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Christianophobie - Page 17

  • Le secret maçonnique est-il « plus fort que la loi de la République » ? ...

    Une polémique au sujet du secret de confession vient de faire ces dernières semaines les choux gras des médias.

    Qu’a-t-on reproché à Mgr de Moulin-Beaufort[1] ? D’avoir affirmé sur le plateau de Franceinfo que « le secret de confession était plus fort que les lois de la République »[2], ce qui est une évidence si l’on a l’humilité et le bon sens de reconnaître que la République française n’est pas Dieu et que ce régime gouvernant la France, apparu il y a un peu plus de deux siècles dans les circonstances que l’on sait, doit comme toute œuvre humaine respecter et prendre en compte des lois divines qui la dépassent [3]. Tel n’est pourtant pas l’avis du gouvernement, puisque par la bouche de son porte-parole M. Gabriel Attal, celui-ci a enfoncé le clou en affirmant qu’ « il n’y a rien de plus fort que les lois de la République. » [4] Rien de plus fort, vraiment ? On peut en douter tant il est vrai que l’on n’a jamais vu la République oser s’attaquer à un certain type de secret : celui de la franc-maçonnerie. Cette secte tant de fois condamnée par les papes paraît pourtant être l’une des plus pernicieuses au bien de la société toute entière…

    Rien à cacher ?

    Il est courant de voir dans des journaux, illustrés et émissions de toutes sortes des mises en scène fort avantageuses des diverses obédiences maçonniques. Telle, par exemple, celle parue le samedi 16 octobre 2021 dans le quotidien régional Presse-Océan qui relate une réunion de « l’Association fraternelle d’études sociales », un regroupement de 26 loges maçonniques. Son président nous apprend qu’« au total nous sommes environ 2000 francs-maçons en Loire-Atlantique » et la pratique, si l’on peut dire, est active puisque l’association vient d’inaugurer dans la périphérie de Nantes un nouveau temple de 5000 m2. Pas moins de cinq grand-maîtres furent présents à cet évènement [5]. Le président en profite pour nous assurer « qu’il n’y a rien de secret dans la franc-maçonnerie », que nous avons affaire là à des rites qui « partagent le même idéal d’universalisme et d’humanisme ». Circulez, il n’y a rien à voir. Trop honnête, le journaliste ne peut s’empêcher de noter tout de même : « mais difficile de leur faire dire ce qui se passe lors des réunions »...

    Des articles comme celui-ci ne manquent pas, toujours on y met en exergue la philanthropie des francs-maçons, toujours on prend soin d’éloigner les soupçons de secte en présentant la franc-maçonnerie comme une respectable école de pensée. La main sur le cœur, Catherine Lyautey, grande maîtresse de la Grande Loge féminine de France, se veut rassurante, « nous ne sommes pas une société secrète mais discrète. La preuve : régulièrement nous ouvrons les portes de nos temples, nous publions nos travaux, nous nous exprimons. Le secret c’est de l’initiation, il n’est pas communicable, c’est de l’ordre de l’intime. » Les loges de son obédience travaillent, dit-elle, « sur la défense des droits des femmes, du principe de laïcité, et sur les questions d’éthique et de bioéthique. Les parlementaires sont parfois amenés à nous interroger… »[6]

    N’en croyez rien !

    Tel est le cri d’alarme lancé par l’Eglise, avant évidemment que n’arrive le funeste concile Vatican II. Loin d’être naïve, voici ce qu’elle nous dit par le pape Léon XIII[7] au sujet des loges et de leur secret : « Bien qu’à présent elles aient l’apparence de ne pas aimer à demeurer cachées, bien qu’elles tiennent des réunions en plein jour et sous les yeux de tous, bien qu’elles publient leurs journaux, toutefois, si l’on va au fond des choses, on peut voir qu’elles appartiennent à la famille des sociétés clandestines et qu’elles en gardent les allures. Il y a, en effet, chez elles, des espèces de mystères que leur constitution interdit avec le plus grand soin de divulguer, non seulement aux personnes du dehors, mais même à bon nombre de leurs adeptes. A cette catégorie, appartiennent les conseils intimes et suprêmes, les noms des chefs principaux, certaines réunions plus occultes et intérieures ainsi que les décisions prises, avec les moyens et les agents d’exécution. A cette loi du secret concourent merveilleusement : la division faite entre les associés des droits, des offices et des charges, la distinction hiérarchique savamment organisée des ordres et des degrés et la discipline sévère à laquelle tous sont soumis. La plupart du temps, ceux qui sollicitent l’initiation doivent promettre, bien plus, ils doivent faire le serment solennel de ne jamais révéler à personne, à aucun moment, d’aucune manière, les noms des associés, les notes caractéristiques et les doctrines de la Société. C’est ainsi que, sous les apparences mensongères et en faisant de la dissimulation, une règle constante de conduite, comme autrefois les manichéens, les francs-maçons n’épargnent aucun effort pour se cacher et n’avoir d’autres témoins que leurs complices. »

    Détruire de fond en comble toute la discipline religieuse et sociale qui est née des institutions chrétiennes et lui en substituer une nouvelle façonnée à leurs idées.

    Le but de ce secret est de cacher ce qu’est véritablement la franc-maçonnerie. Un paravent de respectabilité vient couvrir des objectifs connus par les seuls initiés : « Leur grand intérêt étant de ne pas paraître ce qu’ils sont, ils jouent le personnage d’amis des lettres ou de philosophes réunis ensemble pour cultiver les sciences. Ils ne parlent que de leur zèle pour les progrès de la civilisation, de leur amour pour le pauvre peuple. A les en croire, leur seul but est d’améliorer le sort de la multitude et d’étendre à un plus grand nombre d’hommes les avantages de la société civile. Mais à supposer que ces intentions fussent sincères, elles seraient loin d’épuiser tous leurs desseins. En effet, ceux qui sont affiliés doivent promettre d’obéir aveuglément et sans discussion aux injonctions des chefs, de se tenir toujours prêts sur la moindre notification, sur le plus léger signe, à exécuter les ordres donnés, se vouant d’avance, en cas contraire, aux traitements les plus rigoureux et même à la mort. […] Or, vivre dans la dissimulation et vouloir être enveloppé de ténèbres ; enchaîner à soi par les liens les plus étroits et sans leur avoir préalablement fait connaître à quoi ils s’engagent, des hommes réduits ainsi à l’état d’esclaves ; employer à toutes sortes d’attentats ces instruments passifs d’une volonté étrangère ; armer pour le meurtre des mains à l’aide desquelles on s’assure l’impunité du crime, ce sont là de monstrueuses pratiques condamnées par la nature elle-même. La raison et la vérité suffisent donc à prouver que la Société dont Nous parlons est en opposition formelle avec la justice et la moralité naturelles. »

    Ce secret a une finalité ultime bien définie : « Il s’agit pour les francs-maçons, et tous leurs efforts tendent à ce but, il s’agit de détruire de fond en comble toute la discipline religieuse et sociale qui est née des institutions chrétiennes et de lui en substituer une nouvelle façonnée à leurs idées et dont les principes fondamentaux et les lois sont empruntées au naturalisme. »

    Trop occupé à remettre en cause la loi divine du secret de confession, le gouvernement semble ignorer totalement le danger ô combien plus réel pour la société que représente le secret maçonnique. Cela s’expliquerait-il par quelques collusions en haut lieu ? Une question qui assurément dérange…

    Notes de bas de page

    1. Président de la Conférence des Evêques de France.[]
    2. Intervention sur Franceinfo le mercredi 6 octobre 2021.[]
    3. « Selon eux, les lois divines doivent régler la vie et la conduite des particuliers, mais non celle des Etats ; il est permis dans les choses publiques de s’écarter des ordres de Dieu et de légiférer sans en tenir aucun compte ; d’où naît cette conséquence pernicieuse de la séparation de l’Église et de l’État. Mais l’absurdité de ces opinions se comprend sans peine. Il faut, la nature même le crie, il faut que la société donne aux citoyens les moyens et les facilités de passer leur vie selon l’honnêteté, c’est-à-dire selon les lois de Dieu, puisque Dieu est le principe de toute honnêteté et de toute justice ; il répugnerait donc absolument que l’État pût se désintéresser de ces mêmes lois ou même aller contre elles en quoi que ce soit. » Léon XIII, Lettre Encyclique Libertas Praestantissimum du 20 juin 1888.[]
    4. Jeudi 7 octobre, conférence de presse d’après-Conseil des ministres.[]
    5. Grand Orient de France, Grande Loge de France, Droit Humain, Grande loge féminine de France, Grande loge traditionnelle et symbolique Opéra[]
    6. Quotidien Presse-Océan du samedi 16 octobre 2021.[]
    7. Léon XIII, Lettre Encyclique Humanum Genus du 20 avril 1884.[]
  • Honni soit Macron pour ses mensonges et repentances à répétition .

    APRÈS AVOIR dénoncé, lors de sa campagne présidentielle de 2017, « les crimes contre l’humanité » commis par la France en Algérie, après avoir demandé pardon, au nom de la France, pour les harkis (alors que le seul responsable de ce crime est Charles De Gaulle qui est pourtant encensé par tous les politiciens, de la gauche radicale à la droite dite nationale, et qui a droit à moult monuments, boulevards, avenues, et même à un aéroport, alors qu’il eût mieux valu lui donner le nom d’une impasse !), voici que, tout à son prurit de repentance sur le dos du pays dont il est censé présider aux destinées, Emmanuel Macron vient de demander pardon pour la répression policière de la manifestation — interdite ! — du FLN le 17 octobre 1961 à Paris sur l’ordre du préfet gaulliste de police de la capitale, un certain Maurice Papon. 

    Une repentance macronienne qui, loin d’apaiser les esprits et de pacifier les relations diplomatiques entre Paris et Alger, n’a et n’aura pour évidente conséquence que de rallumer les braises, d’exciter les antagonismes, d’aviver les tensions, de démultiplier les passions et les haines et d’inciter les autorités algériennes, habituées de la chose, à réclamer à cor et à cri d’imposantes réparations en espèces sonnantes et trébuchantes. 

     

    ON NOTERA que Macron se garde bien de demander pardon pour les méfaits commis par sa propre police en 2018 et 2019 à l’égard de gilets jaunes passés à tabacs, énucléés, éborgnés, mutilés, gazés sans aucune raison et appliquant sans vergogne les méthodes répressives particulièrement musclées voire inhumaines de la police et de l’armée israéliennes à l’égard des manifestants palestiniens. Il s’agissait pourtant de Français ne voulant pas mourir et n’en pouvant plus des conditions de vie et de travail qui leur sont imposées par la finance internationale, le capitalisme mondialisé et financiarisé, le pouvoir rothschildien dont Macron est une créature et un pantin (Jacques Attali ne s’est-il pas vanté : « Macron, c’est moi qui l’ai créé » ?) 

    Le président de la République n’a pas davantage présenté des excuses pour les méthodes policières particulièrement brutales adoptées en 2012 et 2013 à l’égard des participants aux Manifs pour tous gazés, frappés, bousculés sans ménagement, y compris des personnes âgées, handicapées, des familles avec poussettes et landaus. Pourtant, à cette époque, Macron était secrétaire général adjoint de l’Elysée sous le quinquennat du président socialiste François Hollande. Il a donc une responsabilité évidente dans cette inqualifiable répression envers des Français de souche, luttant pacifiquement contre un projet de loi dont son initiatrice, Christiane Taubira, reconnaissait, pour s’en vanter, qu’il s’agissait d’une « révolution anthropologique ». Mais là non plus Macron ne se repent pas. Il ne dit mot, il ne regrette rien, il ne présente nulle excuse, n’implore nul pardon, se refuse à condamner un usage disproportionné de la force, à désapprouver des violences policières pourtant incontestables et qui avaient évidemment pour but de dissuader les manifestants de poursuivre leur protestation publique, ici contre le “mariage” homosexuel, la destruction de la famille traditionnelle et de la morale naturelle, là contre l’appauvrissement et la précarisation de millions de foyers français.

    C’est tellement plus facile de faire repentance sur le dos de la France qui aurait « commis l’irréparable », dixit Chirac en 1995, lors de la rafle du Vel d’Hiv’ de juillet 1942, qui aurait perpétré par la politique de colonisation des « crimes contre l’humanité », et aurait été à l’origine d’un  “massacre” comme lors du 17 octobre 1961.

    On n’en peut plus de ces repentances incessantes, à répétition, qui participent d’une permanente et insupportable flagellation de notre nation, d’une haine inextinguible de l’être historique de notre pays et qui nous conduisent chaque jour davantage à la ruine, au chaos et au tombeau. 

     

    ALORS, puisqu’il faut rétablir la vérité sur ce sujet, qu’on nous permette de citer un peu longuement l’historien Bernard Lugan qui, sur son très documenté blog — on peut retrouver le texte intégral de son article très fouillé sur : https://bernardlugan.blogspot.com —, remet une fois de plus les pendules à l’heure : 

    « 1) La guerre d’indépendance algérienne se déroula également en métropole. Pour la période du 1er janvier 1956 au 23 janvier 1962, 10 223 attentats y furent ainsi commis par le FLN. Pour le seul département de la Seine, entre le 1er janvier 1956 et le 31 décembre 1962, 1433 Algériens opposés au FLN furent tués et 1726 autres blessés. Au total, de janvier 1955 au 1er juillet 1962, en Métropole, le FLN assassina 6 000 Algériens et en blessa 9 000 autres.

    2) Face à ces actes de terrorisme visant à prendre le contrôle de la population algérienne vivant en France, le 5 octobre 1961, un couvre-feu fut imposé à cette dernière afin de gêner les communications des réseaux du FLN et l’acheminement des armes vers les dépôts clandestins.

    3) En réaction, le 17 octobre 1961, le FLN décida de manifester afin de montrer sa force, et pour tenter d’achever sa prise de contrôle des Algériens vivant en métropole.

    4) Assaillis de toutes parts, les 1658 hommes des forces de l’ordre rassemblés en urgence, et non les 7000 comme cela est trop souvent écrit, sont, sous la plume de militants auto-baptisés “historiens”, accusés d’avoir massacré des centaines de manifestants, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2300.

    Or, cette version des événements du 17 octobre 1961 à Paris relève de la légende et de la propagande. Tout repose en effet sur des chiffres inventés ou manipulés à l’époque par le FLN algérien et par ses alliés communistes. Jouant sur les dates, additionnant les morts antérieurs et postérieurs au 17 octobre, pour eux, tout Nord-Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961, est une victime de la « répression policière »… Même les morts par accident de la circulation !

    Cette manipulation fut réduite à néant en 1998, quand le Premier ministre de l’époque, le socialiste Lionel Jospin (NDLR : peu suspect d’hostilité radicale à l’égard du FLN !), constitua une commission d’enquête. Présidée par le conseiller d’Etat Dieudonné Mandelkern, elle fut chargée de faire la lumière sur ce qui s’était réellement passé le 17 octobre 1961 à Paris. Fondé sur l’ouverture d’archives jusque-là fermées, le rapport remis par cette commission fit litière de la légende du prétendu “massacre” du 17 octobre 1961.

    Le paragraphe 2.3.5 du Rapport intitulé Les victimes des manifestations est particulièrement éloquent car il parle de sept morts, tout en précisant qu’il n’y eut qu’un mort dans le périmètre de la manifestation, les six autres victimes n’ayant aucun lien avec cet événement, ou ayant perdu la vie postérieurement à la dite manifestation dans des circonstances parfaitement détaillées dans le rapport. »

     

    UN CHEF D’ÉTAT digne de ce nom doit assurer la grandeur, la fierté et le rayonnement de la France et non pas humilier publiquement la nation. Mais nous n’avons hélas depuis des décennies que de misérables cloportes, de sordides lilliputiens, de cyniques syndics de faillite qui n’ont de cesse de détruire le pays, de salir notre histoire et d’avilir notre peuple !

  • La face cachée du rapport SAUVE : comment manipuler l’opinion en haine de l’Eglise !

     

     

    Rapports SAUVE : erreurs, manipulations des chiffres, etc... !

    Nos confrères de FL24 ont « fouillé là où personne ne regarde » et « ça fait mal ». En effet, le Rapport Sauvé sur les crimes sexuels commis par des religieux français, et qui bouleverse l’Église depuis plusieurs jours, est truffé d’approximations, d’erreurs.

    Par exemple, pour arriver au chiffre de 216 000 victimes, l’équipe du Rapport Sauvé en a interrogé 243 directement et 2 819 par lettre. Cumulé, cela fait donc 3 062 témoignages directs.

    Mais alors, d’où viennent les 212 938 autres victimes? Elles ont été déduites par extrapolation. C’est-à-dire, en français courant: “en gros”. Reste alors à savoir à quel point, et suivant quelle intention.

    Voyons comment le travail de recherche a été effectué hors des témoignages proprement dits. Dans un premier temps, un institut, l’Ifop, a organisé un sondage aux résultats forcément imprécis, comme tous les sondages. Puis, dans un deuxième temps, une chercheuse d’un institut de recherche médicale, l’Inserm, a transformé ces résultats imprécis en thèse précise.

    Cette thèse, nous la connaissons tous depuis quelques jours: l’Église est très gravement et très massivement coupable.

    Rappelons maintenant que l’Ifop produit une quantité astronomique de sondages politiques dont l’imprécision est tellement notoire que plus personne de sérieux ne leur fait réellement confiance, au point que le bon peuple se demande régulièrement s’ils sont truqués, et il est impossible de lui prouver qu’ils ne le sont en aucune manière.

    Rappelons aussi que l’Ifop est très régulièrement missionné par Emmanuel Macron, comme par tous les présidents de la Cinquième République précédents. L’Ifop est un organisme privé, mais il se nourrit grassement d’argent élyséen: son indépendance politique peut être considérée comme pour le moins douteuse.

    Rappelons également que l’Inserm a été dirigé par Yves Lévy, époux d’Agnès Buzyn, nommé depuis Conseiller Juridique d’État par Emmanuel Macron, par ailleurs ennemi juré du Professeur Raoult, et qui a activement participé à la création du laboratoire P4 de Wuhan. Cette précision est sans rapport avec l’affaire qui nous occupe, certes, mais elle donne tout de même une petite idée de l’indépendance politique de cette institution.

    Et maintenant, voici le meilleur: pour le Rapport Sauvé, le travail de l’Inserm a été mené par Nathalie Bajos, sociologue et démographe, Responsable de l’Équipe Genre dans cet organisme public.

    Sur le site de l’Iris, autre organisme public, elle annonce qu’elle “interroge les inégalités sociales de santé en croisant la sociologie de genre et la sociologie de la santé et en convoquant une perspective intersectionnelle d’articulation des rapports sociaux de domination, de classe, de genre et de race!.

    Quelques exemples de ses travaux passés?

    “La contraception : levier réel ou symbolique de la domination masculine?”

    “Les inégalités sociales d’accès à la contraception en France.”

    “Les enjeux contemporains de la légalisation de l’avortement.”

    “Les femmes sont-elles encore libres de leur contraception?”

    Nathalie Bajos prend la parole dans des revues intellectuelles féministes, dans Libération, chez France Culture, entre autres. Donc, disons-le tout net, car c’est l’évidence même: l’enquête sur les crimes de l’Église a été synthétisée par une féministe de gauche. On peut même dire: d’extrême gauche, car l’expression “rapports sociaux de domination, de classe, de genre et de race” ne laisse planer aucun doute sur ses préférences idéologiques.

    Autrement dit: l’enquête sur l’Église a été menée par une femme qui est une adversaire de l’Église. On est même en droit d’imaginer que le Rapport Sauvé est l’enfant malade d’une ennemie du catholicisme. Un enfant conçu pour contaminer le peuple des croyants. Oui, on est en droit d’imaginer le pire: une vaste opération de manipulation idéologique. Et ce droit, nous appelons tous les catholiques, et les autres également, à l’exercer.

    Voilà qui doit faire réfléchir tous ceux qui, en prenant connaissance des conclusions de ce rapport, on souffert dans leur âme et dans leur chair, ont ressenti de la déception, de l’indignation, de l’amertume, de la tristesse ou de la colère. Tout n’est pas aussi simple qu’il y paraît. Peut-être le Rapport Sauvé est-il le Rapport Possédé.

    Oui, des membres de l’Église ont fauté. Oui, l’Église a raison de demander pardon. Mais nous ne pouvons qu’être terriblement gênés par ce que nous découvrons non seulement dans ce rapport, mais sur ce rapport.

    Dans cette vidéoNathalie Bajos explique que les parents ont tort d’être angoissés à l’idée que les enfants regardent du porno !, car il est temps que les pères et les mères cessent de s’occuper de la sexualité de leurs petits. Oui, vous avez bien lu. C’est cette femme qui signe le Rapport Sauvé.

    Vous pouvez maintenant ranger ce rapport sur une tout autre étagère que la parole d’Évangile, et partager d’urgence cet article avec tous les catholiques de votre entourage.

    Sources: INSERM, IRIS, CAIRN, CANAL U, FL24