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Persécutions chrétiennes - Page 12

  • C’est la dissolution de Médiapart qui s’impose et non pas celle de « génération identitaire » !

     

    Les médias nous annoncent que le ministre de l’Intérieur  Darmanin voudrait une nouvelle fois entamer une procédure de dissolution du mouvement « génération identitaire ».

    • S’avère-t-il donc que ce sont des militants de ce mouvement qui ont incendié un millier de voitures lors de la seule nuit du 31 décembre ?
    • S’avère-t-il que ce sont des militants de ce mouvement qui ont lynché atrocement le jeune garçon ukrainien Yurly ?
    • S’avère-t-il que ce sont toujours eux qui organisent des Black-blocs ultra-violents pour agresser les forces de l’ordre, briser les vitrines, piller et incendier à l’occasion de différentes manifestations ?
    • S’avère-t-il qu’ils fassent régner l’insécurité dans les centaines de « territoires perdus pour la République » dans lesquels ils développent sans cesse les trafics de stupéfiants ?
    • S’avère-t-il qu’ils fassent régner la terreur dans les lycées et collèges, s’en prenant aux enseignants comme aux élèves ?

    Mais Darmanin sait fort bien qu’on ne peut rien reprocher de tout cela à ces militants !

    Non, ce que leur reproche le ministricule Darmanin, c’est de menacer gravement la République par l’organisation d’odieuses sorties de plein air en montagne; dans les Alpes il y a quelques mois, dans les Pyrénées il y a quelques jours...

    En effet, très perversement, ils déploient de dangereuses banderoles, distribuent des feuilles de papier agressives, lancent des slogans égoïstes, se gardant bien- ah ! les rusés !- de quelque agression que ce soit, de quelque violence que ce soit.

    Mais avec tous ces procédés fondamentalement inqualifiables, ils osent réclamer que l’Etat français fasse appliquer les sinistres lois rétrogrades et égoïstes contre la liberté qui doit être humanitairement accordée à n’importe quel migrant de venir s’établir en France pour y bénéficier, le temps qu’il voudra, de tous les droits sociaux et financiers des Français. De plus, ces dangereux provocateurs identitaristes n’admettent pas facilement que la plupart des migrants puissent, comme si ce n’était pas normal, faire régner au plus vite leurs mœurs, leurs us et coutumes conformément à leur loi politico-religieuse.

    N’est-il pas consternant que dans une période où une multitude de facteurs démographiques, politiques, économiques, sociaux, moraux, concourent à la désintégration de la France, le ministre de l’Intérieur du gouvernement de la République puisse se consacrer à la petite maneuvre politicienne éculée de dissolution d’un mouvement patriotique pour justifier symétriquement quelques dérisoires mesurettes dans la direction opposée ?

    Sans oser en effet prendre à la racine la menace de l’islamo-gauchisme.

    Dissoudre Médiapart

    Car une dissolution autrement fondée s’impose aujourd’hui :

    Celle de l’officine de dénonciation, de calomnie, de délation, de collaboration islamistophile, la tchéka de l’antiracisme islamo-gauchiste fondée par le camarade trotskyste Edwy Plenel: Médiapart.

    La dernière fripouillerie tchékiste de cette agence Médiapart a consisté à dénoncer et à livrer à la vindicte islamiste une professeur de droit de l’université d’Aix-Marseille !!

    Cette dernière a ensuite reçu des menaces de mort. Qu’avait-elle osé dire ? Commentant l’assassinat de l’enseignant Samuel Paty elle avait simplement dit « L’islam ne reconnait pas la liberté de conscience. C’est quand même absolument terrifiant » et évoqué « des religions sexuellement transmissibles ».

    On peut approuver ou ne pas approuver ces mots. Nous allons y venir. Mais la question n’est pas d’abord là.

    La question est simple: peut-on encore, en France, parler librement de l’islam ?

    Pour le grand inquisiteur Plenel, pas question d’en exprimer autre chose que des considérations laudatives ou pour le moins positives.

    Quelques mots rapides maintenant sur les assertions dénoncées :

    • La première est pure vérité : si ce ne l’était pas, pourquoi alors, selon le Coran et les Hadiths, le musulman qui veut se convertir au christianisme ( ou à toute autre religion) doit-il être condamné à mort ?
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    • Sur la seconde, on ne sait pas ce que notre courageuse professeur entendait par là ? On incline donc à penser qu’outre un peu de dérision pas bien méchante elle voulait exprimer que les appartenances religieuses sont principalement transmises par la famille.

    La vérité c’est qu’elles sont textuellement transmissibles, surtout dans les « religions du Livre » que sont l’islam et le judaïsme (sacralisation de la Tora, sacralisation du Coran) ; le christianisme étant davantage peut-être la transmission de la Parole…

    On s’en doute, nous sommes prêts à soutenir cette courageuse professeur devant n’importe quel tribunal. Et pour défendre le principe de la liberté d’expression (bordé bien sûr par la condamnation de la haine et de la violence) et pour demander la dissolution de la tchéka de Médiapart.

     

  • Le PCF, une honte abominable jamais remise en cause par le gouvernement et les divers partis politiques français .

    Le PCF, une honte française
    100 ans d’histoire et 100 millions de morts

     

    Le 29 décembre prochain, la Parti communiste français a fêté ses 100 ans. Difficile à croire, mais il existe encore un parti communiste en France, une organisation politique qui a énormément perdu de son électorat mais qui garde intact son dogmatisme idéologique. Pire, malgré son nanisme politique, il réussit encore à influencer les débats d’idées, à déteindre sur d’autres partis gauchisants et écologistes.

    Aujourd’hui, en France, fin 2020, le secrétaire du parti, Fabien Roussel, n’a pas le moindre scrupule pour « célébrer la riche histoire » de son parti « avec les yeux braqués sur le présent et vers l’avenir ».

    Pour lui, « En 2020 comme il y a cent ans, le communisme, c’est la jeunesse du monde. Et face au vieux système capitaliste, nous avons besoin d’idées radicalement nouvelles  ».

    Le système politique qui a fait le plus de morts dans l’histoire de l’humanité est fêté en France comme n’importe quelle autre doctrine et rares sont les voix qui s’élèvent contre cette sinistre mascarade alors qu’on pleure encore les victimes d’avant la chute du mur de Berlin et qu’il existe encore dans le monde des dictatures communistes qui tuent.


    Cet événement reflète lui aussi, comme bien d’autres avant lui, selon les mots d’Alain Besançon, une « amnésie » du communisme qui s’oppose à l’« hypermnésie » du fascisme et du nazisme. Aujourd’hui, c’est devenu même une fierté de se dire communiste ! Ce qui est très grave en revanche, c’est de dire à quelqu’un qu’il est noir ou de mettre en doute le réchauffement climatique…


    Combien de fois faudra t-il donc rappeler qu’il s’agit d’une idéologie criminelle au même titre que le nazisme avec lequel il s’est allié ? Dans « Le Pacte des diables », essai qui vient de paraître, l’historien Roger Moorhouse raconte la réaction du PCF à la directive de Staline en août 1939 et « l’extraordinaire discipline, véritablement unique dans l’histoire de l’humanité » du PCF qui devint le parti allié d’Hitler dans la lutte contre « l’impérialisme bourgeoise français et britannique ». Même en mai 1940, lorsque les chars allemands avaient déjà envahi la France, le PCF continuait à critiquer le capitalisme et l’impérialisme de Londres.


    Aucun autre parti n’a été autant inféodé à une puissance étrangère, la dictature soviétique en l’occurrence, que le PCF.

    Pendant des décennies, il a obéi au doigt et à l’œil eux directives de Moscou, a approuvé les pires crimes commis au nom du communisme, les a niés lorsque la vérité a éclaté et n’a jamais voulu tirer la leçon de l’échec de cette idéologie qui a laissé, partout où elle a été au pouvoir, des montagnes de cadavres et des économies en faillite.

    Faut-il aussi rappeler que ce parti – français – a organisé et participé à des actions terroristes et de sabotage en France après la fin de la Deuxième Guerre mondiale sur ordre de Moscou et qu’il a été financé par l’URSS jusqu’en 1990 ?


    Ce parti qui fête ses cent ans a réussi, avec l’aide du reste de la gauche française, à s’acquitter lui-même sans jamais tirer les leçons du passé. Cette « grande parade », comme l’a très bien nommée Jean-François Revel, a réussi alors qu’on savait ce qui se passait dans les pays communistes. L’ouverture des archives après 1990 n’a pas poussé, non plus, les idéologues communistes à un semblant de mea culpa (rappelons que même le Parti communiste italien, aussi dogmatique que son homologue français, s’est dissous et a changé de nom).


    Le cadavre du communisme bouge encore et cette « passion française » comme l’a nommée l’historien Marc Lazar, continue à faire des émules un peu partout, à gauche, parmi les jeunes, chez les intellectuels. Ce n’est pas une passion française, c’est une honte française !

     

  • Ecole, réseaux sociaux, justice, Covid : la tyrannie républicaine étend ses tentacules .

     

    Hervé Ryssen restera en prison.

    Du moins pour le moment. La cour d’appel de Paris a refusé d’accepter la remise en liberté du détenu demandée par son avocat, Me Damien Viguier. L’auteur des Espérances planétariennes purge à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis une peine totale de dix-sept mois d’emprisonnement, deux peines définitives de neuf mois (4 et 5 mois) essentiellement pour son petit livre rouge Comprendre le judaïsme, comprendre l’antisémitisme mais également pour la couverture de son livre Les Milliards d’Israël et une peine de huit mois dont il a fait appel mais qui est exécutoire (en attendant le procès d’appel le 18 mars 2021) pour plusieurs passages de son dernier livre, de 2018, L’Antisémitisme sans complexe ni tabou. 

    On voit donc que, contrairement à ce qui est parfois dit ici ou là, ce sont bien ses livres, son œuvre, sa production qui sont poursuivis par le ministère public et les fameuses associations prétendument de lutte contre la haine, et pas seulement des tweets, des vidéos et des messages sur Facebook. Donc prétendre que, s’il s’était abstenu de certains messages sur les réseaux sociaux, il eût évité de passer par la case prison est inexact. Ce sont d’abord et avant tout ses livres qui lui ont valu des condamnations à de la prison ferme. Ce qui en dit long sur la liberté intellectuelle, la liberté de l’esprit actuellement en vigueur en France. 

    La persécution de l’écrivain pourrait encore s’aggraver puisque le procureur, Etienne Debarre, au procès du 2 décembre, a indiqué qu’une peine d’un an de prison ferme pour une vidéo sur « les juifs, l’inceste et l’hystérie » était immédiatement exécutoire et que tout recours était impossible, ce que conteste Me Damien Viguier qui a fait appel auprès du greffe et qui explique que la décision de première instance en juin 2018 condamnant son client à un an de prison n’a jamais été signifiée dans les formes légales à Hervé Ryssen. Si le parquet général jugeait in fine irrecevable l’appel de Me Viguier, la durée d’emprisonnement de l’auteur de La Mafia juive atteindrait alors 29 mois. Sans compter les autres affaires en cours. Dans le procès du 2 décembre, le même procureur a demandé huit mois de prison ferme supplémentaires pour Hervé Ryssen pour deux simples tweets datant d’octobre 2017 (cf. notre édition du 9 décembre), ce qui conduirait à un total théorique de 37 mois d’incarcération, soit plus de trois ans. Toutefois, le procureur a expliqué à regret que, pour ce genre d’infractions, depuis la loi Taubira, par le jeu de confusions des peines, la durée maximale d’emprisonnement ne pourrait en principe excéder deux ans ferme réels. Comprenne qui pourra ! Ce qui est sûr en tout cas, c’est que l’acharnement contre un écrivain valeureux et anticonformiste ne faiblit pas, bien au contraire. Comme le notait dans nos colonnes une autre victime habituelle de Thémis, le révisionniste Vincent Reynouard, exilé en Angleterre depuis juin 2015, le Système politique, judiciaire, associatif risque de faire payer au prix fort les insolences et impertinences de Ryssen sur un lobby dont on n’a le droit de dire que du bien. 

    C’est dans ces pénibles circonstances que Me Viguier a fait savoir, le 10 décembre, après le rejet de la demande de remise en liberté de Ryssen par le premier président de la cour d’appel de Paris, qu’il demandait la grâce du détenu au président de la République. Si cette initiative a pu déplaire à certains qui ont considéré qu’il ne fallait pas demander une faveur au bourreau, à l’ennemi, elle a pour d’autres le mérite de placer Macron au pied du mur. Le chef de l’Etat a en effet le pouvoir de gracier qui il veut. François Hollande avait ainsi gracié la meurtrière Jacqueline Sauvage (laquelle portait bien son nom !) qui avait tué de trois coups de carabine son mari, en lui tirant dans le dos, après quasiment un demi-siècle de mariage, et alors que les accusations tardives et soudaines de violence conjugale, ne semblant reposer sur rien d’objectif et de concret, n’avaient convaincu ni les jurés ni les voisins de la famille Sauvage. Macron se grandirait donc à accorder sa grâce à un écrivain qui n’a pas de sang sur les mains, qui n’a jamais tué ni volé, ni menti, et dont personne d’honnête et de sérieux ne peut douter de la sincérité et de la franchise. Evidemment, sauf miracle, le chef de l’Etat n’en fera rien car, comme ses prédécesseurs, il est le caniche du CRIF, le laquais du Congrès juif mondial et par conséquent tout honneur, toute dignité, toute grâce d’état l’ont fui irrémédiablement. On se souvient de sa petite phrase sur Pétain, qui fut un grand soldat, au moment du centenaire de l’armistice de 1918. Le lobby juif a aboyé, le conjoint de Brigitte s’est couché. C’est à cela aussi qu’on mesure la décadence des mœurs et l’abaissement des caractères.

    La privation des libertés ne concerne pas seulement Hervé Ryssen, même s’il en est actuellement la première et principale victime, la plus emblématique. Alain Soral et son mouvement Egalité et Réconciliation ont vu leurs comptes Twitter suspendus, après avoir déjà perdu leurs comptes VK et leurs chaînes YouTube. Par ailleurs,deux vidéos rivaroliennes sur YouTube ont été supprimées, et Tristan Mendès France fait pression sur la Commission paritaire des publications et agences de presse (la CPPAP), à laquelle RIVAROL est immatriculé depuis janvier 1951, et qui permet quelques modestes réductions postales et fiscales (notamment sur le taux de TVA), au motif que  ce journal (non subventionné) serait un « torchon antisémite » incitant à la haine. 

    On le voit, l’Etat profond va toujours plus loin dans la tyrannie. L’existence de toute voix dissidente, discordante, aussi faible soit-elle, lui est insupportable. C’est également le cas de l’instruction à la maison et des écoles confessionnelles hors-contrat qui sont l’une et l’autre dans le collimateur des pouvoirs publics. Dans le projet de loi du 9 décembre 2029 réaffirmant les principes républicains, l’école à la maison est interdite à partir de septembre 2021. Sauf sérieux problèmes de santé de l’enfant, dûment constatés par un médecin de l’Education nationale (ce qui ne laisse aucune marge de manœuvre), pratique de sport de haut niveau, activités artistiques intenses ou projet pédagogique non assis sur des convictions religieuses ou philosophiques. Mais même pour ces rares exceptions, c’est le rectorat ou le ministère de l’Education nationale qui décidera souverainement et arbitrairement s’il accorde ou non aux géniteurs la possibilité d’instruire à domicile leur progéniture. Jusque-là il suffisait de faire une déclaration en mairie. A partir de la rentrée scolaire 2021, c’est l’Education nationale qui décidera, après présentation d’un dossier dûment rempli, s’il est licite ou non d’instruire ses enfants à domicile. Inutile de dire que c’en sera quasiment fini, sauf très rares exceptions, de l’école à la maison. Seuls les gens du voyage qui par définition se déplacent constamment seront exemptés de l’obligation scolaire en établissements officiellement reconnus. Faudra-t-il désormais acheter une caravane ou un camping-car pour échapper à la pieuvre tentaculaire de l’Education dite nationale ? Car les établissements hors contrat seront, eux aussi, contrôlés et encadrés beaucoup plus sévèrement désormais, les fermetures administratives définitives seront favorisées, facilitées, simplifiées, tandis que l’on insistera encore davantage sur le respect du « socle commun de l’Education nationale » destiné à ruiner la liberté pédagogique, le sens moral et les convictions religieuses de ces écoles intégralement payées par les parents.

    Avec Macron, la tyrannie républicaine étend ses tentacules !