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Christianophobie - Page 27

  • Le gouvernement de Macron pire que la Chine de Mao ou l’URSS de Staline .

    Pour Noël, le gouvernement offre un bracelet électronique à chaque Français !...

     

    A dire vrai, il n’a même pas besoin de l’offrir! ...

    Comme dans la Chine de Mao ou dans l’URSS de Staline il compte sur la dénonciation, la pression sociale, la peur. L’Etat s’invite chez nous insidieusement, dans la cuisine avec papi et mamie, pour surveiller que nous ne serons pas plus de six à table le jour de Noël et il nous suit hors de chez nous pour s’assurer que nous n’allons pas skier en dehors des frontières !

    « Il est impératif que vous limitiez le nombre de personnes à table et évitiez les rassemblements trop nombreux » lors des fêtes de fin d’année, a confirmé le pitoyable Jean Castex lors d’une conférence de presse le jeudi 26 novembre.

    Il n’y aura pas non plus de grandes messes de Noël. Distanciation oblige. Rien de mieux pour casser la famille et la religion.

    La loi « Séparatisme » est un prétexte qui permettra d’ailleurs de mieux contrôler les religions au risque de les détruire.

    Car imposer les principes républicains peut être un jour un moyen donné à un prochain gouvernement d’imposer des femmes prêtres au nom de l’égalité sanctifiée, ou d’interdire des pratiques rituelles juives ou de certaines religions susceptibles désormais d’être plus vite qualifiées de sectes.

    Déjà l’interdiction de l’enseignement hors l’école est une restriction grave de la liberté des parents consacrée par l’article 20 de la Déclaration des Droits de l’homme de 1948 : « 3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants ». Ils ont surtout le droit de ne pas mettre leurs enfants à l’école dès 3 ans.

    Ces mesures qui paraissent presque anodines séparément esquissent ensemble les prémices d’un monde totalitaire. Quand pour combattre l’islam assassin, on se donne des armes contre toutes les religions, quand pour réduire l’impact d’une maladie, on utilise discrétionnairement des mesures privatives de liberté, on ouvre la voie à n’importe quel gouvernement, d’extrême droite ou d’extrême gauche ou peut-être simplement d’extrême conformisme ambiant, pour généraliser et pérenniser ces dispositifs à l’encontre de la société et de nos libertés fondamentales.

    Par ailleurs, l’Etat s’insère dans la vie des entreprises jusqu’à mesurer leur compte de pertes et profits à l’aune d’une balance morale dont il décide seul de l’étalon. La loi de finances de la Sécurité Sociale a prévu de prélever 1,5 Md€ sur les assurances complémentaires santé qui auraient eu moins de débours pendant le confinement, mais les indemnise-t-elles quand elles en ont plus pour d’autres raisons ?

    Maintenant, alors que le secteur des assurances a déjà abondé le fonds de solidarité Covid de 400 M€, Le Maire, qui gesticule pour exister, exige des assureurs qu’ils gèlent leurs primes sur les cafés, hôtels restaurants, sous la menace, sinon, de les taxer. Une nouvelle forme de chantage, fiscal ?

    Ainsi, les comportements économiques des uns et des autres sont tracés et évalués par le gouvernement qui juge seul du moment où il faut les modifier. C’est aussi ce qui arrivera aux vacanciers voyageurs qui se feront pincer à la frontière si dans leur coffre il y a des skis ou peut-être même seulement des combinaisons de ski. Ce qui augure mal de la liberté de nos faits et gestes. Sauf si le Conseil d’Etat ou le Conseil constitutionnel, selon les cas, réagissent à ce despotisme de moins en moins doux qui s’insinue par tous les pores de notre société.

    Vive la fin de cette république bananière !

     

     

  • C'est l' Etat qu'il faut confiner !

     

    L’infantilisation du peuple continue plus que jamais.

    Dans son interminable intervention télévisée le 24 novembre, Emmanuel Macron nous a donné des précisions sur les modalités de notre assignation à résidence et sur les restrictions imposées à notre liberté de circulation, de réunion et de culte dans les deux mois à venir : le confinement continue jusqu’au 15 décembre, ainsi que les attestations à remplir et à signer systématiquement pour pouvoir sortir de chez soi légalement, le régime du couvre-feu reprend à compter du 15 décembre 2020 jusqu’au 20 janvier 2021, de 21 heures à 7 heures du matin. Le culte public peut reprendre à partir du 28 novembre, mais les offices ne pourront pas accueillir plus de trente personnes. On se demande pourquoi une telle mesure discriminatoire, sinon à vouloir humilier et persécuter les croyants. Car ce seuil de trente personnes est ridicule alors que les transports en commun sont souvent, eux, pleins comme un œuf. De plus, ce n’est pas la même chose de réunir trente personnes dans une chapelle minuscule et dans une immense cathédrale. Cette limitation est donc autant absurde que liberticide. 

    Si la plupart des commerces peuvent rouvrir depuis le samedi 28 novembre, les bars et les restaurants resteront fermés, eux, au moins jusqu’au 20 janvier. Et ils ne rouvriront à cette date que si la situation sanitaire est jugée assez bonne et surtout s’ils n’ont pas définitivement fait faillite d’ici là. Cette insupportable brimade du secteur de la restauration, un domaine où l’on ne se contente généralement pas des trente-cinq heures par semaine, et où l’on est courageux, travailleur, dur au mal (tenir un restaurant est l’un des métiers les plus exigeants et les plus contraignants !) est inexplicable, sauf à vouloir tuer les classes moyennes et à détruire ce qui était encore sain, ce qui tenait debout dans notre pays. Le Premier ministre ose affirmer sans rire que le millésime 2021 sera en France l’année de la gastronomie. De deux choses l’une : ou Castex a des talents d’humoriste qu’on ne lui connaissait pas, soit il s’agit d’une provocation ou d’une imbécillité majeure. 

    Au vu de la situation actuelle, rien ne justifie en effet la prolongation de cette fermeture des restaurants et des bars qui sont de surcroît des lieux de convivialité. Il y a tellement de gens qui se sentent seuls, qui sont profondément malheureux et dont la vie était rendue plus agréable, ou plus supportable, par le fait d’aller boire un petit noir au comptoir ou de se sustenter dans une auberge accueillante et chaleureuse, en prenant le plat du jour et un bon petit verre de vin et en se mêlant aux conversations du quotidien qui donnent un peu de joie. Si on ne peut plus chanter par crainte du virus, si on ne peut plus visiter sa famille ou ses amis, si l’on ne peut plus sortir pour partager des moments conviviaux, si l’on ne doit pas se promener plus de trois heures et au-delà de 20 kilomètres de son domicile (et jusque-là c’était carrément soixante minutes et mille mètres !), si l’on ne peut plus aller prier à l’église ou sur les lieux de pèlerinages et d’apparitions, si l’on doit porter le masque partout, y compris à la maison, quel goût peut-on encore trouver à la vie ? Beaucoup de personnes âgées, diminuées ou fragilisées sont mortes pendant le confinement, ou ont vu leur état ou leur dépression s’aggraver, parce que précisément elles étaient privées de toute chaleur humaine, de la venue, du regard, de la conversation, du sourire de leurs proches. Cette tyrannie hygiéniste a quelque chose de profondément inhumain.

    Et les commerçants qui comptaient sur ce dernier samedi de novembre pour récupérer un peu de leur manque à gagner en ont souvent été pour leurs frais dans les grandes agglomérations du fait des manifestations massives et violentes organisées dans 70 villes (en plein confinement !) à l’appel de la gauche et de l’extrême gauche qui dénonçaient le projet de loi Sécurité globale et son fameux article 24 destiné à protéger les policiers, en interdisant la diffusion malveillante de leurs photos, adresses et informations personnelles et familiales.

    Les Black Blocs et autres Antifas ont sévi comme toujours avec une rare sauvagerie, blessant 62 policiers.

    Si les pouvoirs publics ont déploré ces violences contre les forces de l’ordre, ils sont particulièrement mal placés puisque Macron avait longuement dénoncé auparavant sur sa page Facebook (c’est là désormais que le chef de l’Etat s’exprime prioritairement ...) l’interpellation musclée d’un rappeur noir, Michel Zecler, par des policiers, diffamant publiquement sa propre police, la traitant de raciste et de brutale, alors même que l’enquête n’avait pas encore commencé.  

    Les quatre policiers en garde à vue et qui risquent la révocation ont affirmé qu’ils ont agi parce qu’ils « se sont aperçus que cet individu avait une énorme sacoche avec une odeur de stupéfiants très forte », qu’il s’est livré à « une rébellion caractérisée », tentant de fuir, injuriant et blessant même un des policiers. Comme souvent, dans ce genre d’affaires, l’homme n’est pas un enfant de chœur puisqu’il est connu pour vol à main armée, association de malfaiteurs, a déjà fait de la prison et a des antécédents judiciaires très lourds de stupéfiants, de vols et d’outrages. Mais quand il s’agit d’un rappeur de couleur politiquement correct, il est forcément la victime innocente du racisme, de la haine, de la violence et de la brutalité policières pour reprendre les expressions de Macron. En revanche, quand la police régimiste mutilait des gilets jaunes ou gazait des familles pacifiques lors de la Manif pour tous, là en revanche, les media et les associations droits de l’hommistes ne s’en offusquaient pas. 

    Si l'interpellation d’un multirécidiviste récalcitrant choque, en revanche les grands media se sont tus sur la nouvelle condamnation à de la prison ferme du révisionniste Vincent Reynouard.

    Le chercheur a en effet été condamné le 25 novembre à quatre mois de prison pour contestation de crime contre l’humanité, après une vidéo publiée sur YouTube le 3 mai 2017 dans laquelle il niait l’existence de la Shoah et signalée par la LICRA. Alors qu’il a déjà passé neuf mois derrière les barreaux, du 9 juillet 2010 au 5 avril 2011, Reynouard, depuis sa libération, a été de nouveau condamné à 23 mois de prison ferme qui se répartissent ainsi : un an en 2015, deux mois en 2016, cinq mois encore fin 2016 et donc encore quatre mois ce 25 novembre 2019. On comprend donc que l’historien quinquagénaire se soit exilé à Londres. On notera toutefois, et c’est la seule bonne nouvelle sur le front judiciaire, que Vincent Reynouard a été relaxé pour deux vidéos des 13 et 14 mai 2017, sur le drame d’Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944. Le tribunal a souligné qu’il s’agissait d’un crime de guerre, celui officiellement attribué à la division SS Das Reich, et que « la contestation d’un tel crime, à la différence de son apologie, n’est pas susceptible de qualification pénale ».

    Quant à Hervé Ryssen, en détention depuis le 18 septembre, c’est-à-dire depuis déjà deux mois et demi à la prison de Fleury-Mérogis, il comparait ce 2 décembre à nouveau devant la XVIIème chambre du tribunal correctionnel de Paris où il risque là aussi une nouvelle peine de prison ferme pour des écrits où il exerce pleinement sa liberté de penseur. Ryssen est confronté en ce moment à une très forte adversité car, en plus de son incarcération, des nouveaux procès qui s’ajoutent (il y en a encore d’autres à venir), il a perdu son père le 10 novembre, après avoir perdu sa mère il y a peu de temps. Le procureur avait donné son accord de principe pour qu’il puisse se rendre, encadré par l’administration pénitentiaire, aux obsèques de son géniteur. Le matin même de l’enterrement, alors qu’il se préparait à s’y rendre, on lui a fait savoir que c’était impossible, faute de personnel suffisant pour l’“escorter” ! C’est à cela aussi que l’on mesure l’inhumanité de notre monde et de notre société. Ryssen n’aura pas pu dire adieu à son père, n’aura pas pu l’accompagner dans son dernier voyage, lui dire une dernière fois combien il l’aimait, l’embrasser sur son lit mortuaire, bénir son cercueil, ce père dont il n’entendra plus ici-bas le timbre de la voix, dont il ne verra plus ni le visage, ni le sourire, ni les larmes, lui à qui il ne pourra plus se confier, plus écrire, plus parler, lui avec qui il ne partagera plus ni la table, ni les joies ni les peines, ni les espoirs ni les craintes. C’est déjà tellement difficile de perdre ses parents en temps normal, mais lorsqu’on est reclus, détenu, au fond du gouffre, combien cette épreuve doit être cruelle.

    Nous vivons vraiment en dictature,sous une tyrannie sans cœur, sans principe et sans honneur.

     

  • Mgr Brennan appelle les catholiques à refuser les vaccins contre le Covid-19, vaccins comportant des cellules souches, dérivées de bébés avortés.

     

     

    Mgr Joseph V. Brennan a publié sur le site Web diocésain une vidéo intitulée «Un message sur le vaccin COVID-19».

    L’évêque a précisé que l’Église n’est pas contre les vaccins en soi, mais que «nous devons toujours et uniquement rechercher des vaccins éthiques et moralement acceptables».

    Les catholiques ont le devoir de refuser d’utiliser ce «matériel biologique», a déclaré Mgr Brennan.

    Le Dr Helen Watt du Anscombe Bioethics Center à Oxford, en Angleterre, a déclaré au Catholic Herald que le vaccin Pfizer «n’utilise pas de lignée cellulaire fœtale dans le processus de production lui-même, ni dans la conception», mais que «l’un des tests de confirmation en laboratoire sur le vaccin impliquait malheureusement une ancienne lignée cellulaire fœtale». Selon l’organisation Children of God for Life, le vaccin Pfizer est testé à l’aide de la lignée cellulaire HEK 293 , qui est dérivée de tissu rénal prélevé sur un bébé en bonne santé qui a été avorté aux Pays-Bas dans les années 1970.

    Children of God for Life affirme que le vaccin Moderna a également été testé sur une lignée cellulaire d’un enfant avorté.

    Les vaccins COVID-19 récemment annoncés par Pfizer et Moderna utilisent de l’ARN messager, une technologie si nouvelle qu’elle n’a pas encore été approuvée par la Food and Drug Administration.

    Children’s Health Defence a écrit en août que la méthode d’administration de ces vaccins dans le corps était particulièrement difficile et reposait sur des «systèmes porteurs» biotechnologiques impliquant des nanoparticules lipidiques (LNP). »

    Moderna a déclaré qu ‘«il ne peut y avoir aucune garantie que nos LNP n’auront pas d’effets indésirables»! ...