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sos racisme

  • Mademoiselle Cassandre Fristot va devoir payer 9.400 euros aux parties civiles !

     

     

    Il aura fallu attendre le vendredi 22 octobre après-midi pour que Maître François Wagner, l’un des deux avocats de Cassandre Fristot (l’autre étant Maître Paul Yon), obtienne enfin copie de la décision du Tribunal judiciaire de Metz rendue le mercredi 20 octobre et commentée le jour-même dans les médias du système pour annoncer la condamnation de Cassandre à six mois de prison avec sursis.

    Or, ce que BFMTV et consorts se sont bien gardés de signaler, ce sont les montants accordés aux parties civiles à titre de dommages-intérêts ainsi que pour leurs frais d’avocats au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale.

    Il ressort donc de la décision du tribunal que Mademoiselle Cassandre Fristot, pour une simple pancarte brandie cet été dans une manifestation contre le passe sanitaire, est

    . condamnée à six mois d’emprisonnement avec sursis pour provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion par parole, écrit, image ou moyen de communication au public;

    . condamnée à verser au Conseil Représentatif des institutions juives de France (CRIF) ayant pour représentant légal Francis Kalifat la somme de 1 euro de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à l’Organisation Juive Européenne (OJE) ayant pour représentante légale Muriel Ouaknine Melki la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à la Ligue des Droits de l’Homme ayant pour représentant légal Malik Salemkour la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à la Maison des Potes et de l’Egalité ayant pour représentant légal Samuel Thomas la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 600 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à l’association B’NAI B’RITH FRANCE ayant pour représentant légal Philippe Meyer la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 400 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à l’association SOS Racisme ayant pour représentant légal Dominique Sopo la somme de 1 euro de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser au MRAP la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser à la LICRA la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1.000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale;

    . condamnée à verser au bureau national de vigilance contre l’antisémitisme la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 600 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale.

    Au total, c’est donc la somme d’environ 9.400 euros que Cassandre Fristot va devoir payer aux parties civiles alors qu’elle risque probablement d’être également révoquée de son emploi d’enseignante.

    Les déclarations de partie civile de l’Observatoire des juifs de France, du Cercle National Juif France Israël, du Consistoire Israélite de la Moselle et du conseil national de l’ordre des médecins ont été jugés irrecevables.

    Faut-il rappeler que l’essentiel de ces treize parties civiles bénéficient déjà de plantureux financements de l’argent public c’est-à-dire de l’argent des contribuables ?

    Amis et sympathisants vous pouvez écrire un mot de soutien et adresser un don à Cassandre Fristot pour pouvoir payer ses avocats (mais pas les montants qu’elle est condamnée à verser aux parties civiles) :

    Cassandre Fristot, 39 F rue Georges Bizet, 57800 Freyming-Merlebach

     

     

  • En France, les nationalistes n' ont pas le droit de s' exprimer et sont emprisonnés par la pseudo justice aux ordres du lobby juif .

    Cynisme de la grande presse : la liberté d’expression, oui, mais à géométrie variable !

     

    Difficile d’aller plus loin dans le cynisme et la tartuferie. Alors qu’Hervé Ryssen était incarcéré depuis près d’une semaine à la prison de Fleury-Mérogis pour délit d’opinion, plus d’une centaine de journaux, de revues et de magazines, dont les principaux quotidiens (Le Monde, Libération, Le Figaro, Le Parisien, L’Equipe, L’Humanité — sic ! —) et hebdomadaires signaient un texte commun s’inquiétant des menaces extrêmement graves pesant sur la liberté d’expression. A l’initiative de Riss, directeur de la publication de Charlie Hebdo, la quasi-totalité des directeurs de journaux et de périodiques se sont d’abord réunis pour débattre de ces menaces puis ces publications ont signé et publié une « lettre ouverte à nos concitoyens ».

    Aucun de ces journaux qui proclament pourtant de manière grandiloquente leur « amour de la liberté » n’a cité, même de manière allusive, le cas d’Hervé Ryssen condamné à rester en prison 19 mois (aux dernières nouvelles) pour avoir simplement usé de sa liberté d’expression. Leur attachement à la liberté d’expression est donc à géométrie variable. Quels sont en effet les publicistes, les périodiques qui ont dénoncé cette incarcération d’Hervé Ryssen, sinon exclusivement des personnalités du mouvement national et nationaliste ? Ces directeurs de journaux dénoncent les pressions exercées sur la presse par certains Etats mais ils se gardent bien de citer l’entité sioniste et ses courroies de transmission comme le CRIF (dont le président, Francis Kalifat, a été reçu deux fois en un mois par le ministre de la Justice !) et la LICRA qui exercent un chantage permanent à l’antisémitisme dès qu’on critique les crimes de cet Etat voyou ou que l’on dénonce les menées liberticides d’un certain lobby judéo-sioniste.

     

    Ces signataires affirment solennellement le droit de blasphémer, c’est-à-dire de s’en prendre de manière ignominieuse, obscène, au Christ, à la Sainte Vierge et aux saints, par des dessins et des textes ignobles, et souvent de nature scatologique, mais on n’a pas le droit de s’intéresser de près à la boîte noire de l’Holocauste, pour reprendre la savoureuse expression de l’ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad !

    On peut attaquer fortement le christianisme, et même l’Islam, comme en témoigne la republication des caricatures de Mahomet dans Charlie Hebdo, mais on ne peut pas se livrer à une étude critique du judaïsme tant politique que religieux, ce à quoi s’est employé dans ses ouvrages Hervé Ryssen. 

    Les signataires osent écrire également : « C’est tout l’édifice juridique élaboré pendant plus de deux siècles pour protéger votre liberté d’expression qui est attaqué, comme jamais depuis soixante-quinze ans. Et cette fois par des idéologies totalitaires nouvelles, prétendant parfois s’inspirer de textes religieux. » Ces journalistes et éditorialistes ont plusieurs trains de retard. Voilà près d’un demi-siècle désormais que la loi sur la presse de 1881 a été détricotée, vidée de sa substance, du fait de la succession de législations d’exception, dites antiracistes ou mémorielles : la loi Pleven en 1972, la loi Gayssot en 1990, la loi Lellouche en 2003, la loi Perben en 2004, et du fait de la création d’organismes étatiques s’attaquant directement à la liberté d’expression, de recherche, de publication : la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (HALDE), la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH). Du fait aussi du pouvoir exorbitant donné à des associations comme la LICRA, Sos-Racisme, Avocats sans frontières de Goldnadel (qui dans Valeurs actuelles feint de dénoncer l’incarcération de Ryssen alors que son association a été partie civile contre lui !, contre Soral et contre Bourbon dans maints procès, quelle chutzpah !), le BNVCA (Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme) et désormais l’OJE (Organisation juive européenne) qui peuvent se constituer parties civiles devant le tribunaux, pourchasser des personnes et périodiques dont les idées et les analyses les dérangent, et leur réclamer des dommages et intérêts exorbitants. Ajoutons que la loi Avia qui a été retoquée par le Conseil constitutionnel pourrait être imposée au niveau de l’Union européenne. La Commission de Bruxelles y travaille à la demande du gouvernement français.

     

    Sur Radio J, une avocate de l’OJE, Me Olivia Chafir, le 23 septembre, se félicitait ouvertement de l’incarcération de Ryssen et déclarait qu’elle souhaitait faire mettre en prison d’autres dissidents, Soral, Dieudonné et… le directeur de RIVAROL. Mais naturellement dans son cas ce n’est pas de la haine, ce n’est pas non plus une atteinte à la liberté d’expression. Voici quelques-unes de ses déclarations saisissantes : « L’incarcération de Hervé Ryssen est une grande victoire contre la haine mais le combat n’est pas terminé. Certains continuent de déverser leur haine antisémite, à l’image d’Alain Soral qui n’a encore pas fait un seul jour de prison, au même titre que Dieudonné. » ; « Alain Soral n’est pas encore passé par la case prison mais nous pouvons nous féliciter aujourd’hui que la porte de la prison ait été ouverte et nous travaillons à ce qu’elle ne se referme pas sur Ryssen mais qu’elle puisse accueillir Soral, Dieudonné et autres… (dont Bourbon cité nommément) » ; « Les peines fermes sont déjà prononcées contre Soral, reste maintenant à les faire exécuter. » ; « Il faut savoir que l’Organisation juive européenne aujourd’hui, nous sommes une cinquantaine d’avocats et nous nous subdivisons en sous-groupes et nous nous spécialisons sur les personnalités de la fachosphère (quel honneur nous est fait là !) » Et Me Chafir de déclarer avec gourmandise que le procureur a demandé 16 mois de prison avec sursis et 20 000 euros sous forme de jours-amende au directeur de RIVAROL mais qu’une surprise n’était pas à exclure, c’est-à-dire une peine de prison ferme ! 

    Pour elle, il est nécessaire que ces personnalités jugées antisémites soient mises hors d’état de nuire car elles sont moralement responsables de l’attentat de l’Hyper Cacher ! Ni plus ni moins : « Ces acteurs de la fachosphère ne sont que les maillons d’une même chaine, la chaîne de la haine du juif qui fédère des gens de tous bords, et les gens qui sont poursuivis pour des actes criminels et terroristes, ceux qui sont jugés aujourd’hui dans l’affaire de l’Hypercasher et de Charlie Hebdo, ces gens font tous partie de la même chaîne. »

    Et voilà la boucle est bouclée. Toute critique de l’entité sioniste ou du lobby juif vous assimile au terrorisme, à la violence et au crime de masse. Nous sommes considérés en France comme des Palestiniens. Face à cette tyrannie communautaire, la grande presse en France ne trouve rien à redire. Elle est certes contrôlée par des milliardaires qui font partie de ces cénacles !

     

    Et pourtant tous les hommes épris de liberté et de justice devraient se scandaliser publiquement de l’incarcération d’Hervé Ryssen.

    Parce qu’elle est profondément inique en soi. Et aussi parce qu’elle appelle d’autres embastillements. Ce n’est pas une fin, c’est un début. Aujourd’hui ce sont ceux qui critiquent le lobby judéo-sioniste ou l’Eretz qui sont placés derrière les barreaux, demain ce sont ceux qui critiqueront l’immigration, qui défendront publiquement la famille traditionnelle et la morale naturelle contre les folies du lobby LGBT promues par l’Etat. On connaît l’adage latin : Hodie mihi cras tibi. Un processus révolutionnaire, subversif ne s’arrête jamais. Un régime de terreur réclame toujours plus d’échafauds, de sang et de victimes. C’est un monstre qui a toujours soif, qui est insatiable. La seule façon de mettre fin à cette logique infernale qui broie les consciences, emprisonne les individus, détruit les familles, subvertit les nations, assassine les âmes, démantèle ce qui reste de civilisation et de morale véritable est de résister vaillamment, de refuser hardiment les mots d’ordre du Lobby, de rejeter ses prétentions mortifères, et de défendre tous ceux qui sont injustement persécutés, ignominieusement traités, scandaleusement reclus. Quels qu’ils soient. D’où qu’ils viennent. Et quoi qu’il en coûte. Car la muselière mentale est bien pire encore que le bâillon physique.

  • Le Parti socialiste et SOS-Racisme pratiquent en toute impunité la terreur révolutionnaire .

    Le Parti socialiste et SOS-Racisme déchaînés contre RIVAROL !

     

    Alors que la France connaît une dette record (plus de 2100 milliards d’euros), que le chômage atteint des sommets inégalés, que la submersion migratoire de notre pays s’intensifie chaque jour tandis que se précise la ruine économique et sociale, que s’accélère l’effondrement moral et spirituel, que rien ou presque ne tient debout, que la majorité au pouvoir se divise, que Mélenchon vient d’annoncer officiellement sa candidature à la présidentielle, ce qui est objectivement une mauvaise nouvelle pour les socialistes, que le remaniement ministériel auquel nous venons d’assister et qui a accouché d’une souris a été sévèrement jugé par la presse, que les deux chefs de l’exécutif plongent dans les sondages, qu’a de plus pressé le Parti socialiste ? Publier le 10 février un communiqué officiel contre le directeur de RIVAROL et appeler à une répression impitoyable contre lui. Sous le titre très pondéré « Le Parti socialiste condamne le déchaînement antisémite (sic !) de Jérôme Bourbon sur Twitter », la rue de Solferino explique qu’elle « condamne avec la plus grande fermeté le déchaînement antisémite lancé à l’encontre de Laurent Fabius, Alain Finkielkraut et Arnaud Klarsfeld sur le réseau social Twitter par Jérôme Bourbon, directeur de l’hebdomadaire RIVAROL. Si cet habitué des publications révisionnistes, antisémites et vichystes, admirateur du maréchal Pétain et de Jean-Marie Le Pen n’en est malheureusement pas à son coup d’essai et a déjà fait l’objet d’une condamnation en 2014 pour provocation à la haine des juifs, le Parti socialiste refuse de laisser ces propos qui insultent la République et ses valeurs se banaliser. Les réseaux sociaux, au même titre que tout autre support d’expression, ajoute le PS en grand donneur de leçons, n’autorisent ni l’expression raciste, ni l’expression antisémite, pas plus que les incitations à la haine. Et ses utilisateurs ne doivent pas s’y sentir à l’abri des règles républicaines. C’est pourquoi le Parti socialiste a d’ores et déjà signalé le compte de Jérôme Bourbon au réseau social Twitter afin qu’il soit fermé et appelle tous les internautes à en faire de même. Nous nous réservons également la possibilité de saisir la justice à son encontre pour incitation à la haine raciale. »

     

    Qu’avait donc écrit de si abominable votre serviteur sur son compte Twitter qui compte quelque 3 000 abonnés ? Voici les deux objets du “délit” : « Fabius président du Conseil constitutionnel. Après Badinter et Debré le petit-fils de rabbin. Le Palais-Royal est un territoire occupé. » et « Finkielkraut à l’Académie, Fabius au Conseil constitutionnel, A. Klarsfeld au Conseil d’Etat. On l’a compris, on n’est plus au temps de Pétain. » On peut en effet être frappé que ce soit quasiment à chaque fois un membre influent de la communauté juive qui hérite de la fonction prestigieuse et capitale de présider le Conseil constitutionnel. Lorsqu’il est par exemple question de trancher le problème de la constitutionnalité de la loi Gayssot, il n’est pas anodin de savoir si le président de cette institution est ou non un ardent sioniste. Or Laurent Fabius dont la première épouse s’était vantée qu’on laissât toute liberté aux milices sionistes les plus extrémistes quand l’homme du sang contaminé était locataire de Matignon, est connu pour son sionisme exacerbé. Sa politique comme ministre des Affaires étrangères fut constamment anti-iranienne (il fit tout pour faire torpiller l’accord sur le nucléaire entre Téhéran et Washington), anti-syrienne (ses déclarations intempestives contre Bachar El-Assad sont légion et il fit armer les opposants au président syrien) conformément aux desiderata de l’entité sioniste dont il est un sectateur inconditionnel (il a ainsi toujours fermement condamné le boycott à l’égard des produits israéliens émanant des territoires occupés). Il n’est donc pas neutre de promouvoir une personnalité si marquée à la tête d’une institution à la fonction si essentielle (censurer ou non les lois du Parlement en vérifiant leur conformité à la Constitution) et dont les décisions sont souveraines, non susceptibles d’appel. Quant à Arno Klarsfeld nommé par Sarkozy au Conseil d’Etat, on se demande quelles sont les compétences qu’il a manifestées, hormis peut-être sa dextérité à se déplacer en rollers, pour hériter d’une telle fonction, elle aussi fondamentale, les décisions du Conseil d’Etat étant aussi souveraines que celles du Conseil constitutionnel. Quant à Alain Finkielkraut qui est tout sauf un philosophe, on voit mal là encore ce qui justifie son élection à l’Académie française si ce n’est son ardent sionisme qui le conduit à systématiquement justifier toutes les opérations menées par l’Entité contre les Palestiniens et à voir partout de l’antisémitisme.

     

    On sait que depuis sa naissance en 1984 SOS-Racisme entretient des liens plus que privilégiés avec le PS. Ses présidents successifs, d’Harlem Désir à Malek Boutih, sont tous devenus des dirigeants du parti à la rose. Il n’est donc pas étonnant que deux jours plus tard, le 12 février, cette association se soit elle aussi vantée de faire de la délation à propos des écrits du directeur de RIVAROL. « SOS-Racisme signale les tweets de Jérôme Bourbon au procureur de la République et à Twitter, pour incitation publique à la haine raciale » écrit l’association dite antiraciste qui ajoute avec grandiloquence : « Jérôme Bourbon n’en est pas à son coup d’essai. En tant que directeur de publication de RIVAROL, journal d’extrême-droite, Jérôme Bourbon a été récemment condamné pour son article “l’insupportable police juive de la pensée” à une amende de 4 000 euros, pour incitation publique à la haine raciale. Il récidive dans l’abject avec une nouvelle envolée antisémite publiée sur son compte Twitter. En effet, il publiait deux tweets sans équivoque possible, laissant transparaître une certaine nostalgie. L’avocat de SOS-Racisme, Patrick Klugman, a saisi le Parquet afin que des poursuites soient engagées à l’encontre de Jérôme Bourbon et l’association va également signaler les propos à Twitter afin que son compte soit supprimé. Dans une période où les propagateurs de haine se plaisent à distiller leur antisémitisme, où la libération de la parole raciste est une réalité ancrée, il est impérieux que ces discours de haine soient sévèrement condamnés, afin d’arrêter la diffusion de cette pensée venimeuse. L’extrême-droite n’a pas une relation intime avec la France mais une relation intime avec l’antisémitisme et le racisme. Nous ne poursuivons pas les propos de Jérôme Bourbon parce qu’ils nous sont simplement désagréables. Nous les poursuivons parce que nous savons ce à quoi les mots peuvent conduire, notamment lorsqu’on se replonge dans la période noire du pétainisme que Jérôme Bourbon voit à travers les lunettes de l’admirateur empli de nostalgie. » a communiqué Dominique Sopo, Président de SOS-Racisme.

     

    On le voit, ce sont ceux qui se réclament sans cesse de la liberté voire de la licence qui propagent en réalité le slogan de la Terreur révolutionnaire « pas de liberté pour les ennemis de la liberté », ceux qui défendent la révision des procès en histoire quand il s’agit de Dreyfus qui refusent tout examen critique du procès de Nuremberg, ceux qui dénoncent avec des trémolos dans la voix les lettres de dénonciations envoyées à la Kommandantur pendant la guerre qui sont aujourd’hui d’ardents et de zélés délateurs de leurs contradicteurs et qui seraient sans doute d’intraitables kapos de camps de rééducation idéologique. Nous n’avons pas l’intention de nous laisser intimider par ces menaces. Nous continuerons à écrire ce que nous pensons et à nous mettre au service de l’exactitude et de la vérité qui seules rendent libres. Et si un jour on nous jette en prison pour avoir seulement fait notre devoir, de grâce, que l’on ne nous envoie pas là-bas des oranges de Jaffa !