Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Le nucléaire en France n'échappe pas aux dérives islamistes: au moins un employé se voit refuser l'accès aux sites chaque semaine pour cause de radicalisation religieuse !

     

    Opération antiterroristes à Verviers

     
    Suite aux attentats du 13 novembre à Paris, l'opinion française est de plus en plus préoccupée par les problèmes de sécurité, y compris sur les sites nucléaires qui ne sont pas épargnés par la radicalisation islamiste, rapporte le JDD

     

    L'Etat français réalise chaque année 100.000 enquêtes administratives auprès des 73.000 salariés travaillant sur les 19 sites nucléaires du pays, et 700 d'entre eux se voient refuser l'accès à ces sites pour diverses raisons. 

    Lors d'une réunion du Haut Comité pour la transparence et l'information sur la sécurité nucléaire qui s'est tenue le 6 octobre dernier, le haut-commissaire de défense à la sécurité nucléaire, Christophe Quintin, a fait savoir qu'en moyenne, quelques dizaines parmi ces "recalés" étaient écartés chaque année pour cause de dérives religieuses. 

    Plus tard, M.Quintin a reconnu que "+ses+ services sortaient des centrales une personne par semaine pour des phénomènes de radicalisation".  

     

    L'histoire d'un certain Clément Reynaud, ingénieur à la centrale de Flamanville, converti à l'islam depuis 2010, a fait couler beaucoup d'encre. En 2012, il a demandé à la direction du site un local pour prier. La sécurité du site a alerté les services de renseignement du département. M.Reynaud s'est avéré être le secrétaire d’une association qui gère la mosquée de Cherbourg. 

     

    Son dossier a été jugé "sérieux" et repris au niveau national par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Cette nouvelle a suscité l'indignation de la communauté musulmane, dénonçant l'amalgame, alors que l'intéressé a rappelé qu'il avait toujours condamné les attentats. 

    Il y a un an, lit-on notamment dans les pages du JDD, les Belges ont découvert qu'un jeune parti combattre en Syrie avait été pendant plusieurs années ingénieur à la centrale de Doel, exploitée par le Français Engie (ex-GDF Suez), et qu'il accédait à la zone du réacteur...

     

     

  • Erdogan accusé de crimes contre l' humanité .

    Des hommes politiques et des militants allemands ont déposé lundi une plainte devant le parquet fédéral du pays contre le président Recep Tayyip Erdogan et une série d'autres personnalités politiques turques pour crimes de guerre et contre l'humanité.

     

    Des hommes politiques et des militants allemands ont déposé lundi une plainte devant le parquet fédéral du pays contre le président Recep Tayyip Erdogan et une série d'autres personnalités politiques turques pour crimes de guerre et contre l'humanité.

     

    Outre M.Erdogan, l'ex-premier ministre du pays Ahmet Davutoğlu et l'ex-ministre de l'Intérieur Efkan Ala ainsi que toute une série d'autres personnalités politiques sont visés par la plainte. Sur 200 pages, ses auteurs accusent ces hommes politiques turcs de crimes perpétrés dans les provinces kurdes du sud-est du pays, notamment à Cizre, ville de la province de Sirnak, précise la chaîne ARD.

    L'un des chefs d'accusation est la disparition de 178 personnes qui ont été brulées vives alors qu'elles se cachaient de l'artillerie et des chars turcs dans des sous-sols. La plupart des victimes étaient des civils.

    Déposée par les avocates Britta Eder et Petra Dervishaj, la plainte a été soutenue par une série de députés du Bundestag de Die Linke ainsi que par plusieurs scientifiques allemands et européens et par des organisations de défense des droits de l'homme.

    "Nous ne comprenons pas pourquoi le gouvernement fédéral reste muet au sujet de ces crimes. Nous considérons que les assassinats de masse de civils en Turquie sont des crimes de guerre et contre l'humanité. Pour cela Erdogan et ses complices doivent être traduits en justice", a déclaré dans un entretien à Sputnik la députée Ulla Jelpke.

    Selon elle, vu les liens étroits au niveau gouvernemental entre les deux pays, il est impossible de passer ces crimes sous silence.

    "J'attends que le parquet fédéral engage une enquête pénale, d'autant plus que nous disposons de suffisamment de preuves: des témoignages, enregistrements vidéos et d'autres indices. Mais je ne me fais pas d'illusions", a avoué la femme politique, rappelant qu'une initiative similaire avait eu lieu en 2011. A l’époque, l'affaire avait été classée, Recep Tayyip Erdogan (alors premier ministre) bénéficiant d'une immunité politique.

    "Mais contrairement à 2011, nous avons porté plainte contre l'ancien premier ministre Ahmet Davutoğlu et d'autres anciens membres du gouvernement qui ne bénéficient plus de l'immunité. Par ailleurs, nous avons porté plainte contre les militaires turcs", a-t-elle précisé.

    Mme Jelpke a indiqué que depuis 25 ans elle se rend régulièrement en Turquie, en Syrie et en Irak et qu'au début des années 1990 elle avait été témoin des massacres perpétrés à l'encontre des Kurdes de Turquie. Or, il n'y a jamais eu de poursuite pour ces crimes commis en 1993.

     

    Et de rappeler que d'autres organisations, telles Amnesty International et Human Rights Watch, sonnent l'alarme, soulignant que les services spéciaux turcs ne sont quasiment jamais poursuivis.

     

    Depuis décembre dernier, les autorités turques mènent des opérations antiterroristes dans plusieurs localités du sud-est peuplées de Kurdes et touchées par des heurts entre forces de sécurité et membres du PKK. Selon l'état-major de l'armée turque, plus de 1.000 combattants kurdes ont été tués depuis la mi-décembre.

    Le Parti démocratique des peuples (HDP) affirme cependant que l'opération a fait plusieurs centaines de morts parmi la population civile.

     

  • Les Britanniques ont choisi la liberté !

     

    En dépit d’une campagne hystérique favorable au maintien du Royaume Uni dans l’Union européenne, les Britanniques ont choisi la liberté. Rien ne leur a été pourtant épargné : ni les mensonges, ni le chantage en matière économique, financière ou migratoire, ni les ingérences étrangères, avalisées par le premier ministre Cameron lui-même, ni la tactique de la peur. L’oligarchie et ses médias ont une nouvelle fois prouvé leur profond mépris des peuples et de la souveraineté nationale.

     

    Désormais, les Britanniques devront se montrer vigilants pour faire respecter leur choix et ne pas accepter que Bruxelles, chassé par la porte d’un résultat sans appel rentre par la fenêtre de conventions ou traités préjudiciables à leur indépendance. Ils doivent surtout exiger de sortir le plus rapidement possible de l’Europe, au gré de leurs intérêts. Ce départ doit également servir d’électrochoc aux autres peuples européens, en leur montrant qu’il existe un chemin vers la liberté. Toutefois, le risque est grand de voir les européistes profiter du Brexit pour imposer une accélération du fédéralisme à un noyau dur sous domination allemande.

    Les Français doivent se montrer plus déterminés que jamais à recouvrer eux aussi leur indépendance...