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immigration de masse

  • Leur régime tyrannique est l’exact opposé de la France du Maréchal .

     

     

    C’est dans un contexte dramatique que nous commémorons le soixante-dixième anniversaire de la disparition du Maréchal dont le régime fut quasiment en tous points l’inverse de celui que nous subissons depuis la fin de la guerre.

    Le lundi 23 juillet 1951 s’éteignait en effet Philippe Pétain. Six ans jour pour jour après le début de son procès devant la Haute Cour de justice (ou plutôt d’injustice). Sept décennies se sont écoulées depuis. Et l’on n’a toujours pas réhabilité le Maréchal. Ses cendres n’ont toujours pas été transférées à Douaumont. Au contraire, ces dernières années la situation s’est considérablement aggravée. Les dernières rues qui portaient encore le nom du Vainqueur de Verdun dans quelques rares villages de France ont été débaptisées en 2010. Le portrait du Maréchal qui figurait au même titre que tous les autres chefs d’Etat français, entre Albert Lebrun et Vincent Auriol, dans la salle des mariages d’une humble mairie du Calvados a également été décroché, le préfet aux ordres de la LICRA exigeant, comminatoire, que le maire s’exécute. Macron, lors du centenaire de l’armistice de 1918, a été morigéné par le Lobby auquel il était pourtant soumis et rappelé à l’ordre par Attali lui-même pour avoir osé sa petite phrase sur Pétain qui fut « un soldat courageux ». Cet épisode est le dénouement d’une longue escalade. En effet, auparavant, François Mitterrand qui fleurissait chaque 11-Novembre la tombe du Maréchal a dû y renoncer en 1993 devant les pressions du lobby auquel rien ni personne n’ose plus résister. 

    De grands procès qui rappellent à bien des égards ceux de l’Epuration n’ont eu de cesse d’alimenter la chronique judiciaire : ceux de Klaus Barbie, du milicien Paul Touvier, puis du haut fonctionnaire Maurice Papon, longtemps le plus vieux prisonnier de France comme le Maréchal fut le plus vieux prisonnier du monde. Car la haine ne recule ni devant l’âge ni devant la maladie. René Bousquet fut, lui, sauvagement assassiné à son domicile parisien par un vrai ou faux déséquilibré qui croyait ainsi s’acheter un brevet de Résistance.

    Chaque semaine plusieurs émissions de télévision et de radio ressassent le discours convenu sur l’Occupation et sur Vichy.

    Et la France a été jugée officiellement coupable de complicité de crime contre l’humanité par ses plus hauts dirigeants, Jacques Chirac en 1995 et Lionel Jospin en 1997. Et depuis par tous leurs successeurs. C’est désormais une obligation morale. Comme présider le dîner annuel du CRIF et y annoncer de nouvelles mesures attentatoires aux libertés, la mise en ban des coupables (Reynouard, Soral, Dieudonné…), la dissolution de mouvements (le Bastion social, etc.) pour rassasier la soif de sang, inextinguible, du Sanhédrin. Quant à la France, elle doit expier ses fautes, faire repentance. Et sans cesse donner des gages. Y compris en espèces sonnantes et trébuchantes. La religion de la Shoah, c’est la religion de Mammon ! 

     

    Dans ce règne du mensonge et de l’imposture, le Maréchal Pétain doit être considéré comme un traître. Ainsi le serinent les media. Ainsi le répètent les manuels. Car si le personnage de Louis XVI a été en partie réhabilité, il n’en va pas de même de Philippe Pétain. Est-ce parce qu’il s’agit d’un passé plus récent et que les passions ne se sont pas encore apaisées ? Nous ne le pensons pas. C’est bien plutôt parce que le régime que nous subissons depuis 1945 tire sa légitimité de la disqualification politique, morale, intellectuelle et judiciaire du pétainisme et ne reconnaît donc aucun mérite au Maréchal. Au contraire. Plus ce régime s’enfonce dans le scandale, plus il manifeste sa nocivité, sa malfaisance intrinsèque, plus il se montre tyrannique, injuste, cruel, plus il éprouve le besoin de diaboliser la personne, l’action et la pensée du Maréchal. C’est pour lui une question de survie. Il doit sans cesse réactiver la haine dont il est sorti et qui le fait vivre. 

    Et logiquement la diabolisation de Philippe Pétain, due essentiellement au traitement de la question juive sous Vichy (nous vivons sous la domination de ce puissant lobby), s’étend jusqu’aux vertus qu’il a promues, jusqu’aux principes qu’il a fait siens, jusqu’à la célèbre devise de l’Etat français. De sorte que quiconque entend défendre la patrie, exalter le travail, honorer la famille, promouvoir la religion est aussitôt traité de pétainiste!!

    C’est-à-dire dans le langage médiatique de complice des nazis et de la solution finale. C’est ainsi que le régime en place installe une terreur intellectuelle qui compromet toute renaissance nationale. Alors que l’action menée pendant quatre ans par le Maréchal reste à bien des égards un modèle. Il n’est en effet pas difficile de voir où nous ont conduits ceux qui ont pris l’exact contrepied de ce qu’a tenté l’Etat français de 1940 à 1944. 

     

     Le Maréchal avait honoré le travail, en avait rappelé dans ses discours l’éminente dignité. C’est, disait-il, « le moyen le plus noble et le plus digne que nous ayons de devenir maîtres de notre sort ». La Révolution nationale était inséparable dans son esprit de la Révolution sociale. Aussi la Charte du travail définissait-elle, dans une perspective neuve et hardie, les rapports entre patrons et salariés dans la communauté de l’entreprise, en rejetant à la fois le dogme ruineux de la lutte des classes et le dévergondage d’un libéralisme incontrôlé. Vichy institua le 1er Mai fête du travail et des travailleurs afin d’œuvrer à « l’union et à l’amitié » de tous les Français. Or, après soixante-dix-sept ans de régime gaullo-communiste, qui a encore l’amour du travail bien fait ? 

    On décourage de travailler. En faisant miroiter un revenu universel de quelques centaines d’euros distribués comme une pitance en échange de la servilité du récipiendaire. En multipliant des aides et des allocations distribuées sans discernement ni contrôle. En empêchant même les gens de travailler, en le leur interdisant sous peine d’amende et de prison, ce qui est inouï, comme on l’a vu pendant les confinements successifs, pour toute une série de professions, et singulièrement celles du secteur tertiaire. En prélevant sur les revenus des sommes telles qu’on décourage l’effort et qu’on tue l’initiative. En transformant les entrepreneurs, comme naguère les paysans, en serfs modernes en les privant de toute vraie liberté et en leur versant de petites aides pour les neutraliser et les faire vivoter. En permettant de gagner facilement des gains substantiels grâce à des jeux qui ne cessent de croître en nombre et en imbécillité : « Qui veut gagner des millions ? », tel est significativement le titre d’un divertissement télévisé. Or, la civilisation de loisirs n’a jamais rien créé. Elle est un signe de décadence. 

     

    Le Maréchal avait promu la famille. En créant la Fête des Mères. En encourageant moralement et matériellement les familles nombreuses. Le fameux baby boom n’a-t-il pas commencé sous son régime ? C’est que, disait le chef de l’Etat, « l’individu n’existe que par la famille dont il reçoit avec la vie, tous les moyens de vivre ». Et, ajoutait-il, « les époques où l’individualisme a fait loi sont celles qui comptent le moins d’individualités véritables ». Que ne dirait-il aujourd’hui, alors que l’institution familiale est parodiée, éclatée, décomposée, recomposée, que s’élabore un nouveau droit de la famille ouvert à toutes les perversions, à toutes les excentricités, que l’on a introduit officiellement dans l’enseignement dès la rentrée scolaire 2011 la folle théorie des gender selon laquelle l’identité sexuelle est librement choisie par l’individu, que des groupes LGBtistes vont dans des classes de mineurs faire sans vergogne l’apologie des sexualités déviantes, que l’on a légalisé et remboursé la contraception, l’avortement, le Pacs, le “mariage” homosexuel, la PMA désormais ouverte aux lesbiennes, que deux femmes peuvent être très officiellement considérées comme les deux parents de l’enfant, que l’on peut créer des chimères animal-homme ? 

    A quoi sert-il à l’homme grâce aux techniques nouvelles de fabriquer la vie s’il en a perdu le sens ? On a fait croire qu’il était obsolète de parler d’engagement, de parole donnée, de fidélité, de loyauté, d’honneur, d’effort, de dévouement et de sacrifice. Moyennant quoi, on a précipité le malheur des gens : dépressions, drogue, divorces, suicides, actes de barbarie sans nombre, jusqu’à des actes d’anthropophagie, y compris en France, tels sont les fruits amers de la perte des principes et des repères les plus élémentaires.

     

     Le Maréchal avait défendu la patrie. Qui l’a mieux aimée, qui l’a plus servie que lui ? Et qui en a été aussi peu, aussi mal récompensé ? Car il n’avait pas besoin de se faire comme De Gaulle « une certaine idée de la France », il l’aimait charnellement. Intensément. Il en aimait les routes. Ah ces routes du pays d’Artois mystérieuses, changeantes, pleines du pas des hommes ! Ce fils de paysans aimait la terre de France, il aimait les paysages, les forêts, les coteaux de notre pays. Il en aimait les gens. D’où sa volonté d’économiser les vies humaines lors de la Première Guerre mondiale. D’où son souci constant d’améliorer les conditions de vie de ses chers Poilus. 

    En ne laissant rien au hasard. En veillant à la qualité de la cuisine, de l’hygiène, à la mise en œuvre effective des permissions. En remontant le moral des troupes. Car, à la différence d’un général de brigade à titre temporaire, il n’a jamais désespéré des Français ; il ne les a jamais traités de “veaux” ; même lorsqu’à son retour en France en avril 1945 bien peu de nos compatriotes sont venus le soutenir, lui dire leur sympathie, leur gratitude ; que restait-il alors des quelque cinq cent mille Parisiens qui s’étaient pressés pour l’acclamer quelques mois plus tôt ? Même quand il fut abandonné de (presque) tous, il n’a jamais douté de son peuple, ne l’a jamais méprisé. 

     

    Qui peut sérieusement douter que le Maréchal ait servi au mieux les intérêts de la France, qu’il ait essayé d’adoucir au maximum les souffrances de ses compatriotes dans des conditions extrêmement difficiles ? Un court instant, il a même réussi ce miracle de rassembler autour de sa personne et de son action tous les Français, eux si naturellement enclins aux divisions et aux discordes. L’ambition et l’orgueil de quelques-uns, les aléas de la guerre, les passions humaines n’ont hélas pas permis de maintenir une unité nationale qui ne s’est toujours pas reconstituée. Depuis, ses successeurs à la tête de l’Etat ont bradé son héritage sans vergogne ni remords de conscience. Le drapeau national qu’il avait maintenu malgré les contraintes de la défaite et de l’Occupation, et qui figurait autrefois dans tous les dictionnaires à la première place est désormais relégué à la soixantième entre la Finlande et le Gabon tandis que l’emblème européiste à douze étoiles, signe de la sujétion de notre pays à un machin supranational et mondialiste, occupe le premier rang du protocole. L’empire colonial qu’il avait maintenu intact a été démembré, dépecé dix ans à peine après sa mort par celui-là même qui l’accusait d’avoir trahi les intérêts français. Le Maréchal laissait une France française (lorsque les actualités de l’époque nous montrent les voyages du chef de l’Etat français en province, l’on observe des gens de tous âges, de toutes conditions, mais tous leucodermes !) ; aujourd’hui elle est métissée, mélanisée, défigurée. Et elle s’est aussi américanisée en même temps que marxisée, tout à la fois laïcisée et islamisée. 

    S’il n’est plus d’armée étrangère qui occupe militairement notre pays, il est d’autres formes d’occupation. Plus insidieuses, plus redoutables. Celle d’une immigration de masse qui en détruit la substance corporelle, culturelle et spirituelle. Celle d’une idéologie mortifère qui promeut le désordre, qui exhorte à la haine et qui ne se complaît que dans le vice, la laideur et la destruction. Et si la France n’a pas connu récemment de grandes défaites militaires, il est d’autres défaites. Plus pernicieuses, plus angoissantes encore. Celles qui consistent à abdiquer son idéal de grandeur et de générosité, à ne plus croire en son destin, à ne plus avoir la force de haïr « ces mensonges qui nous ont fait tant de mal ». A ne plus avoir l’énergie de lutter activement contre la tyrannie : politique, idéologique, sanitaire, moderniste, holocaustique.

     

     Le Maréchal laissait une jeunesse belle, fière et ardente qu’il avait contribué à éduquer à travers les Chantiers de jeunesse, Uriage, les Centres de jeunes travailleurs. Il disait de l’école française qu’elle ne devait plus « prétendre à la neutralité ». Car, ajoutait-il, « la vie n’est pas neutre ; elle consiste à prendre parti hardiment. Il n’y a pas de neutralité possible entre le vrai et le faux, entre le bien et le mal, entre la santé et la maladie, entre l’ordre et le désordre, entre la France et l’Anti-France ».

    Les puissants qui nous gouvernent ont compris le danger que pouvait représenter une jeunesse croyant en un idéal. Alors ils ont fait tout ce qui était possible pour l’affaiblir, l’avilir, la pervertir. Par l’étalage nauséabond de la pornographie. Par la promotion de toutes les déviances. Par la diffusion de la drogue. Par une école et des media qui lui apprennent la haine de la France, l’oubli de son passé, de ses racines, qui lui enseignent qu’on peut changer d’identité et d’orientation sexuelles. 

     

    Ce n'est pas un hasard si aujourd’hui tous les politiciens, de Mélenchon à Marine Le Pen, exècrent le Maréchal. Il représente en effet par excellence tout ce qu’ils haïssent, tout ce dont ils sont dépourvus : l’honneur, la fidélité, la loyauté, le désintéressement, le souci du bien commun, le sens du sacrifice, le service de la patrie, l’oubli et le don de soi jusqu’au martyre. Le Maréchal Pétain fut assurément notre dernier vrai chef d’Etat. Après lui nous n’avons eu que des cloportes conduisant notre pays au tombeau et à l' enfer .

  • Le milliardaire juif George Soros exige que l’Europe accueille “un million” de migrants par an!

     


     
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    BREIZATAO – URZH BED-NEVEZ  Le financier et milliardaire juif George Soros a décidé de faire pression sur l’Europe pour qu’elle accepte d’être submergée par des millions d’immigrés musulmans.
    Georges Soros est connu pour ses opérations spéculatives (lire ici), son implication dans le coup d’état ukrainien (lire ici), l’agitation raciale dans la ville américaine de Ferguson (lire ici), les troubles récents en Macédoine (lire ici) ou son soutien financier aux Femens qu’il a ensuite suspendusuite à leur décision d’agir en Israël (lire ici).
    Encore récemment en compagnie du militant néo-conservateur d’origine juive Bernard Henri Lévy pour son 85ème anniversaire (lire ici), le milliardaire a exigé de l’Europe qu’elle accueille des millions d’immigrés du tiers-monde dans une “lettre ouverte” (lire ici). Il écrit :
    “Tout d’abord, l’UE doit accepter au moins un million de demandeurs d’asile par an… L’UE devrait donner 15 000 euros par demandeur d’asile pendant les deux premières années afin de leur assurer un logement, des soins, une éducation”.
    L’oligarque n’a pas dit s’il comptait dépenser son immense fortune pour accueillir dans ses propriétés les immigrés musulmans précités ! ...
     
     
     

  • Il y a trop d' immigrés en France mais la gauche veut encore plus de mixité ....

    immigration
     
     
    OpinionWay a réalisé son sondage annuel pour le centre de recherches de Sciences-Po (CEVIPOV).  Et les résultats sont plutôt affolants pour l’UMPS…
     
    – 82% des sondés sont «fiers d’être français»;
    –  69% des Français estiment qu’il y a trop d’immigrés (20 points de plus qu’en 2009);
    – 69 % des Français perçoivent l’islam comme une «religion négative»;
    –  50% des Français sont pour le rétablissement de la peine de mort (18 points de plus en cinq ans);
    – 85% des Français considèrent que «les responsables politiques ne se préoccupent pas de leur opinion»;
    – 59% des Français n’ont plus confiance en la politique et «n’ont ni confiance dans la droite ou dans la gauche pour gouverner le pays»;
    – 40% des Français ressentent de la méfiance à l’égard de la politique, 25% du dégoût et 11% d’ennui;
    – 64% des Français considèrent que l’école doit «donner avant tout le sens de la discipline et de l’effort» ! ...
     
    Et pour continuer ...alors que Manuel Valls était mercredi en déplacement à Cachan (Val-de-Marne) pour féliciter Jean-Yves Le Bouillonnec et encourager tous « ces maires courageux » qui « s’ouvrent aux jeunes et aux populations nouvelles, et luttent ainsi contre l’apartheid social », le député socialiste du Val d’Oise, Philippe Doucet, rendait publique de son côté un programme gratiné de 24 propositions destinées à « lutter vraiment contre l’apartheid ».

    « Forcer la mixité sociale »

    C’est que, pour Doucet, maire d’Argenteuil de 2008 à 2014 et ancien membre du courant de la Gauche populaire, il n’y pas 36 000 façons de lutter contre « l’apartheid ethnique », ni de « rompre avec la ghettoïsation des populations d’origine immigrée » : il faut « forcer la mixité sociale ». Aussi, aux côtés de mesures assez classiques telles que la mise en place d’un service civique obligatoire d’une durée de six mois pour tous les jeunes de 16 à 18 ans ou encore d’incitations financières pour les professeurs qui, en retour, devront s’engager dans une certaine durée pour enseigner dans ces quartiers, retrouve-t-on dans son catalogue les pires revendications de la gauche et autres associations dites « antiracistes ».

    Les pires revendications de la gauche

    Au menu, en effet : le triplement en cinq ans du nombre de fonctionnaires de police issus de l’immigration, la possibilité pour les associations de lutte contre le racisme de procéder à de vastes campagnes de « testing » en entretien d’embauche, l’autorisation « sous le contrôle de la CNIL » de recourir aux statistiques ethniques, notamment dans les attributions de logements par les bailleurs sociaux, le relèvement des seuils de logements sociaux prévus par la loi SRU à 30 % dès 2020 ou encore une très forte augmentation du barème des amendes pour les « communes délinquantes » ne respectant pas le seuil minimum.

    Bref, de quoi faire plaisir au préfet du Val-de-Marne qui vient de sanctionner lourdement certaines communes, comme Saint-Maur-des-Fossés (3,5 millions d’euros de pénalité) ou Ormesson-sur-Marne (900 000 euros), pour ne pas avoir respecté leurs quotas de logements sociaux.

     

    Philippe Doucet et le "Busing" : quand “crétinerie” et ignorance vont de pair

     

    Le 7 mars le député du Val-d’Oise Philippe Doucet, ancien maire d’Argenteuil, éjecté par les électeurs, publiait dans le Nouvel Obs une chronique absurde sur sa façon de réduire les « inégalités culturelles et sociales » dans l’enseignement français. Ayant salué Valls pour son “courage” d’avoir osé parler « d’apartheid territorial, social, et ethnique », il énonçait péremptoirement comment y remédier. « Pour lutter contre l’apartheid social il faut regarder en face la ségrégation scolaire à l’œuvre dans l’Éducation nationale ». Et il en énumère les causes : « Dans les quartiers, le constat est sans appel : une rotation plus importante des professeurs, la jeunesse de ceux-ci, le mauvais classement dans les parcours des proviseurs et principaux de ces établissements, moins de jeunes agrégés, un recrutement départemental des instituteurs à bout de souffle, etc. ».

    Ce n’est pas la qualité des élèves qui est en doute, pensez donc. Et puisque dans les quartiers favorisés ils ont de bien meilleurs résultats c’est parce qu’ils disposent de pédagogues sédentaires, expérimentés, de proviseurs bien classés, d’agrégés chevronnés, sans compter qu’on leur a réservé les meilleurs professeurs des écoles. Que faire alors ? Multiplier les cars. Comme ils ont fait aux Etats-Unis, où ils appellent cela des bus. Du busing, en somme, mais, évidemment « à la française ».

    Ecoutons le brave M. Doucet : « L’égalité réelle pour ces élèves passe par des mesures qui modifient l’organisation du système éducatif. Nous devons relancer de grandes expérimentations de “busing” à la française, ces programmes bien installés aux États-Unis qui consistent à transporter en bus des élèves de quartiers populaires vers des établissements où la réussite éducative est plus forte ».

    Sauf que lorsqu’il énonce cette allégation dogmatique il désinforme et il ment. D’abord il s’agit bien de conduire en bus des élèves Noirs dans des écoles de Blancs. Et vice-versa des élèves Blancs dans des classes de quartiers Noirs. Avec un double projet. Accélérer le processus de métissage des Etats-Unis. Et introduire dans « les établissements où la réussite éducative est plus forte » c’est-à-dire des établissements blancs, « des élèves de quartiers populaires », en général plus âgés, plus grands et, plus costauds. Afin qu’ils y imposent leur loi aux autres, instaurent de nouvelles hiérarchies dévalorisantes pour les Blancs moins agressifs, et soumettent les jeunes filles blanches de leurs classes à une domination qu’elles seront bien en peine de refuser au risque d’être traitées de racistes.

    Les lois dites civiques qui imposèrent par la force des baïonnettes et une législation barbare l’intégration scolaire dans les écoles américaines rencontrèrent des résistances considérables, y compris de nombreuses familles de couleur. Mais les sanctions étaient telles que l’Amérique dut s’y plier. A partir de 1979 de plus en plus de juges cessèrent d’imposer la déségrégation scolaire et celle-ci n’a depuis cessé de s’effilocher. Entre le moment où George W. Bush accéda à la Maison-Blanche et celui où il la quitta, on était passé de 595 districts scolaires intégrés de force à 380. Avec Obama évidemment le processus s’est ralenti.

     

    LES BLANCS D’AMERIQUE : 40 ANS DE COMBAT CONTRE LE BUSING ET L’AFFIRMATIVE ACTION

     

    Aujourd’hui, néanmoins, on approche des 300 districts. Les plus récentes études montrent que si les institutions dans lesquelles il n’y a pas de Noirs sont rares, un nombre de plus en plus important d’entre elles se “blanchissent” parce que les jeunes Blancs quittent les collèges dans lesquels on les avait forcés à s’enrôler pour en rejoindre d’autres où ils retrouvent un ratio racial plus conforme à leur goût. Et où ils ne sont pas constamment mis en danger par les gangs de jeunes Noirs.

    Une autre étude montre qu’en général dans les dix ans qui suivent un jugement de déségrégation l’intégration recule de 60 %. En revanche la re-ségrégation des écoles noires bat son plein. On estime qu’un jeune Noir sur trois est inscrit dans une de ces “apartheid-schools”. Les Blancs y sont moins de 1 %. La plupart se trouvent dans l’Est et dans le Nord mais déjà 12 % d’entre elles sont dans le Sud et le processus s’accélère. Dans les circonscriptions scolaires ainsi exclues de l’intégration forcée 53 % des jeunes Noirs sont inscrits dans “apartheid-schools”.

    Le fiasco du Système est total. Et bien entendu il s’accompagne d’une disparition du Busing au fur et à mesure que la politique d’Affirmative Action régresse dans tous les domaines de la société américaine. Grâce d’ailleurs à l’action efficace de nombreux Noirs pour lesquels elle aura été la pire des choses survenue à leur communauté. C’est le cas du Professeur Carson, en piste pour la candidature Républicaine aux prochaines élections ou de James Meredith. Celui qui, le 31 mai 1961, força Kennedy à envoyer la Garde Nationale pour lui permettre d’accéder à l’Université du Mississipi. Après avoir soutenu David Duke, Meredith est aujourd’hui l’un des plus acharnés à combattre les Droits Civiques de Michaël King.

    M. Doucet est-il ignorant de ces faits ? Est-ce plus excusable ? Depuis près de 45 ans la résistance contre le Busing n’a jamais cessé et dans de nombreux comtés, cette pratique ignoble est carrément tombée en désuétude, rejetée par le plus grand nombre. Pour beaucoup il s’agit d’abord d’un gigantesque échec doublé d’un fiasco aussi abyssal.

    Le Busing est une des causes principales de ce que l’on a appelé le White Flight ou la fuite des Blancs des centres villes vers les quartiers périphériques. Puis vers la Suburbia, c’est-à-dire, au fur et à mesure de l’avancée des classes moyennes Noires fuyant les ghettos en se réfugiant dans les territoires des Blancs, le dégagement de ces derniers vers des horizons encore plus éloignés. Les grandes vitupérations de Hollande, Valls, Doucet, n’y changeront rien : cette politique consistant à installer par la force des communautés exogènes au milieu de zones peuplées exclusivement de Caucasiens est vouée à l’échec. Et si on se garde bien de la décrire sous cet angle, la rurbanité, qui, en dépit de ses innombrables inconvénients, a converti depuis une trentaine d’années des centaines de milliers d’hectares de bonnes terres agricoles en banlieues agrestes, avait bien une raison majeure.
    Le désir éperdu pour des millions de Français de se mettre, eux et les leurs, à distance respectable de populations immigrées sur la présence desquelles on ne les aura jamais consultés. Décolonisons la France !
     

    Alors que Manuel Valls était mercredi en déplacement à Cachan (Val-de-Marne) pour féliciter Jean-Yves Le Bouillonnec et encourager tous « ces maires courageux » qui « s’ouvrent aux jeunes et aux populations nouvelles, et luttent ainsi contre l’apartheid social », le député socialiste du Val d’Oise, Philippe Doucet, rendait publique de son côté un programme gratiné de 24 propositions destinées à « lutter vraiment contre l’apartheid ».

    « Forcer la mixité sociale »

    C’est que, pour Doucet, maire d’Argenteuil de 2008 à 2014 et ancien membre du courant de la Gauche populaire, il n’y pas 36 000 façons de lutter contre « l’apartheid ethnique », ni de « rompre avec la ghettoïsation des populations d’origine immigrée » : il faut « forcer la mixité sociale ». Aussi, aux côtés de mesures assez classiques telles que la mise en place d’un service civique obligatoire d’une durée de six mois pour tous les jeunes de 16 à 18 ans ou encore d’incitations financières pour les professeurs qui, en retour, devront s’engager dans une certaine durée pour enseigner dans ces quartiers, retrouve-t-on dans son catalogue les pires revendications de la gauche et autres associations dites « antiracistes ».

    Les pires revendications de la gauche

    Au menu, en effet : le triplement en cinq ans du nombre de fonctionnaires de police issus de l’immigration, la possibilité pour les associations de lutte contre le racisme de procéder à de vastes campagnes de « testing » en entretien d’embauche, l’autorisation « sous le contrôle de la CNIL » de recourir aux statistiques ethniques, notamment dans les attributions de logements par les bailleurs sociaux, le relèvement des seuils de logements sociaux prévus par la loi SRU à 30 % dès 2020 ou encore une très forte augmentation du barème des amendes pour les « communes délinquantes » ne respectant pas le seuil minimum.

    Bref, de quoi faire plaisir au préfet du Val-de-Marne qui vient de sanctionner lourdement certaines communes, comme Saint-Maur-des-Fossés (3,5 millions d’euros de pénalité) ou Ormesson-sur-Marne (900 000 euros), pour ne pas avoir respecté leurs quotas de logements sociaux.

    Par FRANCK DELETRAZ

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    Alors que Manuel Valls était mercredi en déplacement à Cachan (Val-de-Marne) pour féliciter Jean-Yves Le Bouillonnec et encourager tous « ces maires courageux » qui « s’ouvrent aux jeunes et aux populations nouvelles, et luttent ainsi contre l’apartheid social », le député socialiste du Val d’Oise, Philippe Doucet, rendait publique de son côté un programme gratiné de 24 propositions destinées à « lutter vraiment contre l’apartheid ».

    « Forcer la mixité sociale »

    C’est que, pour Doucet, maire d’Argenteuil de 2008 à 2014 et ancien membre du courant de la Gauche populaire, il n’y pas 36 000 façons de lutter contre « l’apartheid ethnique », ni de « rompre avec la ghettoïsation des populations d’origine immigrée » : il faut « forcer la mixité sociale ». Aussi, aux côtés de mesures assez classiques telles que la mise en place d’un service civique obligatoire d’une durée de six mois pour tous les jeunes de 16 à 18 ans ou encore d’incitations financières pour les professeurs qui, en retour, devront s’engager dans une certaine durée pour enseigner dans ces quartiers, retrouve-t-on dans son catalogue les pires revendications de la gauche et autres associations dites « antiracistes ».

    Les pires revendications de la gauche

    Au menu, en effet : le triplement en cinq ans du nombre de fonctionnaires de police issus de l’immigration, la possibilité pour les associations de lutte contre le racisme de procéder à de vastes campagnes de « testing » en entretien d’embauche, l’autorisation « sous le contrôle de la CNIL » de recourir aux statistiques ethniques, notamment dans les attributions de logements par les bailleurs sociaux, le relèvement des seuils de logements sociaux prévus par la loi SRU à 30 % dès 2020 ou encore une très forte augmentation du barème des amendes pour les « communes délinquantes » ne respectant pas le seuil minimum.

    Bref, de quoi faire plaisir au préfet du Val-de-Marne qui vient de sanctionner lourdement certaines communes, comme Saint-Maur-des-Fossés (3,5 millions d’euros de pénalité) ou Ormesson-sur-Marne (900 000 euros), pour ne pas avoir respecté leurs quotas de logements sociaux

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    Alors que Manuel Valls était mercredi en déplacement à Cachan (Val-de-Marne) pour féliciter Jean-Yves Le Bouillonnec et encourager tous « ces maires courageux » qui « s’ouvrent aux jeunes et aux populations nouvelles, et luttent ainsi contre l’apartheid social », le député socialiste du Val d’Oise, Philippe Doucet, rendait publique de son côté un programme gratiné de 24 propositions destinées à « lutter vraiment contre l’apartheid ».

    « Forcer la mixité sociale »

    C’est que, pour Doucet, maire d’Argenteuil de 2008 à 2014 et ancien membre du courant de la Gauche populaire, il n’y pas 36 000 façons de lutter contre « l’apartheid ethnique », ni de « rompre avec la ghettoïsation des populations d’origine immigrée » : il faut « forcer la mixité sociale ». Aussi, aux côtés de mesures assez classiques telles que la mise en place d’un service civique obligatoire d’une durée de six mois pour tous les jeunes de 16 à 18 ans ou encore d’incitations financières pour les professeurs qui, en retour, devront s’engager dans une certaine durée pour enseigner dans ces quartiers, retrouve-t-on dans son catalogue les pires revendications de la gauche et autres associations dites « antiracistes ».

    Les pires revendications de la gauche

    Au menu, en effet : le triplement en cinq ans du nombre de fonctionnaires de police issus de l’immigration, la possibilité pour les associations de lutte contre le racisme de procéder à de vastes campagnes de « testing » en entretien d’embauche, l’autorisation « sous le contrôle de la CNIL » de recourir aux statistiques ethniques, notamment dans les attributions de logements par les bailleurs sociaux, le relèvement des seuils de logements sociaux prévus par la loi SRU à 30 % dès 2020 ou encore une très forte augmentation du barème des amendes pour les « communes délinquantes » ne respectant pas le seuil minimum.

    Bref, de quoi faire plaisir au préfet du Val-de-Marne qui vient de sanctionner lourdement certaines communes, comme Saint-Maur-des-Fossés (3,5 millions d’euros de pénalité) ou Ormesson-sur-Marne (900 000 euros), pour ne pas avoir respecté leurs quotas de logements sociaux

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    Alors que Manuel Valls était mercredi en déplacement à Cachan (Val-de-Marne) pour féliciter Jean-Yves Le Bouillonnec et encourager tous « ces maires courageux » qui « s’ouvrent aux jeunes et aux populations nouvelles, et luttent ainsi contre l’apartheid social », le député socialiste du Val d’Oise, Philippe Doucet, rendait publique de son côté un programme gratiné de 24 propositions destinées à « lutter vraiment contre l’apartheid ».

    « Forcer la mixité sociale »

    C’est que, pour Doucet, maire d’Argenteuil de 2008 à 2014 et ancien membre du courant de la Gauche populaire, il n’y pas 36 000 façons de lutter contre « l’apartheid ethnique », ni de « rompre avec la ghettoïsation des populations d’origine immigrée » : il faut « forcer la mixité sociale ». Aussi, aux côtés de mesures assez classiques telles que la mise en place d’un service civique obligatoire d’une durée de six mois pour tous les jeunes de 16 à 18 ans ou encore d’incitations financières pour les professeurs qui, en retour, devront s’engager dans une certaine durée pour enseigner dans ces quartiers, retrouve-t-on dans son catalogue les pires revendications de la gauche et autres associations dites « antiracistes ».

    Les pires revendications de la gauche

    Au menu, en effet : le triplement en cinq ans du nombre de fonctionnaires de police issus de l’immigration, la possibilité pour les associations de lutte contre le racisme de procéder à de vastes campagnes de « testing » en entretien d’embauche, l’autorisation « sous le contrôle de la CNIL » de recourir aux statistiques ethniques, notamment dans les attributions de logements par les bailleurs sociaux, le relèvement des seuils de logements sociaux prévus par la loi SRU à 30 % dès 2020 ou encore une très forte augmentation du barème des amendes pour les « communes délinquantes » ne respectant pas le seuil minimum.

    Bref, de quoi faire plaisir au préfet du Val-de-Marne qui vient de sanctionner lourdement certaines communes, comme Saint-Maur-des-Fossés (3,5 millions d’euros de pénalité) ou Ormesson-sur-Marne (900 000 euros), pour ne pas avoir respecté leurs quotas de logements sociaux

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