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licra - Page 4

  • Projet de loi sur l’immigration : avec Macron, le grand remplacement et la mascarade continuent !

     

    Avec Macron, LA COMÉDIE recommence. Ou plutôt elle continue.

    Chaque nouveau gouvernement, chaque nouvelle majorité élabore son projet de loi sur l’immigration sans que rien jamais ne change mais plutôt n'empire !.

    Voilà plusieurs décennies que ce cirque dure. Résultat : l’immigration ne cesse de gonfler dans notre pays, le Grand Remplacement avance et la comédie parlementaire continue.

    Dans cette mascarade chacun a un rôle bien défini et parfaitement rodé : le ministre de l’Intérieur se grime invariablement en homme de la fermeté, les associations d’aide aux migrants lui font grief de son inhumanité, les éléments les plus immigrationnistes de la majorité veulent adoucir, assouplir le texte qui pourtant ne comprend aucune mesure de nature à freiner, et encore moins à arrêter ou à inverser, le torrent migratoire qui s’abat sur notre pays depuis des décennies.

    D’un côté il y a un (faux) dur, de l’autre des hommes prétendument généreux.

    On notera que l’on pense toujours aux allogènes, à leur condition de vie, à leur santé, à leur bien-être mais l’on se garde bien de prendre en compte l’intérêt supérieur de la nation et des nationaux.

    C’est à cela aussi qu’on mesure la déliquescence de la chose publique et l’inversion choquante de l’ordre des priorités.

    Un gouvernement authentiquement national devrait d’abord avoir en vue l’intérêt national, le bien commun, et pas seulement à court terme mais à long terme, ce qui est quasiment impossible dans un système électif avec des scrutins quasiment tous les ans.

    L’explosion démographique du Tiers Monde conjuguée à la dépression démographique du Vieux Continent devrait conduire tout pouvoir digne de ce nom à l’arrêt total et immédiat de l’immigration, puis à une inversion graduelle des flux migratoires, ce qui passe, autant que faire se peut, par des systèmes d’aide au retour, par des accords avec les gouvernements des pays d’où viennent les migrants pour fixer sur place leur population, pour dynamiser l’économie de leurs régions. Or ce n’est manifestement pas le chemin qui est pris.

    Au contraire on continue à jouer devant le peuple une comédie pour masquer une politique volontaire d’abdication et d’élimination d’un peuple vieux de plusieurs millénaires et qui subit silencieusement, passivement un double génocide, celui de l’avortement de masse et celui des migrations de masse.

    ON CONNAÎT ce feuilleton depuis au moins une trentaine d’années, depuis l’époque où Pasqua et Pandraud jouaient au dur dans le premier gouvernement de cohabitation dirigé par Chirac. Moyennant quoi, à la faveur des manifestations estudiantines au cours desquelles mourut Malik Oussékine, le gouvernement dit de droite renonça à réformer le code de la nationalité qui devait reposer non plus sur le droit du sol mais sur celui de la filiation et abandonna toute volonté de lutter réellement contre l’immigration.

    Tous les ministres de l’Intérieur, de Pasqua à Collomb, en passant par Chevènement et Sarkozy (et l’on pourrait sans doute remonter plus loin encore) n’ont eu d’autre fonction que de jouer le rôle du policier méchant afin de faire accroire aux Français de souche que l’on s’occupait enfin d’eux et que l’on veillait à leurs intérêts alors qu’en réalité ils ont tous avalisé dans les faits la politique de submersion migratoire et de préférence étrangère.

    Si le Front national a été isolé et ostracisé pendant de longues décennies, c’est qu’il défendait la nation et s’opposait donc à la politique d’immigration massive et incontrôlée. C’est d’abord et historiquement ce qui lui a été reproché, par les partis politiques, comme par les organisations dites antiracistes et essentiellement juives comme la LICRA ou SOS-Racisme.

    Dans les scrutins locaux et nationaux la droite parlementaire, quand elle était éliminée du second tour, préférait appeler à voter pour un socialiste voire pour un communiste plutôt que pour leur adversaire du Front national. Ce qui était le signe évident qu’ils conduisaient tous la même politique anti-nationale.

     

    MAIS LE DRAME, c’est qu’à force de diabolisation, le Front national a lui-même abdiqué l’essentiel de son programme contre l’immigration, et notamment son volet le plus efficace. Les campagnes médiatiques ont eu raison de sa volonté de conduire une politique de réémigration.

    Qu’il est loin le temps où Jean-Marie Le Pen proposait le retour de trois millions d’immigrés dans leur pays d’origine au cours du septennat comme il s’y engageait sur les affiches de sa campagne présidentielle en 1995, qu’elle est loin l’époque où l’on pouvait voir dans les réunions du FN cette affiche avec un avion et ce slogan sans détour : « Quand nous arriverons, ils partiront ». Même si l’organisation a aujourd’hui beaucoup perdu de sa superbe, que plusieurs de ses dirigeants ont eu maille à partir avec la justice pour des affaires de corruption, que le nombre de ses adhérents a fondu, Sos-Racisme a gagné la bataille politique dans la mesure où il a réussi à tétaniser, à émasculer les différents mouvements de droite et à détruire en grande partie les défenses immunitaires des Français. 

     

    Par crainte de paraître racistes, les Français souvent s’expriment beaucoup moins librement que naguère sur ces questions.

    Et ce d’autant plus qu’il n’est plus rare dans les familles qu’un tel ou qu’une telle ait épousé une personne d’origine extra-européenne ou vive maritalement avec elle. Les pouvoirs publics savent ce qu’ils font : de même qu’ils savaient qu’en imposant la mixité entre les garçons et les filles à l’école dès la maternelle et jusqu’à l’université cela changerait les mœurs et les mentalités, de même en favorisant par tous les moyens des classes colorées et multiethniques dès le jardin d’enfants, ils ont réussi à susciter un sentiment d’accoutumance, de résignation, d’acceptation. Toute guerre passe en effet par une conquête des esprits et des âmes. Et il faut reconnaître que les ennemis de la nation ont bien joué. Créant une situation inédite et inouïe dans notre histoire : pour la première fois, d’ici quelques décennies, tout au plus, sauf improbable renversement de situation, notre territoire sera peuplé par une majorité de non-Blancs.

    Dans nombre de maternités, et notamment en région parisienne et dans beaucoup de grandes villes de province, les naissances sont très majoritairement étrangères. Et le phénomène ne peut que s’aggraver puisque notre pays est en état d’invasion libre et qu’aux migrants politiques et économiques on veut ajouter désormais les “réfugiés” climatiques, ce qui permettra d’ouvrir encore davantage les vannes.

     

    QUANT au texte actuel du gouvernement, déjà très faiblard et homéopathique (il n’est question que d’accélérer un peu les procédures d’examen des dossiers de demande d’asile et d’allonger le délai de rétention dans les centres administratifs, c’est comme si l’on voulait soigner le cancer avec une aspirine !), n’en doutons pas, il sera, selon une habitude désormais enracinée, totalement vidé de sa (très maigre) substance à la suite des avis du Conseil d’Etat et de la saisine du Conseil constitutionnel qui agissent comme des assemblées politiques, idéologiquement de gauche, gardiennes du Politiquement Correct.

    Thierry Tuot, l’un des deux rapporteurs du Conseil d’Etat appelés à se prononcer en assemblée générale sur la légalité du texte gouvernemental, l’a déjà violemment fustigé, au mépris du devoir de réserve. Cet ancien juge délégué de la reconduite aux frontières, auteur il y a cinq ans d’un rapport intitulé La Grande Nation : pour une société inclusive, est connu pour ses positions favorables à une immigration totalement libre.

     Dans Libération, qui avait à l’époque fait son portrait, il regrettait que « depuis vingt ans, l’immigration ne soit abordée que de façon grincheuse, nourrie par la peur ». Thierry Tuot a publiquement regretté qu’il ne soit pas possible au Conseil d’État de « refuser d’examiner le texte », ce qui aurait, selon lui, « constitué un geste politique fort ». Le rapporteur a également asséné une série de pseudo-vérités concernant les flux migratoires, supposées « démonter les fantasmes de l’opinion » sur le sujet. À l’en croire, depuis 2009, les migrations sont à l’échelle mondiale le fait d’une population très qualifiée, sans volonté d’installation définitive, avec un mouvement plus nord-sud que sud-nord. Une assertion que l’intéressé se garde bien (et pour cause !) d’étayer de chiffres. Voilà en tout cas de quoi est composé aujourd’hui le Conseil d’Etat. Il faut dire que la plus haute juridiction administrative est spécialiste des coups tordus. Elle avait déjà interdit le spectacle Le Mur de Dieudonné en 2014 et affirmé, dans l’arrêt Nicolo, en 1989 la supériorité du droit européen sur le droit national.

    Si les politiciens qui nous dirigent sont des traîtres à la patrie, que dire de beaucoup de magistrats gauchistes ?

    Décidément le poisson pourrit toujours par la tête ! ...

     

     

  • Le patronat, les juifs , l' UMPS et les parlementaires francs-maçons s’entendent contre le vote "front national" ...

     

     
     
    fm-parlementaire-MPI
     
    La franc-maçonnerie est bien entendu également mobilisée contre le vote" front national". Les forces occultes ne sont favorables au suffrage universel que s’il va dans leur sens.
    La Fraternelle parlementaire, regroupant députés et sénateurs francs-maçons de tous partis, appelle à l’Union nationale et à un Front Républicain pour faire barrage au Front national. 
    Christian Bataille, président de la Fraternelle parlementaire, député PS du Nord et membre du Grand Orient de France (GODF) a signé un communiqué au soir de ce dimanche 6 décembre.
    "Les élections régionales, partout en France, créent une situation grave pour la République et les valeurs humanistes que défend la Fraternelle parlementaire. Plusieurs régions sont menacées d’être présidées par l’extrême droite la semaine prochaine. Il faut impérativement barrer la route au Front National qui porte en lui l’intolérance et la guerre sociale. Face au parti de la haine, le camp de la République doit être solidaire. Personne ne peut avoir la prétention de l’emporter seul. Partout, tous les républicains et démocrates doivent se rassembler sous toutes les formes possibles pour garantir les valeurs de la République Française de Liberté, d’Egalité, de Fraternité et de Laïcité"  ! ...
    Rappelons que Xavier Bertrand, tête de liste Les Républicains en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, est lui-aussi membre du Grand Orient de France !

    CRIF, Congrès Juif Mondial, LICRA, Grand Rabbin de France, Fondation de la Shoah,… Toutes les organisations communautaires juives sont sur le pont pour tenter de s’opposer au vote des Français...

     

     

     

     

     

     

     

     

     
     
     
  • Parents, ne laissez pas vos enfants subir les mensonges, les manipulations et les turpitudes de la Licra .

    livre-licra
     
    On est passé du "Racisme expliqué à ma fille" de T. Benjelloun à un livre de la Licra vendu 10€, payé par vos impôts car il va bien entendu inonder les CDI et biblios de toute la France.
     
    Le boulot a été confié à Antoine Spire, vice-président de la Licra et à Mano Siri, présidente de la Commission Culture de la Licra.
     
    La liste des contributeurs finit d’assurer l’orientation : Aït-Mohamed Salima, militante de la Licra, Daniel Farhi, ancien rabbin, Aurélie Filipetti, ministre de la Culture, Vincent Peillon, ancien ministre de l’Education Nationale, Elisabeth Ronzier, vice-présidente de SOS Homophobies, Louis-Georges Tin, président du CRAN,…
     
    Le" pdf" est offert gracieusement à tous les enseignants, qui seront chargés de répandre la bonne parole.
    Présentation : Depuis des années les militants de la Licra interviennent impunément dans les établissements scolaires de toute la France dans le cadre de l’éducation à la citoyenneté. À raison de 800 à 900 classes par an et plus de 20 000 élèves rencontrés chaque année, ils sont confrontés tous les jours aux approximations, aux déformations, voire aux manipulations.
     
    Les définitions sont l’œuvre d’une trentaine d’auteurs parmi lesquels Vincent Peillon et Aurélie Filipetti ministres de la République mais aussi certains de nos plus grands intellectuels : Henri Atlan ou Boris Cyrulnik, Mireille Delmas-Marty ou Jacqueline Costa-Lascoux. Ils ont tous tenu à forger ce petit outil conçu dans l’esprit de la réflexion d’Albert Camus : mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde. Ce livre a été conçu par un collectif de militants de la Licra sous la responsabilité d’Antoine Spire et Mano Siri avec la collaboration de Salima Aït-Mohamed. Qu’ils en soient tous remerciés. (sic!)
    On remarquera au passage que la bonne parole de la Licra transgresse totalement la thématique du racisme ou de l’antisémitisme; au fil des articles on notera une propagande éhontée par exemple pour la théorie du genre et “l’orientation sexuelle” considérées comme “allant de soi”…
     
    Article “homme / Femme” p 75:
    “Il n’y a pas de déterminisme génétique, parce qu’on est homme, à la violence, au goût pour le combat et à la domination, pas plus qu’il y en aurait un à la douceur et à la soumission parce qu’on est, physiquement parlant, femme. Cela ne relève pas de l’hérédité biologique. Le genre d’homme ou de femme que nous devenons est à la fois une forme de choix– nous nous construisons nous-mêmes de par ce que nous pensons, décidons, et faisons – et l’acceptation plus ou moins consciente d’un héritage et d’un déterminisme culturel. ’un héritage et d’un déterminisme culturel.” (sic!)
    Article “Homosexualité” p 77:
    L’homosexualité est une orientation sexuelle et consiste à être attiré sentimentalement et sexuellement par une personne du même sexe que soi. L’homosexualité concerne autant les hommes, gays, que les femmes, lesbiennes. Si l’orientation sexuelle d’une personne peut varier au cours de son existence, en fonction des évènements de la vie, elle n’est pas un choix. On ne choisit pas d’être homosexuel, de la même manière que l’on ne choisit pas d’être hétérosexuel. En revanche, en fonction d’un environnement plus ou moins tolérant, plus ou moins acceptant, une personne homosexuelle peut choisir de vivre son orientation sexuelle ou au contraire se forcer à la cacher ou même à la nier. (sic!)
    Article “sexualité” p 136
    La sexualité est mue par le désir que l’on éprouve pour l’autre, quel qu’il soit : elle peut supposer l’amour mais pas nécessairement. Elle n’a plus pour finalité immédiate la reproduction humaine même si elle peut y conduire quand l’acte sexuel a lieu entre un homme et une femme. En général la sexualité comble un manque et participe de l’équilibre et du bonheur de l’être humain. Evidemment des hommes et des femmes peuvent vivre sans activité sexuelle par contrainte ou par choix et certains tentent de sublimer leur désir dans d’autres activités symboliques ou physiques. Il n’y a pas de sexualité naturelle ni contre-nature. (sic!)
    Bien entendu, on peut aussi y trouver une attaque en règle du christianisme, notamment, et surtout de l’Eglise !
     
    Article “Bible” p. 28
    Les chrétiens ont eu longtemps l’habitude de parler du nouveau testament à propos des évangiles, de l’apocalypse et des épîtres de Paul. C’était laisser croire qu’une nouvelle alliance se serait substituée à l’ancienne (ce fut la théologie catholique pendant des siècles, abandonnée à Vatican II) alors que la Bible est un tout dont les lectures sont plurielles. (sic!) Encore une thématique douteuse qui “interprête” selon ses vœux les textes de Vatican II qui n’ont jamais remis en cause la Nouvelle Alliance!
    Les article du “prêtre” Lefort valent le détour !
     
    Article “Incroyants” p. 83
    Le phénomène de l’incroyance, né en Europe au XVIe siècle en même temps que le protestantisme, conteste le magistère de l’Église après le règne meurtrier des Borgia. Les abus de l’Église sont pour beaucoup dans la naissance es abus de l’Église sont pour beaucoup dans la naissance de l’incroyance. Comment adhérer à l’idée d’un Dieu bon et tout-puissant quand ceux qui le représentent sur terre sont des criminels comme les papes de la Renaissance ? (sic!)
    Article “chrétiens et christianisme” p. 29
    (Cet article se présente sous la forme de la vision uniquement talmudique de l’existence de Jésus. On se demande d’ailleurs bien la raison d’un article portant uniquement sur l’existence de Jésus dans cette thématique vouée à l’antiracisme! )
     
    Ce qu’on y lit, proprement scandaleux, reprend mot à mot la thématique éculée du talmud soulignant bien sûr, contrairement à ce qui est spécifié dans les Evangiles (notamment la Passion selon St Matthieu, à savoir que Jésus a été arrêté par les milices des prêtres et traduit devant le tribunal juif… et que les Romains s’en sont lavé les mains laissant les juifs régler leurs problèmes juridico-théologiques entre eux) que ce sont les Romains qui ont arrêté et fait exécuter Jésus… Argumentation fallacieuse qui contredit en outre formellement les fameux versets censurés du talmud où “ils” se flattent d’avoir “pendu Jésus” le veille de la Pâques, notamment les fameux Sanhédrin 43 a et 67 a!
    "Il y a deux mille ans, un juif, nommé Yeshua beni Youssef beni Myriam que nous appelons aujourd’hui Jésus, a parcouru le royaume de Judée et les villes étrangères du nord en prêchant l’amour, la paix et la fraternité, et en critiquant la loi juive. Originaire de Nazareth, il a principalement vécu sa vie publique au bord du lac de Tibériade se glissant dans la peau d’un prophète juif. Les foules l’admiraient en raison des miracles et des guérisons qu’on lui attribuait. Mais le fait qu’il remette en cause certains aspects de la pratique rituelle, et qu’il parle au nom de Dieu comme s’il était Dieu, lui ont valu une forte inimitié de la part des autorités religieuses. Cela explique pourquoi il a été mis à mort à Jérusalem lors de la Pâques juive par les occupants romains qui le considéraient comme un dangereux agitateur. La surprise, c’est que quelques jours après ses amis, que l’on appelle aussi ses disciples, ont tout abandonné pour parcourir le monde en proclamant, au risque d’être eux-mêmes exécutés: « Nous l’avons vu, il est vivant ! » "
    Ce qui est aussi honteux que “subtil”, c’est que pour donner plus de “force” à leurs arguments (qui serviront à “évangéliser” plus de 20000 élèves formatés à la catéchèse feuj) tous les articles “religieux” sont signés du nom d’un prêtre (?) catholique – fort oublié aujourd’hui heureusement – pédophile notoire qui sort de 8 ans de prison pour – lors de ses missions dites humanitaires, il est aussi médecin – avoir “osculter” des petits sénégalais très au delà de la pratique diagnostique habituelle… http://www.jeuneafrique.com/Article/LIN19065lhommsemmoh0/ http://www.la-croix.com/Actualite/France/Huit-ans-de-prison-pour-le-P.-Lefort-_NG_-2005-06-27-589349
     
    Article “Croyants” p. 38
    Le croyant est celui qui dit : « je crois. » Aucune religion religion ne devrait dire : « Je suis sûr ! » Le doute est nécessaire à toute foi adulte. Tout le monde, même les agnostiques, même les athées croit en quelque chose qui ne peut pas être vérifié par la science ou les faits. Si le croyant peut dire : « Je crois », c’est parce que des personnes auxquelles il fait confiance lui ont parlé de révélations divines, invérifiables certes, mais qui correspondent profondément avec ce qu’il vit, avec ce qu’il éprouve lui-même « Dieu, personne ne l’a jamais vu », nous dit la Bible. Même Moïse ne voit passer qu’un nuage de lumière qu’il assimile à la gloire de Dieu. Mais ce que le croyant croit voir, ce sont les traces de Dieu : La Nature, la Beauté, l’Esthétique, la Justice et l’Amour. Si plusieurs croyants professent les mêmes affirmations alors se forme une religion, mais la religion n’est pas la foi, car la foi est personnelle et différente pour chaque individu. Celui qui par opportunisme s’attache à une religion sans avoir une foi personnelle est dans l’imposture. Avant l’avènement du christianisme il y avait des centaines, voire des milliers de religions et c’était le signe d’une appartenance à un groupe, à un peuple, à une nation. Aujourd’hui, il n’y a plus que deux religions : celle de ceux qui cherchent et celle de ceux qui croient savoir ; ces derniers sont dangereux, car, souvent, ils veulent imposer leur croyance.
    Quelle profession de foi pour un prêtre!!! Curieusement, ni suspendu, ni réduit à l’état laïc, Le “père” François Lefort sévit encore comme curé de la paroisse de Saint-Pal-en-Chalencon (Haute Loire) où il s’emploie à une illusoire demande en réhabilitation! C’est un manipulateur et un illusionniste, selon Laurent Bécaria, directeur des Editions des Arènes, qui n’a pas hésité à écrire: « Le mensonge est au père Lefort, ce que l’essence est à la voiture ». On peut s’étonner que cet individu au passé aussi lourd puisse être considéré comme un modèle et un théologien de premier ordre… Mais il est vrai que certains versets jamais contestés par les talmudistes sont pour le moins “équivoques” concernant la pédophilie… Ceci peut expliquer cela…