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  • Mademoiselle Cassandre Fristot va devoir payer 9.400 euros aux parties civiles !

     

     

    Il aura fallu attendre le vendredi 22 octobre après-midi pour que Maître François Wagner, l’un des deux avocats de Cassandre Fristot (l’autre étant Maître Paul Yon), obtienne enfin copie de la décision du Tribunal judiciaire de Metz rendue le mercredi 20 octobre et commentée le jour-même dans les médias du système pour annoncer la condamnation de Cassandre à six mois de prison avec sursis.

    Or, ce que BFMTV et consorts se sont bien gardés de signaler, ce sont les montants accordés aux parties civiles à titre de dommages-intérêts ainsi que pour leurs frais d’avocats au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale.

    Il ressort donc de la décision du tribunal que Mademoiselle Cassandre Fristot, pour une simple pancarte brandie cet été dans une manifestation contre le passe sanitaire, est

    . condamnée à six mois d’emprisonnement avec sursis pour provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion par parole, écrit, image ou moyen de communication au public;

    . condamnée à verser au Conseil Représentatif des institutions juives de France (CRIF) ayant pour représentant légal Francis Kalifat la somme de 1 euro de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à l’Organisation Juive Européenne (OJE) ayant pour représentante légale Muriel Ouaknine Melki la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à la Ligue des Droits de l’Homme ayant pour représentant légal Malik Salemkour la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à la Maison des Potes et de l’Egalité ayant pour représentant légal Samuel Thomas la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 600 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à l’association B’NAI B’RITH FRANCE ayant pour représentant légal Philippe Meyer la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 400 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à l’association SOS Racisme ayant pour représentant légal Dominique Sopo la somme de 1 euro de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser au MRAP la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à la LICRA la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser au bureau national de vigilance contre l’antisémitisme la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 600 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale.

    Au total, c’est donc la somme d’environ 9.400 euros que Cassandre Fristot va devoir payer aux parties civiles alors qu’elle risque probablement d’être également révoquée de son emploi d’enseignante.

    Les déclarations de partie civile de l’Observatoire des juifs de France, du Cercle National Juif France Israël, du Consistoire Israélite de la Moselle et du conseil national de l’ordre des médecins ont été jugés irrecevables.

    Faut-il rappeler que l’essentiel de ces treize parties civiles bénéficient déjà de plantureux financements de l’argent public c’est-à-dire de l’argent des contribuables ?

    Amis et sympathisants vous pouvez écrire un mot de soutien et adresser un don à Cassandre Fristot pour pouvoir payer ses avocats (mais pas les montants qu’elle est condamnée à verser aux parties civiles) :

    Cassandre Fristot, 39 F rue Georges Bizet, 57800 Freyming-Merlebach

     

     

  • Leur régime tyrannique est l’exact opposé de la France du Maréchal .

     

     

    C’est dans un contexte dramatique que nous commémorons le soixante-dixième anniversaire de la disparition du Maréchal dont le régime fut quasiment en tous points l’inverse de celui que nous subissons depuis la fin de la guerre.

    Le lundi 23 juillet 1951 s’éteignait en effet Philippe Pétain. Six ans jour pour jour après le début de son procès devant la Haute Cour de justice (ou plutôt d’injustice). Sept décennies se sont écoulées depuis. Et l’on n’a toujours pas réhabilité le Maréchal. Ses cendres n’ont toujours pas été transférées à Douaumont. Au contraire, ces dernières années la situation s’est considérablement aggravée. Les dernières rues qui portaient encore le nom du Vainqueur de Verdun dans quelques rares villages de France ont été débaptisées en 2010. Le portrait du Maréchal qui figurait au même titre que tous les autres chefs d’Etat français, entre Albert Lebrun et Vincent Auriol, dans la salle des mariages d’une humble mairie du Calvados a également été décroché, le préfet aux ordres de la LICRA exigeant, comminatoire, que le maire s’exécute. Macron, lors du centenaire de l’armistice de 1918, a été morigéné par le Lobby auquel il était pourtant soumis et rappelé à l’ordre par Attali lui-même pour avoir osé sa petite phrase sur Pétain qui fut « un soldat courageux ». Cet épisode est le dénouement d’une longue escalade. En effet, auparavant, François Mitterrand qui fleurissait chaque 11-Novembre la tombe du Maréchal a dû y renoncer en 1993 devant les pressions du lobby auquel rien ni personne n’ose plus résister. 

    De grands procès qui rappellent à bien des égards ceux de l’Epuration n’ont eu de cesse d’alimenter la chronique judiciaire : ceux de Klaus Barbie, du milicien Paul Touvier, puis du haut fonctionnaire Maurice Papon, longtemps le plus vieux prisonnier de France comme le Maréchal fut le plus vieux prisonnier du monde. Car la haine ne recule ni devant l’âge ni devant la maladie. René Bousquet fut, lui, sauvagement assassiné à son domicile parisien par un vrai ou faux déséquilibré qui croyait ainsi s’acheter un brevet de Résistance.

    Chaque semaine plusieurs émissions de télévision et de radio ressassent le discours convenu sur l’Occupation et sur Vichy.

    Et la France a été jugée officiellement coupable de complicité de crime contre l’humanité par ses plus hauts dirigeants, Jacques Chirac en 1995 et Lionel Jospin en 1997. Et depuis par tous leurs successeurs. C’est désormais une obligation morale. Comme présider le dîner annuel du CRIF et y annoncer de nouvelles mesures attentatoires aux libertés, la mise en ban des coupables (Reynouard, Soral, Dieudonné…), la dissolution de mouvements (le Bastion social, etc.) pour rassasier la soif de sang, inextinguible, du Sanhédrin. Quant à la France, elle doit expier ses fautes, faire repentance. Et sans cesse donner des gages. Y compris en espèces sonnantes et trébuchantes. La religion de la Shoah, c’est la religion de Mammon ! 

     

    Dans ce règne du mensonge et de l’imposture, le Maréchal Pétain doit être considéré comme un traître. Ainsi le serinent les media. Ainsi le répètent les manuels. Car si le personnage de Louis XVI a été en partie réhabilité, il n’en va pas de même de Philippe Pétain. Est-ce parce qu’il s’agit d’un passé plus récent et que les passions ne se sont pas encore apaisées ? Nous ne le pensons pas. C’est bien plutôt parce que le régime que nous subissons depuis 1945 tire sa légitimité de la disqualification politique, morale, intellectuelle et judiciaire du pétainisme et ne reconnaît donc aucun mérite au Maréchal. Au contraire. Plus ce régime s’enfonce dans le scandale, plus il manifeste sa nocivité, sa malfaisance intrinsèque, plus il se montre tyrannique, injuste, cruel, plus il éprouve le besoin de diaboliser la personne, l’action et la pensée du Maréchal. C’est pour lui une question de survie. Il doit sans cesse réactiver la haine dont il est sorti et qui le fait vivre. 

    Et logiquement la diabolisation de Philippe Pétain, due essentiellement au traitement de la question juive sous Vichy (nous vivons sous la domination de ce puissant lobby), s’étend jusqu’aux vertus qu’il a promues, jusqu’aux principes qu’il a fait siens, jusqu’à la célèbre devise de l’Etat français. De sorte que quiconque entend défendre la patrie, exalter le travail, honorer la famille, promouvoir la religion est aussitôt traité de pétainiste!!

    C’est-à-dire dans le langage médiatique de complice des nazis et de la solution finale. C’est ainsi que le régime en place installe une terreur intellectuelle qui compromet toute renaissance nationale. Alors que l’action menée pendant quatre ans par le Maréchal reste à bien des égards un modèle. Il n’est en effet pas difficile de voir où nous ont conduits ceux qui ont pris l’exact contrepied de ce qu’a tenté l’Etat français de 1940 à 1944. 

     

     Le Maréchal avait honoré le travail, en avait rappelé dans ses discours l’éminente dignité. C’est, disait-il, « le moyen le plus noble et le plus digne que nous ayons de devenir maîtres de notre sort ». La Révolution nationale était inséparable dans son esprit de la Révolution sociale. Aussi la Charte du travail définissait-elle, dans une perspective neuve et hardie, les rapports entre patrons et salariés dans la communauté de l’entreprise, en rejetant à la fois le dogme ruineux de la lutte des classes et le dévergondage d’un libéralisme incontrôlé. Vichy institua le 1er Mai fête du travail et des travailleurs afin d’œuvrer à « l’union et à l’amitié » de tous les Français. Or, après soixante-dix-sept ans de régime gaullo-communiste, qui a encore l’amour du travail bien fait ? 

    On décourage de travailler. En faisant miroiter un revenu universel de quelques centaines d’euros distribués comme une pitance en échange de la servilité du récipiendaire. En multipliant des aides et des allocations distribuées sans discernement ni contrôle. En empêchant même les gens de travailler, en le leur interdisant sous peine d’amende et de prison, ce qui est inouï, comme on l’a vu pendant les confinements successifs, pour toute une série de professions, et singulièrement celles du secteur tertiaire. En prélevant sur les revenus des sommes telles qu’on décourage l’effort et qu’on tue l’initiative. En transformant les entrepreneurs, comme naguère les paysans, en serfs modernes en les privant de toute vraie liberté et en leur versant de petites aides pour les neutraliser et les faire vivoter. En permettant de gagner facilement des gains substantiels grâce à des jeux qui ne cessent de croître en nombre et en imbécillité : « Qui veut gagner des millions ? », tel est significativement le titre d’un divertissement télévisé. Or, la civilisation de loisirs n’a jamais rien créé. Elle est un signe de décadence. 

     

    Le Maréchal avait promu la famille. En créant la Fête des Mères. En encourageant moralement et matériellement les familles nombreuses. Le fameux baby boom n’a-t-il pas commencé sous son régime ? C’est que, disait le chef de l’Etat, « l’individu n’existe que par la famille dont il reçoit avec la vie, tous les moyens de vivre ». Et, ajoutait-il, « les époques où l’individualisme a fait loi sont celles qui comptent le moins d’individualités véritables ». Que ne dirait-il aujourd’hui, alors que l’institution familiale est parodiée, éclatée, décomposée, recomposée, que s’élabore un nouveau droit de la famille ouvert à toutes les perversions, à toutes les excentricités, que l’on a introduit officiellement dans l’enseignement dès la rentrée scolaire 2011 la folle théorie des gender selon laquelle l’identité sexuelle est librement choisie par l’individu, que des groupes LGBtistes vont dans des classes de mineurs faire sans vergogne l’apologie des sexualités déviantes, que l’on a légalisé et remboursé la contraception, l’avortement, le Pacs, le “mariage” homosexuel, la PMA désormais ouverte aux lesbiennes, que deux femmes peuvent être très officiellement considérées comme les deux parents de l’enfant, que l’on peut créer des chimères animal-homme ? 

    A quoi sert-il à l’homme grâce aux techniques nouvelles de fabriquer la vie s’il en a perdu le sens ? On a fait croire qu’il était obsolète de parler d’engagement, de parole donnée, de fidélité, de loyauté, d’honneur, d’effort, de dévouement et de sacrifice. Moyennant quoi, on a précipité le malheur des gens : dépressions, drogue, divorces, suicides, actes de barbarie sans nombre, jusqu’à des actes d’anthropophagie, y compris en France, tels sont les fruits amers de la perte des principes et des repères les plus élémentaires.

     

     Le Maréchal avait défendu la patrie. Qui l’a mieux aimée, qui l’a plus servie que lui ? Et qui en a été aussi peu, aussi mal récompensé ? Car il n’avait pas besoin de se faire comme De Gaulle « une certaine idée de la France », il l’aimait charnellement. Intensément. Il en aimait les routes. Ah ces routes du pays d’Artois mystérieuses, changeantes, pleines du pas des hommes ! Ce fils de paysans aimait la terre de France, il aimait les paysages, les forêts, les coteaux de notre pays. Il en aimait les gens. D’où sa volonté d’économiser les vies humaines lors de la Première Guerre mondiale. D’où son souci constant d’améliorer les conditions de vie de ses chers Poilus. 

    En ne laissant rien au hasard. En veillant à la qualité de la cuisine, de l’hygiène, à la mise en œuvre effective des permissions. En remontant le moral des troupes. Car, à la différence d’un général de brigade à titre temporaire, il n’a jamais désespéré des Français ; il ne les a jamais traités de “veaux” ; même lorsqu’à son retour en France en avril 1945 bien peu de nos compatriotes sont venus le soutenir, lui dire leur sympathie, leur gratitude ; que restait-il alors des quelque cinq cent mille Parisiens qui s’étaient pressés pour l’acclamer quelques mois plus tôt ? Même quand il fut abandonné de (presque) tous, il n’a jamais douté de son peuple, ne l’a jamais méprisé. 

     

    Qui peut sérieusement douter que le Maréchal ait servi au mieux les intérêts de la France, qu’il ait essayé d’adoucir au maximum les souffrances de ses compatriotes dans des conditions extrêmement difficiles ? Un court instant, il a même réussi ce miracle de rassembler autour de sa personne et de son action tous les Français, eux si naturellement enclins aux divisions et aux discordes. L’ambition et l’orgueil de quelques-uns, les aléas de la guerre, les passions humaines n’ont hélas pas permis de maintenir une unité nationale qui ne s’est toujours pas reconstituée. Depuis, ses successeurs à la tête de l’Etat ont bradé son héritage sans vergogne ni remords de conscience. Le drapeau national qu’il avait maintenu malgré les contraintes de la défaite et de l’Occupation, et qui figurait autrefois dans tous les dictionnaires à la première place est désormais relégué à la soixantième entre la Finlande et le Gabon tandis que l’emblème européiste à douze étoiles, signe de la sujétion de notre pays à un machin supranational et mondialiste, occupe le premier rang du protocole. L’empire colonial qu’il avait maintenu intact a été démembré, dépecé dix ans à peine après sa mort par celui-là même qui l’accusait d’avoir trahi les intérêts français. Le Maréchal laissait une France française (lorsque les actualités de l’époque nous montrent les voyages du chef de l’Etat français en province, l’on observe des gens de tous âges, de toutes conditions, mais tous leucodermes !) ; aujourd’hui elle est métissée, mélanisée, défigurée. Et elle s’est aussi américanisée en même temps que marxisée, tout à la fois laïcisée et islamisée. 

    S’il n’est plus d’armée étrangère qui occupe militairement notre pays, il est d’autres formes d’occupation. Plus insidieuses, plus redoutables. Celle d’une immigration de masse qui en détruit la substance corporelle, culturelle et spirituelle. Celle d’une idéologie mortifère qui promeut le désordre, qui exhorte à la haine et qui ne se complaît que dans le vice, la laideur et la destruction. Et si la France n’a pas connu récemment de grandes défaites militaires, il est d’autres défaites. Plus pernicieuses, plus angoissantes encore. Celles qui consistent à abdiquer son idéal de grandeur et de générosité, à ne plus croire en son destin, à ne plus avoir la force de haïr « ces mensonges qui nous ont fait tant de mal ». A ne plus avoir l’énergie de lutter activement contre la tyrannie : politique, idéologique, sanitaire, moderniste, holocaustique.

     

     Le Maréchal laissait une jeunesse belle, fière et ardente qu’il avait contribué à éduquer à travers les Chantiers de jeunesse, Uriage, les Centres de jeunes travailleurs. Il disait de l’école française qu’elle ne devait plus « prétendre à la neutralité ». Car, ajoutait-il, « la vie n’est pas neutre ; elle consiste à prendre parti hardiment. Il n’y a pas de neutralité possible entre le vrai et le faux, entre le bien et le mal, entre la santé et la maladie, entre l’ordre et le désordre, entre la France et l’Anti-France ».

    Les puissants qui nous gouvernent ont compris le danger que pouvait représenter une jeunesse croyant en un idéal. Alors ils ont fait tout ce qui était possible pour l’affaiblir, l’avilir, la pervertir. Par l’étalage nauséabond de la pornographie. Par la promotion de toutes les déviances. Par la diffusion de la drogue. Par une école et des media qui lui apprennent la haine de la France, l’oubli de son passé, de ses racines, qui lui enseignent qu’on peut changer d’identité et d’orientation sexuelles. 

     

    Ce n'est pas un hasard si aujourd’hui tous les politiciens, de Mélenchon à Marine Le Pen, exècrent le Maréchal. Il représente en effet par excellence tout ce qu’ils haïssent, tout ce dont ils sont dépourvus : l’honneur, la fidélité, la loyauté, le désintéressement, le souci du bien commun, le sens du sacrifice, le service de la patrie, l’oubli et le don de soi jusqu’au martyre. Le Maréchal Pétain fut assurément notre dernier vrai chef d’Etat. Après lui nous n’avons eu que des cloportes conduisant notre pays au tombeau et à l' enfer .

  • Nos gouvernenants utilisent l' immigration pour nous liquider !

     

    Qui eût imaginé qu’une ville historiquement aussi calme, tranquille et bourgeoise que Rambouillet, avec son charmant et majestueux château, devînt le théâtre d’une action terroriste perpétrée le vendredi 23 avril, en début d’après-midi, par un Tunisien de 36 ans contre une policière de 49 ans, mère de famille, sauvagement égorgée dans le sas de sécurité (tout un symbole !) du commissariat de Rambouillet ? C’est dire que les métastases de l’immigration extra-européenne se sont étendues désormais à tout le territoire national et qu’il n’est plus aucun endroit qui soit sûr actuellement. Comme toujours ou presque, il s’agit d’un immigré entré illégalement en France en 2009, il y a douze ans, qui a vécu dans notre pays pendant dix ans de manière illicite avant d’être régularisé en 2019. 

     

    Car avec les gouvernements successifs qui ont encouragé et continuent à encourager plus que jamais la submersion migratoire de notre pays et le Grand Remplacement, le destin d’un immigré qui entre illégalement en France est quasiment toujours le même : de clandestin, il finit par être régularisé, et une fois régularisé, il finit par être naturalisé.

    Ce qui crée par millions des Français de papier, des Français transgéniques que rien ne rattache à notre pays, à son passé, à son sol, à sa foi (qui a hélas aujourd’hui presque totalement disparu, c’est le fond du problème), à ses paysages, à ses monuments, à ses traditions. 

    Le tunisien Jamel G. est l’auteur des deux coups de couteau, l’un à l’abdomen, l’autre à la gorge, qui ont coûté la vie à la policière Stéphanie M., une Française de souche qui laisse orphelines deux filles, Elodie (18 ans) et Anaïs (13 ans) et un veuf, son époux Alain, artisan boulanger. Mais si l’assassin est celui qui a porté les coups et endeuillé et brisé à vie toute une famille, le plus coupable moralement et politiquement dans cette affaire, ce sont les pouvoirs publics qui organisent depuis un demi-siècle environ l’invasion de notre pays par des masses allogènes et inassimilables. Les vrais coupables, ce sont les gouvernements et les associations dites antiracistes qui diabolisent, qui poursuivent en justice les patriotes, nationaux et nationalistes qui s’opposent à cette destruction méthodique et programmée de notre pays et de notre peuple et qui refusent de se taire et de courber l’échine devant cette infamie.  

    Les coupables, ce sont ceux qui, comme la LICRA et consorts, exigent l’ouverture totale des frontières, condamnent toute politique de régulation et a fortiori d’inversion des flux migratoires, veulent ouvrir le pays à des millions de migrants, pour la plupart mahométans, et qui, en même temps, de manière diabolique, provoquent ces mêmes immigrés musulmans dont ils favorisent l’accueil et l’installation chez nous, en se revendiquant bruyamment Charlie, en exigeant la republication des caricatures de Mahomet, en ordonnant qu’elles soient montrées dans toutes les écoles au risque évident d’attiser les haines, les rancœurs et les fanatismes.

    Car précisément ce Jamel G., au départ pas spécialement engagé sur le plan religieux, a été radicalisé à partir de l’automne 2020 au moment où ont été republiées et à nouveau médiatisées les caricatures de Mahomet montré nu, les fesses à l’air, l’appareil génital exhibé, de manière à offenser de manière directe, et donc à radicaliser contre la France et les Français, des musulmans qui sont désormais des millions dans notre pays.

     

    Sauf à être naïf et aveugle, il est donc évident qu’il y a une volonté au plus haut niveau de conduire à la guerre civile et au chaos.

    Cette vérité est certes difficile à croire, tellement elle est effrayante, elle est pourtant incontestable : les différents gouvernements successifs, les institutions actuelles travaillent activement à notre destruction, tant physique que mentale, tant culturelle que spirituelle, tant biologique que morale. L’Etat profond promeut l’ouverture du pays aux migrants, mais il veut que chacun de nous devienne un migrant dans son propre corps et dans sa tête ; un être qui peut sans cesse se transformer, se réinventer, changer, qui n’est ni homme ni femme, ni blanc ni noir, ni défini sexuellement, ni ethniquement, ni religieusement. 

    Nous vivons l’époque effrayante de la disparition des frontières physiques mais aussi morales. Ce n’est pas un hasard si les sectateurs de l’ouverture totale des frontières sont aussi les militants du lobby LGBT, un acronyme qui chaque année s’enrichit, si j’ose dire, d’une lettre supplémentaire. N’existe-t-il pas une institution gouvernementale officielle qui s’appelle la DILCRAH : la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT ? C’est clair, le pouvoir est notre ennemi, travaille à notre ruine.

     

    Comme toujours en pareil cas l’on a droit au discours martial des dirigeants qui affirment péremptoirement, le menton en avant, qu’ils n’acceptent pas ce genre d’actes barbares, qu’ils lutteront de toutes leurs forces contre le terrorisme islamiste (qu’ils alimentent et promeuvent en réalité de toutes les façons par leur politique de submersion migratoire et de subversion pro-Charlie), que les fanatiques ne passeront pas, que jamais ils n’accepteront la répétition de telles tragédies, etc. Ce sont des menteurs et des hypocrites car rien n’a été fait, rien n’est fait et rien ne le sera pour empêcher la multiplication de ces attaques ignobles.

    Il n’est même pas question d’immigration zéro, encore moins de réémigration.

    Aucun parti politique ayant pignon sur vue ne propose aujourd’hui de telles mesures pourtant de bon sens. Cela en dit long sur la gravité de la situation. Aucun ne propose non plus d’en finir avec le torchon Charlie et ses provocations infâmes contre tous les croyants et qui agissent comme un chiffon rouge, de rééquilibrer notre politique au Proche Orient conformément à la vérité et à la justice, de ne pas participer à des actions extérieures dans lesquelles nous n’avons rien à faire, de rétablir immédiatement des frontières réelles, d’inverser les flux migratoires et de couper toutes les pompes aspirantes qui favorisent l’immigration de masse.

    En réalité, le pouvoir n’est pas mécontent de ce genre d’attentats.

    Et on peut toujours se demander si, au moins pour certains d’entre eux, ils ne les laissent pas faire. Car ces actions barbares engendrent une peur panique au sein de la population qu’il est alors plus facile de manipuler et de châtrer. En réduisant ses libertés, en prétextant que c’est nécessaire pour sa sécurité, laquelle n’est pourtant nullement assurée. On l’avait vu aux Etats-Unis avec le Patriot Act  après le 11 septembre 2001. On le voit chez nous avec l’empilement des législations et dispositifs liberticides.

    Le terrorisme islamique, comme ladite pandémie covidesque, comme la répression policière au moment des gilets jaunes, sont des moyens massifs d’apeurer le citoyen et de le tenir en laisse, de réduire considérablement toutes ses libertés.

    Comme le note Alain Soral « pour faire tenir tranquille et terroriser le natif paupérisé, le pouvoir dispose désormais du flash-ball de la police et du couteau du migrant ». Ceux qui nous gouvernent, ou plutôt nous oppriment, sont nos pires ennemis.

    Et les vrais gouvernants ne sont pas ceux qui apparaissent au-devant de la scène. Ils sont plutôt à chercher au CRIF, au Congrès juif mondial, à la LICRA, à l’AIPAC et au B’nai B’rith, bref chez ce lobby « influent et nocif » dont l’Exécutif est le docile et servile exécutant !