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edwy plenel

  • C’est la dissolution de Médiapart qui s’impose et non pas celle de « génération identitaire » !

     

    Les médias nous annoncent que le ministre de l’Intérieur  Darmanin voudrait une nouvelle fois entamer une procédure de dissolution du mouvement « génération identitaire ».

    • S’avère-t-il donc que ce sont des militants de ce mouvement qui ont incendié un millier de voitures lors de la seule nuit du 31 décembre ?
    • S’avère-t-il que ce sont des militants de ce mouvement qui ont lynché atrocement le jeune garçon ukrainien Yurly ?
    • S’avère-t-il que ce sont toujours eux qui organisent des Black-blocs ultra-violents pour agresser les forces de l’ordre, briser les vitrines, piller et incendier à l’occasion de différentes manifestations ?
    • S’avère-t-il qu’ils fassent régner l’insécurité dans les centaines de « territoires perdus pour la République » dans lesquels ils développent sans cesse les trafics de stupéfiants ?
    • S’avère-t-il qu’ils fassent régner la terreur dans les lycées et collèges, s’en prenant aux enseignants comme aux élèves ?

    Mais Darmanin sait fort bien qu’on ne peut rien reprocher de tout cela à ces militants !

    Non, ce que leur reproche le ministricule Darmanin, c’est de menacer gravement la République par l’organisation d’odieuses sorties de plein air en montagne; dans les Alpes il y a quelques mois, dans les Pyrénées il y a quelques jours...

    En effet, très perversement, ils déploient de dangereuses banderoles, distribuent des feuilles de papier agressives, lancent des slogans égoïstes, se gardant bien- ah ! les rusés !- de quelque agression que ce soit, de quelque violence que ce soit.

    Mais avec tous ces procédés fondamentalement inqualifiables, ils osent réclamer que l’Etat français fasse appliquer les sinistres lois rétrogrades et égoïstes contre la liberté qui doit être humanitairement accordée à n’importe quel migrant de venir s’établir en France pour y bénéficier, le temps qu’il voudra, de tous les droits sociaux et financiers des Français. De plus, ces dangereux provocateurs identitaristes n’admettent pas facilement que la plupart des migrants puissent, comme si ce n’était pas normal, faire régner au plus vite leurs mœurs, leurs us et coutumes conformément à leur loi politico-religieuse.

    N’est-il pas consternant que dans une période où une multitude de facteurs démographiques, politiques, économiques, sociaux, moraux, concourent à la désintégration de la France, le ministre de l’Intérieur du gouvernement de la République puisse se consacrer à la petite maneuvre politicienne éculée de dissolution d’un mouvement patriotique pour justifier symétriquement quelques dérisoires mesurettes dans la direction opposée ?

    Sans oser en effet prendre à la racine la menace de l’islamo-gauchisme.

    Dissoudre Médiapart

    Car une dissolution autrement fondée s’impose aujourd’hui :

    Celle de l’officine de dénonciation, de calomnie, de délation, de collaboration islamistophile, la tchéka de l’antiracisme islamo-gauchiste fondée par le camarade trotskyste Edwy Plenel: Médiapart.

    La dernière fripouillerie tchékiste de cette agence Médiapart a consisté à dénoncer et à livrer à la vindicte islamiste une professeur de droit de l’université d’Aix-Marseille !!

    Cette dernière a ensuite reçu des menaces de mort. Qu’avait-elle osé dire ? Commentant l’assassinat de l’enseignant Samuel Paty elle avait simplement dit « L’islam ne reconnait pas la liberté de conscience. C’est quand même absolument terrifiant » et évoqué « des religions sexuellement transmissibles ».

    On peut approuver ou ne pas approuver ces mots. Nous allons y venir. Mais la question n’est pas d’abord là.

    La question est simple: peut-on encore, en France, parler librement de l’islam ?

    Pour le grand inquisiteur Plenel, pas question d’en exprimer autre chose que des considérations laudatives ou pour le moins positives.

    Quelques mots rapides maintenant sur les assertions dénoncées :

    • La première est pure vérité : si ce ne l’était pas, pourquoi alors, selon le Coran et les Hadiths, le musulman qui veut se convertir au christianisme ( ou à toute autre religion) doit-il être condamné à mort ?
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    • Sur la seconde, on ne sait pas ce que notre courageuse professeur entendait par là ? On incline donc à penser qu’outre un peu de dérision pas bien méchante elle voulait exprimer que les appartenances religieuses sont principalement transmises par la famille.

    La vérité c’est qu’elles sont textuellement transmissibles, surtout dans les « religions du Livre » que sont l’islam et le judaïsme (sacralisation de la Tora, sacralisation du Coran) ; le christianisme étant davantage peut-être la transmission de la Parole…

    On s’en doute, nous sommes prêts à soutenir cette courageuse professeur devant n’importe quel tribunal. Et pour défendre le principe de la liberté d’expression (bordé bien sûr par la condamnation de la haine et de la violence) et pour demander la dissolution de la tchéka de Médiapart.