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guerre civile

  • Nos gouvernenants utilisent l' immigration pour nous liquider !

     

    Qui eût imaginé qu’une ville historiquement aussi calme, tranquille et bourgeoise que Rambouillet, avec son charmant et majestueux château, devînt le théâtre d’une action terroriste perpétrée le vendredi 23 avril, en début d’après-midi, par un Tunisien de 36 ans contre une policière de 49 ans, mère de famille, sauvagement égorgée dans le sas de sécurité (tout un symbole !) du commissariat de Rambouillet ? C’est dire que les métastases de l’immigration extra-européenne se sont étendues désormais à tout le territoire national et qu’il n’est plus aucun endroit qui soit sûr actuellement. Comme toujours ou presque, il s’agit d’un immigré entré illégalement en France en 2009, il y a douze ans, qui a vécu dans notre pays pendant dix ans de manière illicite avant d’être régularisé en 2019. 

     

    Car avec les gouvernements successifs qui ont encouragé et continuent à encourager plus que jamais la submersion migratoire de notre pays et le Grand Remplacement, le destin d’un immigré qui entre illégalement en France est quasiment toujours le même : de clandestin, il finit par être régularisé, et une fois régularisé, il finit par être naturalisé.

    Ce qui crée par millions des Français de papier, des Français transgéniques que rien ne rattache à notre pays, à son passé, à son sol, à sa foi (qui a hélas aujourd’hui presque totalement disparu, c’est le fond du problème), à ses paysages, à ses monuments, à ses traditions. 

    Le tunisien Jamel G. est l’auteur des deux coups de couteau, l’un à l’abdomen, l’autre à la gorge, qui ont coûté la vie à la policière Stéphanie M., une Française de souche qui laisse orphelines deux filles, Elodie (18 ans) et Anaïs (13 ans) et un veuf, son époux Alain, artisan boulanger. Mais si l’assassin est celui qui a porté les coups et endeuillé et brisé à vie toute une famille, le plus coupable moralement et politiquement dans cette affaire, ce sont les pouvoirs publics qui organisent depuis un demi-siècle environ l’invasion de notre pays par des masses allogènes et inassimilables. Les vrais coupables, ce sont les gouvernements et les associations dites antiracistes qui diabolisent, qui poursuivent en justice les patriotes, nationaux et nationalistes qui s’opposent à cette destruction méthodique et programmée de notre pays et de notre peuple et qui refusent de se taire et de courber l’échine devant cette infamie.  

    Les coupables, ce sont ceux qui, comme la LICRA et consorts, exigent l’ouverture totale des frontières, condamnent toute politique de régulation et a fortiori d’inversion des flux migratoires, veulent ouvrir le pays à des millions de migrants, pour la plupart mahométans, et qui, en même temps, de manière diabolique, provoquent ces mêmes immigrés musulmans dont ils favorisent l’accueil et l’installation chez nous, en se revendiquant bruyamment Charlie, en exigeant la republication des caricatures de Mahomet, en ordonnant qu’elles soient montrées dans toutes les écoles au risque évident d’attiser les haines, les rancœurs et les fanatismes.

    Car précisément ce Jamel G., au départ pas spécialement engagé sur le plan religieux, a été radicalisé à partir de l’automne 2020 au moment où ont été republiées et à nouveau médiatisées les caricatures de Mahomet montré nu, les fesses à l’air, l’appareil génital exhibé, de manière à offenser de manière directe, et donc à radicaliser contre la France et les Français, des musulmans qui sont désormais des millions dans notre pays.

     

    Sauf à être naïf et aveugle, il est donc évident qu’il y a une volonté au plus haut niveau de conduire à la guerre civile et au chaos.

    Cette vérité est certes difficile à croire, tellement elle est effrayante, elle est pourtant incontestable : les différents gouvernements successifs, les institutions actuelles travaillent activement à notre destruction, tant physique que mentale, tant culturelle que spirituelle, tant biologique que morale. L’Etat profond promeut l’ouverture du pays aux migrants, mais il veut que chacun de nous devienne un migrant dans son propre corps et dans sa tête ; un être qui peut sans cesse se transformer, se réinventer, changer, qui n’est ni homme ni femme, ni blanc ni noir, ni défini sexuellement, ni ethniquement, ni religieusement. 

    Nous vivons l’époque effrayante de la disparition des frontières physiques mais aussi morales. Ce n’est pas un hasard si les sectateurs de l’ouverture totale des frontières sont aussi les militants du lobby LGBT, un acronyme qui chaque année s’enrichit, si j’ose dire, d’une lettre supplémentaire. N’existe-t-il pas une institution gouvernementale officielle qui s’appelle la DILCRAH : la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT ? C’est clair, le pouvoir est notre ennemi, travaille à notre ruine.

     

    Comme toujours en pareil cas l’on a droit au discours martial des dirigeants qui affirment péremptoirement, le menton en avant, qu’ils n’acceptent pas ce genre d’actes barbares, qu’ils lutteront de toutes leurs forces contre le terrorisme islamiste (qu’ils alimentent et promeuvent en réalité de toutes les façons par leur politique de submersion migratoire et de subversion pro-Charlie), que les fanatiques ne passeront pas, que jamais ils n’accepteront la répétition de telles tragédies, etc. Ce sont des menteurs et des hypocrites car rien n’a été fait, rien n’est fait et rien ne le sera pour empêcher la multiplication de ces attaques ignobles.

    Il n’est même pas question d’immigration zéro, encore moins de réémigration.

    Aucun parti politique ayant pignon sur vue ne propose aujourd’hui de telles mesures pourtant de bon sens. Cela en dit long sur la gravité de la situation. Aucun ne propose non plus d’en finir avec le torchon Charlie et ses provocations infâmes contre tous les croyants et qui agissent comme un chiffon rouge, de rééquilibrer notre politique au Proche Orient conformément à la vérité et à la justice, de ne pas participer à des actions extérieures dans lesquelles nous n’avons rien à faire, de rétablir immédiatement des frontières réelles, d’inverser les flux migratoires et de couper toutes les pompes aspirantes qui favorisent l’immigration de masse.

    En réalité, le pouvoir n’est pas mécontent de ce genre d’attentats.

    Et on peut toujours se demander si, au moins pour certains d’entre eux, ils ne les laissent pas faire. Car ces actions barbares engendrent une peur panique au sein de la population qu’il est alors plus facile de manipuler et de châtrer. En réduisant ses libertés, en prétextant que c’est nécessaire pour sa sécurité, laquelle n’est pourtant nullement assurée. On l’avait vu aux Etats-Unis avec le Patriot Act  après le 11 septembre 2001. On le voit chez nous avec l’empilement des législations et dispositifs liberticides.

    Le terrorisme islamique, comme ladite pandémie covidesque, comme la répression policière au moment des gilets jaunes, sont des moyens massifs d’apeurer le citoyen et de le tenir en laisse, de réduire considérablement toutes ses libertés.

    Comme le note Alain Soral « pour faire tenir tranquille et terroriser le natif paupérisé, le pouvoir dispose désormais du flash-ball de la police et du couteau du migrant ». Ceux qui nous gouvernent, ou plutôt nous oppriment, sont nos pires ennemis.

    Et les vrais gouvernants ne sont pas ceux qui apparaissent au-devant de la scène. Ils sont plutôt à chercher au CRIF, au Congrès juif mondial, à la LICRA, à l’AIPAC et au B’nai B’rith, bref chez ce lobby « influent et nocif » dont l’Exécutif est le docile et servile exécutant !

     

  • Comment Macron utilise le covid et le terrorisme pour mettre en place la gouvernance mondiale .

     

    L’infernale conjuration contre les peuples !

    Le glas pour ceux dont la confiance a été trahie par une classe politique déchue et se font égorger au coin de la rue ou en allant prier de bon matin. Trahis par des gens qui gouvernent par la manipulation et le mensonge… et qui le payent de leur vie sous le couteau de fanatiques téléguidés, ou qui se suicident parce que leur vie est ruinée par une mondialisation aggravée de crise sanitaire. Mondialisation qui nous a rendus d’une extrême vulnérabilité… parce qu’entre autres la division internationale de la production et du travail s’est traduite chez nous par l’instauration d’une économie de services, d’une désindustrialisation massive et une dépendance pernicieuse, voire funeste, à cette manne conjoncturelle et volatile qu’est le tourisme. Quelques attentats retentissants, une mauvaise grippe politiquement surexploitée et nos hôtels, nos musées, nos stations balnéaires se vident et descendent les rideaux des commerces en faillites. Exeunt les classes moyennes, forces vives de la Nation !

    Or pour ceux qui ne s’en seraient pas vraiment encore rendus compte, nous sommes aujourd’hui parvenus à un point de rupture… Ce qu’il convient d’appeler un changement de « paradigme civilisationnel » parce que le monde est littéralement, sous nos yeux, en train de changer de face. Non tant en raison des actes de terrorisme et de barbarie qui se multiplient sur notre territoire et en Europe de l’Ouest, ou encore d’arbitraires confinements à répétition des populations sous couvert de sauver des vies, celles par exemple de ces vieillards que l’on a sacrifiés sans états d’âme lors de la crise du mois de mars… Des péripéties odieuses, insupportables mais qui, toute raison gardée, en soi ne devraient pas être fondamentalement irréparables. Encore que ? Si le présent bouclage de la France devait se poursuivre en 2021 que resterait-il alors de notre économie ? Les classes moyennes auront été en partie laminées par la démocratie social-libérale ainsi que le prévoyait le Manifeste de 1848 de Friedrich Engels et de Karl Marx. 

     

    LA FIN DES CLASSES MOYENNES 

     

    Il est loisible, à ce sujet, de se demander si effectivement cette élimination des classes intermédiaires, autonomes, ne figure pas au rang des effets recherchés par le déclenchement et la prolongation d’une crise en grande partie artificielle. Ne perdons jamais de vue que la Suède n’a imposé à ce jour aucune des restrictions coercitives (que nous avons subies et qui nous sont à nouveau imposées) et qu’elle n’a pas pour autant été rayée de la carte. Mais chut, évitons d’évoquer ce contre-exemple et les « Gaulois réfractaires » continueront de filer doux. 

    De même que la crise aurait dû avoir l’avantage de vider les bas-de-laine des Français (5 367 milliards au 1er avril 2020) au profit de l’économie via la consommation en remettant en circulation d’importantes liquidités… Horreur, c’est le contraire qui est advenu ! Les sournoises espérances de notre administration sont mort-nées. La spoliation déguisée ne s’étant pas faite spontanément, nul n’exclut plus que l’État pourrait dans un futur proche recourir à des méthodes contraignantes pour ponctionner l’épargne du pays réel. Et de la rumeur à l’acte, il n’y a qu’un pas ! Reste que, quels qu’en soient les conséquences économiques et les dégâts sociaux induits par une gestion volontairement catastrophique de la crise sanitaire, au stade où nous en sommes, le mal pourrait n’être pas encore incurable de sorte que le pronostic vital du pays ne serait pas définitivement engagé, aussi profondément fût-il atteint dans ses œuvres vives, morales et économiques… 

     

    UN NARRATIF DÉPLORABLE 

     

    Au demeurant, plus le temps passe et plus il apparaît que rien ne tient vraiment debout dans le narratif officiel ! Même s’il n’est pas toujours facile de démêler les tenants et les aboutissants, quoique de plus en plus nombreux sont ceux qui commencent à douter de la véracité de la présentation officielle des événements et de la dangerosité d’une épidémie qui — chiffres à l’appui — ne détermine aucune surmortalité significative à l’échelle européenne par rapport aux flambées virales de ces quarante dernières années… Pour Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS, dans un texte cosigné par trois cent-cinquante personnalités scientifiques de premier plan, publié le 28 octobre [theworldnews.net], tout cela est cousu de fil blanc.

    En effet, nul n’ignore plus en substance que le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée pendant deux mois en s’appuyant exclusivement sur les indicateurs les plus alarmants et en les changeant chaque fois que nécessaire afin de toujours envoyer le message le plus anxiogène possible. Le 27 octobre, la manipulation aura atteint un niveau inouï. La totalité des media a titré sur les prétendus 523 morts, « du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était mensonger. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital, contre 257 la veille. Mais comme l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours, compter les morts quotidiens le même jour revient à gonfler artificiellement les chiffres… à la veille de l’allocution du président de la République qui a évidemment repris à son compte ce chiffre trafiqué. 

    Malheureusement la connaissance de ces trucages statistiques éhontés, multidimensionnels autant que permanents, n’est accessible qu’à une minorité de spécialistes aptes à les décortiquer et… évidemment n’atteint pas la masse, bernée et lanternée par des médiacrates dont l’ignorance volontaire (leur paresse intellectuelle n’expliquant pas tout) est calamiteuse. Grâce au Ciel, cela commence à se savoir et, même si des questions de préséance institutionnelle ont été avancées, le Sénat vient de retoquer la loi d’urgence sanitaire et le confinement (ce qui annule toutes les pénalités infligées jusqu’à ce qu’un nouveau vote de la chambre haute vienne invalider le premier) : au lendemain de l’annonce par le président Macron du reconfinement, le Sénat rejetait par 178 voix contre, 130 voix pour, 27 abstentions, la prorogation de l’état d’urgence sanitaire et ses mesures d’accompagnement présentées par le Premier ministre [publicsenat.fr29oct20]. D’ailleurs — même pour les non-initiés aux arcanes de l’architectonie mondialiste —, tous ces événements paraissent tellement absurdes, incohérents et incongrus qu’un nombre toujours croissant de sceptiques pense que cette pseudo-crise serait finalement “organisée” de toutes pièces. La pensée et les analyses complotistes gagnent indéniablement du terrain !

    Car nous avons bien affaire à une imposture, celle-ci consistant à prendre prétexte d’une maladie dont le taux de létalité oscille selon les études entre 0,1 % et 0,6 %, pour justifier des mesures qui ruinent le pays tout entier!

    Apparemment dans le but inavoué (parce qu’inavouable) de mettre la France à genoux cela afin de conduire des politiques de déconstruction de l’État et de la Nation, lesquelles feraient horreur aux Français s’ils en comprenaient conscience et en percevaient la portée réelle. En d’autres termes, « la crise du Covid-19 » n’est qu’un vaste complot, une machination à visées antinationales fomentée par les plus hautes autorités de l’État, en particulier par le président de la République ce qui conduit à dire que nous ne pourrons sortir de cette crise qu’en “dégageant” les pseudo-élites dévoyées et compradores qui nous mènent en bateau [droiteligne30oct20].

    Un bateau ivre qui se dirige droit vers les hauts fonds de la guerre civile sur le cap des tempêtes des confrontations internationales… Ayons à l’esprit le sanglant conflit turco-arménien (cinq mille morts en quelques semaines) et le Proche-Orient, poudrière instable comparable à celle qui souffla le port de Beyrouth et une partie de la ville. Destitution manu militari et jugement pour haute trahison, tel devrait être par voie de conséquence le traitement applicable à nos bons dirigeants pour les temps à venir…

     

    LES DEUX MÂCHOIRES DE LA PEUR AU QUOTIDIEN

     

    Dans cet ordre d’idées, comprenons que le terrorisme à la petite semaine et la pandémie — tous deux bien réels — sont pareillement et merveilleusement mis en scène. Que tous deux ne sont que la partie émergée d’une machination autrement redoutable et surtout, ne doivent pas être regardés en soi, séparément, indépendamment l’un de l’autre ou du contexte général… mais comme des éléments saillants participant d’un plan de bataille aux finalités hélas invisibles aux yeux de la multitude.

    Covid et terrorisme sont à ce titre des outils, les deux mâchoires d’une seule et même stratégie du choc — un traumatisme collectif — destinée à nous conduire en marche forcée, la peur au ventre et la baïonnette dans les reins, à accepter voire à désirer une gouvernance supranationale passant par la soumission intégrale des peuples aux oukases de la dictature sanitaire, elle-même faux-nez de l’asservissement collectif aux cryptarchies régnantes déguisées en gouvernance mondiale : passeport vaccinal par puçage, traçage et contrôle social grâce à des permis de citoyenneté à points, etc. 

    Aujourd’hui la peur possède deux visages, la maladie sournoise et le couteau du boucher, le second poussant, incitant à se réfugier frileusement dans les jupes de la République… sachant que tout est fait, en particulier dans notre pays, pour faciliter la prolifération des candidats au martyre via l’assassinat sordide. Notons qu’après le carnage de Nice à la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption, le ministère de l’Intérieur a fait montre de sollicitude en peuplant les parvis de nos églises de policiers fortement armés.

    L’État est présent et prétend nous protèger pour mieux nous faire oublier que ce même État maintient nos frontières ouvertes et qu’il encourage au blasphème de la catholicité et de l’islam, c’est-à-dire érige en droit la libre expression du mépris d’autrui… à travers la faculté d’insulter les croyances les plus sacrées de populations d’importation auxquelles nous avons grand ouvert les portes de la Cité pour mieux casser notre matrice ethnoculturelle, autrement dit helléno-catholique, laquelle s’incarne dès l’origine dans et par Athènes et Jérusalem. 

     

    Ils nous veulent à genoux !

    Jusqu'où iront-ils dans la déraison, dans la folie et dans le crime ? Alors même que les chiffres de l’INSEE, pourtant organisme des plus officiels, indiquent que le nombre de décès en France pour les huit premiers mois de l’année, est resté quasiment identique entre 2019 et 2020, que la moyenne d’âge des personnes mourant du Covid 19 est de 84 ans, ce qui correspond à l’actuelle espérance de vie des Français, le chef de l’Etat a pourtant décidé de reconfiner totalement le pays. Depuis le jeudi 28 octobre à minuit jusqu’au 1er décembre a minima. Mais on nous laisse entendre que ce confinement pourrait durer beaucoup plus longtemps, et qu’il pourrait même se durcir, au risque de détruire ce qui ne l’avait pas encore été il y a six mois. Comme si cela ne suffisait pas, après la première vague du printemps 2020 et la seconde de cet automne, voici que le président du sacro-saint Conseil scientifique nous annonce une troisième vague pour… le printemps 2021. Nous n’avons décidément pas le temps de respirer. Au propre comme au figuré puisque l’on impose désormais le port de masque à tout un chacun, y compris à des enfants de six ans, ce qui est une pure folie et une brimade insupportable. 

    On nous exhorte même vivement à garder le masque chez soi en famille, en permanence, y compris les enfants...

    Nous sommes enrégimentés, infantilisés, esclavagisés, tyrannisés d’une manière absolument effrayante, sidérante, stupéfiante. Sans que jusque-là cela ne suscite beaucoup de réactions. Car, contrairement aux Italiens qui se sont soulevés dans de nombreuses villes, de Naples à Milan, refusant de nouvelles mesures draconiennes tuant le commerce et détruisant les libertés fondamentales de circulation et de réunion, les Français pour l’heure, semblent résignés, apathiques, tels des moutons que l’on mène à l’abattoir. Sans doute faut-il qu’ils digèrent l’épisode des gilets jaunes qui a duré et dont la répression a été féroce avant qu’ils ne se révoltent peut-être à nouveau . Mais il est vrai que tout est fait pour qu’ils aient peur et l’on sait que quelqu’un qui est saisi par la crainte voire la panique peut être très facilement manipulé, dominé, opprimé. La multiplication sur notre sol des attentats spectaculaires, des égorgements et des décapitations dont les Charlie par leurs odieuses provocations sont les premiers responsables ont évidemment un effet de sidération sur le grand public. 

     

    On a le sentiment d’être les spectateurs impuissants d’une mise en scène exécutée sous nos yeux et qui a pour but de mettre au pas l’humanité tout entière, et d’abord l’Occident anciennement chrétien. Dès cet été, on parlait ici et là d’un reconfinement en octobre en France. C’est finalement bel et bien ce qui s’est passé.

    Dès le mois de mars, Jacques Attali avertissait que plus rien ne serait comme avant, qu’il fallait désormais s’habituer à vivre autrement! ...

    Des propos incompréhensibles s’il s’agit seulement de combattre un simple virus dont la durée de vie est forcément limitée dans le temps et qui ne saurait à soi seul justifier un changement de paradigme civilisationnel.

    C’est donc bien qu’il y a une volonté planétaire de procéder à une grande réinitialisation, de domestiquer les peuples, de leur imposer les vaccins, les vices et immondices de l’hyper-classe mondiale pour mieux les broyer et les tenir captifs, de limiter drastiquement leurs libertés. Est-il ainsi acceptable que les lieux de culte et de pèlerinage (la grotte de Lourdes n’est ainsi plus accessible au public depuis le 3 novembre, ce qui est une infamie) soient fermés, qu’il soit impossible de remplir le précepte dominical à l’église alors même que tous les commerces alimentaires restent ouverts, ainsi que les écoles, de la maternelle aux lycées, et qu’il est permis d’aller au bureau ou à l’usine pour travailler ? La nourriture terrestre est assurée, mais quid de la nourriture céleste ?

    On veut imposer à tous la devise “métro-boulot-dodo” et empêcher toute vie spirituelle et tout contact chaleureux, convivial avec de la famille et des amis, si nécessaires pourtant à l’épanouissement personnel, à l’équilibre psychique, et qui fait partie de la joie de vivre. C’est que, pour les nihilistes qui nous gouvernent, la religion non seulement n’est pas essentielle, mais elle est à combattre car elle s’oppose à la vision du monde maçonnique et arc-en-ciel pro-LGBT, favorable au droit au blasphème, à la destruction de la famille traditionnelle et de la morale naturelle. Dans leur volonté de tout codifier, de tout régenter, les pouvoirs publics autorisent les mariages à condition qu’il n’y ait pas plus de six personnes à la cérémonie et les enterrements si l’assemblée n’excède pas trente personnes. Pourquoi des mesures aussi anti-sociales, aussi inhumaines et que rien ne justifie quand on se penche sur le nombre réel de décès dû au coronavirus ?

     

    Ils n’ont eu de cesse de réduire les lits des hôpitaux, ils n’ont pas commandé en nombre suffisant des respirateurs et ce sont les Français dans leur ensemble, et singulièrement les classes moyennes, les indépendants, le monde entrepreneurial qui doivent être immolés sur l’autel de l’incompétence, de l’inconséquence, ou plutôt du cynisme de ceux qui nous dirigent et qui n’ont d’autre but que de nous détruire, de nous mettre à genoux. Après avoir détruit la paysannerie française avec la Politique agricole commune, après avoir démantelé l’industrie française avec les délocalisations, le libre-échange et l’excès de charges, d’impôts et de tracasseries administratives, voici que l’on tue froidement le secteur tertiaire, celui des services : la restauration, l’hôtellerie, les fleuristes, les libraires, les bars et les cafés, et tant d’autres artisans et commerçants. Qui ne voit qu’il ne s’agit pas là du hasard ou de la faute à pas de chance mais d’une volonté implacable de détruire l’économie, et donc des vies ? La Suède qui n’a pas confiné sa population n’a pas été plus touchée par le virus que notre pays, bien au contraire.

    Ce que l’on nous présente donc comme obligatoire, incontournable, indispensable, inexorable (le confinement) ne l’est nullement. Sauf bien sûr s’il s’agit de détruire ce qui ne l’est pas encore et de conduire notre pays à l’abîme.

     

    On ne peut aucunement faire confiance aux “élites” politiques, médiatiques et enseignantes qui nous ont conduits là où nous en sommes. Elles dénoncent tout à coup l’islamisme (mais nullement l’immigration de masse, notez-le) alors qu’elles n’ont eu de cesse de désarmer notre pays contre toute forme d’invasion et de submersion, qu’elles ont dénoncé et fait condamner en justice les nationaux et nationalistes qui s’opposaient à cette colonisation à rebours.

    Et dans le formatage des esprits à l’antiracisme unilatéral, l’Education nationale a joué, et continue de jouer, un rôle de premier plan. Nous avons donc plus de compassion pour les trois victimes sauvagement égorgées à la basilique de Nice que pour tous les Charlie du monde qui n’ont que l’insulte et le blasphème à la bouche. Qu’ils ne croient en rien est une chose, cela les regarde, mais qu’ils insultent bassement la foi et les croyances des autres, qu’ils blasphèment en permanence en est une autre. Par leurs odieuses provocations parfaitement préméditées et exécutées, et alors qu’il y a des millions de mahométans en France qu’ils ont fait venir, ils mettent en danger tous les Français. Ceux qui résident à l’étranger dans des pays mahométans mais aussi bien sûr tous ceux qui vivent en France. Ils n’ont d’autre but que de conduire au chaos et à la guerre civile. 

    Face à ces manœuvres mortifères, il nous faut garder lucidité et sang-froid et éviter de sombrer dans les pièges où l’on veut nous faire tomber. Nous n’avons pas à être ou à devenir Charlie. Aujourd’hui, on veut nous pousser à adopter la “religion” Charlie, à faire nôtres la laïcité et les valeurs de la République qui nous ont conduits au chaos, il en est hors de question.

    C’est cette République, ignoble depuis l’origine, qui a conduit à la fragmentation et à la dissolution du pays.

    Ce n’est pas avec ce régime politique contre-nature et diabolique que l’on sauvera quoi que ce soit. Son élimination est le préalable indispensable à tout changement de cap et à toute renaissance nationale. En espérant qu’il n’est pas déjà trop tard.

     

  • Ce pouvoir haï utilise-t-il le croissant vert contre le gilet jaune ?

     

    L’ agonie politique d’un président godelureau, dévalué pour avoir avili la fonction présidentielle par ses exhibitions répétées avec des transsexuels et des voyous ethniques de bas étage à l’été 2018, ne devrait pas se prolonger indéfiniment. Sauf si l’essoufflement apparent du mouvement des gilets jaunes devait se confirmer. Sauf si les petites et grandes manœuvres politiciennes qui se profilent, aboutissent aux résultats escomptés, à savoir passer ce mauvais cap des tempêtes populaires pour retrouver la mer des Sargasses de la mondialisation heureuse. Autrement dit, un monde reconstruit au service exclusif des nouvelles féodalités oligopolistiques qui couvrent désormais la planète d’un maillage de plus en plus serré.

    Le petit sire Macron, sûr de lui et dominateur (à l’instar de ses maîtres d’outre-Manche), s’est cru habilité par un suffrage populaire éhontément et institutionnellement truqué (son écrasante majorité à la chambre ne représentant que 15,5% des inscrits) à déconstruire la France à marche forcée selon le plan de formatage imposé par l’Unification économique mondiale, un messianisme qui ne dit pas son nom ! Aujourd’hui, depuis cinq longues semaines, débordé par une situation qu’il a lui même provoquée (et dont il n’a pas uniquement hérité quoi qu’il en dise), Macron essaie d’éviter à tout prix une chute ignominieuse dans le fracas d’une fronde populaire que les autorités ne sont pas parvenues à discréditer en lâchant les chiens de garde de l’orthodoxie sociale-libérale-libertaire que sont les Black blocs et les racailles de la Grande Ceinture. 

    Des événements qui resteront dans la mémoire vive des Français, devenus pour l’occasion les cibles des tirs à intentions meurtrières des Flash-Ball (lanceur de balles de défense) utilisés par les forces de police (les brigades anti-criminalité, dit-on ...). Des armes en principe sublétales (mais authentiquement vulnérantes), qui ont été au cours des ces cinq samedis de colère utilisées à tir tendu visant spécifiquement les visages des manifestants comme en attestent les nombreuses images prises aux cours de ces samedis insurrectionels.

    Plusieurs d’entre eux ont ainsi, semble-t-il, perdu un œil, mais curieusement la presse habituellement si prolixe lorsqu’il s’agit d’atteintes aux signes d’identité confessionnelle de telle ou telle minorité prétendument française (mais de très fraîche date), reste formidablement muette sur les blessés, les énucléés, les estropiés (mains arrachées par des grenades de désencerclement), toutes victimes d’une authentique volonté de blesser voire de tuer. 

    À cette échelle du non vu depuis la répression par les socialistes (SFIO) Jules Moch (ministre de l’Intérieur) et Daniel Mayer (ministre du Travail) des grèves insurrectionnelles des houillères du Nord du 4 octobre au 29 novembre 1948. 

     

    IL NE FAUT PAS oublier que Macron, bien qu’il se soit efforcé dans son adresse à la nation le lundi 10 décembre au soir, de faire porter sur ses prédécesseurs la responsabilité de ses propres fautes et de l’actuel délabrement du pays profond — « Ce sont quarante années de malaise qui ressurgissent » — est de facto l’héritier, le fils puîné, des quatre chefs de l’État qui l’ont devancé et par conséquent leur continuateur, et dans le cas de Mitterrand, son exécuteur testamentaire. Le radsoc Chirac subclaquant compris ! Et puis n’a-t-il pas été le ministre chéri de Hollande, non ?

    Soulignons à ce propos que la lame de fond des gilets jaunes n’est bien entendu pas uniquement revendicative. Le dire, c’est enfoncer une porte ouverte.

    Elle dépasse, et de très loin, les seules questions du pouvoir d’achat, du prix du carburant et des fins de mois difficiles. Elle est aussi et surtout en effet l’expression d’un profond malaise sociétal induit par quatre décennies dévastatrices de socialisme parasitaire.

    Toutefois le mal vient de plus loin, c’est indéniable. Notamment avec la permanence d’une chimère toujours renaissante depuis la nuit des temps, celle qui promet aux croyants et aux jobards des lendemains qui chantent, sans larmes ni sueur. Phantasme qui s’est donné libre cours après le 10 mai 1981 sous ses deux espèces complémentaires : le pillage des caisses de l’État et des ressources du pays associé à un sectarisme idéologique (le politiquement correct) inédit. Tyrannie consensuelle et terrorisme intellectuel dont l’emprise continue à s’accentuer sur la société au fur et à mesure de la progression du social-libéralisme sous ses trois espèces que sont la mondialisation, l’américanisation et la tiers-mondisation. Trois moments, trois aspects d’un seul et même monothéisme molochien, avons-nous dit, soit la fusion des peuples atomisés en monades consuméristes au sein d’un magma planétaire, chaos culturel, sentines génétiques, uniformisation et interchangeabilité pour tous. 

     

    C’ est bien ce que nous annonce et nous promet le Pacte de Marrakech (“Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières” signé honteusement par la France le 10 décembre dernier), qui s’articule entre autres, sur une super-loi Fabius-Gayssot destinée à museler toute liberté d’expression sur les continents habités… sous couvert (objectif 17) de lutte contre le racisme dont les migrants pourraient être l’objet.

    Les pauvres ! Il est à ce titre question de « recadrer le discours sur la migration, pour qu’il cesse de véhiculer des idées trompeuses ou faussées et donne une image exacte de l’importance que revêt la migration et du rôle positif qu’elle peut jouer dans le monde actuel »… Il s’agira en outre « de promouvoir au niveau étatique les reportages indépendants et objectifs, de sensibiliser et d’éduquer les professionnels des médias » en leur imposant des critères et des grilles terminologiques ainsi que des « standards [normes] éthiques ». Faute de quoi les médias s’exposent à des sanctions pécuniaires (suppression des subventions), voire judiciaires pour ceux qui feraient « la promotion de l’intolérance, de la xénophobie, du racisme et d’autres formes de discrimination envers les migrants ». 

    Tous les despotismes, et les plus durs, commencent par réduire le peuple au silence. Et c’est que ce que l’on a vu après les élections législatives à la proportionnelle de mars 1986 qui ont acté la déconfiture de la Gauche. Deux ans après, tout était rentré dans l’ordre et le système parlementaire se trouvait verrouillé pour les trente années qui suivirent excluant du débat démocratique un gros tiers du corps électoral. À présent se sont des lois relatives aux fake news qui visent à contrôler toujours plus étroitement les réseaux sociaux et la Toile, et partant, nos modes de penser en général, cela en complément de l’évolution des algorithmes censeurs par prédestination. 

    Il est de ce point de vue emblématique que le point 5 relatif à l’immigration ait été éliminé de la concertation dans le cadre du fameux “dialogue” de six mois entre le gouvernement, les instances politiques et la société civile, destiné à apaiser les actuelles tensions sociales et comme par hasard inauguré le 16 décembre, alors que la décrue du mouvement des gilets jaunes n’était encore qu’une hypothèse de travail ! Immigration/migration qui pourtant devrait se trouver au cœur du débat.

    Car pour sortir de l’imbroglio budgétaire dans lequel se débattrait (soi-disant) notre malheureux gouvernement pris qu’il serait entre le marteau des revendications populaires et l’enclume de l’impérieuse nécessité d’une réduction de la dépense publique, nul ne semble songer un instant qu’il suffirait (une possibilité parmi de nombreuses autres) de limiter substantiellement notre « généreux accueil » de migrants pour voir réduit d’autant notre déficit de quarante à quatre vingt dix milliards, montant qui ne serait pas à ponctionner sur les salaires ou les retraites comme le gouvernement en a l’intention. 

     

    POUR CEUX qui n’auraient pas encore saisi, ce prétendu dialogue sur une demi-année, panacée pour sortir de la crise, n’est qu’un os à ronger lancé au “populo” et un moyen de gagner du temps en escomptant la lassitude, puis à terme, l’épuisement du mouvement. Tout est fait pour jouer la montre et l’attentat de Strasbourg, intervenu à point nommé malgré les mesures de sécurité extrêmes prises aux abords du marché de Noël (et autres points de contrôle que le terroriste a curieusement traversés sans encombre bien qu’armé !) a très opportunément soufflé la flamme de la colère populaire.

    Beaucoup de questions se posent d’ailleurs sur cet attentat providentiel pour l’Exécutif survenu à l’heure de plus grande écoute, vers 20 heures, en prime time, et largement répercuté par toutes les chaînes au détriment du mouvement des gilets jaunes ; comme si l’on voulait opposer le croissant au gilet, le vert au jaune, ou pour mieux dire éclipser le jaune par le vert, détourner la colère des Français appauvris, surtaxés, dépossédés de l’Etat vers un Islam violent et ennemi de l’Occident, leur faire peur pour qu’ils cessent de manifester, de défiler, de revendiquer et qu’ils rentrent sagement à la niche après avoir reçu quelques misérables miettes. 

    Comme toujours ou presque dans ce genre d’événements terroristes, il s’agit d’un fiché S d’origine maghrébine, bien que né en France, en l’occurrence à Strasbourg, parfaitement connu des services de renseignement, considéré comme un « islamiste radicalisé ». Comme toujours ou presque, il s’agit d’un multirécidiviste ayant déjà accompli de nombreux séjours en prison mais ayant été à chaque fois libéré, c’est, d’ailleurs, nous dit-on, au cours d’un de ces séjours derrière les barreaux qu’il se serait radicalisé, selon l’expression désormais consacrée ! ...

    Comme toujours ou presque, à peine l’attentat est-il commis que les télévisions nous disent que le profil du terroriste est parfaitement connu, que l’on sait son nom, son âge, son passé, de même que quelques minutes après l’effondrement des tours du World Trade Center en 2001 à New York on savait que le cerveau de l’attentat était Oussama Ben Laden et on connaissait les noms et photographies des terroristes ! Comme toujours ou presque, et c’est une constante depuis l’affaire Merah en 2012, le terroriste, parfaitement connu de la DGSI, est tué à la suite d’une course-poursuite tenant haletant le téléspectateur de sorte qu’il ne peut jamais s’expliquer sur les raisons de son geste, ni être jugé par une cour d’assise et que personne ne peut plus lui poser de questions dérangeantes...

     

    De la même façon le pouvoir cherche à diriger les gilets jaunes vers une voie de garage, celle du référendum d’initiative citoyenne (RIC) dont la mise en place, si elle était décidée, demanderait des années pour évidemment à l’arrivée ne jamais voir le jour (mais qui existe déjà depuis 2008 dans la Constitution [alinéas 3 à 6], inapplicable par nature comme de bien entendu, ce dont la presse vint tout juste de s’apercevoir ; un référendum d’initiative partagée dont les conditions sont à ce point grotesques qu’en parler est une insulte à l’intelligence) parce que l’on nous dira par exemple qu’il est incompatible avec le Traité de Lisbonne.

    Une autre bonne façon de gagner du temps et de mettre définitivement l’éteignoir sur les braises de la colère populaire.

    Les pseudo-élites qui croient nous gouverner, confites dans leur morgue et leurs ignorances, se sont mises en tête que les Français bovinisés, gavés d’hormones télévisuelles, ayant été élevés hors sol comme des veaux de batterie dans les usines à formatage idéologique que sont devenues les écoles de la Républiques, n’étaient plus capables de réaction, abrutis et avachis qu’ils étaient dans et par l’opulence consumériste spectaculaire. Mais voilà, ces « bœufs de Céfrans », quand l’ensilage vient à manquer, peuvent encore devenir furieux et, pire, s’enrager jusqu’à vouloir des têtes au bout des piques!

    Au lieu de se gaver de psychanalyse, notre intelligentsia aurait mieux fait de lire Le Bon avant de se précipiter pour signer des deux mains le pacte de Marrakech conçu pour achever le grand métissage visant à effacer définitivement les vertus primitives de nos vieux peuples. La vague soixante-huitarde, ultralibérale et libertaire, qui en mai 1968 avait balayé les caciques de l’alliance gaullo-communiste de 1944, est apparemment parvenue à son terme en venant se briser sur le socle — déjà entamé mais non encore totalement détruit — des invariants ethnoculturels, confessionnels et historiques de la nation française.

     

    RESTE QUE l’incroyable surdité et l’ahurissante cécité de nos pseudo-élites confinent indubitablement à l’autisme puisqu’elles n’ont rien vu ni entendu ni compris du grondement profond qui montait depuis bien longtemps des entrailles d’une nation soumise à d’iniques pressurages de nature à susciter des enragés. Bas les masques : la bobocratie cosmopolite que l’on croyait être acquise à toutes les grandes causes humanitaires (sans-papiers, sans-logis, racailles sans foi ni loi ou plus exotiques, tels les Rohingyas), d’un seul coup et d’un seul, montre son vrai visage, celui d’une haine épaisse, visqueuse à l’égard des petites gens de la “franchouille”.

    Quelle surprise, les "humanistes" n’aiment pas les gens de leur propre pays!

    Il est vrai qu’il n’en n’ont pas (de patrie) et vivent à longueur d’années dans ces no man’s land que sont les halls d’aérogares. On comprend mieux que dans la France des oubliés et des méprisés, l’on passe finalement d’une simple grogne récurrente et souterraine à une insurrection sans concession.

     

    Léon CAMUS et Jérôme BOURBON