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mondialisme

  • Le gouvernement mondial voulu par les juifs dont Jacques Attali est un actif promoteur .

     

    Tyrannie Sanitaire Mondiale 

    « L’histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que quand elle a vraiment peur […] une pandémie majeure fera alors surgir, mieux qu’aucun discours humanitaire ou écologique, la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé. […] Et, même si, comme il faut évidemment l’espérer, cette crise n’est pas très grave, il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d’en tirer les leçons, pour qu’avant la prochaine, inévitable, on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle et des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra pour cela mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. » Jacques Attali, 03/05/2009.

    Jacques Attali est un français influent d’origine juive, socialiste, conseiller politique et financier au plus haut niveau de l’Etat, dont la participation à la vie politique française et européenne des quarante dernières années a malheureusement été très importante. C’est l’un des principaux “gourous’ du mondialisme, un fervent immigrationniste et un farouche opposant aux frontières “fermées”, aux « replis identitaires » et à l’existence des souverainetés nationales.

    En 2009, en raison de la “pandémie” de grippe A (H1N1), il a expliqué avec une grande clarté le rôle que ces « crises pandémiques » jouent dans la mise en place progressive d’un gouvernement à l’échelle planétaire, dont le but serait de gérer efficacement les ressources de l’humanité, tant sur le plan économique que sanitaire, en vue de quoi « on devra pour cela mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale ». 

    Et il nous explique que le principal moteur pour accélérer le processus d’unification politique et économique mondiale est la peur : « l’histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que quand elle a vraiment peur. » Pour cet illuministe, la peur est l’outil fondamental en vue de la mise en place d’un gouvernement mondial unifié. Et les “pandémies”, l’un de ses principaux déclencheurs, avec les guerres et les crises financières mondiales.

    Jacques Attali a publié en 2011 un livre intitulé :" Demain, qui gouvernera le monde" ? dans lequel il prône l’unification de l’humanité sous la direction d’un gouvernement planétaire, garant de la paix universelle, seule solution pour la protéger du chaos généralisé qui la menace.

    Ci-dessous la brève présentation du livre, qui peut être consultée sur le site d’Amazon : « Demain, qui gouvernera le monde ? Les Etats-Unis ? La Chine ? L’Inde ? L’Europe ? Le G20 ? L’ONU ? Les multinationales ? Les mafias ? Quel pays, quelle coalition, quelle institution internationale aura les moyens de maîtriser les menaces écologiques, nucléaires, économiques, financières, sociales, politiques, militaires qui pèsent sur le monde ? Qui saura valoriser les formidables potentialités de toutes les cultures ? Faut-il laisser le pouvoir sur le monde aux religions ? Aux empires ? Aux marchés ? Ou bien faut-il le rendre aux nations en refermant les frontières ? Un jour l’humanité comprendra qu’elle a tout à gagner à se rassembler autour d’un gouvernement démocratique du monde, dépassant les intérêts des nations les plus puissantes, protégeant l’identité de chaque civilisation et gérant au mieux les intérêts de l’humanité. Un tel gouvernement existera un jour. Après un désastre, ou à sa place. Il est urgent d’oser y penser, pour le meilleur du monde. » !...

    Que nous faudrait-il donc savoir d’autre pour comprendre que la caste d’illuminés qui dirige en grande partie les événements mondiaux ne s’arrêtera devant aucun obstacle, tant qu’elle n’aura pas réussi à établir son gouvernement mondial ?

    Il faudrait être très naïf pour supposer que de tels génocidaires — étant tous des promoteurs actifs de l’euthanasie et de l’avortement, qui massacrent cinquante millions d’enfants chaque année — seraient incapables d’utiliser des moyens immoraux pour atteindre leur objectif, tels des attentats sous fausse bannière, le déclenchement d’une crise financière ou d’un conflit militaire, voire d’une “pandémie”…

    Comment les gens peuvent-ils croire aveuglément au récit officiel sur ce qui est en train de se passer ? Il faut, hélas, se rendre à l’évidence : le degré de lavage de cerveau effectué par les media de désinformation du système, instillant une panique continue, a porté ses fruits.

    La plupart des gens ont perdu toute trace d’esprit critique, d’indépendance de jugement et d’attachement à leur liberté personnelle, et sont prêts à tout sacrifier pour préserver leur santé et leur sécurité physique, prétendument menacées par cette « crise sanitaire mondiale », artificielle et aux chiffres trafiqués… 

    Les mondialistes doivent se frotter les mains, voyant à quel point tromper et manipuler la population mondiale en si peu de temps leur a été facile. Un véritable jeu d’enfant. « Du gâteau », doivent-ils se dire, vantards, avec un sourire narquois, parfaitement justifié. Du coup, le mot d’ordre, será, bien évidemment, ne varietur.

    Il leur suffira, pour continuer de mettre en oeuvre leur but, de persévérer dans la même stratégie très efficace consistant à semer la panique, à susciter la peur, attiser la crainte, semer l’incertitude, générer de l’angoisse et susciter sans arrêt la terreur chez les gens.

    Terreur sanitaire. Terreur économique. Terreur sociale. Terreur écologique. Terreur militaire. Terreur de n’importe quel type, sagement orchestrée et savamment exploitée pour serrer encore plus la vis d’un engrenage totalitaire de plus en plus sophistiqué, sur une population passive, amorphe, dépourvue de la moindre lucidité et avec une capacité de réaction pratiquement nulle, fruit d’un endoctrinement médiatique systématique et du pouvoir répressif de l’État. 

    Revenant à notre personnage, dans un reportage diffusé par la chaîne Public "Sénat" le 16 février 2010, intitulé "L’avenir de Jérusalem", Jacques Attali a déclaré : « On peut rêver d’un Jérusalem devenant capitale de la planète, qui sera un jour unifiée autour d’un gouvernement mundial. C’est un joli lieu pour un gouvernement mondial. »

    Le 5 juin 2010, sur la chaîne "Arrêt sur Images", Attali évoquait à nouveau la question de la gouvernance mondiale :

    « Je pense qu’il faut viser le gouvernement mondial comme une stratégie. D’ailleurs, quand les gouvernements parlent du G20, c’est une illusion, une sorte de retard avant le gouvernement mondial. On va vers ça. Est-ce qu’on ira à la place de la guerre, ou après la guerre, je ne sais pas. Mais c’est ça qu’il faut viser. »

    UN GOUVERNEMENT MONDIAL

    Le 9 avril 2011, sur la chaîne Public "Sénat", Attali s’est à nouveau exprimé sur la question du gouvernement mondial : « D’abord, il y a une chose qui peut se faire en 24 heures : fusionner le Conseil de Sécurité, le G-20 et le Comité Monétaire du FMI. C’est-à-dire, les trois instances clés […] C’est tout simple. Si aujourd’hui vous fusionnez le Conseil de Sécurité et le G-20, vous avez un gouvernement mondial efficace. Si vous y mettez le Fonds Monétaire, vous avez un instrument d’action. C’est très simple, ça peut se décider en 24 heures. […] Aucune nation n’est à la hauteur des problèmes mondiaux. […] La seule chose qui peut l’être, c’est un conseil de sécurité planétaire, avec un vrai exécutif planétaire. Ça aura lieu. Toute la question est de savoir si ça aura lieu après une catastrophe ou à la place d’une catastrophe. »

    Déjà dans un reportage de 1981, publié dans le livre "L’avenir de la vie", Attali parlait de sa manière de concevoir la liberté, l’euthanasie et le suicide, dans le cadre d’une future société planétaire régie par une sorte de synthèse monstrueuse de capitalisme et socialisme :

    « Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. […] Il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle se détériore progressivement. On pourrait accepter l’idée d’allongement de l’espérance de vie à condition de rendre les vieux solvables et créer ainsi un marché. Je suis […] contre l’allongement de la vie parce que c’est un faux problème. L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures. […] La logique socialiste, c’est la liberté et la liberté fondamentale, c’est le suicide; en conséquence, le droit au suicide […] est une valeur absolue dans ce type de société. Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future. »

    Il semble essentiel de garder à l’esprit qu’il n’est pas possible de se faire une idée complète de la situation actuelle sans porter un regard théologique sur les événements qui se déroulent sous nos yeux, notamment depuis le début de cette année et le déclenchement de cette prétendue pandémie. Regard théologique donc et, pour être plus précis, eschatologique. Le livre de l’Apocalypse, dans son treizième chapitre, décrit le panorama que ce monde unifié politiquement et religieusement offrira, sous le commandement de l’Antéchrist et du Faux Prophète, tous deux au service du Dragon, avec les « habitants de la terre » succombant massivement à la tromperie universelle montée par cette trinité diabolique. Et quiconque ne se laissera pas emporter par son pouvoir de séduction, et refusera de recevoir « la marque de la bête » sur sa main droite ou sur son front, ne pourra « acheter ni vendre », deviendra un paria social et subira une persécution impitoyable. 

    Tout ce qui se passe depuis le début de cette mascarade grotesque va dans ce sens : l’objectif ultime est celui d’établir ce Nouvel Ordre Mondial tant rêvé par l’ "élite illuministe", et à la tête duquel se trouve l’Homme du Péché.

    Cette « crise sanitaire mondiale » nous a fait entrer pleinement dans la dernière ligne droite qui conduit inexorablement aux temps eschatologiques annoncés par l’apôtre Saint Jean. La période historique appellée « Apocalypse » se réfère, bibliquement, au temps qui précédera la Parousie ou retour glorieux de Jésus-Christ, et sa durée est de sept ans. Le livre de Daniel est très précis à cet égard : il y est question d’une « semaine d’années », dans sa célèbre prophétie des soixante-dix semaines, a la fin du chapitre neuf. Cette semaine d’années — c’est-à-dire, l’ensemble d’événements annoncés dans l’Apocalypse —, sera extrêmement pénible et difficile à supporter, pour utiliser un euphémisme. En effet, le Christ l’a très clairement dit : « Alors, en effet, il y aura une grande détresse, telle qu’il n’y en a jamais eu depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant, et telle qu’il n’y en aura jamais plus » (Mt. 24, 21).

    Pour ne pas succomber au découragement, nous devrons nous armer de patience et nous confier à la protection de Dieu, avec une foi vive et une grande espérance en sa miséricorde. Jésus-Christ nous a enseigné que, lorsque ces temps arriveront, loin de nous laisser emporter par le découragement, notre espérance doit redoubler, car cela signifiera que son retour glorieux est très proche, et avec lui, notre délivrance : « Quand ces événements commenceront, redressez-vous et relevez la tête, car votre rédemption approche » (Lc. 21, 28).

    Veillons donc et prions pour que, en ces temps sombres, nous persévérions dans la foi, l’espérance et la charité, en attendant la réalisation de la promesse divine : « Ceux qui ont l’intelligence resplendiront comme la splendeur du firmament, et ceux qui sont des maîtres de justice pour la multitude brilleront comme les étoiles pour toujours et à jamais » (Dn. 12, 3).

     

     

  • Macron et son gouvernement de corruption .

     

    Visiblement tendu, le président de la République, dans l’allocution de treize minutes qu’il a prononcée depuis le palais de l’Elysée le 10 décembre au soir, n’avait d’autre but que de sauver sa peau et de sauver la face.

    Aussi a-t-il essayé d’éteindre l’incendie en promettant aux gilets jaunes la distribution de quelques pièces jaunes : une augmentation du SMIC de 100 euros (bruts, pas nets, ce qui n’est pas la même chose !) au 1er janvier 2019, la défiscalisation tant pour les entreprises que pour les salariés des heures supplémentaires, l’octroi recommandé mais facultatif par les employeurs d’une prime de Noël, elle aussi défiscalisée, et enfin la suppression de l’augmentation de la CSG en 2019 pour les retraites inférieures à 2000 euros.

    Ces quelques mesurettes prises sous la pression de la rue seront-elles suffisantes à calmer la colère, la détresse et le désarroi de millions de Français ? Il est a priori permis d’en douter, même si l’approche de la trêve des confiseurs pourrait peut-être, provisoirement au moins, nuire à la mobilisation. Reste qu’il ne s’agit là que de quelques miettes distribuées à contrecœur et avec répugnance, contraint et forcé, et que le compte n’y est pas.

    Aucun geste véritable et concret n’a en effet été fait en faveur du pouvoir d’achat, des salaires et des retraites. Les retraités dont la pension est égale ou supérieure à 2 000 euros bruts et les actifs dont le salaire est supérieur, même de très peu, au SMIC ne toucheront rien.

    Non plus que les travailleurs à temps partiel et les chômeurs en fin de droit. Rien de concret non plus n’a été dit sur le maintien des services publics (école, poste, maternité, commissariat…) dans les campagnes, rien sur la dévitalisation et la désertification de la ruralité,  rien sur la question vitale de l’immigration au moment même où le gouvernement français signe le désastreux pacte sur les migrations de l’ONU à Marrakech !

     

    IL faut rappeler qu’Emmanuel Macron, créature des Rothschild et d’Attali, était dans l’incapacité de donner satisfaction aux couches populaires et aux classes laborieuses, de contrecarrer le mouvement d’explosion des taxes et des impôts en tous genres et d’améliorer la qualité des services publics — on constate en effet que plus on paye d’impôts et de cotisations, moins il y a de services publics nombreux et performants, ce qui est un comble ! —, tout simplement parce que les gouvernements ne peuvent rien faire dans le cadre de l’Union européenne et d’une économie complètement soumise à la finance internationale.

    Il faut se souvenir du considérable endettement du pays qu’a favorisé la funeste loi Giscard-Pompidou-Rothschild du 3 janvier 1973, laquelle oblige l’Etat à emprunter avec intérêts sur les marchés alors que jusque-là la Banque de France prêtait sans intérêt aux pouvoirs publics.

    La dette au deuxième trimestre 2018 était de 2300 milliards d’euros, soit 99 % du produit intérieur brut, c’est-à-dire presque la totalité des richesses produites par la France en un an. François Fillon, alors Premier ministre de Nicolas Sarkozy, disait qu’il était à la tête d’un pays en faillite. La formule était exacte et les choses se sont encore aggravées depuis. A la dette il faut ajouter, et c’est encore plus effrayant, les intérêts de la dette payés aux requins de la finance (banques et compagnies d’assurance) que connaît bien Emmanuel Macron, bref au monde de Wall Street et de la City. Sait-on suffisamment que chaque seconde les intérêts de la dette coûtent environ 1 500 euros, que depuis le 1er janvier 2018 jusqu’à aujourd’hui ils s’élèvent à près de 45 milliards d’euros ? La France est insolvable, des pouvoirs corrompus et criminels l’ont complètement ruinée.

     

    A cela s’ajoutent, mais c’est évidemment lié, les contraintes de l’Union européenne qui ne laissent aux gouvernements des Etats membres, et surtout ceux de la zone euro, aucune marge de manœuvre, ni budgétaire, ni monétaire. La mise en œuvre de la monnaie unique s’est ainsi accompagnée d’une politique d’austérité et de chômage massifs. Puisque les gouvernements, pour recouvrer de la compétitivité, ne peuvent plus dévaluer, ils ne peuvent jouer que sur l’augmentation des impôts et des taxes et sur la baisse des salaires, des prestations et des pensions. D’où la situation actuelle.

    Enfin s’ajoutent les faux dogmes de la transition écologique et énergétique, de l’origine humaine du réchauffement climatique qui sont le prétexte, eux aussi, à une plus grande domestication des peuples et à une nouvelle flambée des prélèvements en tous genres dont la taxe carbone, le malus écologique pour les voitures familiales afin de lutter officiellement contre les prétendues  émissions de CO2.

    Naguère on parlait pareillement de la nécessité de lutter contre le trou de la couche d’ozone, et l’on sait maintenant qu’il s’agissait d’une vaste fumisterie. De la même manière, lorsqu’on nous parle de la fonte des banquises qui conduirait à la montée de la mer de sorte qu’on finirait par tous se noyer comme au temps du déluge,  il convient là aussi d’être sceptique. Il suffit en effet de mettre un glaçon dans un verre pour s’apercevoir que, lorsque le glaçon fond, l’eau dans le verre ne monte pas. Si vous en doutez, faites chez vous l’expérience, c’est saisissant, et cela permet de considérer les allégations des écolo-gauchistes pour ce qu’elles sont : des calembredaines. Mais ces sornettes ne sont malheureusement pas inoffensives car elles ont un coût financier et contribuent à culpabiliser et à surtaxer l’homme blanc, éternel souffre-douleur et vache à lait. 

     

    En quelques décennies on nous a imposé une prétendue mondialisation heureuse avec l’ouverture totale des frontières aux hommes, aux marchandises et aux capitaux, on a tué notre agriculture et notre industrie, on a refusé de pourvoir à notre autosuffisance alimentaire et énergétique, on a incité les nouvelles générations par le biais de la pilule contraceptive, du stérilet, du préservatif et de l’avortement à ne plus mettre au monde d’enfants mais à en importer en masse !

    Au nom de la construction d’une Union européenne qui est tout sauf une nation mais une entité supranationale et technocratique on a imposé le démantèlement pan après pan de tous nos attributs de souveraineté, de la maîtrise de nos frontières au pouvoir de battre monnaie jusqu’à notre corpus juridique et législatif jugé inférieur au droit européen et aux directives de la commission bruxelloise. 

    On a traité de racistes et de xénophobes les Français peu enthousiastes à l’idée d’accepter sans rien dire l’installation définitive et à jets continus de millions d’étrangers extra-européens sur leur sol. On a qualifié de ringards, de chauvins et d’arriérés les Français réfractaires à une Union européenne destructrice de leur identité, de leur souveraineté, de leurs emplois, de leur cadre de vie. Et après avoir accusé, dans des campagnes féministes historiques, les mâles blancs d’être des prédateurs et agresseurs sexuels en puissance (qu’on songe à la campagne de délation « balance ton porc »), après avoir traité d’“homophobes” passibles des tribunaux tous ceux qui étaient récalcitrants devant les revendications les plus folles du lobby LGBT, on accuse les Français qui ont besoin de leur voiture pour se déplacer, aller au travail, faire leurs courses, d’être des pollueurs, de n’avoir aucune conscience écologique, de ne pas s’intéresser à l’avenir de la planète et d’être responsable par leur comportement d’une cataclysmique fin du monde et ce alors que les diesel modernes n'ont jamais été aussi propres ! Est-il possible de manifester davantage d’arrogance, de mépris et de mauvaise foi à l’égard du peuple ?

    On évoque toujours le temps des rois où, nous assure-t-on, le peuple était persécuté et esclavagisé. Ce ne sont là que des balivernes car les taxations sous l’Ancien Régime n’ont jamais excédé 13 % du revenu. On est donc loin des quelque 50 % de prélèvements obligatoires actuels. 

    Macron a été élu en 2017 par effraction, la majorité du peuple ne souhaitant pas la politique rothschildienne, européiste, immigrationniste, mondialiste, pro-migrants et pro-LGBT, qu’il met en œuvre. Au moment où d’autres nations européennes et occidentales plaçaient au pouvoir des populistes et des droitiers, sur lesquels on peut certes émettre quelques réserves, la France élisait le représentant par excellence de l’oligarchie cosmopolite, le laquais de l’hyper-classe mondiale, le caniche de la haute finance. C’était un paradoxe, une étrangeté, un non-sens. Les faits étant têtus, c’est cette anomalie qui est en train d’exploser violemment au visage du plus corrompu et  juvénile des présidents que la France ait connus. 

     Analyse de son intervention du 10 décembre:

    Un certain malaise se dégageait hier au soir devant l’intervention télévisée d’Emmanuel Macron.

    On ne pouvait s' empêcher de penser à ces robots présentateurs d’émission fabriqués pour la télévision chinoise ou encore à la fixité flamboyante du regard des « accrocs » à la cocaïne. Rien de tel sans doute, et probablement plus le fait d’un regard trop nerveusement rivé sur le prompteur de lecture.

    Mais manifestement l’homme est à bout de souffle . Embourbé dans ses obsessions idéologiques d’écololâtre euro-mondialiste et enfoncé dans ses multiples dénis de réalité.

    Considérons-les successivement .

    • Sur son « mea culpa » ?

     Le débat moraliste sur la réalité de la sincérité de sa repentance n’a strictement aucun intérêt !

    • Sur les auteurs des violences ?

    Rien pour rectifier le gros mensonge de la logomachie politico-policière sur la convergence dans la casse de « l’ultra-gauche » et de « l’ultra-droite ». Ces derniers seraient-ils des génies de l’invisibilité et de l’insaisissabilité ? En a-t-on interpellé beaucoup ou même quelques-uns brisant des vitrines, pillant et vidant des magasins alors que parallèlement des milliers d' arrestations et de gardes à vue ont été menées contre les gilets jaunes ainsi que des agressions physiques non nombreuses contre les GJ?

    Pourquoi taire que les plus violents et les plus aguerris des émeutiers sont en effet de la faune de l’ultra-gauche, « antifas » et autres « black-bloc » ?

    Pourquoi taire que les pillards venus des « quartiers » comme on dit, - mais de quels quartiers ?- n’ont généralement pas des accents (basque, bourguignon et autres) de la diversité culturelle française mais relèvent plutôt du modèle rapeux de racisme anti-blanc de Nick Conrad ?

    Hélas, on sait où vont certains goûts « culturels » d’Emmanuel Macron...

    • Sur les mesures d’urgence économiques et sociales.

    Mr Macron, certes dans la continuité des régimes précédents, n’a nullement remis en cause la politique d’un État qui, tel les deux médecins Diaforus campés par Molière dans « le malade imaginaire », ne cesse de pratiquer des saignées fiscales pour en réinjecter ensuite ailleurs une moindre quantité pour laisser finalement l’économie cadavérique.

    Les mesures annoncées, comment les financera-t-on ?

    Avec quelles économies par ailleurs ?

    Et par exemple, pas un mot sur l’ultra-dispendieuse gabegie des « politiques de la ville », d’un coût faramineux pour l’État et les collectivités territoriales, avec leurs budgets engloutis dans les constants saccages des banlieues.

    - En revanche, aucune annonce sur le retour à la nécessaire indexation des retraites sur l’inflation et, pas d’avantage, sur la non moins nécessaire fin du plafonnement des allocations familiales. Comme si ce n’étaient pas deux mesures fondamentales de justice sociale et de reconstruction sociale.

    - On ne peut bien sûr qu’approuver le retour à la défiscalisation des heures supplémentaires et le refus du rétablissement de l’I.S.F, impôt en effet mythique pour la gauche mais bien plus coûteux qu’il ne rapporte.

    Mais le maintien en l’état de l’I.S.F.I. (impôt sur la fortune immobilière) est si mal conçu qu’il est trop souvent une cause de ruine pour des propriétaires strictement sans revenus.

    - Mais pourquoi donc aucune annonce pour la soumission des richissimes G.A.F.A. à la fiscalité nationale ?

    Pourquoi ce refus de prélever sur la fortune anonyme et vagabonde ?

    • Sur les questions de l’immigration.

    Alors que le même jour la France venait d’approuver à Marrakech le « pacte sur les migrations » de l’ONU, pas un mot sur cela d’Emmanuel Macron ! Pacte, dit-on, non contraignant mais pour le moins de forte pression incitative et très contestable notamment dans l’absence de référence à un principe de véritable réciprocité.

    Finalement.

    C’est un homme nullement convaincu à l’évidence de l’efficacité de ce qu’il a proposé hier aux Français en général et aux gilets jaunes en particulier qui s’est adressé à eux.

    Écrira-t-il l’acte V de la tragédie « Les gilets jaunes » en annonçant la dissolution de la Chambre ou sa propre démission ?

     

  • Terre et Famille avec les Gilets Jaunes contre le mensonge de la “transition écologique” .

     

     

    Une des premières préoccupations de Terre et famille est la dénonciation de la fausse écologie (lire par exemple, https://terre-et-famille.fr/fumier/). Terre et Famille ne peut donc rester sans prendre position face à cette réaction des « Gilets jaunes ».

    La « transition écologique » est un mensonge, le faux nez et la nouvelle locomotive de la « globalisation ». Cette dernière se résume à la volonté de supprimer toute résistance à l’enrichissement sans limite de quelques « marchands du Temple » qui n’ont de patrie que l’argent.


    La véritable écologie n’est donc pas compatible avec un système global ! (Voir le film- documentaire de Coline Serreau, « Solutions locales pour un désordre global »)

    Dans un pays où l’Etat est entre les mains des bénéficiaires de ce système, voici résumé, le processus d’asservissement des populations :


    – Produire n’est plus prioritairement destiné à répondre à un besoin réel mais à enrichir quelques-uns aux dépens de tous les autres et des ressources naturelles.


    – Pour satisfaire l’actionnariat des « grands groupes » et augmenter « l’augmentation » de sa marge annuelle, il faut diminuer les coûts de production.


    – Produire loin, grâce à des petites mains peu exigeantes, rapporte à ces financiers qui sous prétexte de baisser les prix, augmentent leur marge aux dépens des salaires, de l’investissement et de la recherche.


    – La propagande nous a vanté que « les prix bas ont permis la consommation de masse…et que nous en profitions tous » … mais à quel prix pour NOUS qui payons la note ?


    – Nous avons progressivement accepté d’être rendu dépendant de cette consommation et avons vécu à crédit. Aujourd’hui nous ne sommes plus solvables : le taux de chômage est insoutenable, le travail est ailleurs et le bilan environnemental est catastrophique, les marchandises sont produites et transportées loin sans autre considération que le profit à court terme.

     

    Alors que faire devant ce naufrage ? Selon le gouvernement… financier, il faut toujours plus « globaliser ». Mais « globaliser » nous ruine… alors il faut taxer. Prendre ce qui nous reste sous prétexte de financer la fameuse « transition écologique ». Taxes prohibitives qui ont pour but de rendre la vie impossible aux habitants d’agglomérations de moins de 10.000 âmes. Comment travailler, créer, vivre quand les écoles, les hôpitaux, les médecins, les bureaux de poste, les administrations, les banques désertent nos petites bourgades et que ces services ne sont plus accessibles qu’au bout de déplacements toujours plus longs, toujours plus taxés ?

    La loi NOTRe, Nouvelle Organisation Territoriale de la République (lire, https://terre-et-famille.fr/la-loi-notre-tue-les-communes/ ) a trouvé un puissant outil pour détruire nos villages et nous déraciner : « la transition écologique » !

    Donc, sous prétexte d’écologie, nous devons toujours plus « globaliser » et tous vivre en ville !

    Comme nos pseudos représentants de l’Etat semblent ne pas être en mesure de comprendre leur propre incohérence, nous allons leur expliquer :

    Economie, vient du grec « oikos », la maison et de « nomos », gérer. Donc, l’économie c’est d’abord gérer sa maison, puis un ensemble de maisons, les villages, puis un ensemble de villages, les provinces, puis un ensemble de provinces, la France… Mais l’échelon de base reste la maison ! Même dans une économie à l’échelle du monde, la référence, l’unité, la brique qui constitue toutes les constructions économiques, est la maison.

    Si la gestion de la maison est rendue impossible, à terme ce sont les échanges internationaux qui deviennent impossibles. Le mépris de cet échelon est une faute grave parce que c’est aller contre la nature, parce que c’est déconstruire au lieu de construire !

    L’application d’une véritable subsidiarité qui redonnerait à chaque maison la liberté de se gérer dans la mesure de ses compétences est la base d’une véritable écologie. Permettre à qui le veut de rester sur la terre familiale, de vivre à la campagne et donc d’éviter l’engorgement des infrastructures urbaines, est essentiel. La pollution étant due à la concentration, il conviendrait d’alléger considérablement la pression fiscale pour que vivre de son travail partout en France soit possible !

    Alors messieurs, globalisation ou écologie ? Là est la vraie question. Sachez que vous êtes démasqués car nous sommes de plus en plus nombreux à savoir que vous répondez « globalisation » et que l’écologie est en réalité le cadet de vos soucis … un cadet abandonné ! Vous méprisez le réel mais la réalité des « Gilets jaunes » va vous chasser !

    Stéphanie Bignon
    Terre et Famille, novembre 2018.