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Christianophobie - Page 26

  • Castex c’est la France ouverte pour les clandestins, et la France prison pour les Français !

    « On va instaurer une quarantaine avec les préfets limitrophes, il y aura des contrôles aléatoires à la frontière. Vous serez placés en quarantaine de 7 jours et vous subirez des tests. La conclusion à en tirer est que je ne vais pas en Suisse. »

    Comme l’a si bien résumé l’essayiste Jean-Yves Le Gallou dans un tweet lapidaire  :

    « Avec le père #Ubu #Castex, La France est une auberge pour les clandestins, une prison pour les Français. »

     

     

     En tout cas, quand ils veulent nos gouvernants, ils sont donc capables de les surveiller les frontières !

     

     

  • Radio France n’aime pas le mot “chrétien” !

     

     
    Lundi 7 décembre, l’Œuvre d’Orient publiait un communiqué de presse regrettant qu’une campagne – payante – de publicité pour faire un appel aux dons ait été refusée par Radio France. Avant de médiatiser l’affaire, l’association a tenté, durant un mois et demi, de trouver une solution auprès de la radio. Avec le succès que l’on sait. Pour motiver son refus, cette dernière a brandi l’article 37 du cahier des charges, lequel stipule : « Les messages publicitaires ne doivent contenir aucun élément de nature à choquer les convictions politiques des auditeurs. » Demander de l’aide pour une association, bien connue, qui soutient les Chrétiens d’Orient depuis plus de 150 ans est donc choquant pour Radio France en général et France Inter en particulier.

    Ce n’était pourtant pas une première puisque l’association avait déjà diffusé cinq campagnes sur les ondes de Radio France. C’était la belle époque. Aujourd’hui, il semblerait que certains auditeurs soient allergiques à toute référence chrétienne. D’où l’ultimatum posé sous forme d’alternative : la publicité devra parler de l’Œuvre d’Orient mais pas des chrétiens d’Orient. C’est ça ou la censure!.

    D’après un article du Figaro, les auditeurs avaient envoyé de nombreuses réclamations auprès de la direction de Radio France après une campagne de soutien au Liban, lancée en septembre, et pour laquelle l’Œuvre d’Orient avait diffusé des publicités. « Les auditeurs des antennes de Radio France, très attentifs au respect du principe de neutralité religieuse, philosophique et politique du service public, ont été nombreux à réagir et à questionner Radio France sur ce choix », dixit la radio. Quelques auditeurs ont maugréé et Radio France s’est couchée sous couvert de laïcité.

    On a connu Radio France et surtout France Inter beaucoup moins tatillonnes avec les sentiments et les émotions d’autres auditeurs. On se souvient du sinistre Frédéric Fromet qui chantait d’un air guilleret « Jésus est pédé » sous les rires du studio. Et s’est empressé de s’excuser quelques jours plus tard auprès de la communauté LGBT pour l’avoir comparée à Jésus-Christ. On parle alors de laïcité, d’humour et de liberté d’expression !!

    C’est toute la mauvaise foi du deux poids, deux mesures.

    Il apparaît surtout que la laïcité de notre XXIe siècle est plus un athéisme militant qu’une saine séparation des pouvoirs.

    Qui se souvient encore, aujourd’hui, que la vraie laïcité est d’origine chrétienne ? Le fameux : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. » Comme l’a fait très justement remarquer Mgr Gollnisch, directeur général de l’association : « Elle [Radio France] transforme une laïcité louable en un athéisme affiché et l’Œuvre d’Orient ne peut l’accepter. »

    L’Œuvre d’Orient n’a pas plié et bien lui en a pris. A l’heure où nous écrivons ces lignes nous apprenons que la direction de Radio France a appelé l’association pour lui dire qu’elle revenait sur sa décision et acceptait de diffuser, telle quelle, la publicité. Une victoire qu’elle n’aurait sans doute pas obtenue sans cette médiatisation et la vague de soutien qu’elle a soulevée. En attendant, la laïcité a dévoilé son vrai visage.

    Notre pays est malade de son athéisme et de son laïcisme .

    Aujourd’hui c’est une publicité que l’on censure, demain une œuvre de musique parce qu’elle est un requiem, ou un chant grégorien ou une messe ? .

     

  • Giscard et Macron, deux fossoyeurs acharnés responsables du génocide des français .

    S’il existe assurément une communion des saints, il existe tout aussi sûrement une communion des imposteurs.

    Le 3 décembre, dans son allocution télévisée, Emmanuel Macron a ainsi rendu un vibrant hommage à l’ancien président Valéry Giscard d’Estaing qui venait de décéder la veille, à 94 ans et 10 mois, des suites du coronavirus. En dressant le panégyrique de VGE, le chef de l’Etat faisait en creux l’éloge de sa pensée et de son action car l’actuel locataire de l’Elysée est sans doute celui qui, malgré un demi-siècle de différence, s’inscrit le plus et le mieux dans le sillage de l’Auvergnat. Comme Giscard, Macron est devenu président à la quarantaine. Il a même devancé là son prédécesseur puisqu’il a été élu à la magistrature suprême à 39 ans, là où l’ex-maire de Chamalières est devenu président à 48 ans. 

    Comme Giscard, Macron est fondamentalement un européiste forcené.

    Lors de la campagne présidentielle de 2017, l’ex-banquier d’affaires était le seul candidat à faire agiter sur les podiums et dans les salles de ses réunions des drapeaux de l’Union européenne. Giscard fut toute sa vie un européiste militant. Dans sa jeunesse, il militait pour les Etats-Unis d’Europe. Sous De Gaulle, il entendait incarner, avec sa Fédération nationale des Républicains indépendants, « l’élément centriste et européen de la majorité ». Elu chef de l’Etat, Giscard est à l’origine de la création en 1974 du Conseil européen, du lancement en 1978 du Système monétaire européen (SME), dont sortiront l’Union monétaire et l’euro. L’unité de compte européenne, l’écu, est créée en 1979, première étape vers la monnaie unique. On doit également à VGE l’élection du Parlement européen au suffrage universel direct.

    Une fois battu par Mitterrand en 1981, Giscard, qui fut élu onze fois député du Puy-de-Dome, occupa presque tous les mandats possibles et fut même élu académicien, poursuivit inlassablement son combat européiste. Il conduisit la liste RPR-UDF aux européennes de juin 1989, devint député européen. Il s’engagea fortement pour le oui à Maastricht en 1992 et, devenu président de la Convention pour l’avenir de l’Europe, qui élabora un projet constitutionnel pour l’Union européenne, il s’engagea fortement pour le oui lors du référendum du 29 mai 2005, qui certes échoua. Mais Sarkozy, deux ans plus tard, imposa par voie parlementaire le traité de Lisbonne qui reprenait les principales dispositions du traité constitutionnel de VGE. 

    Comme Giscard, Macron est avant tout un homme de la finance internationale et fait sienne une vision essentiellement économiste et mercantile de sa mission.

    VGE était inspecteur des finances, fut sous De Gaulle, puis sous Pompidou, ministre de l’Economie et des Finances et, pendant son septennat, c’est la dimension matérialiste et “économistique” de son action qu’il privilégia, au détriment de la défense de la civilisation, du patrimoine, de la famille traditionnelle et de la morale naturelle. On doit également à Giscard, alors qu’il était ministre des Finances de Pompidou, la loi dite Rothschild, du 2 janvier 1973, qui limite drastiquement le financement de l’Etat par la Banque centrale, ce qui conduisit les pouvoirs publics à s’endetter auprès d’acteurs privés et internationaux, prêtant avec de forts intérêts, ce qui est directement à l’origine d’une dette publique de plus en plus massive. Bien qu’officiellement libéral en économie, Giscard augmenta massivement les prélèvements obligatoires à chaque fois qu’il eut des responsabilités gouvernementales ou élyséennes. 

    Ministre de l’Economie et des Finances, il étend la TVA créée en 1954 et réservée initialement aux grandes entreprises aux commerces de détail. Sa réforme de l’impôt sur le revenu des personnes physiques accroît considérablement le nombre d’assujettis. Président, il institue en 1975 la taxe professionnelle, désastreuses pour les commerçants, artisans, petites et moyennes entreprises. Polytechnicien et énarque, il ne comprend pas que trop d’impôts tue l’impôt et que, pour réduire le chômage qui dépasse les un million officiels sous son mandat présidentiel et créer de la richesse, attirer des investisseurs, favoriser l’initiative, récompenser les talents, la créativité, il faut au contraire, réduire considérablement la pression fiscale sur les pauvres mais aussi sur les classes moyennes et supérieures qui créent de l’emploi et réinjectent l’argent qu’ils gagnent dans l’économie.

    A l'instar de VGE, Macron se veut résolument moderne.

    D’où le "couple" étonnant qu’il forme avec Brigitte, de très loin son aînée. D’où son soutien public et enthousiaste à la Gay Pride, aux musiques et “artistes” dégénérés (on l’a vu en juin 2018 lors d’une effarante Fête de la musique à l’Elysée, où un des danseurs, en grande partie dénudé, exhibait sur son maillot l’inscription « Fier d’être noir, immigré et pédé »), à la PMA pour les lesbiennes, etc.

    Avant lui, Giscard avait renoncé dès son élection au costume traditionnel en queue de pie. Sur la photographie officielle, il ne pose pas, contrairement à ses prédécesseurs, avec le collier de Grand Maître de la Légion d’honneur. C’est lui également qui met fin aux solennités de la fête de Jeanne d’Arc le deuxième dimanche de mai, en ne se déplaçant pas à la statue de la Pucelle place des Pyramides. Elu, il tient son premier discours en anglais, ce qu’il fera régulièrement par la suite. Macron agit pareillement. Giscard et Macron sont fondamentalement deux libéraux-libertaires. 

    On doit au premier la loi dépénalisant l’avortement le 17 janvier 1975, ce qui est à l’origine du génocide de plus de dix millions de bébés à naître en 45 ans et ce qui contribua à désacraliser l’enfance, à détruire les repères moraux, la loi instaurant le divorce par consentement mutuel le 11 juillet 1975, ce qui accéléra la destruction de la cellule familiale, favorisa l’infidélité conjugale et l’instabilité des couples et des foyers.

    Giscard est également à l’origine de la libéralisation, et donc de la massification, de la pornographie. L’idée avancée était que les gens pourraient ainsi se détendre et qu’il y aurait moins de crimes, notamment à caractère sexuel. Ce fut exactement le contraire qui se produisit, ce genre de spectacle nauséabond excitant au contraire les pulsions mauvaises et violentes et donnant une image totalement déformée, bestiale et avilissante de l’amour et de la sexualité.

    Bien plus tard, au moment du vote de la loi Taubira, Giscard se prononça en faveur du “mariage” homosexuel et de l’adoption.

    Bref, VGE est resté fidèle toute sa vie à de désastreuses options libérales-libertaires, sapant les fondements moraux et anthropologiques de la société.

    Sur le plan éducatif, on doit à Giscard la désastreuse réforme Haby qui créa le collège unique, réforme qu’on a pu, à juste titre, résumer par ce slogan « collège unique, collège inique » puisque, au nom d’une conception égalitariste de l’enseignement reposant sur le nivellement par le bas, méprisant la diversité des talents et des vocations, et négligeant donc l’apprentissage pour les métiers manuels, on a imposé un socle commun et une prolongation de la scolarité à des jeunes gens et des jeunes filles qui n’étaient pas faits et qui n’avaient pas le goût ou l’aptitude pour des études spéculatives. Enfin, par démagogie et par jeunisme, VGE abaissa l’âge de la majorité civile et électorale de 21 à 18 ans, une mesure qui profita à son adversaire socialiste, les deux millions de jeunes qui en bénéficièrent ayant massivement voté en 1981 pour François Mitterrand.

    A l'image de son prédécesseur, Macron n’a absolument pris aucune mesure contre l’immigration de masse, maintenant les frontières ouvertes (même pendant la farce du COVID), conservant, voire aggravant, toutes les mesures favorisant l’invasion et la submersion de notre pays. Mais Giscard et Chirac, alors Premier ministre, ont eu, quant à eux, une responsabilité historique encore plus grande en transformant l’immigration de travail en immigration de peuplement, par le décret du 29 avril 1976 instaurant le regroupement familial. C’est vraiment à partir de Giscard que le visage de la France commença vraiment à changer, avec une immigration de plus en plus imposante, même si ses successeurs immédiats ont encore aggravé le phénomène. 

    Avec sa loi sur l’avortement en 1975 et celle sur le regroupement familial en 1976, Giscard avait posé les conditions d’un carnage biologique et spirituel, d’un Grand Remplacement de la population, mais aussi des cœurs, des esprits et des âmes. Il a donc bien mérité de leur République mortifère et criminelle !