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Mondialisme

  • Une immigration forcenée, voulue et contrôlée par la Franc-Maçonnerie

     

    La France a subi trois invasions allemandes, elle subit une quatrième invasion, l’immigration, majoritairement islamique. Au problème démographique s’ajoute le problème religieux.

    Les trois premières étaient militaires et volontaires : les envahisseurs venaient avec leur armée. La quatrième est sournoise : les envahisseurs infiltrent le pays homme à homme, année après année. Il y a occupation, en douceur, sans combats … pour le moment.
    Les trois premières étaient partielles. Les Allemands n’ont jamais occupé tout le territoire, ni en 1870, ni en 1914, ni en 1940. Aujourd’hui, l’occupation vise tout le territoire, y compris l’outre-mer.

    Les trois premières étaient européennes : les Allemands étaient de culture chrétienne, parmi eux des protestants et des néo-païens. Leur occupation n’aurait pas changé la culture chrétienne de la France. La quatrième invasion, faite d’extra-Européens, fortement islamique, a une connotation religieuse extra-chrétienne. Selon Pierre Brochand, elle est « sans précédent historique, massive, croissante, cumulative, pilotée par les juges, très éloignée culturellement, économiquement dysfonctionnelle, budgétairement coûteuse, potentiellement conflictuelle, impopulaire, irréversible ».

    L’extrême gauche a obtenu en justice que soient distingués Islam et islamisme. Cette décision de justice érige une autorité civile en juge religieux. L’État décide en matière religieuse, subvertit la laïcité. Mais il y a un seul Islam avec ses croyances et ses rites. Le but de l’Islam est la conquête, quelles qu’en soient les étapes et les tactiques. C’est la doctrine de « l’Oumma », la nation musulmane que les fidèles doivent contribuer à établir sur la terre entière. Ce fait religieux a des incidences politiques : l’Islam prône une théocratie.


    Pour Mélenchon, franc-maçon, anticlérical haineux, athée ennemi de Dieu, les religions sont des « chicayas » qui troublent l’ordre public, sauf l’Islam. Cette position a déjà été suggérée au temps des Lumières, référence de Mélenchon.

    L’Islam est un instrument des forces occultes pour nous détruire.

    Mais ces forces occultes ne laisseront pas achever la conquête. Les musulmans participent à la déchristianisation de la France, mais ils n’en feront pas un pays musulman. L’Islam sera lui aussi interdit. En effet, l’ennemi des forces occultes est le catholicisme et Dieu. La Synagogue de Satan veut éradiquer le catholicisme, mais ce n’est pas pour lui substituer l’Islam, c’est pour établir une religion mondiale de l’humanité, cosmique et satanique, une gnose naturaliste. Elle utilise toutes les formes de religion pour abattre le catholicisme : l’Islam, le protestantisme, le bouddhisme, le Zen, le New Age, le wokisme.

    Pour les Grands Initiés, l’Islam doit servir, mais pas se servir.

    Dans leur esprit, l’Europe entière, puis le monde doivent être soumis, non pas à l’Islam, mais au « Roi du monde ».
    La pire occupation n’est pas l’occupation de l’immigration, occupation d’en bas, mais l’occupation du politique, occupation d’en haut. L’anti-France est au pouvoir, et elle veut lancer les musulmans contre les chrétiens, contre les athées. Tout le monde sera victime, y compris les immigrés, et au premier chef les enfants lancés dans la Révolution.
    Les gauchistes poussent à l’immigration musulmane en France et en Europe, mais ils méprisent l’Islam, ils méprisent toutes les religions.

    Parmi les ennemis de Dieu, figurent les Juifs apostats et les Francs-Maçons.

    La Franc-Maçonnerie spéculative, née en 1717, a été l’œuvre des Rose-Croix qui vénéraient Lucifer. Les Rose-Croix avaient appelé à la révolution anti-catholique. Leurs héritiers maçons ont préparé, mené et poursuivi cette Révolution. Les événements résultent d’un complot de forces occultes diaboliques. Les Francs-Maçons se sont compromis dans la Révolution avec la Finance apatride.
    Les Francs-Maçons, cosmopolites donc anti-catholiques et anti-Français, pro-immigration, sont des ennemis de la France.

    Les Francs-Maçons, initiés orientaux, sont anti-occidentaux. Le Grand Orient de France ne s’appelle pas le Grand Occident.

    L’immigration est voulue par la Finance apatride qui veut réduire en esclavage et les immigrés et les autochtones.

    L’immigration, instrument de la guerre des loges contre l’Occident, est un mot d’ordre maçonnique.

    Toutes les obédiences maçonniques sont immigrationnistes, même la Grande Loge Nationale Française. La GLNF est favorable à l’islam. Elle respecte un grand Architecte qu’elle prétend Dieu. Elle pratique des rites communs aux obédiences qui ont accueilli des athées. Elle partage l’omerta sur les crimes communistes dont les maçons athées se sont rendus coupables. Elle est complice de ces crimes.

    La distinction d’une Maçonnerie régulière et d’une Maçonnerie irrégulière est donc fictive. Les obédiences maçonniques nombreuses se disputent, mais la Franc-Maçonnerie spéculative est une. Sa « religion » est une gnose naturaliste, une gnose illuminative qui réunit toutes les obédiences dans un culte cosmique anti-chrétien : la Nature est le seul principe.

    Les Francs-Maçons sont des « co-Allah-bos ». L’islam est une religion cosmique qui leur sert d’instrument pour lutter contre la civilisation chrétienne. En effet, tous les maçons modernes héritent des Rose-Croix, qui eux-mêmes héritaient de l’hermétisme, de l’Islam et de la Kabbale. C’est pourquoi leur « tolérance » est à géométrie variable.

    La Franc-Maçonnerie accepte toutes les religions, sauf le catholicisme. La Franc-Maçonnerie impose l’indifférentisme, l’égalité des religions, mais l’histoire a toujours démenti ce conformisme. La Franc-Maçonnerie ment au peuple, et le mensonge est une signature.
    Le dogme des « Droits de l’homme » réunit toutes les loges. En son nom, les Juifs et les gauchistes instrumentent l’Islam, et un jour interdiront les religions, dont l’Islam.

    Les "Droits de l’Homme" participent à la destruction de la France. Les Droits de l’Homme, philosophie de la Révolution, complot maçonnique qui a institué la République.

    La République est donc maçonnique. Par conséquent, la République est anti-française et met à mort notre nation traditionnelle. La République favorise l’immigration islamique pour déchristianiser la France. La République n’est pas au service du peuple, elle est l’ennemie du peuple.

    Les révolutionnaires veulent rendre la situation irréversible. Si le pays de la Révolution abandonnait la Révolution, l’effet « domino » mettrait en cause le mondialisme. Notre nation, historiquement la plus symbolique, est devenu un laboratoire de l’irréversible. Et notre pays est particulièrement enclin à se soumettre. La masse est plutôt collaborationniste.

    Dans l’immédiat, l’immigration cause la ruine et le malheur. A la ruine économique, s’ajoute le péril religieux. L’Islam est une menace. Les anticléricaux ont éliminé le catholicisme, ils « bouffent encore du curé », mais l’imam est nettement moins comestible. Avec l’immigration islamique, l’identité de la France est en voie d’être supprimée. La République et ses fausses élites trahissent la France et les Français depuis des décennies .


    La France et l’Europe se laissent pénétrer par le cheval de Troie de l’immigration. L’Union européenne conduit cette politique à l’insu des peuples, sous couvert d’humanitaire. En effet, la toile de fond marxiste explique le succès de l’offensive islamiste : l’islam est la religion du pauvre.

    Au renoncement de la culture européenne, correspond l’affirmation de la culture musulmane. La normalisation de la culture islamique accompagne le refus des valeurs occidentales traditionnelles. La neutralisation de la pensée occidentale garantit l’affirmation d’un Islam conquérant.

    Le délit d’opinion permet d’éliminer toute critique de l’islam et de faire taire les Européens.

    L’islam a déclaré une guerre culturelle à l’Europe, et ses meilleurs alliés sont les intellectuels qui vendent la culture occidentale. Le déclin de l’intelligence, le déclin du savoir, le déclin des connaissances, participent à cette régression culturelle.
    Le « Pacte mondial pour les migrations », signé le 10 Décembre 2018 à Marrakech, couronne la politique d’immigration. Le pacte mondial prône « l’élimination de toutes les formes de discrimination dont le racisme, la xénophobie, et l’intolérance, à l’endroit des migrants et de leurs familles ».

    Les rédacteurs définissent l’esprit du pacte : « Les migrations ont toujours fait partie de l’expérience depuis le début de l’histoire, et nous reconnaissons qu’à l’heure de la mondialisation, elles sont facteur de prospérité, d’innovation et de développement durable, et qu’une meilleure gouvernance peut permettre d’optimiser ces effets positifs. ».
    Pas une seule fois n’est mentionné le respect des identités nationales. En revanche, les mots « travailleurs » et « travail » apparaissent à maintes reprises. Ce texte donne un cadre humanitaire au grand marché des esclaves du siècle qui vient, à une traite humaine. Nos sociétés devront être inclusives et multiculturelles. Toute protestation sera sanctionnée comme « crime de haine ».

    Par le pacte de Marrakech, le pouvoir prépare la submersion du pays par « l’armée de réserve du Capital », c’est-à-dire par l’immigration massive et permanente financée par le peuple. Les États signataires s’engagent à « recadrer le discours sur les migrations » afin d’en montrer « le rôle positif ». Les auteurs présentent le pacte comme « symbolique » et « non-contraignant », ils cherchent à éviter tout débat démocratique sur le sujet.


    Le traité de Troyes de 1420, signé » par la reine Isabeau de Bavière et le duc de Bourgogne Philippe III, stipule que, après sa mort, le roi de France Charles V aurait pour successeur le roi d’Angleterre Henri V. Le traité de Troyes donnait la France aux Anglais. Le pacte de Marrakech donne la France aux étrangers, avant de la donner au gouvernement mondial.

    L’immigration de masse doit conduire à l’uniformisation de l’être humain. Avec la religion humanitaire, ou religion des droits de l’homme, la promesse de perfection sociale réclame la négation de toute différence entre les humains. Au nom de l’humanité divisée, les droits de l’homme visent à la régénération des hommes par l’instauration sur terre du bien absolu.

    Le bien absolu met en œuvre une idéologie de l’identité entre tous les humains. Les peuples  européens se sont dotés de longue date d’un haut niveau de savoir et de développement économique et social. Pour le millénarisme humanitaire, leur disparition constitue l’équivalent de ce que fut pour le millénarisme communiste l’obsession de détruire la bourgeoisie.

    La civilisation de l’Europe occidentale est condamnée parce que sa population est blanche, et son niveau de vie est perçu comme une injustice. Les zélateurs du millénarisme des droits de l’homme, grands bourgeois intellectuels ou financiers, se conduisent comme des tyrans fascistes. Ils font payer au peuple leur train de vie fastueux : la rigueur n’est pas pour eux, le métissage n’est pas pour eux, la servitude n’est pas pour eux.
    Le socle de cette religion humanitaire est le dogme du mêmisme, le dogme du « tous pareils », l’indifférenciation entre tous les humains, une idéologie de l’identité entre tous les humains.

    Au nom de ce dogme, les Européens sont sommés de disparaître en tant que civilisation, en tant que nations … pour se fondre dans le grand tout d’une humanité mondialisée. Le millénarisme humanitaire est capable de broyer des millions d’êtres humains, comme le millénarisme communiste l’a fait. Dans les deux cas, au nom de l’amour...


    Et les Européens éprouvent une sensation de supériorité morale à s’effacer au profit d’autrui. La haine de soi, la culpabilisation, la repentance constituent un moyen de faire passer l’autre avant soi.

    Jean Saunier

     

  • Nucléaire : les responsables du désastre  .

     

    « Électricité : enquête sur une débâcle »  expliquant la succession de choix politiques désastreux qui ont mené à la crise énergétique actuelle et au saccage du parc nucléaire français.

    Comment en sommes-nous arrivés là ? La France était championne du nucléaire civil, avec un vrai temps d’avance sur les autres pays. C’était une filière d’excellence qui attirait nos meilleurs ingénieurs, un savoir-faire français, une compétence technique et technologique rare. Mais aujourd’hui, seuls 30 des 56 réacteurs d’EDF fonctionnent et cela résulte d’un long processus de déconstruction du parc nucléaire français depuis plus de 20 ans. Qui sont les responsables ?

    En 1997, sous la pression des Verts, Lionel Jospin enterre Superphénix. C’était un réacteur de quatrième génération capable d’utiliser l’uranium naturel de manière cent fois plus efficace et de brûler les déchets nucléaires les plus dangereux. Cette « promesse d’un nucléaire durable » fit enrager les anti-nucléaires, en les dépossédant de l’argument écologique. Les multiples raisons qu’ils invoquèrent pour pousser à cette décision d’arrêt furent toutes démenties par la suite. Lionel Jospin renonce ensuite au projet d’un nouveau réacteur pour remplacer la centrale à charbon de Cordemais. Elle fonctionnera à plein régime cet hiver! ...

    Ce fut ensuite une longue bataille pour conquérir l’opinion publique. Les anti-nucléaires remportèrent une victoire morale conséquente en mettant leur cause sous l’étendard de la fausse lutte contre le réchauffement climatique. Le paradigme était ainsi inversé et leur combat légitimé par la question environnementale. Une vraie bascule.

    En conséquence, en 2007, toutes les associations de l’écologie politique sont invitées au Grenelle de l’environnement de Nicolas Sarkozy. Dans la foulée, la question énergétique quitte la tutelle de Bercy pour celle du ministère de la transition écologique. On ne parle désormais plus de l’énergie sous l’angle de l’économie ou de l’industrie, mais uniquement sous le spectre climatique. Exit toutes les autres variables ! Et fin des réunions stratégiques sur l’avenir du parc nucléaire et les investissements à réaliser.

    En 2012, François Hollande reprend le pacte vert négocié par Martine Aubry et Cécile Duflot. Il prévoit un désengagement massif du nucléaire dans le mix énergétique (de 75% à 50% d’ici 2025, soit la fermeture de 17 à 20 réacteurs). Des décisions très graves sont prises comme le plafonnement de la production d’électricité d’origine nucléaire.

    En 2018, Emmanuel Macron met fin au programme Astrid. Décision prise sans débat et sans concertation. D’un revers de main, « 60 années de recherches scientifiques sont jetées aux oubliettes » (Le Point). Pourtant ce prototype reprenait l’ambition du Superphénix : réduire considérablement les déchets nucléaires par la réutilisation du plutonium. Il aurait « offert à la France une indépendance électrique de plusieurs siècles en utilisant le stock d’uranium appauvri ». Bercy commande alors un rapport qui recommande de construire au plus vite trois paires de réacteurs. Rapport aussitôt classé secret défense.

    La fermeture de Fessenheim fut ensuite entérinée par Emmanuel Macron qui invoqua des raisons de sécurité, malgré le fait qu’elle soit considérée comme l’une des centrales les plus sûres de France (selon l’Autorité Indépendante de Sureté Nucléaire). En réalité, le gouvernement céda à la pression des écologistes et des exécutifs allemand et suisse qui jugeaient cette centrale trop proche de leur frontière. Ingérence ?

    Finalement, les rapports s’accumulent sur le bureau de l’Elysée pour alerter sur la situation et les risques futurs. Qu’ils viennent de l’Autorité Indépendante de Sûreté Nucléaire, de l’Académie des Sciences ou de parlementaires, ces rapports restent bien trop longtemps lettre morte.

    Ce n’est qu’en 2022, lors de la campagne présidentielle, qu’Emmanuel Macron annonce la construction de 14 réacteurs nucléaires. Aucune commande n’a cependant encore été passée. Le gouvernement et EDF se renvoient sans cesse l’ascenseur. En réalité, comme l’a dit publiquement son directeur général d’alors, en août 2022 lors de la rentrée du Medef, – Emmanuel Macron supporta très mal cette sortie publique – EDF n’est pas en capacité d’ouvrir de nouvelles centrales. Car suite aux demandes des gouvernements successifs, EDF a adapté sa stratégie pour fermer 12 centrales et non pour en créer de nouvelles. Il y a ainsi, aujourd’hui et pour longtemps, un manque très important de main d’œuvre (ingénieurs, soudeurs, robinetiers) mais aussi de compétences !

    Les politiques français sont responsables du problème actuel, mais ils ne sont pas les seuls. L’Union Européenne, en liant les prix du gaz et de l’électricité, a aussi une grande part de responsabilité dans l’explosion des prix suite au conflit ukrainien, comme le fit remarquer Olivier Marleix (président du groupe LR à l’Assemblée nationale) le 4 octobre : « Poutine a créé une crise du gaz en Europe, l’Europe s’est inventé une crise de l’électricité ».

    Sans 20 années de mauvais choix, la France serait à l’évidence dans une situation toute autre. Cette crise énergétique est celle de la responsabilité des dirigeants politiques mais aussi celle des discours moralisateurs et lancinants des idéologues de l’écologie politique. Elle montre encore une fois le danger des politiques de court terme, cédant aux modes du moment. À l’heure de la responsabilité politique, le gouvernement se cache, avec pour seule réponse les chèques, boucliers tarifaires ou artifices de communication. !!!

     

  • Les pénuries que l' on nous impose sont organisées par notre gouvernement .

    La France connait une pénurie d’essence et de gazoil, les Français se retrouvent confinés chez eux faute de liquide noir pour leur réservoir. Et le gouvernement regarde en se frottant les mains…

    Le Courrier des stratèges publie aujourd’hui un article sur un document officiel du gouvernement Macron qui « prouve que les pénuries de carburant et d’électricité sont programmées » depuis mars 2020.

    L’objectif : favoriser, en provoquant une grande « bascule énergétique à court terme », la marche de la Grande Réinitialisation qui dicte, impose, la « neutralité carbone pour 2050 ». Comme le souligne l’auteur de l’article, le document lance un « appel à peine voilé aux pénuries » afin de provoquer « une réduction brutale de la consommation d’énergie » grâce à des « pénuries » et à « la hausse vertigineuse des prix » de l’énergie, toutes sources confondues.

    Pour mener à bien ce programme, quoi de mieux, pour le gouvernement, que de rester « passif » face à des pénuries déclenchées, cette fin de semaine, par un facteur humain, la grogne des salariés de Total à qui on refuse une augmentation de salaires pour faire face à l’inflation. TotalEnergies refuse d’augmenter les salaires de ses employés alors que Patrick Pouyanné, le patron de TotalEnergies a augmenté le sien de 52% l’année dernière.

    De même, tandis que les salariés des raffineries demandent de 150 à 200€ d’augmentation par mois pour couvrir la hausse des prix, augmentation qui leur est niée, les députés ne demandent rien et s’auto-attribuent une augmentation de 250€ par mois.

    Cette demande d’augmentation refusée, évidemment provoquera des grèves, et bizarrement au moment où Macron nous met la pression avec la « pénurie » et la sobriété énergétique…

     

    Francesca de Villasmundo