Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Fêtes

  • Prère à Saint Benoit.

    Benoit est né à Nursie dans la province d’Ombrie en Italie en 480, avec une sœur jumelle qui deviendra sainte Scholastique. Issu d’une famille aristocratique de la gens Anicia, il fut envoyé étudier à Rome ou la corruption le dégoûta.

    A l’âge de quinze ans, il résolut de quitter Rome pour chercher Dieu, l’unique nécessaire, et s’éloigner de ce monde de péché. Avec sa nourrice, il partit pour Affile ou il fit son premier miracle qui lui valut d’être connu. Pour cette raison, il poursuivit sa route, rencontra le moine Romain qui le guida vers la vie érémitique. Il s’installa sur la montagne du Taleo, dans une grotte, et éprouva alors un combat spirituel, frappé par la solitude et les tentations. Après cela, il fait l’expérience de la providence divine qui n’abandonne pas ceux qui se fient à elle. Devenu connu autour de lui, les gens vinrent de partout pour être éclairés par lui. Benoit décida alors de quitter sa vie d’ermite pour vivre au sein d’une communauté. Des moines demandèrent à Benoît de devenir leur supérieur mais peu après tentèrent de l’empoisonner. Il préféra s’en retourner à sa solitude sous le regard de Dieu.

    Par la suite, le saint ermite vit les disciples affluer en grand nombre et quitta de nouveau son ermitage pour établir des communautés dans la vallée de l’Aniene. Benoit fonda treize communautés monastiques, notamment les monastères de Subiaco et Monte Cassino (l’abbaye du Mont Cassin). Il se révéla doué d’un don de discernement, sachant distinguer ce qui vient de l’homme, de Dieu ou du Démon.  

    Vers 540, Benoit rédige une Règle de vie pour ses communautés, elle se résume par cette célèbre devise : Ora et Labora (Prie et Travaille).

     

    Priére et règle de vie:

    Écoute, mon fils, les préceptes du Maître et prête l’oreille de ton coeur. Reçois volontiers l’enseignement d’un si bon père et mets-le en pratique, 2 afin de retourner par l’exercice de l’obéissance à celui dont t’avait éloigné la lâcheté de la désobéissance. 3 C’est à toi donc maintenant que s’adresse ma parole, à toi, qui que tu sois, qui renonces à tes volontés propres et prends les fortes et nobles armes de l’obéissance, afin de combattre pour le Seigneur Christ, notre véritable Roi.

    4 Avant tout, demande-lui par une très instante prière qu’il mène à bonne fin tout bien que tu entreprennes; 5 ainsi, après avoir daigné nous admettre au nombre de ses enfants, il n’aura pas sujet, un jour, de s’affliger de notre mauvaise conduite. 6 Car, en tout temps, il faut avoir un tel soin d’employer à son service les biens qu’il a mis en nous, que non seulement il n’ait pas lieu, comme un père offensé, de priver ses fils de leur héritage, 7 mais encore qu’il ne soit pas obligé, comme un maître redoutable et irrité de nos méfaits, de nous livrer à la punition éternelle, tels de très mauvais serviteurs qui n’auraient pas voulu le suivre jusqu’à la gloire.

    8 Levons-nous donc, enfin, l’Ecriture nous y incite : « L’heure est venue, dit-elle, de sortir de notre sommeil. » (Romains 13:11). 9 Ouvrons les yeux à la lumière divine. Ayons les oreilles attentives à la voix de Dieu qui nous crie chaque jour cet avertissement : 10 « Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos coeurs » (Psaumes 94:8), 11 et ailleurs : « Qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises » (Apocalypse 2:3). 12 Et que dit-il ? « Venez, mes fils, écoutez-moi, je vous enseignerai la crainte du Seigneur. (Psaumes 33:12). 13 Courez pendant que vous avez la lumière de la vie, de peur que les ténèbres de la mort ne vous saisissent. » (Jean 12:35).

    14 Le Seigneur, cherchant son ouvrier dans la foule du peuple à laquelle il crie, dit encore : 15 « Quel est l’homme qui veut la vie et désire voir des jours heureux ? » (Psaumes 33:13). 16 Que si, à cette demande, tu lui réponds : « C’est moi », Dieu te réplique : 17 « Si tu veux avoir la vie véritable et éternelle, interdis le mal à ta langue et à tes lèvres toute parole trompeuse; détourne-toi du mal et fais le bien; cherche la paix avec ardeur et persévérance. (Psaumes 33:14‑15). 18 Et lorsque vous agirez de la sorte, mes yeux seront sur vous et mes oreilles attentives à vos prières, et avant même que vous ne m’invoquiez, je vous dirai : ‘Me voici.’ » (cf. Psaumes 33:16; Ésaïe 58:9)

    19 Quoi de plus doux, frères très chers, que cette voix du Seigneur qui nous invite ? 20 Voyez comme le Seigneur lui-même, dans sa bonté, nous montre le chemin de la vie. 21 Ceignons donc nos reins de la foi et de la pratique des bonnes oeuvres; sous la conduite de l’Evangile, avançons dans ses chemins, afin de mériter de voir Celui qui nous a appelés dans son royaume. (cf. Éphésiens 6:14‑15; Luc 12:35; 1 Thessaloniciens 2:12)

    22 Si nous voulons habiter dans la demeure de ce royaume, sachons qu’on n'y parvient que si l’on y court par les bonnes actions. 23 Mais interrogeons le Seigneur en lui disant avec le prophète : « Seigneur, qui habitera dans ta demeure ? Qui reposera sur ta montagne sainte ? » (Psaumes 14:1) 24 Après cette demande, mes frères, écoutons la réponse du Seigneur; il nous montre la route de cette demeure en disant : 25 « C'est celui qui marche sans tache et accomplit la justice; 26 celui qui dit la vérité du fond de son coeur, qui n'a pas prononcé de parole trompeuse, 27 qui n'a pas fait de tort à son prochain, qui n'a pas accueilli des discours injurieux contre lui. » (Psaumes 14:2‑3) 28 C'est celui qui rejette loin des regards de son coeur (cf. Psaumes 14:4) l'esprit malin qui le tente, et les suggestions qu'il lui souffle, les réduit à rien, saisit les premiers rejetons de la pensée diabolique et les brise contre le Christ. 29 Ce sont ceux qui, craignant le Seigneur (cf. Psaumes 14:4), ne s'enorgueillissent pas de leur bonne observance, mais qui, reconnaissant que le bien qui se trouve en eux ne peut venir d'eux-mêmes mais du Seigneur, 30 glorifient le Seigneur qui agit en eux, et lui disent avec le prophète (cf. Psaumes 14:4) : « Non pas à nous, Seigneur, non pas à nous, mais à ton nom donne la gloire. » (Psaumes 113:1) 31 De même l'apôtre Paul ne s'est rien attribué du succès de sa prédication, mais dit : « C'est par la grâce de Dieu que je suis ce que je suis », (1 Corinthiens 15:10) 32 et encore : « Que celui qui se glorifie, se glorifie dans le Seigneur. » (2 Corinthiens 10:17) 33 Aussi le Seigneur dit dans l'Evangile : « Celui qui écoute mes paroles et les accomplit, je le comparerai à un homme sage qui a bâti sa maison sur la pierre; 34 les fleuves ont débordé, les vents ont soufflé et se sont déchaînés sur cette maison; mais elle n'est point tombée, parce qu'elle était fondée sur la pierre. » (Matthieu 7:24‑25)

    35 Pour achever, le Seigneur attend de nous que nous répondions chaque jour par nos oeuvres à ses saintes leçons. 36 S'il prolonge comme une trêve les jours de notre vie, c'est pour l'amendement de nos péchés, 37 selon cette parole de l'Apôtre : « Ignores-tu que la patience de Dieu te convie à la pénitence ? » (Romains 2:4) 38 Car ce doux Seigneur affirme : « Je ne veux pas la mort du pécheur, mais qu'il se convertisse et qu'il vive. » (Ezéchiel 33:11)

    39 Lorsque nous avons demandé au Seigneur, mes frères, qui habitera dans sa demeure, nous avons appris ce qu'il faut faire pour y demeurer. Puissions-nous accomplir ce qui est exigé de cet habitant ! 40 Il nous faut donc préparer nos coeurs et nos corps aux combats de la sainte obéissance à ses commandements.

    41 Quant à ce qui manque en nous aux forces de la nature, prions le Seigneur d'ordonner à sa grâce de nous prêter son aide. 42 Et si, désireux d'éviter les peines de l'enfer, nous voulons parvenir à la vie éternelle, 43 tandis qu'il en est temps encore et que nous sommes en ce corps et que nous pouvons accomplir tout cela à la lumière de cette vie, 44 courons et faisons, dès ce moment, ce qui nous profitera pour toute l'éternité.

    45 C'est à cette fin que nous voulons fonder une école où l'on serve le Seigneur. 46 Dans cette institution, nous espérons ne rien établir de rude ni de pesant. 47 Si, toutefois, il s'y rencontrait quelque chose d'un peu rigoureux, qui fût imposé par l'équité pour corriger nos vices et sauvegarder la charité, 48 garde-toi bien, sous l'effet d'une crainte subite, de quitter la voie du salut dont les débuts sont toujours difficiles.

    49 En effet, à mesure que l'on progresse dans la voie religieuse et dans la foi, le coeur se dilate, et l'on court dans la voie des commandements de Dieu, avec la douceur ineffable de l'amour. 50 Ne nous écartons donc jamais de son enseignement, et persévérant jusqu'à la mort dans sa doctrine au sein du monastère, participons par la patience aux souffrances du Christ pour mériter d'avoir part à son royaume. Amen.

     

  • Ecole, réseaux sociaux, justice, Covid : la tyrannie républicaine étend ses tentacules .

     

    Hervé Ryssen restera en prison.

    Du moins pour le moment. La cour d’appel de Paris a refusé d’accepter la remise en liberté du détenu demandée par son avocat, Me Damien Viguier. L’auteur des Espérances planétariennes purge à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis une peine totale de dix-sept mois d’emprisonnement, deux peines définitives de neuf mois (4 et 5 mois) essentiellement pour son petit livre rouge Comprendre le judaïsme, comprendre l’antisémitisme mais également pour la couverture de son livre Les Milliards d’Israël et une peine de huit mois dont il a fait appel mais qui est exécutoire (en attendant le procès d’appel le 18 mars 2021) pour plusieurs passages de son dernier livre, de 2018, L’Antisémitisme sans complexe ni tabou. 

    On voit donc que, contrairement à ce qui est parfois dit ici ou là, ce sont bien ses livres, son œuvre, sa production qui sont poursuivis par le ministère public et les fameuses associations prétendument de lutte contre la haine, et pas seulement des tweets, des vidéos et des messages sur Facebook. Donc prétendre que, s’il s’était abstenu de certains messages sur les réseaux sociaux, il eût évité de passer par la case prison est inexact. Ce sont d’abord et avant tout ses livres qui lui ont valu des condamnations à de la prison ferme. Ce qui en dit long sur la liberté intellectuelle, la liberté de l’esprit actuellement en vigueur en France. 

    La persécution de l’écrivain pourrait encore s’aggraver puisque le procureur, Etienne Debarre, au procès du 2 décembre, a indiqué qu’une peine d’un an de prison ferme pour une vidéo sur « les juifs, l’inceste et l’hystérie » était immédiatement exécutoire et que tout recours était impossible, ce que conteste Me Damien Viguier qui a fait appel auprès du greffe et qui explique que la décision de première instance en juin 2018 condamnant son client à un an de prison n’a jamais été signifiée dans les formes légales à Hervé Ryssen. Si le parquet général jugeait in fine irrecevable l’appel de Me Viguier, la durée d’emprisonnement de l’auteur de La Mafia juive atteindrait alors 29 mois. Sans compter les autres affaires en cours. Dans le procès du 2 décembre, le même procureur a demandé huit mois de prison ferme supplémentaires pour Hervé Ryssen pour deux simples tweets datant d’octobre 2017 (cf. notre édition du 9 décembre), ce qui conduirait à un total théorique de 37 mois d’incarcération, soit plus de trois ans. Toutefois, le procureur a expliqué à regret que, pour ce genre d’infractions, depuis la loi Taubira, par le jeu de confusions des peines, la durée maximale d’emprisonnement ne pourrait en principe excéder deux ans ferme réels. Comprenne qui pourra ! Ce qui est sûr en tout cas, c’est que l’acharnement contre un écrivain valeureux et anticonformiste ne faiblit pas, bien au contraire. Comme le notait dans nos colonnes une autre victime habituelle de Thémis, le révisionniste Vincent Reynouard, exilé en Angleterre depuis juin 2015, le Système politique, judiciaire, associatif risque de faire payer au prix fort les insolences et impertinences de Ryssen sur un lobby dont on n’a le droit de dire que du bien. 

    C’est dans ces pénibles circonstances que Me Viguier a fait savoir, le 10 décembre, après le rejet de la demande de remise en liberté de Ryssen par le premier président de la cour d’appel de Paris, qu’il demandait la grâce du détenu au président de la République. Si cette initiative a pu déplaire à certains qui ont considéré qu’il ne fallait pas demander une faveur au bourreau, à l’ennemi, elle a pour d’autres le mérite de placer Macron au pied du mur. Le chef de l’Etat a en effet le pouvoir de gracier qui il veut. François Hollande avait ainsi gracié la meurtrière Jacqueline Sauvage (laquelle portait bien son nom !) qui avait tué de trois coups de carabine son mari, en lui tirant dans le dos, après quasiment un demi-siècle de mariage, et alors que les accusations tardives et soudaines de violence conjugale, ne semblant reposer sur rien d’objectif et de concret, n’avaient convaincu ni les jurés ni les voisins de la famille Sauvage. Macron se grandirait donc à accorder sa grâce à un écrivain qui n’a pas de sang sur les mains, qui n’a jamais tué ni volé, ni menti, et dont personne d’honnête et de sérieux ne peut douter de la sincérité et de la franchise. Evidemment, sauf miracle, le chef de l’Etat n’en fera rien car, comme ses prédécesseurs, il est le caniche du CRIF, le laquais du Congrès juif mondial et par conséquent tout honneur, toute dignité, toute grâce d’état l’ont fui irrémédiablement. On se souvient de sa petite phrase sur Pétain, qui fut un grand soldat, au moment du centenaire de l’armistice de 1918. Le lobby juif a aboyé, le conjoint de Brigitte s’est couché. C’est à cela aussi qu’on mesure la décadence des mœurs et l’abaissement des caractères.

    La privation des libertés ne concerne pas seulement Hervé Ryssen, même s’il en est actuellement la première et principale victime, la plus emblématique. Alain Soral et son mouvement Egalité et Réconciliation ont vu leurs comptes Twitter suspendus, après avoir déjà perdu leurs comptes VK et leurs chaînes YouTube. Par ailleurs,deux vidéos rivaroliennes sur YouTube ont été supprimées, et Tristan Mendès France fait pression sur la Commission paritaire des publications et agences de presse (la CPPAP), à laquelle RIVAROL est immatriculé depuis janvier 1951, et qui permet quelques modestes réductions postales et fiscales (notamment sur le taux de TVA), au motif que  ce journal (non subventionné) serait un « torchon antisémite » incitant à la haine. 

    On le voit, l’Etat profond va toujours plus loin dans la tyrannie. L’existence de toute voix dissidente, discordante, aussi faible soit-elle, lui est insupportable. C’est également le cas de l’instruction à la maison et des écoles confessionnelles hors-contrat qui sont l’une et l’autre dans le collimateur des pouvoirs publics. Dans le projet de loi du 9 décembre 2029 réaffirmant les principes républicains, l’école à la maison est interdite à partir de septembre 2021. Sauf sérieux problèmes de santé de l’enfant, dûment constatés par un médecin de l’Education nationale (ce qui ne laisse aucune marge de manœuvre), pratique de sport de haut niveau, activités artistiques intenses ou projet pédagogique non assis sur des convictions religieuses ou philosophiques. Mais même pour ces rares exceptions, c’est le rectorat ou le ministère de l’Education nationale qui décidera souverainement et arbitrairement s’il accorde ou non aux géniteurs la possibilité d’instruire à domicile leur progéniture. Jusque-là il suffisait de faire une déclaration en mairie. A partir de la rentrée scolaire 2021, c’est l’Education nationale qui décidera, après présentation d’un dossier dûment rempli, s’il est licite ou non d’instruire ses enfants à domicile. Inutile de dire que c’en sera quasiment fini, sauf très rares exceptions, de l’école à la maison. Seuls les gens du voyage qui par définition se déplacent constamment seront exemptés de l’obligation scolaire en établissements officiellement reconnus. Faudra-t-il désormais acheter une caravane ou un camping-car pour échapper à la pieuvre tentaculaire de l’Education dite nationale ? Car les établissements hors contrat seront, eux aussi, contrôlés et encadrés beaucoup plus sévèrement désormais, les fermetures administratives définitives seront favorisées, facilitées, simplifiées, tandis que l’on insistera encore davantage sur le respect du « socle commun de l’Education nationale » destiné à ruiner la liberté pédagogique, le sens moral et les convictions religieuses de ces écoles intégralement payées par les parents.

    Avec Macron, la tyrannie républicaine étend ses tentacules !

     

  • Jeanne d’Arc face aux sorciers du Grand Confinement et du Grand Effondrement .

     

    Nous célébrons ces jours-ci de grandes fêtes johanniques : les cent ans de la canonisation de la sainte par Benoît XV le 16 mai 1920, le centenaire de la loi Barrès votée le 24 juin 1920 par l’Assemblée nationale et fixant la solennité annuelle de la Pucelle le deuxième dimanche de mai, faisant de la célébration de la sainte de la patrie une grande fête du patriotisme.

    La fête de Jeanne d’Arc n’a toutefois pas été célébrée publiquement cette année le dimanche 10 mai, car c’était le dernier jour du confinement. La première des statues de la sainte, celle sise place des Pyramides, est laissée dans un état lamentable. Les grands drapeaux qui entouraient la statue, déjà fortement diminués au fil des années, ont complètement disparu pour le centenaire de sa canonisation. L’étendard de la statue qui menaçait de tomber et qui a donc été enlevé en juin dernier pour restauration n’a toujours pas été remis alors qu’il devait l’être « dans les meilleurs délais » selon la Direction régionale des affaires culturelles d’Ile-de-France. La couronne qu’elle portait sur la tête a également disparu. Il est difficile d’imaginer que tout cela n’est pas volontaire ! ...

    Emmanuel Macron, lorsqu’il était candidat à l’Elysée, pour séduire l’électorat conservateur, s’était rendu le 8 mai 2016 à Orléans pour rendre hommage à Jeanne d’Arc. Maintenant que son objectif est atteint et qu’il est devenu chef de l’Etat, il ne s’intéresse plus à la patronne secondaire de la France. Le jour de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, le président de la République n’a parlé que… de l’esclavage, le 10 mai étant désormais la journée commémorative du souvenir de l’esclavage et de son abolition. Leur régime a procédé à une célébration publique, a organisé une cérémonie officielle avec les plus hauts représentants de l’Etat pour « la journée des mémoires de l’esclavage, de la traite et de leur abolition » mais il n’a rien fait pour la fête du patriotisme. C’est là tout un symbole. Et il est ironique voire cynique de célébrer l’abolition de l’esclavage lorsque l’on s’échine à mettre en servitude volontaire tout un peuple, et même une grande partie de l’humanité, au moyen du Grand Confinement, de l’interdiction, de la restriction ou de la stricte réglementation des déplacements, des rencontres, des rassemblements.  

    Que les dirigeants du pays se moquent éperdument de sainte Jeanne d’Arc, de sa personne, de sa vie, de son œuvre, de son message n’est pas pour étonner puisque la sainte de la patrie incarne en tous points le contraire de ce qu’ils sont et de ce qu’ils font. 

     

    Jeanne d'Arc a sauvé la France, les dirigeants actuels s’échinent à la détruire et à l’avilir.

    En étant du parti de l’étranger. En détricotant les derniers lambeaux de souveraineté nationale et d’indépendance française. En participant à l’occupation de notre territoire par des populations essentiellement inassimilables. En œuvrant à la destruction de l’âme française. En favorisant activement la lobotomisation des esprits, l’asservissement des âmes.

    Jeanne d’Arc a lutté pour la liberté de notre pays, secouant le joug de l’étranger, refusant la soumission au parti de la défaite, de la capitulation, de la compromission, de l’abdication. Nous vivons aujourd’hui peut-être la pire période de servitude volontaire d’un peuple, et même de la quasi-totalité des peuples occidentaux. Les gens se croient libres, tellement libres, mais on leur refuse la liberté de circuler, de se déplacer, de se réunir, en famille ou entre amis, d’aller visiter un parent, un proche chez lui ou à l’hôpital ou dans ces mouroirs que l’on appelle pudiquement les Ehpads (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes). On leur a même refusé deux mois durant de se promener en forêt, dans la rue, au bord d’une rivière. Tel un détenu qui a le droit de faire le tour de la cour de la prison tous les jours pendant soixante minutes, on avait droit à une heure pour faire ses courses alimentaires, à condition d’être muni d’une attestation dûment remplie et pouvant être contrôlée par des gendarmes ou des policiers qui, zélés, ont parfois été jusqu’à contrôler le contenu des caddies et à verbaliser parce que certaines denrées alimentaires n’étaient pas considérées comme de première nécessité ! Et à la destruction, à la négation de ces libertés fondamentales s’ajoute la suppression de la liberté de penser, d’écrire, de réfléchir, de contester.

    La fameuse loi Avia doit en effet être votée ce 13 mai en lecture définitive par le Parlement. Réclamée à cor et à cri par le lobby juif (il suffit de naviguer sur les sites de la LICRA et de ses pseudopodes pour s’en convaincre), cette loi, si elle est appliquée (et on ne voit pas pourquoi a priori elle ne le serait pas), va transformer Internet en laboratoire totalitaire. Il ne sera plus possible de s’exprimer, les hébergeurs devant s’acquitter de sommes astronomiques s’ils ne suppriment pas sous 24 heures les prétendus « contenus haineux » que sont le racisme, l’antisémitisme, l’homophobie, le sexisme, le complotisme, le conspirationnisme, c’est-à-dire tout ce qui dérange le Lobby, tout ce qui nuit aux avancées, aux tabous et aux mots d’ordre de la révolution arc-en-ciel.   

     

    La pucelle a lutté toute sa vie pour la vérité et jamais dans sa bouche on n’a pu trouver le mensonge. Face aux calomnies et aux menaces de ses accusateurs, elle a toujours su répondre avec la force tranquille de la justice et de la vérité.

    Or ceux qui nous dirigent et nous oppriment aujourd’hui ne vivent que par et pour le mensonge, les manipulations des chiffres, des statistiques, des situations.

    Qui ne voit clairement aujourd’hui que la psychose entretenue artificiellement autour du Covid-19 a été une imposture totale, une supercherie, un brigandage (il y eut moins de décès en mars 2020 qu’en mars 2018 en France toutes causes confondues d’après les chiffres officiers de l’INSEE !) qui a permis un contrôle social de masse sans précédent avec l’utilisation de la géolocalisation et qui ouvre la voie à la destruction de l’économie libre et réelle, des entrepreneurs qui font la richesse de ce pays et que l’on conduit à la ruine ou à des difficultés extrêmes. 

    Beaucoup de chefs d’entreprises, de dirigeants de TPE et de PME, soit feront faillite, soit seront davantage soumis au pouvoir bancaire, devront emprunter, hypothéquer leurs biens, se soumettant à une servitude à laquelle leur travail, leurs efforts, leur réussite, leurs talents leur avaient jusque-là permis d’échapper.

    Le Grand Confinement a précédé et va entraîner le Grand Effondrement.

    Ce que nous vivons depuis deux mois est un véritable crime contre la nation, contre la vérité, contre le bon sens, contre le bien commun. Il s’agit de détruire ce qui reste de sain, de libre, de dynamique dans ce pays pour hâter l’avènement d’une gouvernance planétaire, déjà en place, mais qui tend à resserrer son emprise, son pouvoir tyrannique sur les Etats, les institutions, les consciences, les individus. 

     

    La sainte de la patrie a fait preuve d’un courage, d’un héroïsme permanents. Tant pendant ses batailles que pendant son procès, tant dans ses moments de gloire que dans ses jours de défaite. Tant pour galvaniser ses soldats, et parfois les rappeler à leur devoir, que face à ses juges malhonnêtes et féroces. Or nous avons assisté ces deux derniers moments à un océan de lâcheté, à une pleutrerie quasiment générale. Les pouvoirs publics et les media de masse qui ont servi de caisse de résonance ont réussi à créer un sentiment de peur voire de panique. Et au lieu de réfléchir, de résister, de faire preuve d’esprit critique, la plupart de nos compatriotes ont mordu à l’hameçon, se calfeutrant chez eux, certains allant même dénoncer des voisins trop peu respectueux du confinement macronien!!

    La plupart ont accepté sans rechigner que l’on supprime de manière arbitraire la liberté de culte, de circulation, de réunion, de manifestation, de travail au nom d’une pseudo-pandémie qui au total aura fait moins de trente mille morts en France d’après les chiffres officiels, la plupart des personnes décédées étant âgées (81 ans en moyenne) ou/et souffrant  de comorbidités.

     

    Sainte Jeanne d'Arc a lutté pour le redressement moral et spirituel de la France.

    Elle disait à ses soldats qui juraient que c’est le péché mortel qui fait perdre les batailles. Pour elle la grandeur, la pérennité de la France supposait son obéissance totale, parfaite et joyeuse au Christ et à sa loi. Or pendant ce confinement les pouvoirs publics ont veillé à ce que les avortoirs continuent à tuer en masse les innocents, la prescription massive du Rivotril dans les Ehpads qui est contre-indiquée dans les maladies respiratoires a entraîné la mort de milliers de nos anciens atteints du coronavirus et conduits à une mort rapide et certaine. De cette forme de génocide on ne parle pas. Il est vrai que nos seniors ne sont pas, eux, une population protégée, sacralisée, sanctifiée. 

    Enfin la bergère de Domrémy a fait preuve d’une foi exceptionnelle. Elle a obéi aux voix qu’elle entendait, a cru aux messages de saint Michel, de sainte Catherine et de sainte Marguerite. Elle a servi le Ciel alors que nos dirigeants ne servent que Mammon.

    Bill Gates veut ainsi imposer une vaccination à l’ensemble des terriens, vaccination avec puce sous-cutanée. Cette puce qui fait penser au signe de la Bête dont parle l’Apocalypse de saint Jean dans son chapitre 13 doit renfermer notre identité, connaître nos antécédents vaccinaux,  ou permettre de nous localiser !! ...

    Nous vivons vraiment des temps apocalyptiques et antéchristiques. Plus que jamais, pour résister à ce déluge de mensonge, de désinformation, de haine, à cette volonté d’asservissement des âmes, de pollution des intelligences, d’endurcissement des cœurs, d’abaissement des caractères, de paralysie des volontés, il nous faut méditer le message de Jeanne. Et y être fidèle. Si l’on veut servir le beau, le bien, le vrai et ainsi sauver son âme.