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  • Une nouvelle taxe dès 2017 sur la propriété et les entreprises !

     

    Les coups fourrés de François Hollande se nichent toujours au creux des vacances, tandis qu’hors vacances, il a multiplié les cadeaux et pas seulement à son coiffeur. Et il faut bien trouver l’argent quelque part pour régler les factures. Alors le pouvoir socialiste va encore tirer sur sa vache à lait favorite que sont les propriétaires. Alors que les impôts fonciers ont augmenté de 16,5% en moyenne sur les 5 dernières années,  il faudra encore ajouter 0,2 % de la taxe d’habitation et / ou de la taxe foncière, ou peut-être plus. La mesure va figurer dans le projet de loi de finances de 2017. 

    Une mesure qui, une fois encore, frappera les forces vives du pays, celles qui épargnent, qui travaillent et qui investissent et qui produisent. Il s’agit ni plus ni moins d’une atteinte supplémentaire au droit de propriété. A l’allure où les taxes s’accumulent et augmentent, les propriétaires finiront par payer plus, mensuellement, que les locataires pour se loger. Alors que les épargnants investissent dans les valeurs refuges pour protéger leur épargne très gravement menacée par la crise financière qui s’annonce, voilà l’un des secteurs les plus sûrs jusque-là qui se trouve frappé de nouveau.

    Mais au printemps, sous les feux des caméras, les cadeaux sont allés bon train pour acheter les voix électorales:

    • 461,26 euros au titre de la garantie jeune (sans emploi)  
    • 1,2% d’augmentation du point d’indice des fonctionnaires   
    • 400 et 500 millions d’euros par an pour acheter la fin des manifestations estudiantines contre la Loi Travail: bourses prolongées au-delà de la fin des études etc. 
    • 1 Plan d’1 milliard pour les enseignants: 1 200 euros annuels, contre 400 euros actuellement pour la prime des professeurs des écoles à la rentrée 2016, etc.
    • Augmentation de la prime à l’embauche
    • 400 millions d’euros pour les forces de l’ordre .

    En plus d’endetter le pays, ces généreuses mesures sur le dos de la France doivent être compensées par de nouvelles taxes, alors que François Hollande avait promis qu’il ne créerait pas de nouveaux impôts.

    Sur le même sujet: L’ordonnance est passée en France: désormais, une banque pour se renflouer pourra ponctionner les comptes de ses clients .

     

  • Oui, la haine anti-Blancs existe et elle fait des morts même en France !

     

    Un déluge de coups de feu s’est abattu sur la police américaine le 7 juillet au soir à Dallas, au Belo Garden Park, un jardin public de la ville, lors d’une manifestation de racistes noirs reprochant aux forces de l’ordre d’avoir tiré mortellement sur deux hommes de couleur. Une célèbre série télévisée des années 1980 évoquait dans son générique Dallas et son « univers impitoyable ». Jamais l’expression n’a été aussi pertinente pour décrire le carnage qui a eu lieu il y a quelques jours dans cette ville du Texas. 11 agents de police ont en effet été la cible de coups de feu, cinq policiers ont été tués, dont deux membres du département de police de Dallas et un agent du DART (Dallas Area Rapid Transit, la société de transport urbain de la ville) et six autres ont été blessés. Les media qui ont rendu compte de l’événement se sont bien gardés de mettre en évidence le racisme, pourtant là bien réel et revendiqué, du principal tireur, Micah Johnson, un ancien soldat afro-américain de 25 ans qui soutenait des groupes séparatistes noirs prônant la haine raciale. Selon le chef de police de Dallas, David Brown, l’homme avait planifié d’abattre des policiers bien avant la mort de deux Noirs sous les balles des forces de l’ordre.

    L’homme fanatisé avait planifié la tuerie et « avait d’autres projets » au vu de l’arsenal de guerre retrouvé chez lui, a également affirmé le chef de la police locale sur la chaîne CNN. Les forces de l’ordre ont en effet retrouvé à son domicile à Mesquite, dans la banlieue de Dallas, du matériel pour fabriquer des bombes, des fusils, des munitions, et un carnet de tactiques de combat. « Le suspect avait pratiqué la détonation d’explosifs et le matériel était suffisamment important pour avoir des effets dévastateurs dans la ville et dans la région nord du Texas », a également précisé David Brown. Pendant sa confrontation avec la police pendant laquelle il n’a accepté de ne parler qu’à un policier noir (qu’aurait-on dit si un blanc avait agi pareillement ?), l’homme a tenu des propos d’une haine torride : « il nous mentait, nous faisait marcher, se moquait de nous, chantait et demandait combien de policiers il avait eus, disait qu’il voulait en tuer davantage et qu’il y avait des bombes. La négociation ne progressait donc pas du tout car il était déterminé à tuer d’autres policiers et, sans notre action, il en aurait tué d’autres » a expliqué le chef de la police, Johnson ayant été finalement tué par une bombe activée par un robot.

     

    Alors que ce fanatisme anti-Blancs porté à un degré de sauvagerie inouïe devrait alarmer tout un chacun, les media n’ont eu de cesse de minimiser, sinon d’excuser cette tuerie en affirmant d’une part que les Noirs étaient en effet davantage victimes de la police et d’autre part que le problème, c’était surtout la question des armes en vente libre aux Etats-Unis...

    Un raisonnement doublement spécieux : beaucoup de Blancs sont tués par la police outre-Atlantique sans que cela n’émeuve particulièrement les media mais dès qu’il s’agit d’un Noir on suspecte le racisme des forces de l’ordre, ce qui est insupportable. Il s’agit quasiment toujours de légitime défense, les personnes tuées étant armées et menaçant la police qui a là-bas, il est vrai, la gâchette plus facile qu’en France.

    De plus, l’on compte beaucoup de Noirs dans la police américaine et il est donc absurde de penser que ces Noirs laisseraient leurs collègues leucodermes tirer sans raison sur leurs frères. De plus, comme l’expliquent nos rédacteurs en pages 2 et 3, les Noirs sont très majoritairement tués par d’autres Noirs aux Etats-Unis. Enfin, s’agissant des armes à feu, si l’on en interdit la vente, les honnêtes gens seront désarmées mais les délinquants et les assassins, eux, en disposeront toujours sans difficulté. C’est donc une fausse bonne idée !

     

    Les principaux responsables de cette tuerie, disons-le franchement, ce sont les grands media qui poussent à la haine, mettent de l’huile sur le feu, excitent les antagonismes mortifères en surmédiatisant les faits divers où des policiers tirent sur des délinquants ou criminels de couleur armés et surtout en présentant ces événements comme la preuve du racisme, de la brutalité voire de la sauvagerie de la police américaine.

    Cela ne peut évidemment que nourrir les haines d’esprits faibles, envieux et revanchards. L’antiracisme professionnel et unilatéral qui n’est en réalité qu’une forme de racisme à l’égard des Blancs, qui vise à les culpabiliser, à les tétaniser, à les traiter comme des suspects perpétuels selon les principes révolutionnaires de 1793, comme des criminels en puissance, à les conduire à être toujours sur la défensive et à finalement accepter l’inacceptable, à cultiver la haine de soi est une machine à déclencher la guerre civile. L’antiracisme idéologique produit et nourrit paradoxalement le racisme le plus brutal.

    Cette tuerie préméditée, sauvagement exécutée et appelée hélas à se répéter montre aussi l’importance de l’homogénéité ethnique d’une société, d’une nation.

    Qu’on le veuille ou non, et même si l’on prétend aujourd’hui le contraire, les races existent. La conscience de race aussi. Vouloir nier cette réalité, au nom de l’idéologie, dans la volonté de donner naissance à un monde universellement métissé, c’est se préparer des lendemains qui déchantent, c’est ouvrir la voie aux pires catastrophes. Et comme le Blanc est sans cesse culpabilisé depuis 1945, et plus encore depuis les années soixante et que l’on a appris aux jeunes Occidentaux à mépriser ce qu’ils sont, d’où ils viennent, que l’on a tué dans l’œuf leurs défenses immunitaires, que l’on a présenté leurs aïeux comme d’infâmes esclavagistes, de vils colonisateurs et d’épouvantables organisateurs de génocide, il est permis d’être très inquiet pour l’avenir. Non seulement aux Etats-Unis mais également en Europe et au-delà dans tout le monde blanc (qui est d’ailleurs de moins en moins blanc, y compris en Australie et en Nouvelle-Zélande). Ne sera-t-on pas tué demain dans la rue simplement parce que l’on est Blanc ?

     

    Le monde que l’on nous prépare, c’est celui de l’équipe de France de football où plus de 60 % des joueurs est de couleur et où chaque footballeur porte obligatoirement sur son maillot la mention RESPECT de la Licra-Sports. Ce n’est pas la FIFA qui dirige en réalité le jeu du ballon rond, c’est la LICRA-Sports ! Et selon cette association communautariste considérer que 60 % de Noirs dans l’équipe de France de football c’est quand même beaucoup, c’est déjà du racisme, cela mérite des sanctions judiciaires. Voilà comment l’on est empêché de s’opposer à cette politique d’anéantissement du Blanc, de sa mise en servitude, sauf à subir les foudres de la LICRA et donc des pouvoirs publics qui lui sont soumis, droite et gauche confondus.

    Seul petit rayon de soleil : cette équipe multiraciale, très médiocre, a perdu en finale dimanche soir face à un valeureux Portugal pourtant privé de Ronaldo. La victoire de l’équipe de Didier Deschamps devait redorer le blason de Hollande et de Valls, comme la victoire de l’équipe black-blanc-beur lors de la coupe du monde en 1998 avait fortement profité à Chirac. Fort heureusement ce ne fut pas le cas. Par les temps qui courent, contentons-nous de ces petites éclaircies...

     

  • Comment combattre le système actuel .

     

    Que penser de quelqu’un qui dirait : « Je suis raciste. Antisémite. Complotiste. Négationniste. Homophobe. Je suis d’extrême droite. Ce n’est pas de la provocation. J’aimais cela quand j’avais quinze ans : on veut embêter les profs, mais on a quand même un minimum d’estime et d’affection pour eux. Ce n’est pas le cas du système qui nous gouverne : je le méprise, je le hais, je crains sa puissance, je redoute ses actes. Et pour le combattre absolument, sans retour ni compromis possible, il faut être raciste, antisémite, complotiste, négationniste, homophobe, il faut être d’extrême droite, il faut se parer de toutes les étiquettes qu’il a faites infamantes, défendre toutes les opinions qu’il érige en délits et même en crimes, il faut assumer toutes les croix où il cloue abusivement ses adversaires » ?

    Ce système, il faut en effet le qualifier, c’est un système révolutionnaire, ou, mieux, il faut le nommer, c’est la révolution. Elle est mondialiste aujourd’hui comme elle l’était hier, elle est tantôt libérale, tantôt socialiste, comme elle était hier soviétique, elle est sociétale comme elle était hier sociale, mais son but ne change pas, qui est la création d’un homme nouveau ! ...

    La façon de le produire a seulement évolué : on ne fait plus miroiter le grand soir rouge aux gogos de la révolution, on les baigne de petits matins verts et d’après-midis arc-en-ciel, on les gave des laitages anesthésiants de la révolution morale. L’interdiction de la fessée, de l’homophobie, de la viande et de la gloire nationale y va de pair avec l’euro et les nouveaux Smartphones.

    Cette révolution en est bien une et il faut insister sur le mot. Nous vivons depuis la fin du dix-septième siècle dans l’ère des révolutions, et l’on doit répéter cent fois avec Jules Monnerot que nous n’en sortirons que lorsque le mot révolution ne sera plus pris en bonne part. Que l’on révolutionne les produits de beauté ou l’enseignement de l’orthographe, c’est toujours présenté comme un progrès et un devoir par la caste dirigeante, et tant que cela durera il ne sera pas possible de lui reprendre le pouvoir. Cette révolution veut notre peau et pour la combattre il faut la nommer, et dire ce que nous voyons, qui est le contraire de ce qu’elle veut.

    Nous disons qu’il y a une nature des choses et une nature des êtres, qu’une famille est l’union d’une femme et d’un homme engendrant des enfants, et pour cela nous serons traités d’homophobes. Nous disons qu’une nation a une identité qui résulte de l’histoire, de la civilisation, de l’ethnie, et pour cela nous serons qualifiés de racistes. Nous disons que l’histoire, en particulier celle de la colonisation et de la dernière guerre mais pas seulement, est l’objet d’une manipulation politique, et pour cela nous sommes considérés comme négationnistes. Nous disons qu’il existe une exception juive, nous ne nous interdisons pas de l’examiner comme nous examinons n’importe quel autre phénomène de cet ordre, et pour cela nous sommes taxés d’antisémitisme. Nous décrivons la révolution mondialiste à l’œuvre et pour cela nous sommes traités de complotistes. Pour toutes ces raisons il faut nous abattre, et c’est pour cela que nous sommes d’extrême droite.

     

    Pour combattre la révolution, il faut combattre ses idoles, qui sont autant de mensonges. Le cas de Clément Méric est exemplaire. En juin 2103, avec quelques camarades militants antifas, cet étudiant de dix-huit ans provoquait une bagarre contre des “skinheads” au cours de laquelle il mourut. Immédiatement Méric fut travesti en victime de la bestialité de l’extrême droite, les combattants qui lui étaient opposés ayant des relations avec la Troisième voie de Serge Ayoub (on en profita pour dissoudre celle-ci). Le procureur général de Paris, Molins, ouvrit une procédure pour « homicide volontaire » de toute urgence et sans la moindre apparence de raison, dans un geste tout idéologique et théâtral. Les politiques s’indignèrent, Manuel Valls parla même d’ “assassinat”! ...