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Persécutions chrétiennes - Page 16

  • Comment Macron utilise le covid et le terrorisme pour mettre en place la gouvernance mondiale .

     

    L’infernale conjuration contre les peuples !

    Le glas pour ceux dont la confiance a été trahie par une classe politique déchue et se font égorger au coin de la rue ou en allant prier de bon matin. Trahis par des gens qui gouvernent par la manipulation et le mensonge… et qui le payent de leur vie sous le couteau de fanatiques téléguidés, ou qui se suicident parce que leur vie est ruinée par une mondialisation aggravée de crise sanitaire. Mondialisation qui nous a rendus d’une extrême vulnérabilité… parce qu’entre autres la division internationale de la production et du travail s’est traduite chez nous par l’instauration d’une économie de services, d’une désindustrialisation massive et une dépendance pernicieuse, voire funeste, à cette manne conjoncturelle et volatile qu’est le tourisme. Quelques attentats retentissants, une mauvaise grippe politiquement surexploitée et nos hôtels, nos musées, nos stations balnéaires se vident et descendent les rideaux des commerces en faillites. Exeunt les classes moyennes, forces vives de la Nation !

    Or pour ceux qui ne s’en seraient pas vraiment encore rendus compte, nous sommes aujourd’hui parvenus à un point de rupture… Ce qu’il convient d’appeler un changement de « paradigme civilisationnel » parce que le monde est littéralement, sous nos yeux, en train de changer de face. Non tant en raison des actes de terrorisme et de barbarie qui se multiplient sur notre territoire et en Europe de l’Ouest, ou encore d’arbitraires confinements à répétition des populations sous couvert de sauver des vies, celles par exemple de ces vieillards que l’on a sacrifiés sans états d’âme lors de la crise du mois de mars… Des péripéties odieuses, insupportables mais qui, toute raison gardée, en soi ne devraient pas être fondamentalement irréparables. Encore que ? Si le présent bouclage de la France devait se poursuivre en 2021 que resterait-il alors de notre économie ? Les classes moyennes auront été en partie laminées par la démocratie social-libérale ainsi que le prévoyait le Manifeste de 1848 de Friedrich Engels et de Karl Marx. 

     

    LA FIN DES CLASSES MOYENNES 

     

    Il est loisible, à ce sujet, de se demander si effectivement cette élimination des classes intermédiaires, autonomes, ne figure pas au rang des effets recherchés par le déclenchement et la prolongation d’une crise en grande partie artificielle. Ne perdons jamais de vue que la Suède n’a imposé à ce jour aucune des restrictions coercitives (que nous avons subies et qui nous sont à nouveau imposées) et qu’elle n’a pas pour autant été rayée de la carte. Mais chut, évitons d’évoquer ce contre-exemple et les « Gaulois réfractaires » continueront de filer doux. 

    De même que la crise aurait dû avoir l’avantage de vider les bas-de-laine des Français (5 367 milliards au 1er avril 2020) au profit de l’économie via la consommation en remettant en circulation d’importantes liquidités… Horreur, c’est le contraire qui est advenu ! Les sournoises espérances de notre administration sont mort-nées. La spoliation déguisée ne s’étant pas faite spontanément, nul n’exclut plus que l’État pourrait dans un futur proche recourir à des méthodes contraignantes pour ponctionner l’épargne du pays réel. Et de la rumeur à l’acte, il n’y a qu’un pas ! Reste que, quels qu’en soient les conséquences économiques et les dégâts sociaux induits par une gestion volontairement catastrophique de la crise sanitaire, au stade où nous en sommes, le mal pourrait n’être pas encore incurable de sorte que le pronostic vital du pays ne serait pas définitivement engagé, aussi profondément fût-il atteint dans ses œuvres vives, morales et économiques… 

     

    UN NARRATIF DÉPLORABLE 

     

    Au demeurant, plus le temps passe et plus il apparaît que rien ne tient vraiment debout dans le narratif officiel ! Même s’il n’est pas toujours facile de démêler les tenants et les aboutissants, quoique de plus en plus nombreux sont ceux qui commencent à douter de la véracité de la présentation officielle des événements et de la dangerosité d’une épidémie qui — chiffres à l’appui — ne détermine aucune surmortalité significative à l’échelle européenne par rapport aux flambées virales de ces quarante dernières années… Pour Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS, dans un texte cosigné par trois cent-cinquante personnalités scientifiques de premier plan, publié le 28 octobre [theworldnews.net], tout cela est cousu de fil blanc.

    En effet, nul n’ignore plus en substance que le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée pendant deux mois en s’appuyant exclusivement sur les indicateurs les plus alarmants et en les changeant chaque fois que nécessaire afin de toujours envoyer le message le plus anxiogène possible. Le 27 octobre, la manipulation aura atteint un niveau inouï. La totalité des media a titré sur les prétendus 523 morts, « du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était mensonger. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital, contre 257 la veille. Mais comme l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours, compter les morts quotidiens le même jour revient à gonfler artificiellement les chiffres… à la veille de l’allocution du président de la République qui a évidemment repris à son compte ce chiffre trafiqué. 

    Malheureusement la connaissance de ces trucages statistiques éhontés, multidimensionnels autant que permanents, n’est accessible qu’à une minorité de spécialistes aptes à les décortiquer et… évidemment n’atteint pas la masse, bernée et lanternée par des médiacrates dont l’ignorance volontaire (leur paresse intellectuelle n’expliquant pas tout) est calamiteuse. Grâce au Ciel, cela commence à se savoir et, même si des questions de préséance institutionnelle ont été avancées, le Sénat vient de retoquer la loi d’urgence sanitaire et le confinement (ce qui annule toutes les pénalités infligées jusqu’à ce qu’un nouveau vote de la chambre haute vienne invalider le premier) : au lendemain de l’annonce par le président Macron du reconfinement, le Sénat rejetait par 178 voix contre, 130 voix pour, 27 abstentions, la prorogation de l’état d’urgence sanitaire et ses mesures d’accompagnement présentées par le Premier ministre [publicsenat.fr29oct20]. D’ailleurs — même pour les non-initiés aux arcanes de l’architectonie mondialiste —, tous ces événements paraissent tellement absurdes, incohérents et incongrus qu’un nombre toujours croissant de sceptiques pense que cette pseudo-crise serait finalement “organisée” de toutes pièces. La pensée et les analyses complotistes gagnent indéniablement du terrain !

    Car nous avons bien affaire à une imposture, celle-ci consistant à prendre prétexte d’une maladie dont le taux de létalité oscille selon les études entre 0,1 % et 0,6 %, pour justifier des mesures qui ruinent le pays tout entier!

    Apparemment dans le but inavoué (parce qu’inavouable) de mettre la France à genoux cela afin de conduire des politiques de déconstruction de l’État et de la Nation, lesquelles feraient horreur aux Français s’ils en comprenaient conscience et en percevaient la portée réelle. En d’autres termes, « la crise du Covid-19 » n’est qu’un vaste complot, une machination à visées antinationales fomentée par les plus hautes autorités de l’État, en particulier par le président de la République ce qui conduit à dire que nous ne pourrons sortir de cette crise qu’en “dégageant” les pseudo-élites dévoyées et compradores qui nous mènent en bateau [droiteligne30oct20].

    Un bateau ivre qui se dirige droit vers les hauts fonds de la guerre civile sur le cap des tempêtes des confrontations internationales… Ayons à l’esprit le sanglant conflit turco-arménien (cinq mille morts en quelques semaines) et le Proche-Orient, poudrière instable comparable à celle qui souffla le port de Beyrouth et une partie de la ville. Destitution manu militari et jugement pour haute trahison, tel devrait être par voie de conséquence le traitement applicable à nos bons dirigeants pour les temps à venir…

     

    LES DEUX MÂCHOIRES DE LA PEUR AU QUOTIDIEN

     

    Dans cet ordre d’idées, comprenons que le terrorisme à la petite semaine et la pandémie — tous deux bien réels — sont pareillement et merveilleusement mis en scène. Que tous deux ne sont que la partie émergée d’une machination autrement redoutable et surtout, ne doivent pas être regardés en soi, séparément, indépendamment l’un de l’autre ou du contexte général… mais comme des éléments saillants participant d’un plan de bataille aux finalités hélas invisibles aux yeux de la multitude.

    Covid et terrorisme sont à ce titre des outils, les deux mâchoires d’une seule et même stratégie du choc — un traumatisme collectif — destinée à nous conduire en marche forcée, la peur au ventre et la baïonnette dans les reins, à accepter voire à désirer une gouvernance supranationale passant par la soumission intégrale des peuples aux oukases de la dictature sanitaire, elle-même faux-nez de l’asservissement collectif aux cryptarchies régnantes déguisées en gouvernance mondiale : passeport vaccinal par puçage, traçage et contrôle social grâce à des permis de citoyenneté à points, etc. 

    Aujourd’hui la peur possède deux visages, la maladie sournoise et le couteau du boucher, le second poussant, incitant à se réfugier frileusement dans les jupes de la République… sachant que tout est fait, en particulier dans notre pays, pour faciliter la prolifération des candidats au martyre via l’assassinat sordide. Notons qu’après le carnage de Nice à la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption, le ministère de l’Intérieur a fait montre de sollicitude en peuplant les parvis de nos églises de policiers fortement armés.

    L’État est présent et prétend nous protèger pour mieux nous faire oublier que ce même État maintient nos frontières ouvertes et qu’il encourage au blasphème de la catholicité et de l’islam, c’est-à-dire érige en droit la libre expression du mépris d’autrui… à travers la faculté d’insulter les croyances les plus sacrées de populations d’importation auxquelles nous avons grand ouvert les portes de la Cité pour mieux casser notre matrice ethnoculturelle, autrement dit helléno-catholique, laquelle s’incarne dès l’origine dans et par Athènes et Jérusalem. 

     

    Ils nous veulent à genoux !

    Jusqu'où iront-ils dans la déraison, dans la folie et dans le crime ? Alors même que les chiffres de l’INSEE, pourtant organisme des plus officiels, indiquent que le nombre de décès en France pour les huit premiers mois de l’année, est resté quasiment identique entre 2019 et 2020, que la moyenne d’âge des personnes mourant du Covid 19 est de 84 ans, ce qui correspond à l’actuelle espérance de vie des Français, le chef de l’Etat a pourtant décidé de reconfiner totalement le pays. Depuis le jeudi 28 octobre à minuit jusqu’au 1er décembre a minima. Mais on nous laisse entendre que ce confinement pourrait durer beaucoup plus longtemps, et qu’il pourrait même se durcir, au risque de détruire ce qui ne l’avait pas encore été il y a six mois. Comme si cela ne suffisait pas, après la première vague du printemps 2020 et la seconde de cet automne, voici que le président du sacro-saint Conseil scientifique nous annonce une troisième vague pour… le printemps 2021. Nous n’avons décidément pas le temps de respirer. Au propre comme au figuré puisque l’on impose désormais le port de masque à tout un chacun, y compris à des enfants de six ans, ce qui est une pure folie et une brimade insupportable. 

    On nous exhorte même vivement à garder le masque chez soi en famille, en permanence, y compris les enfants...

    Nous sommes enrégimentés, infantilisés, esclavagisés, tyrannisés d’une manière absolument effrayante, sidérante, stupéfiante. Sans que jusque-là cela ne suscite beaucoup de réactions. Car, contrairement aux Italiens qui se sont soulevés dans de nombreuses villes, de Naples à Milan, refusant de nouvelles mesures draconiennes tuant le commerce et détruisant les libertés fondamentales de circulation et de réunion, les Français pour l’heure, semblent résignés, apathiques, tels des moutons que l’on mène à l’abattoir. Sans doute faut-il qu’ils digèrent l’épisode des gilets jaunes qui a duré et dont la répression a été féroce avant qu’ils ne se révoltent peut-être à nouveau . Mais il est vrai que tout est fait pour qu’ils aient peur et l’on sait que quelqu’un qui est saisi par la crainte voire la panique peut être très facilement manipulé, dominé, opprimé. La multiplication sur notre sol des attentats spectaculaires, des égorgements et des décapitations dont les Charlie par leurs odieuses provocations sont les premiers responsables ont évidemment un effet de sidération sur le grand public. 

     

    On a le sentiment d’être les spectateurs impuissants d’une mise en scène exécutée sous nos yeux et qui a pour but de mettre au pas l’humanité tout entière, et d’abord l’Occident anciennement chrétien. Dès cet été, on parlait ici et là d’un reconfinement en octobre en France. C’est finalement bel et bien ce qui s’est passé.

    Dès le mois de mars, Jacques Attali avertissait que plus rien ne serait comme avant, qu’il fallait désormais s’habituer à vivre autrement! ...

    Des propos incompréhensibles s’il s’agit seulement de combattre un simple virus dont la durée de vie est forcément limitée dans le temps et qui ne saurait à soi seul justifier un changement de paradigme civilisationnel.

    C’est donc bien qu’il y a une volonté planétaire de procéder à une grande réinitialisation, de domestiquer les peuples, de leur imposer les vaccins, les vices et immondices de l’hyper-classe mondiale pour mieux les broyer et les tenir captifs, de limiter drastiquement leurs libertés. Est-il ainsi acceptable que les lieux de culte et de pèlerinage (la grotte de Lourdes n’est ainsi plus accessible au public depuis le 3 novembre, ce qui est une infamie) soient fermés, qu’il soit impossible de remplir le précepte dominical à l’église alors même que tous les commerces alimentaires restent ouverts, ainsi que les écoles, de la maternelle aux lycées, et qu’il est permis d’aller au bureau ou à l’usine pour travailler ? La nourriture terrestre est assurée, mais quid de la nourriture céleste ?

    On veut imposer à tous la devise “métro-boulot-dodo” et empêcher toute vie spirituelle et tout contact chaleureux, convivial avec de la famille et des amis, si nécessaires pourtant à l’épanouissement personnel, à l’équilibre psychique, et qui fait partie de la joie de vivre. C’est que, pour les nihilistes qui nous gouvernent, la religion non seulement n’est pas essentielle, mais elle est à combattre car elle s’oppose à la vision du monde maçonnique et arc-en-ciel pro-LGBT, favorable au droit au blasphème, à la destruction de la famille traditionnelle et de la morale naturelle. Dans leur volonté de tout codifier, de tout régenter, les pouvoirs publics autorisent les mariages à condition qu’il n’y ait pas plus de six personnes à la cérémonie et les enterrements si l’assemblée n’excède pas trente personnes. Pourquoi des mesures aussi anti-sociales, aussi inhumaines et que rien ne justifie quand on se penche sur le nombre réel de décès dû au coronavirus ?

     

    Ils n’ont eu de cesse de réduire les lits des hôpitaux, ils n’ont pas commandé en nombre suffisant des respirateurs et ce sont les Français dans leur ensemble, et singulièrement les classes moyennes, les indépendants, le monde entrepreneurial qui doivent être immolés sur l’autel de l’incompétence, de l’inconséquence, ou plutôt du cynisme de ceux qui nous dirigent et qui n’ont d’autre but que de nous détruire, de nous mettre à genoux. Après avoir détruit la paysannerie française avec la Politique agricole commune, après avoir démantelé l’industrie française avec les délocalisations, le libre-échange et l’excès de charges, d’impôts et de tracasseries administratives, voici que l’on tue froidement le secteur tertiaire, celui des services : la restauration, l’hôtellerie, les fleuristes, les libraires, les bars et les cafés, et tant d’autres artisans et commerçants. Qui ne voit qu’il ne s’agit pas là du hasard ou de la faute à pas de chance mais d’une volonté implacable de détruire l’économie, et donc des vies ? La Suède qui n’a pas confiné sa population n’a pas été plus touchée par le virus que notre pays, bien au contraire.

    Ce que l’on nous présente donc comme obligatoire, incontournable, indispensable, inexorable (le confinement) ne l’est nullement. Sauf bien sûr s’il s’agit de détruire ce qui ne l’est pas encore et de conduire notre pays à l’abîme.

     

    On ne peut aucunement faire confiance aux “élites” politiques, médiatiques et enseignantes qui nous ont conduits là où nous en sommes. Elles dénoncent tout à coup l’islamisme (mais nullement l’immigration de masse, notez-le) alors qu’elles n’ont eu de cesse de désarmer notre pays contre toute forme d’invasion et de submersion, qu’elles ont dénoncé et fait condamner en justice les nationaux et nationalistes qui s’opposaient à cette colonisation à rebours.

    Et dans le formatage des esprits à l’antiracisme unilatéral, l’Education nationale a joué, et continue de jouer, un rôle de premier plan. Nous avons donc plus de compassion pour les trois victimes sauvagement égorgées à la basilique de Nice que pour tous les Charlie du monde qui n’ont que l’insulte et le blasphème à la bouche. Qu’ils ne croient en rien est une chose, cela les regarde, mais qu’ils insultent bassement la foi et les croyances des autres, qu’ils blasphèment en permanence en est une autre. Par leurs odieuses provocations parfaitement préméditées et exécutées, et alors qu’il y a des millions de mahométans en France qu’ils ont fait venir, ils mettent en danger tous les Français. Ceux qui résident à l’étranger dans des pays mahométans mais aussi bien sûr tous ceux qui vivent en France. Ils n’ont d’autre but que de conduire au chaos et à la guerre civile. 

    Face à ces manœuvres mortifères, il nous faut garder lucidité et sang-froid et éviter de sombrer dans les pièges où l’on veut nous faire tomber. Nous n’avons pas à être ou à devenir Charlie. Aujourd’hui, on veut nous pousser à adopter la “religion” Charlie, à faire nôtres la laïcité et les valeurs de la République qui nous ont conduits au chaos, il en est hors de question.

    C’est cette République, ignoble depuis l’origine, qui a conduit à la fragmentation et à la dissolution du pays.

    Ce n’est pas avec ce régime politique contre-nature et diabolique que l’on sauvera quoi que ce soit. Son élimination est le préalable indispensable à tout changement de cap et à toute renaissance nationale. En espérant qu’il n’est pas déjà trop tard.

     

  • 851 immigrés clandestins fichés pour “radicalisation à caractère terroriste” mais seuls 231 devraient être expulsés ! ...

     

     

    Mardi, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a communiqué sur les bienfaits de l’immigration.

    On apprend ainsi que 851 immigrés clandestins seraient fichés pour “radicalisation à caractère terroriste”.

    Parmi ceux-ci, il y a 231 étrangers en situation irrégulière suivis pour radicalisation “qu’il nous faut expulser“, dont 180 actuellement incarcérés, a déclaré le ministre de l’Intérieur lors de la première présentation mensuelle des chiffres de l’activité des forces de l’ordre, ajoutant que 851 immigrés clandestins étaient inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste.

    Ce qui signifie que 620 de ces immigrés clandestins, bien que fichés pour “radicalisation à caractère terroriste”, devraient pouvoir continuer à séjourner sur le territoire français sans être inquiétés.

    On perçoit bien là la fausse poigne de fer d’Emmanuel Macron et de son gouvernement.

    Pour officiellement lutter contre le séparatisme islamique, le président Macron préfère s’en prendre aux familles – majoritairement catholiques – qui ont choisi l’instruction à domicile.

  • Le gouvernement mondial voulu par les juifs dont Jacques Attali est un actif promoteur .

     

    Tyrannie Sanitaire Mondiale 

    « L’histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que quand elle a vraiment peur […] une pandémie majeure fera alors surgir, mieux qu’aucun discours humanitaire ou écologique, la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé. […] Et, même si, comme il faut évidemment l’espérer, cette crise n’est pas très grave, il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d’en tirer les leçons, pour qu’avant la prochaine, inévitable, on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle et des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra pour cela mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. » Jacques Attali, 03/05/2009.

    Jacques Attali est un français influent d’origine juive, socialiste, conseiller politique et financier au plus haut niveau de l’Etat, dont la participation à la vie politique française et européenne des quarante dernières années a malheureusement été très importante. C’est l’un des principaux “gourous’ du mondialisme, un fervent immigrationniste et un farouche opposant aux frontières “fermées”, aux « replis identitaires » et à l’existence des souverainetés nationales.

    En 2009, en raison de la “pandémie” de grippe A (H1N1), il a expliqué avec une grande clarté le rôle que ces « crises pandémiques » jouent dans la mise en place progressive d’un gouvernement à l’échelle planétaire, dont le but serait de gérer efficacement les ressources de l’humanité, tant sur le plan économique que sanitaire, en vue de quoi « on devra pour cela mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale ». 

    Et il nous explique que le principal moteur pour accélérer le processus d’unification politique et économique mondiale est la peur : « l’histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que quand elle a vraiment peur. » Pour cet illuministe, la peur est l’outil fondamental en vue de la mise en place d’un gouvernement mondial unifié. Et les “pandémies”, l’un de ses principaux déclencheurs, avec les guerres et les crises financières mondiales.

    Jacques Attali a publié en 2011 un livre intitulé :" Demain, qui gouvernera le monde" ? dans lequel il prône l’unification de l’humanité sous la direction d’un gouvernement planétaire, garant de la paix universelle, seule solution pour la protéger du chaos généralisé qui la menace.

    Ci-dessous la brève présentation du livre, qui peut être consultée sur le site d’Amazon : « Demain, qui gouvernera le monde ? Les Etats-Unis ? La Chine ? L’Inde ? L’Europe ? Le G20 ? L’ONU ? Les multinationales ? Les mafias ? Quel pays, quelle coalition, quelle institution internationale aura les moyens de maîtriser les menaces écologiques, nucléaires, économiques, financières, sociales, politiques, militaires qui pèsent sur le monde ? Qui saura valoriser les formidables potentialités de toutes les cultures ? Faut-il laisser le pouvoir sur le monde aux religions ? Aux empires ? Aux marchés ? Ou bien faut-il le rendre aux nations en refermant les frontières ? Un jour l’humanité comprendra qu’elle a tout à gagner à se rassembler autour d’un gouvernement démocratique du monde, dépassant les intérêts des nations les plus puissantes, protégeant l’identité de chaque civilisation et gérant au mieux les intérêts de l’humanité. Un tel gouvernement existera un jour. Après un désastre, ou à sa place. Il est urgent d’oser y penser, pour le meilleur du monde. » !...

    Que nous faudrait-il donc savoir d’autre pour comprendre que la caste d’illuminés qui dirige en grande partie les événements mondiaux ne s’arrêtera devant aucun obstacle, tant qu’elle n’aura pas réussi à établir son gouvernement mondial ?

    Il faudrait être très naïf pour supposer que de tels génocidaires — étant tous des promoteurs actifs de l’euthanasie et de l’avortement, qui massacrent cinquante millions d’enfants chaque année — seraient incapables d’utiliser des moyens immoraux pour atteindre leur objectif, tels des attentats sous fausse bannière, le déclenchement d’une crise financière ou d’un conflit militaire, voire d’une “pandémie”…

    Comment les gens peuvent-ils croire aveuglément au récit officiel sur ce qui est en train de se passer ? Il faut, hélas, se rendre à l’évidence : le degré de lavage de cerveau effectué par les media de désinformation du système, instillant une panique continue, a porté ses fruits.

    La plupart des gens ont perdu toute trace d’esprit critique, d’indépendance de jugement et d’attachement à leur liberté personnelle, et sont prêts à tout sacrifier pour préserver leur santé et leur sécurité physique, prétendument menacées par cette « crise sanitaire mondiale », artificielle et aux chiffres trafiqués… 

    Les mondialistes doivent se frotter les mains, voyant à quel point tromper et manipuler la population mondiale en si peu de temps leur a été facile. Un véritable jeu d’enfant. « Du gâteau », doivent-ils se dire, vantards, avec un sourire narquois, parfaitement justifié. Du coup, le mot d’ordre, será, bien évidemment, ne varietur.

    Il leur suffira, pour continuer de mettre en oeuvre leur but, de persévérer dans la même stratégie très efficace consistant à semer la panique, à susciter la peur, attiser la crainte, semer l’incertitude, générer de l’angoisse et susciter sans arrêt la terreur chez les gens.

    Terreur sanitaire. Terreur économique. Terreur sociale. Terreur écologique. Terreur militaire. Terreur de n’importe quel type, sagement orchestrée et savamment exploitée pour serrer encore plus la vis d’un engrenage totalitaire de plus en plus sophistiqué, sur une population passive, amorphe, dépourvue de la moindre lucidité et avec une capacité de réaction pratiquement nulle, fruit d’un endoctrinement médiatique systématique et du pouvoir répressif de l’État. 

    Revenant à notre personnage, dans un reportage diffusé par la chaîne Public "Sénat" le 16 février 2010, intitulé "L’avenir de Jérusalem", Jacques Attali a déclaré : « On peut rêver d’un Jérusalem devenant capitale de la planète, qui sera un jour unifiée autour d’un gouvernement mundial. C’est un joli lieu pour un gouvernement mondial. »

    Le 5 juin 2010, sur la chaîne "Arrêt sur Images", Attali évoquait à nouveau la question de la gouvernance mondiale :

    « Je pense qu’il faut viser le gouvernement mondial comme une stratégie. D’ailleurs, quand les gouvernements parlent du G20, c’est une illusion, une sorte de retard avant le gouvernement mondial. On va vers ça. Est-ce qu’on ira à la place de la guerre, ou après la guerre, je ne sais pas. Mais c’est ça qu’il faut viser. »

    UN GOUVERNEMENT MONDIAL

    Le 9 avril 2011, sur la chaîne Public "Sénat", Attali s’est à nouveau exprimé sur la question du gouvernement mondial : « D’abord, il y a une chose qui peut se faire en 24 heures : fusionner le Conseil de Sécurité, le G-20 et le Comité Monétaire du FMI. C’est-à-dire, les trois instances clés […] C’est tout simple. Si aujourd’hui vous fusionnez le Conseil de Sécurité et le G-20, vous avez un gouvernement mondial efficace. Si vous y mettez le Fonds Monétaire, vous avez un instrument d’action. C’est très simple, ça peut se décider en 24 heures. […] Aucune nation n’est à la hauteur des problèmes mondiaux. […] La seule chose qui peut l’être, c’est un conseil de sécurité planétaire, avec un vrai exécutif planétaire. Ça aura lieu. Toute la question est de savoir si ça aura lieu après une catastrophe ou à la place d’une catastrophe. »

    Déjà dans un reportage de 1981, publié dans le livre "L’avenir de la vie", Attali parlait de sa manière de concevoir la liberté, l’euthanasie et le suicide, dans le cadre d’une future société planétaire régie par une sorte de synthèse monstrueuse de capitalisme et socialisme :

    « Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. […] Il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle se détériore progressivement. On pourrait accepter l’idée d’allongement de l’espérance de vie à condition de rendre les vieux solvables et créer ainsi un marché. Je suis […] contre l’allongement de la vie parce que c’est un faux problème. L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures. […] La logique socialiste, c’est la liberté et la liberté fondamentale, c’est le suicide; en conséquence, le droit au suicide […] est une valeur absolue dans ce type de société. Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future. »

    Il semble essentiel de garder à l’esprit qu’il n’est pas possible de se faire une idée complète de la situation actuelle sans porter un regard théologique sur les événements qui se déroulent sous nos yeux, notamment depuis le début de cette année et le déclenchement de cette prétendue pandémie. Regard théologique donc et, pour être plus précis, eschatologique. Le livre de l’Apocalypse, dans son treizième chapitre, décrit le panorama que ce monde unifié politiquement et religieusement offrira, sous le commandement de l’Antéchrist et du Faux Prophète, tous deux au service du Dragon, avec les « habitants de la terre » succombant massivement à la tromperie universelle montée par cette trinité diabolique. Et quiconque ne se laissera pas emporter par son pouvoir de séduction, et refusera de recevoir « la marque de la bête » sur sa main droite ou sur son front, ne pourra « acheter ni vendre », deviendra un paria social et subira une persécution impitoyable. 

    Tout ce qui se passe depuis le début de cette mascarade grotesque va dans ce sens : l’objectif ultime est celui d’établir ce Nouvel Ordre Mondial tant rêvé par l’ "élite illuministe", et à la tête duquel se trouve l’Homme du Péché.

    Cette « crise sanitaire mondiale » nous a fait entrer pleinement dans la dernière ligne droite qui conduit inexorablement aux temps eschatologiques annoncés par l’apôtre Saint Jean. La période historique appellée « Apocalypse » se réfère, bibliquement, au temps qui précédera la Parousie ou retour glorieux de Jésus-Christ, et sa durée est de sept ans. Le livre de Daniel est très précis à cet égard : il y est question d’une « semaine d’années », dans sa célèbre prophétie des soixante-dix semaines, a la fin du chapitre neuf. Cette semaine d’années — c’est-à-dire, l’ensemble d’événements annoncés dans l’Apocalypse —, sera extrêmement pénible et difficile à supporter, pour utiliser un euphémisme. En effet, le Christ l’a très clairement dit : « Alors, en effet, il y aura une grande détresse, telle qu’il n’y en a jamais eu depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant, et telle qu’il n’y en aura jamais plus » (Mt. 24, 21).

    Pour ne pas succomber au découragement, nous devrons nous armer de patience et nous confier à la protection de Dieu, avec une foi vive et une grande espérance en sa miséricorde. Jésus-Christ nous a enseigné que, lorsque ces temps arriveront, loin de nous laisser emporter par le découragement, notre espérance doit redoubler, car cela signifiera que son retour glorieux est très proche, et avec lui, notre délivrance : « Quand ces événements commenceront, redressez-vous et relevez la tête, car votre rédemption approche » (Lc. 21, 28).

    Veillons donc et prions pour que, en ces temps sombres, nous persévérions dans la foi, l’espérance et la charité, en attendant la réalisation de la promesse divine : « Ceux qui ont l’intelligence resplendiront comme la splendeur du firmament, et ceux qui sont des maîtres de justice pour la multitude brilleront comme les étoiles pour toujours et à jamais » (Dn. 12, 3).