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Christianophobie - Page 24

  • C’est la dissolution de Médiapart qui s’impose et non pas celle de « génération identitaire » !

     

    Les médias nous annoncent que le ministre de l’Intérieur  Darmanin voudrait une nouvelle fois entamer une procédure de dissolution du mouvement « génération identitaire ».

    • S’avère-t-il donc que ce sont des militants de ce mouvement qui ont incendié un millier de voitures lors de la seule nuit du 31 décembre ?
    • S’avère-t-il que ce sont des militants de ce mouvement qui ont lynché atrocement le jeune garçon ukrainien Yurly ?
    • S’avère-t-il que ce sont toujours eux qui organisent des Black-blocs ultra-violents pour agresser les forces de l’ordre, briser les vitrines, piller et incendier à l’occasion de différentes manifestations ?
    • S’avère-t-il qu’ils fassent régner l’insécurité dans les centaines de « territoires perdus pour la République » dans lesquels ils développent sans cesse les trafics de stupéfiants ?
    • S’avère-t-il qu’ils fassent régner la terreur dans les lycées et collèges, s’en prenant aux enseignants comme aux élèves ?

    Mais Darmanin sait fort bien qu’on ne peut rien reprocher de tout cela à ces militants !

    Non, ce que leur reproche le ministricule Darmanin, c’est de menacer gravement la République par l’organisation d’odieuses sorties de plein air en montagne; dans les Alpes il y a quelques mois, dans les Pyrénées il y a quelques jours...

    En effet, très perversement, ils déploient de dangereuses banderoles, distribuent des feuilles de papier agressives, lancent des slogans égoïstes, se gardant bien- ah ! les rusés !- de quelque agression que ce soit, de quelque violence que ce soit.

    Mais avec tous ces procédés fondamentalement inqualifiables, ils osent réclamer que l’Etat français fasse appliquer les sinistres lois rétrogrades et égoïstes contre la liberté qui doit être humanitairement accordée à n’importe quel migrant de venir s’établir en France pour y bénéficier, le temps qu’il voudra, de tous les droits sociaux et financiers des Français. De plus, ces dangereux provocateurs identitaristes n’admettent pas facilement que la plupart des migrants puissent, comme si ce n’était pas normal, faire régner au plus vite leurs mœurs, leurs us et coutumes conformément à leur loi politico-religieuse.

    N’est-il pas consternant que dans une période où une multitude de facteurs démographiques, politiques, économiques, sociaux, moraux, concourent à la désintégration de la France, le ministre de l’Intérieur du gouvernement de la République puisse se consacrer à la petite maneuvre politicienne éculée de dissolution d’un mouvement patriotique pour justifier symétriquement quelques dérisoires mesurettes dans la direction opposée ?

    Sans oser en effet prendre à la racine la menace de l’islamo-gauchisme.

    Dissoudre Médiapart

    Car une dissolution autrement fondée s’impose aujourd’hui :

    Celle de l’officine de dénonciation, de calomnie, de délation, de collaboration islamistophile, la tchéka de l’antiracisme islamo-gauchiste fondée par le camarade trotskyste Edwy Plenel: Médiapart.

    La dernière fripouillerie tchékiste de cette agence Médiapart a consisté à dénoncer et à livrer à la vindicte islamiste une professeur de droit de l’université d’Aix-Marseille !!

    Cette dernière a ensuite reçu des menaces de mort. Qu’avait-elle osé dire ? Commentant l’assassinat de l’enseignant Samuel Paty elle avait simplement dit « L’islam ne reconnait pas la liberté de conscience. C’est quand même absolument terrifiant » et évoqué « des religions sexuellement transmissibles ».

    On peut approuver ou ne pas approuver ces mots. Nous allons y venir. Mais la question n’est pas d’abord là.

    La question est simple: peut-on encore, en France, parler librement de l’islam ?

    Pour le grand inquisiteur Plenel, pas question d’en exprimer autre chose que des considérations laudatives ou pour le moins positives.

    Quelques mots rapides maintenant sur les assertions dénoncées :

    • La première est pure vérité : si ce ne l’était pas, pourquoi alors, selon le Coran et les Hadiths, le musulman qui veut se convertir au christianisme ( ou à toute autre religion) doit-il être condamné à mort ?
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    • Sur la seconde, on ne sait pas ce que notre courageuse professeur entendait par là ? On incline donc à penser qu’outre un peu de dérision pas bien méchante elle voulait exprimer que les appartenances religieuses sont principalement transmises par la famille.

    La vérité c’est qu’elles sont textuellement transmissibles, surtout dans les « religions du Livre » que sont l’islam et le judaïsme (sacralisation de la Tora, sacralisation du Coran) ; le christianisme étant davantage peut-être la transmission de la Parole…

    On s’en doute, nous sommes prêts à soutenir cette courageuse professeur devant n’importe quel tribunal. Et pour défendre le principe de la liberté d’expression (bordé bien sûr par la condamnation de la haine et de la violence) et pour demander la dissolution de la tchéka de Médiapart.

     

  • Vaccination et médecine juive .

     

    Le 8 janvier 2021, la Commission européenne a commandé, avec l’argent du contribuable, notamment français, 300 millions de doses supplémentaires du vaccin Pfizer-BioNTech !

    Au total, l’Union européenne a commandé 600 millions de doses de ce vaccin dont l’efficacité est loin d’être prouvée. « Nous avons désormais sécurisé l’achat de suffisamment de doses pour vacciner 380 millions d’Européens, soit 80 % de la population, et d’autres vaccins vont suivre dans les semaines et mois à venir », s’est réjouie Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission.

    DES VACCINS DOUTEUX

    Le journal Le Monde rapporte que « les contrats qu’ont négociés, en amont, l’exécutif bruxellois et les Vingt-Sept avec les laboratoires ont été relativement longs à finaliser. Notamment parce qu’ils prévoient, si les vaccins doivent poser problème, un partage des responsabilités juridiques entre Etats et laboratoires, quand, aux Etats-Unis ou au Royaume-Uni, seuls les Etats sont tenus responsables. »

    En clair, s’il s’avère que ces vaccins sont des poisons, les laboratoires pharmaceutiques qui nous les ont refourgués ne seront pas tenus responsables juridiquement!

    Pourquoi inclure une telle clause dans le contrat si les vaccins en questions sont sans danger ?

    Le vaccin en question est une technologie nouvelle, non éprouvée : l’ARN messager. D’après le professeur Christian Perronne, il s’agit d’une thérapie génique, impliquant l’éventuelle modification de notre ADN.

    D’ailleurs, le « Monsieur Vaccins » du gouvernement français, chargé de communiquer sur la campagne de vaccination, Alain Fisher, s’est montré extrêmement prudent quand il s’est exprimé à la télévision devant les Français. Il a préconisé une campagne qui doit « commencer prudemment » et a évoqué « de petites marges d’incertitudes » sur les effets indésirables du vaccin.

    Fisher était manifestement bien informé, puisqu’on apprenait, le 15 janvier 2021, via le media norvégien Norway Today et CNEWS, que : « l’Agence norvégienne du médicament a fait état de 13 décès qui seraient liés aux effets secondaires du vaccin Pfizer contre le coronavirus… Au total, 23 décès ont été recensés dans le cadre de la vaccination contre le Covid-19 en Norvège, et jusqu’à présent, 13 d’entre eux ont été analysés »

    « Les rapports pourraient indiquer que les effets secondaires courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, peuvent avoir entraîné la mort de certains patients fragiles », a noté le médecin en chef de l’Agence norvégienne du médicament Sigurd Hortemo.

    L’Institut national de la santé publique norvégien a mis à jour le guide de vaccination contre le coronavirus avec de nouveaux conseils sur la vaccination des personnes âgées fragiles. Steinar Madsen, membre de l’Agence norvégienne du médicament, a déclaré, lors d’une interview donnée le jeudi 14 janvier 2021 : « Si vous êtes fragile, vous ne devriez probablement pas être vacciné. » ...

    Dans un communiqué, cité par Bloomberg, Pfizer assure que le « nombre d’incidents n’est pas alarmant, conformément aux attentes. »

    Pfizer nous dit tranquillement qu’il s’attendait à ce que son vaccin provoquât des morts.

    Aux Etats-Unis, les autorités ont recensé 21 cas de réactions allergiques sévères entre le 14 et le 21 décembre, rapporte Bloomberg.

    L’ÉTHIQUE DE LA MÉDECINE JUIVE

    L’on comprend mieux pourquoi le Président directeur général de Pfizer, Albert Bourla, préfère ne pas s’injecter son vaccin...

     Il a ainsi déclaré sur CNBC le 14 décembre 2020 que les dirigeants de Pfizer attendront leur tour pour se faire vacciner : « Dès que je le pourrai, je le ferai, mais je ne veux pas que les dirigeants passent devant les autres. J’ai 59 ans, je suis en bonne santé, je ne travaille pas en première ligne, donc il n’est pas recommandé que mon groupe se fasse vacciner maintenant. »

    C’est là une belle éthique qui doit lui venir de sa religion. Albert Bourla, juif, fils de « survivants de la Shoah », a allumé les bougies de Hanoukka lors d’une cérémonie virtuelle organisée par l’ambassade d’Israël à Washington, comme le rapporte fièrement The times of Israël.

    L’analyse de l’éthique médicale dans le judaïsme permet de comprendre l’implication de nombreuses personnalités juives dans des scandales sanitaires (Laurent Fabius, Agnès Buzyn, Jérôme Salomon…).

    Maïmonide, illustre rabbin et médecin, autorité théologico-juridique jusqu’à nos jours, écrira qu’il est « interdit de guérir un goy même contre paiement… cependant si vous le craignez, ou que vous redoutiez son hostilité, soignez-le contre paiement, mais il est interdit de le faire sans rétribution »

    À la suite de Maïmonide, les autres œuvres faisant autorité reprendront sa doctrine, notamment au XIVe siècle, dans l’Arba’ah Turim, ainsi que dans le Beït Iosef et le Shulhan ‘Arukh de Joseph Caro. 

    Citant Maïmonide, le Beït Iosef ajoute : « Et il est permis de faire l’essai d’un remède sur un païen, si cela sert à quelque chose », principe que reprend aussi le célèbre rabbin Moses Isserles. 

    Et n’est-ce pas ce que nous vivons actuellement ? N’est-ce pas ce que proposaient, sur LCI, deux médecins juifs le 1er avril 2020 ? 

    « Jean-Paul Mira, chef de la réanimation à l’hôpital Cochin, à Paris, dialogue avec Camille Locht, directeur de recherche à l’Inserm. Les deux hommes discutent des études qui pourraient être lancées pour vérifier l’efficacité du vaccin du BCG contre le coronavirus », rapportait Le Parisien (le 3 avril 2020).

    En plateau, Jean-Paul Mira lance : « Si je peux être provocateur, est-ce qu’on ne devrait pas faire cette étude en Afrique, où il n’y a pas de masques, pas de traitement, pas de réanimation, un peu comme c’est fait d’ailleurs sur certaines études avec le sida, ou chez les prostituées : on essaie des choses parce qu’on sait qu’elles sont hautement exposées. Qu’est-ce que vous en pensez ? »

    « Vous avez raison », lui répond le Professeur Locht, avant d’ajouter : « on est d’ailleurs en train de réfléchir en parallèle à une étude en Afrique avec le même type d’approche, ça n’empêche pas qu’on puisse réfléchir en parallèle à une étude en Europe et en Australie. »

    DES COUPABLES COMMUNAUTARISTES SYSTÉMATIQUEMENT PROTÉGÉS

    Outre ces faits, on peut aussi s’interroger sur l’impunité de ces individus. Nous avons récemment appris que l’ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, qui est visée par des poursuites judiciaires sur sa gestion de la crise sanitaire, a quitté la France pour la Suisse et a été embauchée par l’Organisation mondiale de la Santé, l’OMS ! ...

    Rappelons que le mari d’Agnès Buzyn, Yves Lévy, dirigeait l’Institut national de la santé (du 12 juin 2014 au 13 octobre 2018), alors que sa femme occupait le poste de ministre de la Santé (du 17 mai 2017 au 16 février 2020).

    On apprenait, dans un article du journal Marianne en date du 11 octobre 2017 et titré « Conflit d’intérêts : cette décision de la ministre Agnès Buzyn qui a bien fait les affaires de son mari », que le 2 octobre 2017, Agnès Buzyn et Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur, avaient annoncé le report d’un appel à projet pour créer de nouveaux instituts hospitalo-universitaires (IHU), en précisant que ceux-ci devront « proposer une gouvernance sans fondation support ». Or, souligne Marianne, cette demande administrative s’inscrivait dans une lutte d’influence à laquelle l’Inserm était partie prenante. « Les deux ministres ont simplement fait droit à une demande… d’Yves Lévy, mari d’une des deux signataires. »

    Cette situation étant embarrassante pour le gouvernement et Madame Buzyn, Yves Lévy a retiré sa candidature à un second mandat à la tête de l’Inserm. Il quitte la présidence de l’Inserm (il est remplacé le 2 janvier par un coreligionnaire, Gilles Bloch) en octobre 2018, et il est immédiatement parachuté au poste de conseiller juridique d’Etat extraordinaire. À ce titre il est rémunéré entre 1500 et 6100 euros net par mois pendant cinq ans, alors qu’il n’a jamais pratiqué le droit public...

    Quant à Jérôme Salomon, un autre membre du peuple élu, directeur général de la Santé, mis en cause par la commission d’enquête du Sénat en décembre 2020 sur sa gestion de la pandémie, il avait déjà connu d’autres problèmes alors qu’il travaillait à l’institut Pasteur. Le Parisien révèle :

    « Nous sommes en mesure de révéler qu’en octobre 2012, cette figure scientifique et médiatique de la pandémie a été licenciée dans des conditions troubles par l’institut Pasteur alors qu’il y occupait le poste de responsable de la division internationale. À l’époque, Jérôme Salomon est officiellement licencié pour « cause réelle et sérieuse » — un motif non lié à une faute ou à une insuffisance professionnelle — en raison d’un cumul de fonction après la récente nomination de celui-ci comme professeur au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)…

    En réalité, selon nos informations, le départ brutal du futur directeur général de la Santé est lié à une raison moins avouable : l’envoi supposé d’une lettre anonyme dactylographiée… Le courrier que nous avons pu consulter, posté le 22 septembre 2012, apparaît comme un cri de désespoir lancé par un salarié qui serait en fonction au « service support » de Pasteur. La victime supposée se dit victime de harcèlement sexuel, de corruption et de menace de mort de la part du dirigeant. L’auteur dénonce des faits de pédophilie, de zoophilie et de sadomasochisme… »

    Finalement, deux salariés connaissant intimement Jérôme Salomon l’identifient comme l’auteur de cette lettre anonyme et calomnieuse. Malgré cette affaire sordide, Salomon intègre en 2014 le cabinet de la ministre de la Santé Marisol Touraine, en charge de la sécurité sanitaire, et sera nommé dans une Unité mixte de recherche CNAM-institut Pasteur. Et il termine directeur général de la Santé.

    Voilà les individus en charge de notre santé. Il y a de quoi trembler…

     

  • Le PCF, une honte abominable jamais remise en cause par le gouvernement et les divers partis politiques français .

    Le PCF, une honte française
    100 ans d’histoire et 100 millions de morts

     

    Le 29 décembre prochain, la Parti communiste français a fêté ses 100 ans. Difficile à croire, mais il existe encore un parti communiste en France, une organisation politique qui a énormément perdu de son électorat mais qui garde intact son dogmatisme idéologique. Pire, malgré son nanisme politique, il réussit encore à influencer les débats d’idées, à déteindre sur d’autres partis gauchisants et écologistes.

    Aujourd’hui, en France, fin 2020, le secrétaire du parti, Fabien Roussel, n’a pas le moindre scrupule pour « célébrer la riche histoire » de son parti « avec les yeux braqués sur le présent et vers l’avenir ».

    Pour lui, « En 2020 comme il y a cent ans, le communisme, c’est la jeunesse du monde. Et face au vieux système capitaliste, nous avons besoin d’idées radicalement nouvelles  ».

    Le système politique qui a fait le plus de morts dans l’histoire de l’humanité est fêté en France comme n’importe quelle autre doctrine et rares sont les voix qui s’élèvent contre cette sinistre mascarade alors qu’on pleure encore les victimes d’avant la chute du mur de Berlin et qu’il existe encore dans le monde des dictatures communistes qui tuent.


    Cet événement reflète lui aussi, comme bien d’autres avant lui, selon les mots d’Alain Besançon, une « amnésie » du communisme qui s’oppose à l’« hypermnésie » du fascisme et du nazisme. Aujourd’hui, c’est devenu même une fierté de se dire communiste ! Ce qui est très grave en revanche, c’est de dire à quelqu’un qu’il est noir ou de mettre en doute le réchauffement climatique…


    Combien de fois faudra t-il donc rappeler qu’il s’agit d’une idéologie criminelle au même titre que le nazisme avec lequel il s’est allié ? Dans « Le Pacte des diables », essai qui vient de paraître, l’historien Roger Moorhouse raconte la réaction du PCF à la directive de Staline en août 1939 et « l’extraordinaire discipline, véritablement unique dans l’histoire de l’humanité » du PCF qui devint le parti allié d’Hitler dans la lutte contre « l’impérialisme bourgeoise français et britannique ». Même en mai 1940, lorsque les chars allemands avaient déjà envahi la France, le PCF continuait à critiquer le capitalisme et l’impérialisme de Londres.


    Aucun autre parti n’a été autant inféodé à une puissance étrangère, la dictature soviétique en l’occurrence, que le PCF.

    Pendant des décennies, il a obéi au doigt et à l’œil eux directives de Moscou, a approuvé les pires crimes commis au nom du communisme, les a niés lorsque la vérité a éclaté et n’a jamais voulu tirer la leçon de l’échec de cette idéologie qui a laissé, partout où elle a été au pouvoir, des montagnes de cadavres et des économies en faillite.

    Faut-il aussi rappeler que ce parti – français – a organisé et participé à des actions terroristes et de sabotage en France après la fin de la Deuxième Guerre mondiale sur ordre de Moscou et qu’il a été financé par l’URSS jusqu’en 1990 ?


    Ce parti qui fête ses cent ans a réussi, avec l’aide du reste de la gauche française, à s’acquitter lui-même sans jamais tirer les leçons du passé. Cette « grande parade », comme l’a très bien nommée Jean-François Revel, a réussi alors qu’on savait ce qui se passait dans les pays communistes. L’ouverture des archives après 1990 n’a pas poussé, non plus, les idéologues communistes à un semblant de mea culpa (rappelons que même le Parti communiste italien, aussi dogmatique que son homologue français, s’est dissous et a changé de nom).


    Le cadavre du communisme bouge encore et cette « passion française » comme l’a nommée l’historien Marc Lazar, continue à faire des émules un peu partout, à gauche, parmi les jeunes, chez les intellectuels. Ce n’est pas une passion française, c’est une honte française !