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dilcrah

  • Nos gouvernenants utilisent l' immigration pour nous liquider !

     

    Qui eût imaginé qu’une ville historiquement aussi calme, tranquille et bourgeoise que Rambouillet, avec son charmant et majestueux château, devînt le théâtre d’une action terroriste perpétrée le vendredi 23 avril, en début d’après-midi, par un Tunisien de 36 ans contre une policière de 49 ans, mère de famille, sauvagement égorgée dans le sas de sécurité (tout un symbole !) du commissariat de Rambouillet ? C’est dire que les métastases de l’immigration extra-européenne se sont étendues désormais à tout le territoire national et qu’il n’est plus aucun endroit qui soit sûr actuellement. Comme toujours ou presque, il s’agit d’un immigré entré illégalement en France en 2009, il y a douze ans, qui a vécu dans notre pays pendant dix ans de manière illicite avant d’être régularisé en 2019. 

     

    Car avec les gouvernements successifs qui ont encouragé et continuent à encourager plus que jamais la submersion migratoire de notre pays et le Grand Remplacement, le destin d’un immigré qui entre illégalement en France est quasiment toujours le même : de clandestin, il finit par être régularisé, et une fois régularisé, il finit par être naturalisé.

    Ce qui crée par millions des Français de papier, des Français transgéniques que rien ne rattache à notre pays, à son passé, à son sol, à sa foi (qui a hélas aujourd’hui presque totalement disparu, c’est le fond du problème), à ses paysages, à ses monuments, à ses traditions. 

    Le tunisien Jamel G. est l’auteur des deux coups de couteau, l’un à l’abdomen, l’autre à la gorge, qui ont coûté la vie à la policière Stéphanie M., une Française de souche qui laisse orphelines deux filles, Elodie (18 ans) et Anaïs (13 ans) et un veuf, son époux Alain, artisan boulanger. Mais si l’assassin est celui qui a porté les coups et endeuillé et brisé à vie toute une famille, le plus coupable moralement et politiquement dans cette affaire, ce sont les pouvoirs publics qui organisent depuis un demi-siècle environ l’invasion de notre pays par des masses allogènes et inassimilables. Les vrais coupables, ce sont les gouvernements et les associations dites antiracistes qui diabolisent, qui poursuivent en justice les patriotes, nationaux et nationalistes qui s’opposent à cette destruction méthodique et programmée de notre pays et de notre peuple et qui refusent de se taire et de courber l’échine devant cette infamie.  

    Les coupables, ce sont ceux qui, comme la LICRA et consorts, exigent l’ouverture totale des frontières, condamnent toute politique de régulation et a fortiori d’inversion des flux migratoires, veulent ouvrir le pays à des millions de migrants, pour la plupart mahométans, et qui, en même temps, de manière diabolique, provoquent ces mêmes immigrés musulmans dont ils favorisent l’accueil et l’installation chez nous, en se revendiquant bruyamment Charlie, en exigeant la republication des caricatures de Mahomet, en ordonnant qu’elles soient montrées dans toutes les écoles au risque évident d’attiser les haines, les rancœurs et les fanatismes.

    Car précisément ce Jamel G., au départ pas spécialement engagé sur le plan religieux, a été radicalisé à partir de l’automne 2020 au moment où ont été republiées et à nouveau médiatisées les caricatures de Mahomet montré nu, les fesses à l’air, l’appareil génital exhibé, de manière à offenser de manière directe, et donc à radicaliser contre la France et les Français, des musulmans qui sont désormais des millions dans notre pays.

     

    Sauf à être naïf et aveugle, il est donc évident qu’il y a une volonté au plus haut niveau de conduire à la guerre civile et au chaos.

    Cette vérité est certes difficile à croire, tellement elle est effrayante, elle est pourtant incontestable : les différents gouvernements successifs, les institutions actuelles travaillent activement à notre destruction, tant physique que mentale, tant culturelle que spirituelle, tant biologique que morale. L’Etat profond promeut l’ouverture du pays aux migrants, mais il veut que chacun de nous devienne un migrant dans son propre corps et dans sa tête ; un être qui peut sans cesse se transformer, se réinventer, changer, qui n’est ni homme ni femme, ni blanc ni noir, ni défini sexuellement, ni ethniquement, ni religieusement. 

    Nous vivons l’époque effrayante de la disparition des frontières physiques mais aussi morales. Ce n’est pas un hasard si les sectateurs de l’ouverture totale des frontières sont aussi les militants du lobby LGBT, un acronyme qui chaque année s’enrichit, si j’ose dire, d’une lettre supplémentaire. N’existe-t-il pas une institution gouvernementale officielle qui s’appelle la DILCRAH : la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT ? C’est clair, le pouvoir est notre ennemi, travaille à notre ruine.

     

    Comme toujours en pareil cas l’on a droit au discours martial des dirigeants qui affirment péremptoirement, le menton en avant, qu’ils n’acceptent pas ce genre d’actes barbares, qu’ils lutteront de toutes leurs forces contre le terrorisme islamiste (qu’ils alimentent et promeuvent en réalité de toutes les façons par leur politique de submersion migratoire et de subversion pro-Charlie), que les fanatiques ne passeront pas, que jamais ils n’accepteront la répétition de telles tragédies, etc. Ce sont des menteurs et des hypocrites car rien n’a été fait, rien n’est fait et rien ne le sera pour empêcher la multiplication de ces attaques ignobles.

    Il n’est même pas question d’immigration zéro, encore moins de réémigration.

    Aucun parti politique ayant pignon sur vue ne propose aujourd’hui de telles mesures pourtant de bon sens. Cela en dit long sur la gravité de la situation. Aucun ne propose non plus d’en finir avec le torchon Charlie et ses provocations infâmes contre tous les croyants et qui agissent comme un chiffon rouge, de rééquilibrer notre politique au Proche Orient conformément à la vérité et à la justice, de ne pas participer à des actions extérieures dans lesquelles nous n’avons rien à faire, de rétablir immédiatement des frontières réelles, d’inverser les flux migratoires et de couper toutes les pompes aspirantes qui favorisent l’immigration de masse.

    En réalité, le pouvoir n’est pas mécontent de ce genre d’attentats.

    Et on peut toujours se demander si, au moins pour certains d’entre eux, ils ne les laissent pas faire. Car ces actions barbares engendrent une peur panique au sein de la population qu’il est alors plus facile de manipuler et de châtrer. En réduisant ses libertés, en prétextant que c’est nécessaire pour sa sécurité, laquelle n’est pourtant nullement assurée. On l’avait vu aux Etats-Unis avec le Patriot Act  après le 11 septembre 2001. On le voit chez nous avec l’empilement des législations et dispositifs liberticides.

    Le terrorisme islamique, comme ladite pandémie covidesque, comme la répression policière au moment des gilets jaunes, sont des moyens massifs d’apeurer le citoyen et de le tenir en laisse, de réduire considérablement toutes ses libertés.

    Comme le note Alain Soral « pour faire tenir tranquille et terroriser le natif paupérisé, le pouvoir dispose désormais du flash-ball de la police et du couteau du migrant ». Ceux qui nous gouvernent, ou plutôt nous oppriment, sont nos pires ennemis.

    Et les vrais gouvernants ne sont pas ceux qui apparaissent au-devant de la scène. Ils sont plutôt à chercher au CRIF, au Congrès juif mondial, à la LICRA, à l’AIPAC et au B’nai B’rith, bref chez ce lobby « influent et nocif » dont l’Exécutif est le docile et servile exécutant !

     

  • Dans notre France barbare, il est interdit de nier l’holocauste des juifs et il est interdit parallèlement de parler d’holocauste pour les dizaines de millions d’enfants avortés chaque année !

    Avortement jusqu’à 14 semaines : toujours plus loin dans les sacrifices humains !

     

    Jusqu'où iront-ils dans le crime et la folie ?

    Après avoir voté en deuxième lecture le 29 juillet l’extension de la procréation médicalement assistée aux lesbiennes et en première lecture un amendement ouvrant la possibilité d’avorter jusqu’à neuf mois, dans les cadre des IMG (interruptions médicales de grossesse), en cas de « détresse psycho-sociale » de la mère, l’Assemblée nationale débat de l’allongement de la durée légale de l’IVG (interruption volontaire de grossesse) de 12 à 14 semaines.

    Fixé à dix semaines dans la loi Veil (1975), le délai pour avorter, c’est-à-dire pour tuer le fruit de ses entrailles, avait déjà été allongé de deux semaines par la loi Aubry en 2001. Vingt ans plus tard, il risque donc d’être à nouveau allongé.

    C’est logique : dès lors que l’on s’en prend frontalement à la vie, à la morale, au bon sens, à la nature et donc au Créateur, il n’y a aucune raison que l’on n’aille pas toujours plus loin dans l’horreur, dans l’abomination, dans l’assassinat industriel des innocents.

    On a agi de même s’agissant des droits accordés aux invertis dans une course folle vers l’abîme : en instituant le Pacs en 1999, puis le “mariage” homosexuel en 2013, puis la PMA pour les lesbiennes, et demain la GPA. Selon une gradation continuelle dans la folie et dans tout ce qui est contre-nature.

    Et pour être sûr que l’on ne détricote pas demain ce qui a été fait en faveur du lobby LGBT, les pouvoirs publics ont créé en 2004 un délit d’homophobie destiné à disqualifier moralement et à pourchasser judiciairement les défenseurs de la famille traditionnelle et de la morale naturelle. Et ils ont également institué un organisme gouvernemental, destiné à poursuivre en justice tous ceux suspectés de manquer d’enthousiasme à l’égard des “avancées” dites sociétales. Cet organisme s’appelle la DILCRAH : Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT

    Même le détestable Israël Nisand, président du Collège national des gynécologues et obstétriciens de France (CNGOF), et qui est pourtant un fanatique de l’avortement, semble comprendre — ou plutôt feint de comprendre — les réserves de beaucoup de ses confrères devant ce projet de nouvel allongement des délais pour avorter.

    Selon lui, en effet, l’IVG n’est pas du tout semblable à douze et quatorze semaines. « Concrètement, à douze semaines, un fœtus mesure 85 millimètres, de la tête aux fesses. À quatorze, il mesure 120 mm et a la tête ossifiée. Ce qui veut dire qu’il faut couper le fœtus en morceaux et écraser sa tête pour le sortir du ventre. On peut donc comprendre que ce soit assez difficile à réaliser pour beaucoup de professionnels », affirme le chef du service de gynécologie-obstétrique du CHU de Strasbourg dans une interview accordée au Monde.

    Ces propos, pourtant exprimés de manière détachée et qui se placent sur un plan purement technique, et nullement sur un plan moral, permettent de mieux comprendre le crime absolu, barbare et abject, la boucherie immonde que constitue tout avortement, et plus encore bien sûr tout avortement tardif : il faut écraser la tête du bébé, couper le fœtus en morceaux.

    Voilà ce que font des médecins qui sont censés défendre la vie, guérir des malades et qui ont tous prononcé le serment d’Hippocrate ! C’est à cela qu’on mesure à quel point notre société est pourrie jusqu’à l’os. C’est la complicité, active ou passive, du grand nombre qui autorise une aggravation continue de la situation dans tous les domaines.

     

    Comme toujours, ceux qui s’opposent à ce nouveau pas dans l’horreur et l’abjection sont lamentables dans leur argumentation et d’une écœurante lâcheté. Ils s’opposent pour des raisons techniques ou psychologiques mais se gardent bien de remettre en question le sacro-saint « droit à l’avortement ».

    Or, le problème principal n’est pas que l’on étende le délai des IVG (que ces acronymes qui dissimulent des réalités horribles sont laids et hypocrites !) mais que ce crime soit légalisé, promu, et pire encore remboursé à 100 %.

    Dans les manuels d’histoire ou dans des documentaires radiotélévisés, on évoque parfois les sacrifices humains qui se perpétraient dans d’anciennes civilisations, chez certains peuples, et non des moindres. Mais on ne s’interroge jamais pour savoir si notre société, qui se veut civilisée et aseptisée, autorise ou promeut légalement, à sa manière, des sacrifices humains.

    Et pourtant le massacre industriel des enfants à naître ( 300 000 par an en France, plus de dix millions depuis la loi Veil) n’est rien d’autre, si l’on se donne la peine d’y réfléchir, qu’un sacrifice humain à grande échelle. Légalisé, sacralisé, remboursé. 

    C’est si vrai que Macron a panthéonisé en 2018 Simone Veil, grande prêtresse de ce sacrifice. La présidente de la fondation pour la mémoire de la Shoah a ouvert la voie par sa loi à l’holocauste des enfants à naître.

    Il est interdit de nier l’holocauste des juifs et il est interdit parallèlement de parler d’holocauste pour les dizaines de millions d’enfants avortés chaque année dans le monde. Cette double interdiction devrait donner matière à réfléchir au degré d’imposture et de mensonge du monde dans lequel nous vivons.

    Les progrès de la science, et notamment de l’échographie, ne laissent aujourd’hui aucun doute sur le fait que le processus vital qui va donner naissance à un enfant commence dès la conception. Les différentes échographies réalisées pendant la grossesse permettent de mieux se rendre compte de la merveille de la vie, d’entendre le cœur du bébé qui bat, de voir sa tête, ses jambes, ses bras, ses petites mains, ses pieds, etc.

    C’est donc en toute connaissance de cause que les différents gouvernements, en lien avec la maçonnerie, légalisent et promeuvent des crimes de masse.

    On évoque sans cesse des meurtres de masse censément commis par des régimes politiques n’ayant plus cours aujourd’hui mais on s’interdit de considérer et de dénoncer les crimes de masse qui se commettent tous les jours sous nos yeux. Dans l’indifférence générale et un silence sépulcral. Pourtant, dans Passeport Santé, qui est distribué très officiellement aux femmes enceintes, on affirme bien qu’à 14 semaines le bébé est bien vivant et qu’il est déjà un petit homme : « En cette 14e semaine de grossesse, la taille du bébé est de 14 cm et son poids de 110 g. Sa croissance va désormais prendre un rythme très rapide. En une semaine seulement, il aura quasiment doublé son poids. Tous ses principaux organes sont en place et commencent à fonctionner, individuellement pour commencer, puis au fil des semaines, de façon coordonnée. Lorsque le fœtus a 14 semaines, son apparence se rapproche de plus en plus de celle d’un petit homme, tant au niveau de la position que des proportions des différentes parties de son anatomie. Sa tête est droite et ses jambes sont désormais plus longues que les bras. L’intestin commence à réintégrer l’abdomen. Son visage s’humanise avec de petites mimiques : il fronce les sourcils, tournent les yeux. L’ossification de son squelette se poursuit. Il alterne des périodes de veille et de sommeil. Et lorsqu’il est éveillé, il bouge de plus en plus, pliant les bras et les jambes, serrant les poings. Le cœur du fœtus est parfaitement formé, il se contracte et se dilate, envoyant le sang dans les veines qui parcourent son corps. Le fœtus commence à percevoir les bruits du corps de la maman : les battements du cœur, les gargouillis du ventre, les bruits de la respiration. La thyroïde sécrète l’hormone thyroïdienne, très importante pour sa croissance et son développement. » C’est dire toute l’hypocrisie de ceux qui nous dirigent : ils tuent en sachant parfaitement ce qu’ils font !

     

  • En France, les nationalistes n' ont pas le droit de s' exprimer et sont emprisonnés par la pseudo justice aux ordres du lobby juif .

    Cynisme de la grande presse : la liberté d’expression, oui, mais à géométrie variable !

     

    Difficile d’aller plus loin dans le cynisme et la tartuferie. Alors qu’Hervé Ryssen était incarcéré depuis près d’une semaine à la prison de Fleury-Mérogis pour délit d’opinion, plus d’une centaine de journaux, de revues et de magazines, dont les principaux quotidiens (Le Monde, Libération, Le Figaro, Le Parisien, L’Equipe, L’Humanité — sic ! —) et hebdomadaires signaient un texte commun s’inquiétant des menaces extrêmement graves pesant sur la liberté d’expression. A l’initiative de Riss, directeur de la publication de Charlie Hebdo, la quasi-totalité des directeurs de journaux et de périodiques se sont d’abord réunis pour débattre de ces menaces puis ces publications ont signé et publié une « lettre ouverte à nos concitoyens ».

    Aucun de ces journaux qui proclament pourtant de manière grandiloquente leur « amour de la liberté » n’a cité, même de manière allusive, le cas d’Hervé Ryssen condamné à rester en prison 19 mois (aux dernières nouvelles) pour avoir simplement usé de sa liberté d’expression. Leur attachement à la liberté d’expression est donc à géométrie variable. Quels sont en effet les publicistes, les périodiques qui ont dénoncé cette incarcération d’Hervé Ryssen, sinon exclusivement des personnalités du mouvement national et nationaliste ? Ces directeurs de journaux dénoncent les pressions exercées sur la presse par certains Etats mais ils se gardent bien de citer l’entité sioniste et ses courroies de transmission comme le CRIF (dont le président, Francis Kalifat, a été reçu deux fois en un mois par le ministre de la Justice !) et la LICRA qui exercent un chantage permanent à l’antisémitisme dès qu’on critique les crimes de cet Etat voyou ou que l’on dénonce les menées liberticides d’un certain lobby judéo-sioniste.

     

    Ces signataires affirment solennellement le droit de blasphémer, c’est-à-dire de s’en prendre de manière ignominieuse, obscène, au Christ, à la Sainte Vierge et aux saints, par des dessins et des textes ignobles, et souvent de nature scatologique, mais on n’a pas le droit de s’intéresser de près à la boîte noire de l’Holocauste, pour reprendre la savoureuse expression de l’ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad !

    On peut attaquer fortement le christianisme, et même l’Islam, comme en témoigne la republication des caricatures de Mahomet dans Charlie Hebdo, mais on ne peut pas se livrer à une étude critique du judaïsme tant politique que religieux, ce à quoi s’est employé dans ses ouvrages Hervé Ryssen. 

    Les signataires osent écrire également : « C’est tout l’édifice juridique élaboré pendant plus de deux siècles pour protéger votre liberté d’expression qui est attaqué, comme jamais depuis soixante-quinze ans. Et cette fois par des idéologies totalitaires nouvelles, prétendant parfois s’inspirer de textes religieux. » Ces journalistes et éditorialistes ont plusieurs trains de retard. Voilà près d’un demi-siècle désormais que la loi sur la presse de 1881 a été détricotée, vidée de sa substance, du fait de la succession de législations d’exception, dites antiracistes ou mémorielles : la loi Pleven en 1972, la loi Gayssot en 1990, la loi Lellouche en 2003, la loi Perben en 2004, et du fait de la création d’organismes étatiques s’attaquant directement à la liberté d’expression, de recherche, de publication : la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (HALDE), la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH). Du fait aussi du pouvoir exorbitant donné à des associations comme la LICRA, Sos-Racisme, Avocats sans frontières de Goldnadel (qui dans Valeurs actuelles feint de dénoncer l’incarcération de Ryssen alors que son association a été partie civile contre lui !, contre Soral et contre Bourbon dans maints procès, quelle chutzpah !), le BNVCA (Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme) et désormais l’OJE (Organisation juive européenne) qui peuvent se constituer parties civiles devant le tribunaux, pourchasser des personnes et périodiques dont les idées et les analyses les dérangent, et leur réclamer des dommages et intérêts exorbitants. Ajoutons que la loi Avia qui a été retoquée par le Conseil constitutionnel pourrait être imposée au niveau de l’Union européenne. La Commission de Bruxelles y travaille à la demande du gouvernement français.

     

    Sur Radio J, une avocate de l’OJE, Me Olivia Chafir, le 23 septembre, se félicitait ouvertement de l’incarcération de Ryssen et déclarait qu’elle souhaitait faire mettre en prison d’autres dissidents, Soral, Dieudonné et… le directeur de RIVAROL. Mais naturellement dans son cas ce n’est pas de la haine, ce n’est pas non plus une atteinte à la liberté d’expression. Voici quelques-unes de ses déclarations saisissantes : « L’incarcération de Hervé Ryssen est une grande victoire contre la haine mais le combat n’est pas terminé. Certains continuent de déverser leur haine antisémite, à l’image d’Alain Soral qui n’a encore pas fait un seul jour de prison, au même titre que Dieudonné. » ; « Alain Soral n’est pas encore passé par la case prison mais nous pouvons nous féliciter aujourd’hui que la porte de la prison ait été ouverte et nous travaillons à ce qu’elle ne se referme pas sur Ryssen mais qu’elle puisse accueillir Soral, Dieudonné et autres… (dont Bourbon cité nommément) » ; « Les peines fermes sont déjà prononcées contre Soral, reste maintenant à les faire exécuter. » ; « Il faut savoir que l’Organisation juive européenne aujourd’hui, nous sommes une cinquantaine d’avocats et nous nous subdivisons en sous-groupes et nous nous spécialisons sur les personnalités de la fachosphère (quel honneur nous est fait là !) » Et Me Chafir de déclarer avec gourmandise que le procureur a demandé 16 mois de prison avec sursis et 20 000 euros sous forme de jours-amende au directeur de RIVAROL mais qu’une surprise n’était pas à exclure, c’est-à-dire une peine de prison ferme ! 

    Pour elle, il est nécessaire que ces personnalités jugées antisémites soient mises hors d’état de nuire car elles sont moralement responsables de l’attentat de l’Hyper Cacher ! Ni plus ni moins : « Ces acteurs de la fachosphère ne sont que les maillons d’une même chaine, la chaîne de la haine du juif qui fédère des gens de tous bords, et les gens qui sont poursuivis pour des actes criminels et terroristes, ceux qui sont jugés aujourd’hui dans l’affaire de l’Hypercasher et de Charlie Hebdo, ces gens font tous partie de la même chaîne. »

    Et voilà la boucle est bouclée. Toute critique de l’entité sioniste ou du lobby juif vous assimile au terrorisme, à la violence et au crime de masse. Nous sommes considérés en France comme des Palestiniens. Face à cette tyrannie communautaire, la grande presse en France ne trouve rien à redire. Elle est certes contrôlée par des milliardaires qui font partie de ces cénacles !

     

    Et pourtant tous les hommes épris de liberté et de justice devraient se scandaliser publiquement de l’incarcération d’Hervé Ryssen.

    Parce qu’elle est profondément inique en soi. Et aussi parce qu’elle appelle d’autres embastillements. Ce n’est pas une fin, c’est un début. Aujourd’hui ce sont ceux qui critiquent le lobby judéo-sioniste ou l’Eretz qui sont placés derrière les barreaux, demain ce sont ceux qui critiqueront l’immigration, qui défendront publiquement la famille traditionnelle et la morale naturelle contre les folies du lobby LGBT promues par l’Etat. On connaît l’adage latin : Hodie mihi cras tibi. Un processus révolutionnaire, subversif ne s’arrête jamais. Un régime de terreur réclame toujours plus d’échafauds, de sang et de victimes. C’est un monstre qui a toujours soif, qui est insatiable. La seule façon de mettre fin à cette logique infernale qui broie les consciences, emprisonne les individus, détruit les familles, subvertit les nations, assassine les âmes, démantèle ce qui reste de civilisation et de morale véritable est de résister vaillamment, de refuser hardiment les mots d’ordre du Lobby, de rejeter ses prétentions mortifères, et de défendre tous ceux qui sont injustement persécutés, ignominieusement traités, scandaleusement reclus. Quels qu’ils soient. D’où qu’ils viennent. Et quoi qu’il en coûte. Car la muselière mentale est bien pire encore que le bâillon physique.