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Education

  • Ecoles publiques: exigeons la fermeture de ces cloaques !

     
    Ces écoles de la république qui choisissent de choquer les enfants
    Ces écoles de la république qui choisissent de choquer les enfants

    Le 13 avril 1946, Marthe Richard, une ancienne prostituée devenue conseillère municipale de Paris – surnommée « la veuve qui clôt » – impose la fermeture des maisons closes dans tout le pays au motif que « c’est la société qui est responsable de la débauche organisée et patentée ».


    Si nous suivons l’esprit de cette loi, il apparait urgent d’envisager la fermeture définitive de l’Ecole publique, devenue un véritable cloaque organisé, prompt à déboussoler nos enfants de la maternelle à l’université et à susciter la débauche.

    Programme officiel : éducation sexuelle sans finalité normative

    L’éducation sexuelle sans finalité normative est devenue la pièce maîtresse du programme scolaire.
    C’est tout ce qu’il y a de plus officiel : sous le ministère de l’affreux Blanquer, a été produit, sous l’égide de Dominique Schnapper, sociologue, présidente du conseil des sages et de la laïcité (tout un programme!)… le « vademecum de la laïcité » applicable dès la maternelle, dans lequel est stipulé noir sur blanc que l’éducation sexuelle sans finalité normative fait partie du programme, pouvant par ailleurs, être dispensée aux enfants par des personnalités extérieures.
    Là où l’apprentissage de la langue française est totalement dévoyée par des méthodes destructrices qui perdurent et qu’en conséquence, sont passés à la trappe les œuvres littéraires, l’histoire, la géographique, les sciences,, l’institution dite encore et abusivement scolaire, est devenue l’école du sexe qui génère des situations ahurissantes.


    Ainsi, il est rapporté qu’une infirmière scolaire intervenant en classe de CM2 à l’école des Ovides à St Etienne, explique qu’une fille peut sucer le pénis du garçon et caresser les testicules… à l’inverse, le garçon peut sucer le vagin de la fille… également que l’on peut faire le sexe par les fesses.., abordant aussi la possibilité de changer de sexe !

    Enfin bref, un véritable festival sexuel ! Il est relaté que les enfants en sont sortis profondément choqués.
    Pour autant, il faut bien réaliser que ce n’est pas un cas marginal mais un exemple parmi d’autres, puisque cela fait officiellement partie du programme.
    Où sont les syndicats ?
    Alors, où sont les syndicats ?
    Les « bons » syndicats ? Ceux si soucieux du bien-être de nos enfants ?
    Assurément au même endroit que pendant la période de la pseudo-pandémie du covid au cours de laquelle les enfants ont été outrageusement maltraités sans que les syndicats ne lèvent le petit doigt, autrement dit ils croupissent dans les allées du pouvoir qui leur verse des subventions suffisamment copieuses pour qu’ils en soient les obligés, ce qu’ils acceptent sans sourciller.
    Et nous, Français ?
    Et nous parents, grand-parents, tous les Français, comment ne pas opposer un refus farouche à cette politique qui nuit gravement à nos enfants et à l’avenir de notre société ?
    Pourquoi les associations ne se regroupent-elles pas pour organiser le refus massif de la pseudo-scolarisation de leurs enfants dans ces conditions ? Ce n’est pas un courrier au ministre de l’Education nationale ainsi que le prévoit l’une d’entre elles, qui risque de changer quoi que ce soit ! Ne nous laissons pas leurrer !
    Pourquoi n’exigent-elles pas, par des manifestations massives, la liberté scolaire, qui ne peut être acquise que par l’obtention d’un bon scolaire attribué à chaque famille ?
    Qu’attendent les associations ?

    Une décision salutaire : la fermeture de ces cloaques

    Ce n’est qu’une fois obtenu ce bon, que pourrait être envisagée la fermeture officielle et salutaire de ce cloaque qu’est devenue l’Ecole publique, institution de perversion par excellence, génératrice de débauche organisée, ruinant ainsi l’avenir de notre société quand par ailleurs, se développe depuis de nombreuses années, une école d’excellence en faveur d’un contingent massif de populations issues.de l’immigration organisée par ceux-là même qui organisent la débauche pour nos enfants .

     

     

  • Le devoir sacré de rendre hommage à Sainte Jeanne d’Arc, quoi qu’en pense le député Bordat .

     
    Le député Benoit Bordat demande que la République cesse d'honorer Sainte Jeanne d'Arc
    Le député Benoit Bordat demande que la République cesse d’honorer Sainte Jeanne d’Arc !

    La loi du 14 juillet 1920 votée par une Assemblée nationale composée en partie d’anciens combattants de la Première Guerre mondiale (on l’appelait alors la Chambre bleu horizon en référence à la couleur de l’uniforme des poilus) institua une fête de Jeanne d’Arc comme fête du patriotisme, sous l’influence d’un Maurice Barrès extrêmement populaire.

    Dans les années trente, le défilé parisien en hommage à Sainte Jeanne d’Arc rassemblait des  foules impressionnantes. Souvent plus de cent mille personnes ! Après 1945, les défilés parisiens n’eurent plus le même succès. Mais chaque année, puisque cette célébration est fixée officiellement à l’agenda de l’Etat, une gerbe de fleurs est déposée au nom du président de la république devant la statue de Sainte Jeanne d’Arc, place des Pyramides, à Paris. C’est le service minimum républicain, si l’on peut dire.

    Cent et trois ans après le vote de la loi du 14 juillet 1920, le député macroniste Benoît Bordat considère cette célébration “désuète” et trop connotée “lepéniste”. Il ne voit donc pas l’intérêt de conserver cette célébration au sein du calendrier commémoratif national.

    Une fois de plus, nous voyons ainsi à quel point cette république, laïque et judéo- maçonnique, n’a rien de commun avec la France, dont les racines sont catholiques, marquée à jamais par le baptême de Clovis et de ses guerriers, considérée comme fille aînée de l’Eglise.

    La meilleure réponse à ce député macroniste sera de montrer que si rendre hommage à Sainte Jeanne d’Arc est désuet et irritant pour les adeptes de la république maçonnique, c’est au contraire un devoir sacré pour les catholiques et les patriotes de France. Et, en conséquence, de nous rendre nombreux et en famille à l’hommage national à Sainte Jeanne d’Arc organisé par Civitas le dimanche 7 mai prochain, avec son défilé qui reste le plus important parmi ceux organisés par les forces nationales actuelles.

     

    Hommage à Sainte Jeanne d'Arc le 7 mai 2023
    Hommage à Sainte Jeanne d’Arc le 7 mai 2023



  • Les incuries sans nombre de notre gouvernement .

    Ces dernières semaines, on a assisté à une sorte de mise générale en accusation du consommateur d’eau brusquement accusé de tous les maux !!

    Gouvernement, médias à sa botte, experts subventionnés, écolos: tous se sont ligués pour dénoncer haut et fort notre comportement irresponsable: nous qui osons encore prendre en catimini un bain de temps en temps, ou peut-être essayer de sauver nos plantes par des arrosages parcimonieux et quasi-clandestins ou encore, ces agriculteurs égoïstes qui n’arrivent pas à laisser leurs récoltes dépérir, alors qu’on leur interdit cyniquement les bassins de rétention dédiés qui atténueraient au moins leurs problèmes et qu’on laisse même librement dévaster ceux affectés à un usage commun. Mais les dogmes écologiques ne naviguent jamais de conserve avec le bon sens...

    Une lourde redevance d’incurie publique

    Pourtant grand silence ou presque à propos d’une donnée capitale et qui cette fois met en cause tous nos donneurs de leçons, lesquels comme d’habitude sont absolument incapables d’une stratégie à long terme, dés qu’elle dépasse la prochaine échéance électorale, c’est à dire cinq ans au maximum. 

    Combien d’entre nous savent que, selon les chiffres officiels près de 20% (soit quand même un milliard de m3) de la production nationale d’eau potable se perdent en fuites diverses affectant un réseau vieillissant (40% des canalisations ont plus de 50 ans) et encore ce chiffre de déperdition ne correspond–il qu’à la sommation des seules données fournies par celles des collectivités et par ceux des services ayant spontanément accepté de répondre à l’enquête.  Normalement, ce ne sont pas les plus mauvais, si bien que certains spécialistes n’hésitent pas à avancer des chiffres très supérieurs et jusqu’au double du taux de 20%,  pour eux notoirement sous-dimensionné. Même en s’en tenant au taux de 20%, c’est encore l’équivalent de la consommation moyenne de plus de 18 millions d’habitants,  qui part du point de distribution pour ne jamais arriver au robinet du consommateur.

    Et pourtant, en haut lieu, on connaît parfaitement ces résultats accablants. Mais en dépit de leurs grandes professions de foi écologiques, pour l’État, comme pour les collectivités territoriales, comme pour les concessionnaires, rien ne se passe. En effet de toute manière ces fuites ne leur coûtent rien, puisqu’ils vous les facturent sans vergogne plein pot taxes comprises, mais bien sûr en les noyant soigneusement dans votre consommation globale pour que vous ne protestiez pas. Certes on ne peut pas dire que ce système encourage franchement l’effort, ni la transparence, mais ce n’est pas non plus ce qui est recherché. D’ailleurs tous les plans visant à reprendre la main sont systématiquement différés, freinés ou amputés, si bien que cela ne gêne en rien ceux qui nous gouvernent que l’eau qu’ils nous enjoignent d’économiser vertueusement soit gaspillée à flot par eux le long des réseaux qu’ils se refusent à entretenir, à maintenir ou à renouveler correctement. Résultat:  même en s’en tenant au taux officiel,  vous pouvez ajouter aux taxes que vous payez déjà sur l’eau une redevance clandestine d’incurie publique qui majore de près de 25% (=20/80) le tarif réel de l’eau que vous consommez effectivement. En réalité chaque consommateur paye donc chaque année en moyenne une facturation induite de 55 m3 pour une consommation réelle de 44 m3!

    Et la situation n’est pas près de s’améliorer malgré toutes les déclarations et toutes les lois passées:  déjà en 2007,  on notait dans l’engagement 111 du Grenelle de l’Environnement le souci de réduire les fuites par tous les moyens. Un plan réglementaire récidivait en 2012, tandis que l’objectif était une nouvelle fois rappelé dans les Assises de l’eau en 2019. Malheureusement les chiffres sont têtus: la durée de vie moyenne d’un réseau est généralement estimée entre 50 et 60 ans, ce qui veut dire que si on en entreprend la maintenance régulière, il faut investir chaque année par rapport au coût total du réseau entre 2% et 1,67% d’effort de renouvellement et de remise en état. Et là on est tout de suite fixé puisque cet effort n’excède guère présentement 0,63% – soit pratiquement et en moyenne environ un tiers de ce qu’il devrait être – et une fois de plus on prend les consommateurs pour des gogos auxquels on peut sans se gêner raconter n’importe quelle histoire. Surtout qu’on sait parfaitement que certaines canalisations notamment en PVC vieillissent mal et qu’en ce cas,  les analyses de toxicité prises au robinet sont souvent nettement plus inquiétantes que celles effectuées à la sortie du point de distribution. Donc pour l’instant, il est clair qu’on pare au plus pressé, une fuite chassant l’autre (et encore pas toujours!),  et que nous ne sommes pas prêts du tout à récupérer notre eau, ni l’argent qui va avec. Il n’est pas exagéré de prétendre qu’actuellement et au sens littéral du terme, notre pouvoir d’achat prend sacrément l’eau cependant que les analyses officielles ne traduisent pas toujours la réalité à notre robinet.

    L’eau n’est hélas pas le seul secteur en crise ...

    Notez que l’eau n’est pas le seul secteur ou prévalent cette incurie publique et cette sorte d’aversion maladive en face des contraintes d’un entretien sérieux et attentif. La SNCF avec le déraillement de Brétigny et ses TGV régulièrement stoppés plusieurs heures en pleine campagne, EDF avec ses centrales nucléaires à l’arrêt dans un  ensemble confondant, nos ponts dont plusieurs centaines sont officiellement répertoriés comme dangereux, notre réseau routier en pleine déshérence, nos passages à niveau et leurs trente à quarante morts annuels, la Sécurité civile avec ses Canadairs vétustes et cloués au sol , notre armée dont beaucoup de matériels sont hors d’usage et n’assurent plus la protection que nos soldats sont en droit d’attendre, notre Justice dont l’équipement n’est jamais parvenu à répondre aux besoins des magistrats et des justiciables.

    Bref, la doctrine publique est très simple, aussi bien pour l’ État, que pour nombre de  collectivités territoriales, tant que cela ne se voit pas, on rogne tous les crédits alloués à des services jugés suffisamment discrets pour ne pas  protester trop bruyamment   et on affecte le tout à la croissance sans fin des politiques de solidarité et d’assistance (politique de la ville, allocations en tous genres,  sans papiers, mineurs non accompagnés, retraites aux étrangers n’ayant jamais cotisé en France…) largement électoralistes, qui ont réussi en quelques décennies à mettre le régalien à l’os. D’ailleurs les statistiques de l’étude de l’OCDE parue en novembre 2020 sont sans appel: la France consacre aux dépenses sociales publiques 31,1% de son PIB, alors que la moyenne OCDE culmine à 19,9%. Un écart qui ne date pas d’hier et qui explique l’essentiel de nos malheurs!

    Maintenant que la plupart des services vitaux se trouvent ouvertement en crise, la partie devient nettement plus difficile pour le pouvoir mis en face de toutes ses contradictions, de toutes ses négligences, de tous ses atermoiements et aussi de tous ses mensonges.  On citera notamment la faillite de l’Hôpital, les carences des urgences, l’effondrement alarmant de la sécurité publique, le sous-équipement manifeste de la sécurité civile, l’insuffisance prolongée des dotations militaires (cf. nos stocks de munitions!), la grande misère des locaux de police, la dégringolade de notre enseignement dans tous les classements internationaux, la vente à l’encan et dans des conditions douteuses de nos fleurons industriels, les chaussées hérissées de ralentisseurs illicites que personne n’entreprend de remettre aux normes

    Désormais, c’est clair: tous les voyants sont au rouge et aujourd’hui le pays se trouve à la croisée des chemins.  Il lui faut en effet sans délai dresser et surtout mettre en place et faire respecter un ensemble de réformes toutes  aussi indispensables, aussi urgentes les unes que les autres et dont les plus importantes ne sont doute pas celles voulues par Bruxelles, mais celles impatiemment attendues par les Français. Car ces derniers ont parfaitement réalisé qu’ils ne cessent de payer chaque année plus cher des services publics de plus en plus défaillants, parce qu’ils sont régulièrement mis à sac au profit de politiques de redistribution et d’accueil tous azimuts qui dépassent incontestablement les capacités du pays et qui le mènent à l’asphyxie par son endettement débridé. C’est donc toute une nouvelle stratégie qu’il s’agit de mettre en place et nous allons voir rapidement dans les mois qui viennent – ce sera d’ailleurs une indication précieuse pour l’avenir – si la transition écologique, dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles,  peut ou non s’accommoder que les pouvoirs publics et les concessionnaires  puissent continuer  à librement gaspiller 20%  (et sans doute bien davantage) de l’eau que nous produisons à si grands frais, tout en sommant les consommateurs de consentir les efforts que la puissance publique elle-même se refuse à engager.