspects sont mis en examen, dont un Algérien de 21 ans, déjà condamné à huit reprises. Il disposait d’une carte de séjour espagnole.

    Tandis que l’État donne des coups de menton administratifs aux citoyens paisibles tenus de respecter les 18h du couvre-feu, les délinquants et criminels des banlieues semblent, quant à eux, bénéficier d’une forme d’impunité.

     

    Fort avec les faibles, faible avec les forts…

     

    Tandis que l’État donne des coups de menton administratifs aux citoyens paisibles tenus de respecter les 18h du couvre-feu, les délinquants et criminels des banlieues semblent, quant à eux, bénéficier d’une forme d’impunité.

    La France a subi 187 jours d’émeutes dans les banlieues en 2020, la moitié en région parisienne. Ces émeutiers sont de plus en plus jeunes car la justice est aux abonnés absents.


    La politique de la ville, créée vers la fin de la décennie 1970 pour insérer les « quartiers chauds » dans le droit commun et y faire éclore une élite bigarrée, a produit l’effet inverse : concentrer dans ces quartiers d’énormes trafics illicites, contrôlés par des gangs « tenant par ailleurs des politiciens complices ou épouvantés », estime le criminologue Xavier Raufer.

     

     Deux fois plus de points de deal que de bureaux de Poste à Marseille

     

    Depuis 2008, plus de 200 personnes auraient été tuées lors de règlements de compte à Marseille. En 2020, huit individus sont morts dans des règlements de comptes liés au narco-banditisme.

    Le 13 février dernier, deux jeunes hommes de 24 et 28 ans sont fauchés sur la passerelle routière des Plombières par une rafale de kalachnikov tirée d’une BMW, tandis qu'ils tournaient un clip de rap.

    Le 17 février, un homme de 33 ans est tué d'une balle dans la tête dans la cité de la Bricarde, dans les quartiers Nord de la ville. 24 heures après, la police menait une opération contre le trafic de drogue dans la cité.

    Ces meurtres en disent long sur le climat qui règne dans les quartiers de la Cité phocéenne. La violence y est endémique et, de la cité Bassens, à La Paternelle, du Frais Vallon à La Castellane, trafics de drogue, meurtres et braquages font partie du quotidien.

    On aurait pu confier la campagne de vaccination contre le Covid aux dealers des cités, ils s’en seraient largement mieux sortis.

    Même si la police fait des descentes ponctuelles, elle n’est pas présente en permanence. Les dealers en profitent : il y a quelques années les trafiquants de la cité Val Plan avaient créé des cartes de fidélité pour leurs clients.

    Pour l’achat de 50 euros de « shit », la formule « confort » leur donnerait droit à un paquet de Marlboro gratuit, des feuilles à rouler et un briquet !

    À Marseille, comme ailleurs, les dealers ont aussi su s’adapter au contexte sanitaire. Ils ont développé, sous couvert de livraison de pizzas ou autres, la remise à domicile des substances illicites. Un business labellisé « Uber Shit ».

    Comme dit l’autre, on aurait pu confier la campagne de vaccination contre le Covid aux dealers des cités, ils s’en seraient largement mieux sortis.

    Fin février, Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur était en déplacement dans la ville pour annoncer l’arrivée prochaine de 300 nouveaux policiers, dont 100 pour 2021. Avant la parade du ministre, les policiers ont fait un peu le ménage, en donnant néanmoins l’impression de vider l’océan à la petite cuillère.

    Marseille compte en effet deux fois plus de points de deal que de bureaux de Poste. Le meilleur spot de vente reçoit 2 000 clients au quotidien pour un chiffre d’affaires moyen de 80 000 euros par jour.

    Les guetteurs ou « choufs » de moins de 15 ans sont payés 100 euros par jour, avec bonbons et kebab du midi offert.

     

    Un aveu d'échec


    Violences urbaines, fusillades, règlements de compte par arme à feu, agressions sauvages et autres affrontements impliquant des bandes. Si Marseille est devenue la capitale française des tueries, les cités coupe-gorge sont présentes un peu partout en France.

    En 2015, on parlait de « quartiers sensibles de non-droit » (QSND). Six ans plus tard, cette dénomination n’est plus utilisée, tant la situation n’a cessé de se dégrader. Voici les quartiers «de reconquête républicaine», un vocable qui est surtout un aveu d’échec.

    Un ancien ministre de l'Intérieur : "Nous sommes en face de problèmes immenses".

    Cette opération de reprise en main concernait 15 quartiers en 2018, via un déploiement progressif de moyens de police supplémentaires. Un dispositif lancé par le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb en septembre 2018.

    Collomb démissionnera de son poste quelques semaines plus tard en dressant un constat accablant de la situation sécuritaire, le 3 octobre 2018 :

    « On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses. […] Je suis allé [...] des quartiers Nord de Marseille, au Mirail à Toulouse, la situation est très dégradée, c'est plutôt la loi du plus fort qui s'impose, des narcotrafiquants, des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République. »

    Une déclaration en forme d’avertissement pour le Président et tous ses ministres.

    Que s’est-il passé depuis ? Rien, ah si, en 2021, le ministère de l’Intérieur a fait monter la jauge à 62 quartiers de reconquête républicaine.

     

    La criminalité dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville 

     

    En décembre 2020, les services statistiques de la place Beauvau ont sorti un document d’analyse sur la criminalité dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV).

    Il ressort des chiffres de l’Intérieur, que ces quartiers sont bien plus criminogènes que le reste du pays. Et que les braves gens des QPV sont les premières victimes de la racaille. On le savait déjà mais ce document donne des détails.

    Les habitants des QPV déclarent plus fréquemment être victimes d’atteintes relatives à la plupart des formes de délinquance : « Ce constat est particulièrement marqué pour les violences sexuelles ou physiques, les actes de vandalisme ou les vols concernant les véhicules. » Interrogés « sur la fréquence à laquelle ils se sentent en insécurité dans leur quartier », 26 % des habitants des quartiers de la politique de la ville répondent « Oui souvent » ou « Oui, de temps en temps ». La proportion tombe à 10 % pour les habitants du reste de la France.

    Les données sur le « ratio des personnes mises en causes » sont encore plus parlantes (voir le tableau ci-après ).

    Pour les vols violents, le ministère de l’Intérieur parle de « surreprésentation maximale » : on comptabilise 3,9 (vols avec armes) et 3,6 fois (vols sans arme) plus de personnes habitant en QPV parmi les mis en cause que d’habitants n’y vivant pas.

    Pour les vols portant sur les véhicules, les homicides (2,7), les cambriolages, les coups et blessures volontaires et les vols simples, les mis en cause sont de 2 à 2,8 fois plus nombreux qu’ailleurs, à population égale. Pour les viols et viols intrafamiliaux le ratio est de 1,8.

    mis en cause criminalite tableau


    Ces maires collabos


    Le constat est sans appel, cependant nombreux sont les élus qui continuent de nier la situation à coups de cajoleries clientélistes et communautaristes.

    On a vu Éric Piolle, le maire écolo de Grenoble, une des villes les plus violentes de France, demander aux maîtres-nageurs de fermer les yeux sur les femmes en burkini, ou financer entre 2016 et 2018 le très islamiste CCIF (Collectif contre l'islamophobie en France), dissout depuis.

     

    Le maire de Lyon : « On doit continuer à apaiser », tandis que sa ville était sous les panaches de fumée.

    On a entendu le maire écolo de Lyon, Grégory Doucet (celui qui n’aime pas le Tour de France ni la viande dans les cantines) déclarer sur le mode Bisounours : « On doit continuer à apaiser », tandis que sa ville était sous les panaches de fumée.

    Apaiser ? Le mot est juste. Dit autrement, ces élus achètent la paix sociale à coup de subventions et de compromissions.

    Exemple avec le quartier « sensible »de La Duchère qui, depuis des années (et notamment sous les mandats de Gérard Collomb maire de Lyon pendant 17 ans,) est un des enfants chéris de la politique de la ville.

    Les 10 000 habitants soi-disant déshérités de cet « écoquartier » ont à leur disposition, je cite (et j’en passe) : deux crèches, une maison des fêtes, une bibliothèque, une halle d’athlétisme, deux gymnases, deux stades, un médicentre, un cinéma (installé dans une ancienne église), et un musée des sapeurs-pompiers ...

    Le quartier a été refait à neuf : il y en a pour près de 700 millions de rénovation depuis 2003. Le tout avec votre argent et sous vos applaudissements.

    Jean-Baptiste Leon

    Disponible en téléchargement ou en version papier

     une politique ville tous contribuables 2021

     

  • Une immigration forcenée, voulue et contrôlée par la Franc-Maçonnerie

     

    La France a subi trois invasions allemandes, elle subit une quatrième invasion, l’immigration, majoritairement islamique. Au problème démographique s’ajoute le problème religieux.

    Les trois premières étaient militaires et volontaires : les envahisseurs venaient avec leur armée. La quatrième est sournoise : les envahisseurs infiltrent le pays homme à homme, année après année. Il y a occupation, en douceur, sans combats … pour le moment.
    Les trois premières étaient partielles. Les Allemands n’ont jamais occupé tout le territoire, ni en 1870, ni en 1914, ni en 1940. Aujourd’hui, l’occupation vise tout le territoire, y compris l’outre-mer.

    Les trois premières étaient européennes : les Allemands étaient de culture chrétienne, parmi eux des protestants et des néo-païens. Leur occupation n’aurait pas changé la culture chrétienne de la France. La quatrième invasion, faite d’extra-Européens, fortement islamique, a une connotation religieuse extra-chrétienne. Selon Pierre Brochand, elle est « sans précédent historique, massive, croissante, cumulative, pilotée par les juges, très éloignée culturellement, économiquement dysfonctionnelle, budgétairement coûteuse, potentiellement conflictuelle, impopulaire, irréversible ».

    L’extrême gauche a obtenu en justice que soient distingués Islam et islamisme. Cette décision de justice érige une autorité civile en juge religieux. L’État décide en matière religieuse, subvertit la laïcité. Mais il y a un seul Islam avec ses croyances et ses rites. Le but de l’Islam est la conquête, quelles qu’en soient les étapes et les tactiques. C’est la doctrine de « l’Oumma », la nation musulmane que les fidèles doivent contribuer à établir sur la terre entière. Ce fait religieux a des incidences politiques : l’Islam prône une théocratie.


    Pour Mélenchon, franc-maçon, anticlérical haineux, athée ennemi de Dieu, les religions sont des « chicayas » qui troublent l’ordre public, sauf l’Islam. Cette position a déjà été suggérée au temps des Lumières, référence de Mélenchon.

    L’Islam est un instrument des forces occultes pour nous détruire.

    Mais ces forces occultes ne laisseront pas achever la conquête. Les musulmans participent à la déchristianisation de la France, mais ils n’en feront pas un pays musulman. L’Islam sera lui aussi interdit. En effet, l’ennemi des forces occultes est le catholicisme et Dieu. La Synagogue de Satan veut éradiquer le catholicisme, mais ce n’est pas pour lui substituer l’Islam, c’est pour établir une religion mondiale de l’humanité, cosmique et satanique, une gnose naturaliste. Elle utilise toutes les formes de religion pour abattre le catholicisme : l’Islam, le protestantisme, le bouddhisme, le Zen, le New Age, le wokisme.

    Pour les Grands Initiés, l’Islam doit servir, mais pas se servir.

    Dans leur esprit, l’Europe entière, puis le monde doivent être soumis, non pas à l’Islam, mais au « Roi du monde ».
    La pire occupation n’est pas l’occupation de l’immigration, occupation d’en bas, mais l’occupation du politique, occupation d’en haut. L’anti-France est au pouvoir, et elle veut lancer les musulmans contre les chrétiens, contre les athées. Tout le monde sera victime, y compris les immigrés, et au premier chef les enfants lancés dans la Révolution.
    Les gauchistes poussent à l’immigration musulmane en France et en Europe, mais ils méprisent l’Islam, ils méprisent toutes les religions.

    Parmi les ennemis de Dieu, figurent les Juifs apostats et les Francs-Maçons.

    La Franc-Maçonnerie spéculative, née en 1717, a été l’œuvre des Rose-Croix qui vénéraient Lucifer. Les Rose-Croix avaient appelé à la révolution anti-catholique. Leurs héritiers maçons ont préparé, mené et poursuivi cette Révolution. Les événements résultent d’un complot de forces occultes diaboliques. Les Francs-Maçons se sont compromis dans la Révolution avec la Finance apatride.
    Les Francs-Maçons, cosmopolites donc anti-catholiques et anti-Français, pro-immigration, sont des ennemis de la France.

    Les Francs-Maçons, initiés orientaux, sont anti-occidentaux. Le Grand Orient de France ne s’appelle pas le Grand Occident.

    L’immigration est voulue par la Finance apatride qui veut réduire en esclavage et les immigrés et les autochtones.

    L’immigration, instrument de la guerre des loges contre l’Occident, est un mot d’ordre maçonnique.

    Toutes les obédiences maçonniques sont immigrationnistes, même la Grande Loge Nationale Française. La GLNF est favorable à l’islam. Elle respecte un grand Architecte qu’elle prétend Dieu. Elle pratique des rites communs aux obédiences qui ont accueilli des athées. Elle partage l’omerta sur les crimes communistes dont les maçons athées se sont rendus coupables. Elle est complice de ces crimes.

    La distinction d’une Maçonnerie régulière et d’une Maçonnerie irrégulière est donc fictive. Les obédiences maçonniques nombreuses se disputent, mais la Franc-Maçonnerie spéculative est une. Sa « religion » est une gnose naturaliste, une gnose illuminative qui réunit toutes les obédiences dans un culte cosmique anti-chrétien : la Nature est le seul principe.

    Les Francs-Maçons sont des « co-Allah-bos ». L’islam est une religion cosmique qui leur sert d’instrument pour lutter contre la civilisation chrétienne. En effet, tous les maçons modernes héritent des Rose-Croix, qui eux-mêmes héritaient de l’hermétisme, de l’Islam et de la Kabbale. C’est pourquoi leur « tolérance » est à géométrie variable.

    La Franc-Maçonnerie accepte toutes les religions, sauf le catholicisme. La Franc-Maçonnerie impose l’indifférentisme, l’égalité des religions, mais l’histoire a toujours démenti ce conformisme. La Franc-Maçonnerie ment au peuple, et le mensonge est une signature.
    Le dogme des « Droits de l’homme » réunit toutes les loges. En son nom, les Juifs et les gauchistes instrumentent l’Islam, et un jour interdiront les religions, dont l’Islam.

    Les "Droits de l’Homme" participent à la destruction de la France. Les Droits de l’Homme, philosophie de la Révolution, complot maçonnique qui a institué la République.

    La République est donc maçonnique. Par conséquent, la République est anti-française et met à mort notre nation traditionnelle. La République favorise l’immigration islamique pour déchristianiser la France. La République n’est pas au service du peuple, elle est l’ennemie du peuple.

    Les révolutionnaires veulent rendre la situation irréversible. Si le pays de la Révolution abandonnait la Révolution, l’effet « domino » mettrait en cause le mondialisme. Notre nation, historiquement la plus symbolique, est devenu un laboratoire de l’irréversible. Et notre pays est particulièrement enclin à se soumettre. La masse est plutôt collaborationniste.

    Dans l’immédiat, l’immigration cause la ruine et le malheur. A la ruine économique, s’ajoute le péril religieux. L’Islam est une menace. Les anticléricaux ont éliminé le catholicisme, ils « bouffent encore du curé », mais l’imam est nettement moins comestible. Avec l’immigration islamique, l’identité de la France est en voie d’être supprimée. La République et ses fausses élites trahissent la France et les Français depuis des décennies .


    La France et l’Europe se laissent pénétrer par le cheval de Troie de l’immigration. L’Union européenne conduit cette politique à l’insu des peuples, sous couvert d’humanitaire. En effet, la toile de fond marxiste explique le succès de l’offensive islamiste : l’islam est la religion du pauvre.

    Au renoncement de la culture européenne, correspond l’affirmation de la culture musulmane. La normalisation de la culture islamique accompagne le refus des valeurs occidentales traditionnelles. La neutralisation de la pensée occidentale garantit l’affirmation d’un Islam conquérant.

    Le délit d’opinion permet d’éliminer toute critique de l’islam et de faire taire les Européens.

    L’islam a déclaré une guerre culturelle à l’Europe, et ses meilleurs alliés sont les intellectuels qui vendent la culture occidentale. Le déclin de l’intelligence, le déclin du savoir, le déclin des connaissances, participent à cette régression culturelle.
    Le « Pacte mondial pour les migrations », signé le 10 Décembre 2018 à Marrakech, couronne la politique d’immigration. Le pacte mondial prône « l’élimination de toutes les formes de discrimination dont le racisme, la xénophobie, et l’intolérance, à l’endroit des migrants et de leurs familles ».

    Les rédacteurs définissent l’esprit du pacte : « Les migrations ont toujours fait partie de l’expérience depuis le début de l’histoire, et nous reconnaissons qu’à l’heure de la mondialisation, elles sont facteur de prospérité, d’innovation et de développement durable, et qu’une meilleure gouvernance peut permettre d’optimiser ces effets positifs. ».
    Pas une seule fois n’est mentionné le respect des identités nationales. En revanche, les mots « travailleurs » et « travail » apparaissent à maintes reprises. Ce texte donne un cadre humanitaire au grand marché des esclaves du siècle qui vient, à une traite humaine. Nos sociétés devront être inclusives et multiculturelles. Toute protestation sera sanctionnée comme « crime de haine ».

    Par le pacte de Marrakech, le pouvoir prépare la submersion du pays par « l’armée de réserve du Capital », c’est-à-dire par l’immigration massive et permanente financée par le peuple. Les États signataires s’engagent à « recadrer le discours sur les migrations » afin d’en montrer « le rôle positif ». Les auteurs présentent le pacte comme « symbolique » et « non-contraignant », ils cherchent à éviter tout débat démocratique sur le sujet.


    Le traité de Troyes de 1420, signé » par la reine Isabeau de Bavière et le duc de Bourgogne Philippe III, stipule que, après sa mort, le roi de France Charles V aurait pour successeur le roi d’Angleterre Henri V. Le traité de Troyes donnait la France aux Anglais. Le pacte de Marrakech donne la France aux étrangers, avant de la donner au gouvernement mondial.

    L’immigration de masse doit conduire à l’uniformisation de l’être humain. Avec la religion humanitaire, ou religion des droits de l’homme, la promesse de perfection sociale réclame la négation de toute différence entre les humains. Au nom de l’humanité divisée, les droits de l’homme visent à la régénération des hommes par l’instauration sur terre du bien absolu.

    Le bien absolu met en œuvre une idéologie de l’identité entre tous les humains. Les peuples  européens se sont dotés de longue date d’un haut niveau de savoir et de développement économique et social. Pour le millénarisme humanitaire, leur disparition constitue l’équivalent de ce que fut pour le millénarisme communiste l’obsession de détruire la bourgeoisie.

    La civilisation de l’Europe occidentale est condamnée parce que sa population est blanche, et son niveau de vie est perçu comme une injustice. Les zélateurs du millénarisme des droits de l’homme, grands bourgeois intellectuels ou financiers, se conduisent comme des tyrans fascistes. Ils font payer au peuple leur train de vie fastueux : la rigueur n’est pas pour eux, le métissage n’est pas pour eux, la servitude n’est pas pour eux.
    Le socle de cette religion humanitaire est le dogme du mêmisme, le dogme du « tous pareils », l’indifférenciation entre tous les humains, une idéologie de l’identité entre tous les humains.

    Au nom de ce dogme, les Européens sont sommés de disparaître en tant que civilisation, en tant que nations … pour se fondre dans le grand tout d’une humanité mondialisée. Le millénarisme humanitaire est capable de broyer des millions d’êtres humains, comme le millénarisme communiste l’a fait. Dans les deux cas, au nom de l’amour...


    Et les Européens éprouvent une sensation de supériorité morale à s’effacer au profit d’autrui. La haine de soi, la culpabilisation, la repentance constituent un moyen de faire passer l’autre avant soi.

    Jean Saunier