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Politique française à l' étranger

  • Le ministricule Bruno Lemaire voulait mettre l’économie russe à genoux mais les réserves internationales de la Russie atteignent 587,5 milliards de dollars !...

     
    Record des réserves russes malgré les sanctions occidentales, seize juin 2023
    Le vol de 300 Mds de dollars de réserves russes n’a pas suffit pour mettre la Russie à genoux.

    Au 9 juin, le volume des réserves russes a atteint 585,7 milliards de dollars !

    Souvenons des fanfaronnades de Bruno Lemaire, le dissolvant ministre de l’Economie français, qui prévoyait, fort orgueilleusement, mettre  l’économie de la Russie à genoux, avec des sanctions anti-russes qui, en fait, se sont retournées contre les Français !

    Il avait déclaré sur un ton belliqueux et sûr de lui : “”NOUS ALLONS PROVOQUER L’EFFONDREMENT DE L’ÉCONOMIE RUSSE” !

    Faux Cassandre et vrai idiot inutile, il assurait aussi que “les sanctions contre la Russie allaient toucher le régime en plein coeur” (sic).

    Or, ne voilà-t-il pas que ce matamore de la finance reçoit en pleine tronche le boomerang de son incompétence puisque l’on apprend que les réserves internationales de la Russie au 16 juin 2023 s’élevaient à 587,5 milliards de dollars, en hausse de 1,8 milliard de dollars sur une seule semaine !

    Les réserves internationales de la Russie sont des actifs étrangers très liquides disponibles auprès de la Banque de Russie et du gouvernement russe. Ils comprennent des devises étrangères, des droits de tirage spéciaux (DTS), une position de réserve au Fonds monétaire international et de l’or monétaire.

    Après le début de l’opération militaire spéciale de Moscou en Ukraine, les pays occidentaux ont imposé – sans succès à l’évidence –  des sanctions contre la Banque de Russie. Outre le gel des réserves d’or et de devises étrangères de la Russie, toutes les transactions liées à la gestion des réserves et des actifs, ainsi que les transactions avec toute personne morale, organisation ou organisme agissant au nom ou sur instruction de la Banque de Russie, ont été interdites.

    En fait, le “gel” – le vol pourrait-on dire – de 300 milliards de dollars de réserves russes par le gouvernement américain n’a pas suffit, loin s’en faut, à mettre la Russie à genoux.

    La Maison Blanche qui pensait que cette “arme nucléaire économique” mettrait fin à la guerre russe en Ukraine en est pour ses frais !

    Malgré les prévisions d’une contraction à deux chiffres du PIB en 2022, l’économie russe a tenu bon, le rouble étant l’une des devises les plus performantes par rapport au dollar.

    Biden et Bruno Lemaire : deux dangereux idéologues dont les vrais “patrons” tirent les ficelles en se tordant de rire.

    Paul DEROGIS

     

  • Prions pour que les Serbes prennent leur revanche sur l' OTAN !

    Dans les troubles frontaliers qui secouent la Serbie et son ancienne province rebelle, les Russes ont peut-être une occasion unique de disperser les forces de l’OTAN en soutenant activement leurs frères Serbes, slaves comme eux.

    Sans s’engager sur le terrain militairement mais en leur fournissant des armes, des informations, une logistique et des mercenaires, comme les démocrassouilles ne se privent pas de le faire en Ukraine.

    Des journalistes de la BBC sont les premiers à avoir compris, ou à avoir été autorisés à dire que  « la situation évolue vite, et il est possible que la Serbie fasse monter les enchères dans le cadre d’une action géopolitique coordonnée avec la Russie. »

    J’imagine mal l’ami Vlad, fin stratège, laisser passer une telle opportunité. D’autant que la Russie n’a jamais reconnu, elle non plus, l’indépendance du Kosovo. Et est donc parfaitement fondée à réserver aux mahométans le même sort que les otanesques ont infligé depuis 8 ans aux russophones du Donbass.

    Avec Macronescu, la France partie à nouveau pour se déshonorer ?

    Après avoir bombardé et massacré nos amis de toujours, les Serbes chrétiens, pour obéir à l’OTAN et complaire au roi d’Arabie qui l’exigeait, la France a été un des premiers États à reconnaître la souveraineté pleine et entière du Kosovo mahométan, province historique arrachée à la Serbie.

    La Métochie, appelée Kosovo pour ne pas froisser les Turco-Albanais qui la désignaient ainsi, était à la Serbie ce que la Seine-Saint-Denis fut à la France.

    Une province royale où les souverains affirmaient la légitimité de leur pouvoir, sous les auspices de l’Église, et qui fut ensuite accaparée, saccagée et annexée par des envahisseurs mahométans.

    Parallèle saisissant qui explique sans doute pourquoi l’enseignement de l’histoire événementielle a été bannie des programmes scolaires en France. Pour être remplacée par la bouillie globalisée d’un braudélisme opportuniste qui efface les peuples et leur histoire en les noyant dans un conglomérat géographico-économico-anthropologique.

    La France qui ne reconnaîtra jamais la République du Donbass a reconnu un État mafieux qui exporte ses truands et ses trafics à travers toute l’Eurocrature, et prête volontiers ses voyous et ses tueurs aux démocrassouilles lorsqu’elles organisent des coups tordus, où elles hésitent à engager leurs polices parallèles. De crainte que ça se sache et que les populations  anesthésiées par les télés  finissent par se réveiller.

    Les raisons de la colère

    Au départ, la milice du Kosovo prétendait fermer la frontière au trafic de passagers et de véhicules aux points de Bernjak & Jarinje et le pont Kosovska Mitrovica, reliant les parties sud et nord de la ville frontière mi-albanaise mi-serbe. Manœuvres d’intimidation classiques, les Albano-Kosovars faisaient hurler des sirènes stridentes.

    Depuis dimanche soir, des centaines de Serbes du Kosovo ont bloqué les points de passage de la vraie-fausse frontière (puisque la Serbie ne reconnaît pas l’amputation de son territoire) avec des camions, camions-citernes, tracteurs, autocars et autres véhicules lourds. Une foule s’est massée autour des barricades pour y passer la nuit.

    Il s’agit de protester contre les nouvelles mesures vexatoires adoptés à l’encontre de leurs dhimmis par les mafieux Albano-Kosovars. À partir du premier août, toute personne entrant au Kosovo avec une carte d’identité serbe devrait la remplacer par un document temporaire pendant son séjour dans le pays, selon une décision du gouvernement de Pristina.

    En outre, les derniers Serbes du Kosovo, dont les voitures portent des plaques d’immatriculation délivrées en Serbie, devront les remplacer par des plaques de la République islamique du Kosovo dans un délai de deux mois.

    Les Albano-Kosovars utilisent ce prétexte pour les faire partir. Ou alors les obliger à se convertir. Ce qui depuis six ou sept siècles, dès le début de l’occupation turque, a toujours été le moyen idoine de se faire accepter dans son propre pays par les occupants. Comme au Francistan finalement.

    Cela peut surprendre les observateurs extérieurs de voir que de nombreux Serbes ont continué à vivre en Métochie malgré les agressions, vexations et humiliations quotidiennes depuis 25 ans. Mais d’une part, ils ne voulaient pas perdre définitivement et sans indemnités, leurs terres, leurs maisons ou leurs commerces… Comme naguère les pieds-noirs d’Algérie ou les Juifs du Yémen et d’Iran.

    Et d’autre part, ils n’ont jamais renoncé à prendre leur revanche sur les mahométans, le jour où l’occasion se présentera.

    En tout cas, il a suffi aux Serbes d’élever la voix et de taper du poing sur la table pour que les Albano- Kosovars fassent marche arrière et reportent ces mesures iniques. Jusqu’à quand ? Leurs dirigeants sont des marchands de tapis, et il faut négocier en permanence avec eux. En fait chaque fois qu’ils reviennent sur leur parole, habitude conseillée par le Coran avec les kouffar qu’un « croyant » doit berner par tous les moyens possibles, lorsqu’il ne peut les soumettre par le sabre.

    « Incidents de frontière qu’on ne comprend pas » disent les merdias du NWO.

    Puisque grâce à l’OTAN, la paix, le bonheur et l’harmonie sont censés régner sur les deux peuples ennemis depuis 1371, bataille de la Maritza gagnée par les Turcs. Suivie d’une longue série de victoires et de défaites de part et d’autre.

    Consciente du mécontentement des derniers Serbes qui vivent encore au Kosovo, l’Otan qui a pris racine dans la région depuis 1999 s’est dite « prête à intervenir si la stabilité est menacée » La stabilité, c’est-à-dire les diktats du Nouvel Ordre Mondial.

    Les dirigeants otanesques connaissent la valeur militaire des Serbes qui n’est pas nouvelle, pour les avoir affrontés avec des forces 100 fois supérieures. Et avant eux les Mameluks et les Waffen SS en ont pâti. Ils savent aussi que les Albano-Kosovars, grandes gueules arrogantes, ne feraient pas le poids dans de vrais combats.

    Ils excellent par contre dans les agressions quotidiennes, les égorgements de civils, les viols collectifs, les rackets à répétition, les trafics de stupéfiants, les expropriations manu militari, les églises et monastères incendiés. Finalement rien de très différent du sort réservé aux dhimmis du Francistan.

    Bien entendu, toujours dans la complainte et la victimisation qui leur a si bien réussi pour « justifier » le coup de force de l’OTAN en 1999, les Kosovars se plaignent que les Serbes leur auraient tiré dessus. Mais de blessés point. Ni de traces d’impacts de balles. Et encore moins de morts.

    D’ici à ce que l’OTAN et ses supplétifs mahométans nous concoctent une des ces mises en scène avec inversion accusatoire dont ils ont le secret, pour arracher une larme aux blaireaux des démocrassouilles dans leurs terriers…

    En toute hypothèse, les Serbes du Kosovo ne reconnaissent ni l’autorité de Pristina, ni l’indépendance de ce pays croupion préfabriqué par l’OTAN, et restent loyaux envers Belgrade.

    Le président serbe Aleksandar Vucic, dont la prudence est connue (mais peut-être Vlad l’a-t-il encouragé ?) n’a pas hésité à déclarer dimanche dans un discours à la nation que « la situation au Kosovo n’a jamais été aussi complexe  pour la Serbie et les Serbes qui y vivent. La Serbie est prête à se battre si les Serbes sont attaqués. »

    Ces propos martiaux sont pris très au sérieux par les pays de l’Otan. Car cette fois, ils savent que la petite Serbie n’est plus seule. Le « grand frère » russe est prêt à l’aider.

    D’ailleurs, dans un communiqué, les reîtres de la mission otanesque de « pacification» (mon œil !) excluent d’y aller à la hussarde comme en 1999 et se disent prêts intervenir uniquement sur mandat du Conseil de sécurité des Nations unies. Où la Russie dispose d’un siège permanent avec droit de veto.

    La Serbie n’a rien oublié, rien pardonné

     Sur la place des Guerriers-Serbes, en plein cœur de Kraljevo, ville du centre de la Serbie, les échos de la guerre en Ukraine ont retenti, jeudi 24 mars, dans la soirée.

    Au pied d’une monumentale statue d’un soldat en armes, des milliers de personnes se sont replongées dans le fracas de bombardements, le sifflement des sirènes, les images des frappes aériennes et des victimes hagardes devant des ruines fumantes. Il y a vingt-trois ans, jour pour jour, les premières frappes de l’OTAN s’abattaient sur cette ville, inaugurant la punition de la Serbie coupable de refuser de se soumettre aux mahométans fers de lance du Nouvel Ordre Mondial.

    En pleine campagne pour l’élection présidentielle du 3 avril 2022, percutée de plein fouet par la guerre en Ukraine, la commémoration a pris cette année une tonalité particulière. Elle a aussi souligné le traumatisme toujours vivace de ces événements douloureux d’un passé récent sur une grande partie de la population.

    Et rappelé le sentiment anti-OTAN nourri dans tout  le pays, aujourd’hui exprimé dans le soutien que l’immense majorité des Serbes apporte à la Russie, espérant que Poutine va faire payer cher ces ordures de l’OTAN.

    « Nous ne pardonnerons jamais ni n’oublierons jamais », clame un slogan repris comme un leitmotiv à l’attention des pays de l’Alliance atlantique.

    Christian Navis

     

  • Les médias n’en peuvent plus de glorifier le grand assassin Macron !

     

    Les médias aux ordres des pitres qui nous dirigent assènent que la violence c’est mal, que la guerre c’est laid et que l’Ukraine est un pays merveilleux d’où, curieusement, vient aujourd’hui TOUT ce que nous consommons… !


    Les mêmes médias pleurnichent et s’apitoient sur l’affaire de la tuerie de l’école primaire au Texas par un psychopathe, mais pas un mot sur l’envoi en masse, par un autre psychopathe (Macron), d’armes de guerre et de forces spéciales françaises en Ukraine pour l’aider à vaincre la Russie en engendrant encore plus de morts, de blessés et de mutilés de guerre ukrainiens…
    Il faudrait savoir si la violence et la guerre c’est mal ou pas… ?
    Évidemment, on nous repasse à l’occasion le vieux film de la liberté d’être armé aux USA comme à chaque occasion d’une tuerie quelconque.

    Être armé devrait être un droit habituel dans tout pays de droit et de liberté. Les armes ne tuent jamais. Ce sont les hommes qui tuent et ils peuvent tuer avec n’importe quel moyen, même une bonne grosse pierre pour fracasser le crâne de l’autre.
    Que ce soit un couteau, un pistolet ou une bombe atomique, il y a toujours un type qui en fait usage ou appuie sur un bouton.
    Ce n’est pas l’arme qui tue, mais celui qui s’en sert. J’ai été artilleur et je sais qu’un canon de 155 dans un entrepôt ne tuera jamais personne.

    Je pense aussi que le droit d’être armé en France devrait figurer dans notre Constitution sous un certain nombre de conditions.
    En temps de paix, acquisition et détention d’armes simples, de poing ou des carabines à réarmement manuel, mais pas d’armes automatiques de guerre.
    5 cartouches maximum dans le chargeur, mais avec la possibilité d’avoir plusieurs chargeurs à disposition.

    Ensuite, pour toute demande d’acquisition, une chose dont on ne parle jamais, un examen psychiatrique en deux ou trois séances obligatoires devant un psychiatre et pas de casier judiciaire à part pour des délits mineurs comme de petites infractions routières sans violence ni conséquences.
    Les délits de violence volontaires, vols avec armes, viols et crimes de sang sont exclus, bien évidemment.
    Également l’appartenance à n’importe quel groupe humain incitant à la haine et à la violence contre d’autres humains, exclut automatiquement du droit à l’acquisition et la détention d’armes, notamment les groupuscules nazis ou autres violents ou les musulmans dont l’idéologie inclus dans ses textes le meurtre de tous ceux qui ne sont pas comme eux (voir Coran, charia et hadiths).

     
    Le simple port d’une arme n’empêchera jamais de se faire égorger par surprise (spécialité de nos amis au croissant vert).
    Le droit d’être armé chez soi devrait être libre . Par contre, en cas de besoin majeur de porter son arme sur soi (certains métiers, activités ou certains lieux) il devrait être obligatoire de le déclarer aux autorités de police par un simple courrier précisant les dates des périodes d’usage.
    Il n’y a pas de raison qu 'en France seuls les bandits et les terroristes soient armés en toute impunité avec le feu vert du gouvernement !...

    Macron, l’État, les institutions, les médias et les réseaux sociaux (grands détenteurs et diffuseurs de la nouvelle morale universelle islamogauchiste) tentent de nous culpabiliser sans arrêt par rapport à la haine et à la violence qu' eux mêmes ont engendrées.

    Nos dirigeants qui ne respectent pas les français, ne font pas leur travail et nous abreuvent de mots d’amour, de paix, de solidarité, d’accueil, de partage, de respect, etc.
    On se doit certes d'accueillir les Ukrainiens , au moins les vrais, femmes et enfants qui fuient la guerre et la ruine de leur pays provoquées par leur chef d’État nazi, acteur et clown de service sous la coupe des USA, de l’OTAN, de l’UE et de l’ONU.

    Leur but est que l’Ukraine entre dans l’OTAN (qui aurait dû être dissoute depuis au moins 40 ans) et permette la mise en place sur son sol de vecteurs balistiques tactiques nucléaires pointés sur la Russie. C’est la seule raison des USA dévorés par leur haine de la Russie et leur volonté de continuer à être les maîtres du monde pour nous imposer leur loi.


    La Russie a raison de refuser cela.

    À côté de ça, Macron envoie de l’argent (12 milliards d' euros)  à l’Ukraine pour l’aider à « gagner la guerre contre la Russie » qui est bien plus puissante…
    La France envoie aussi des canons Caesar et des missiles Milan, tandis que les USA et l’Angleterre envoient aussi des véhicules blindés, des drones explosifs et des missiles antichars.
    Le territoire ukrainien pourrait devenir, à l’image de pays comme la Syrie ou l’Irak, des territoires de guerre permanents où les maîtres du monde jouent aux échecs et commercialisent les armes de guerre qu’ils produisent…Et ces armes pourront demain se retourner contre nous !

    Tout ce que fait Macron ( chef d’État inopérant qui a dépassé sa date d’obsolescence programmée) en accord avec ce chien de Zelenski, c’est de prolonger cette guerre dans la durée et de permettre largement à Poutine de détruire plus totalement le pays et de tuer encore plus de populations ukrainiennes innocentes.
    Macron, le grand stratège devant l’Éternel, ne connaît rien à la guerre (ni à quoi que ce soit d’autre, d’ailleurs) et en particulier aux dégâts que peuvent provoquer des pièces d’artillerie mal encadrées (PC de tir).  Quand on tire au canon à 5, 10, 15, 20 ou 25 kilomètres, on ne voit pas sur quoi on tire... Et on peut tout autant détruire des structures amies qu’ennemies et tuer des gens du camp adverse comme de son propre camp.
    Macron est bel et bien un assassin, une fois encore, par ses mauvais choix et ses décisions absurdes.

    Macron grand chef de guerre et assassin détourné, incapable de gérer un pays de 67 millions d’habitants dont une majorité lobotomisée a voté pour lui…
    Ainsi, les médias encensent ce "grand chef de guerre" (qui n’a jamais touché une arme de toute sa vie) et veulent en faire un héros au service de la paix alors que ce n'est qu'un bouffon…
    On oublie aussi tous les crimes, assassinats et égorgements rituels commis en France chaque jour contre notre propre peuple (Français de souche,  chrétien ou juif) par des populations immigrées arabo-africaines au nom d’un culte sectaire barbare et génocidaire, sous le regard très bienveillant et approbateur du grand criminel Macron et de son ministricule Moussa Darmanin…
    Mais si un islamogauchiste se fait trucider, on en fait un débat pendant six mois.

     La réalité est que l’Ukraine est en ruine, finie, lessivée, rectifiée et a déposé les armes depuis longtemps et une grande partie des dernières troupes lucides ont déjà démissionné sagement face à une guerre qui les dépasse et dont ils savent qu’elle est d’ores et déjà perdue.
    Ils ne veulent pas être les derniers cadavres à joncher les rues et préfèrent rentrer chez eux.

    Les dernières poches de combattants survivants à résister encore sont ces fameux nazis qui savent qu’ils seront exécutés par l’armée russe pour leurs crimes contre les Russes et la population ukrainienne.

    Et toutes les absurdités distillées par les médias concernant la faiblesse de la Russie et une hypothétique maladie de Poutine ne sont que du vent.