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Médecine - Page 12

  • Dans notre France barbare, il est interdit de nier l’holocauste des juifs et il est interdit parallèlement de parler d’holocauste pour les dizaines de millions d’enfants avortés chaque année !

    Avortement jusqu’à 14 semaines : toujours plus loin dans les sacrifices humains !

     

    Jusqu'où iront-ils dans le crime et la folie ?

    Après avoir voté en deuxième lecture le 29 juillet l’extension de la procréation médicalement assistée aux lesbiennes et en première lecture un amendement ouvrant la possibilité d’avorter jusqu’à neuf mois, dans les cadre des IMG (interruptions médicales de grossesse), en cas de « détresse psycho-sociale » de la mère, l’Assemblée nationale débat de l’allongement de la durée légale de l’IVG (interruption volontaire de grossesse) de 12 à 14 semaines.

    Fixé à dix semaines dans la loi Veil (1975), le délai pour avorter, c’est-à-dire pour tuer le fruit de ses entrailles, avait déjà été allongé de deux semaines par la loi Aubry en 2001. Vingt ans plus tard, il risque donc d’être à nouveau allongé.

    C’est logique : dès lors que l’on s’en prend frontalement à la vie, à la morale, au bon sens, à la nature et donc au Créateur, il n’y a aucune raison que l’on n’aille pas toujours plus loin dans l’horreur, dans l’abomination, dans l’assassinat industriel des innocents.

    On a agi de même s’agissant des droits accordés aux invertis dans une course folle vers l’abîme : en instituant le Pacs en 1999, puis le “mariage” homosexuel en 2013, puis la PMA pour les lesbiennes, et demain la GPA. Selon une gradation continuelle dans la folie et dans tout ce qui est contre-nature.

    Et pour être sûr que l’on ne détricote pas demain ce qui a été fait en faveur du lobby LGBT, les pouvoirs publics ont créé en 2004 un délit d’homophobie destiné à disqualifier moralement et à pourchasser judiciairement les défenseurs de la famille traditionnelle et de la morale naturelle. Et ils ont également institué un organisme gouvernemental, destiné à poursuivre en justice tous ceux suspectés de manquer d’enthousiasme à l’égard des “avancées” dites sociétales. Cet organisme s’appelle la DILCRAH : Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT

    Même le détestable Israël Nisand, président du Collège national des gynécologues et obstétriciens de France (CNGOF), et qui est pourtant un fanatique de l’avortement, semble comprendre — ou plutôt feint de comprendre — les réserves de beaucoup de ses confrères devant ce projet de nouvel allongement des délais pour avorter.

    Selon lui, en effet, l’IVG n’est pas du tout semblable à douze et quatorze semaines. « Concrètement, à douze semaines, un fœtus mesure 85 millimètres, de la tête aux fesses. À quatorze, il mesure 120 mm et a la tête ossifiée. Ce qui veut dire qu’il faut couper le fœtus en morceaux et écraser sa tête pour le sortir du ventre. On peut donc comprendre que ce soit assez difficile à réaliser pour beaucoup de professionnels », affirme le chef du service de gynécologie-obstétrique du CHU de Strasbourg dans une interview accordée au Monde.

    Ces propos, pourtant exprimés de manière détachée et qui se placent sur un plan purement technique, et nullement sur un plan moral, permettent de mieux comprendre le crime absolu, barbare et abject, la boucherie immonde que constitue tout avortement, et plus encore bien sûr tout avortement tardif : il faut écraser la tête du bébé, couper le fœtus en morceaux.

    Voilà ce que font des médecins qui sont censés défendre la vie, guérir des malades et qui ont tous prononcé le serment d’Hippocrate ! C’est à cela qu’on mesure à quel point notre société est pourrie jusqu’à l’os. C’est la complicité, active ou passive, du grand nombre qui autorise une aggravation continue de la situation dans tous les domaines.

     

    Comme toujours, ceux qui s’opposent à ce nouveau pas dans l’horreur et l’abjection sont lamentables dans leur argumentation et d’une écœurante lâcheté. Ils s’opposent pour des raisons techniques ou psychologiques mais se gardent bien de remettre en question le sacro-saint « droit à l’avortement ».

    Or, le problème principal n’est pas que l’on étende le délai des IVG (que ces acronymes qui dissimulent des réalités horribles sont laids et hypocrites !) mais que ce crime soit légalisé, promu, et pire encore remboursé à 100 %.

    Dans les manuels d’histoire ou dans des documentaires radiotélévisés, on évoque parfois les sacrifices humains qui se perpétraient dans d’anciennes civilisations, chez certains peuples, et non des moindres. Mais on ne s’interroge jamais pour savoir si notre société, qui se veut civilisée et aseptisée, autorise ou promeut légalement, à sa manière, des sacrifices humains.

    Et pourtant le massacre industriel des enfants à naître ( 300 000 par an en France, plus de dix millions depuis la loi Veil) n’est rien d’autre, si l’on se donne la peine d’y réfléchir, qu’un sacrifice humain à grande échelle. Légalisé, sacralisé, remboursé. 

    C’est si vrai que Macron a panthéonisé en 2018 Simone Veil, grande prêtresse de ce sacrifice. La présidente de la fondation pour la mémoire de la Shoah a ouvert la voie par sa loi à l’holocauste des enfants à naître.

    Il est interdit de nier l’holocauste des juifs et il est interdit parallèlement de parler d’holocauste pour les dizaines de millions d’enfants avortés chaque année dans le monde. Cette double interdiction devrait donner matière à réfléchir au degré d’imposture et de mensonge du monde dans lequel nous vivons.

    Les progrès de la science, et notamment de l’échographie, ne laissent aujourd’hui aucun doute sur le fait que le processus vital qui va donner naissance à un enfant commence dès la conception. Les différentes échographies réalisées pendant la grossesse permettent de mieux se rendre compte de la merveille de la vie, d’entendre le cœur du bébé qui bat, de voir sa tête, ses jambes, ses bras, ses petites mains, ses pieds, etc.

    C’est donc en toute connaissance de cause que les différents gouvernements, en lien avec la maçonnerie, légalisent et promeuvent des crimes de masse.

    On évoque sans cesse des meurtres de masse censément commis par des régimes politiques n’ayant plus cours aujourd’hui mais on s’interdit de considérer et de dénoncer les crimes de masse qui se commettent tous les jours sous nos yeux. Dans l’indifférence générale et un silence sépulcral. Pourtant, dans Passeport Santé, qui est distribué très officiellement aux femmes enceintes, on affirme bien qu’à 14 semaines le bébé est bien vivant et qu’il est déjà un petit homme : « En cette 14e semaine de grossesse, la taille du bébé est de 14 cm et son poids de 110 g. Sa croissance va désormais prendre un rythme très rapide. En une semaine seulement, il aura quasiment doublé son poids. Tous ses principaux organes sont en place et commencent à fonctionner, individuellement pour commencer, puis au fil des semaines, de façon coordonnée. Lorsque le fœtus a 14 semaines, son apparence se rapproche de plus en plus de celle d’un petit homme, tant au niveau de la position que des proportions des différentes parties de son anatomie. Sa tête est droite et ses jambes sont désormais plus longues que les bras. L’intestin commence à réintégrer l’abdomen. Son visage s’humanise avec de petites mimiques : il fronce les sourcils, tournent les yeux. L’ossification de son squelette se poursuit. Il alterne des périodes de veille et de sommeil. Et lorsqu’il est éveillé, il bouge de plus en plus, pliant les bras et les jambes, serrant les poings. Le cœur du fœtus est parfaitement formé, il se contracte et se dilate, envoyant le sang dans les veines qui parcourent son corps. Le fœtus commence à percevoir les bruits du corps de la maman : les battements du cœur, les gargouillis du ventre, les bruits de la respiration. La thyroïde sécrète l’hormone thyroïdienne, très importante pour sa croissance et son développement. » C’est dire toute l’hypocrisie de ceux qui nous dirigent : ils tuent en sachant parfaitement ce qu’ils font !

     

  • La France en 2019: toujours moins de naissances, mais record de naissances d’origine étrangère surtout musulmane !

     

    Les années se suivent et se ressemblent, malheureusement, du point de vue démographique. Une fois de plus, et pour la 9e année consécutive, le nombre de naissances vivantes a diminué en France métropolitaine pour atteindre son 3e plus bas niveau depuis 1945, à savoir 714 029 naissances vivantes. En 2010, date à laquelle a commencé cette baisse, il y en a eu 802 224.

    Pour la deuxième fois depuis la 1e guerre mondiale, le nombre de bébés nés en France métropolitaine ayant deux parents nés en France est tombé sous les 500 000. Après 493 912 en 2018, il n’y en a eu que 485 452 en 2019, soit 68% à peine de toutes les naissances.

    En comptant les naissances vivantes dans les 5 régions d’Outre-Mer (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte et Réunion), il n’y a eu que 507 928 naissances de bébés ayant deux parents nés en France, soit 67,4% seulement des 753 383 naissances enregistrées en tout. En l’an 2000, il y en avait 626 821 sur 807 405, soit 77,6%.

    L’indice de fécondité s’est établi à 1,84 en France métropolitaine en 2019 (comme en 2018) et à 1,87 en France métropolitaine et régions d’outre-mer.

    Il y a d’énormes variations départementales.  Mayotte a un indice conjoncturel de fécondité (4,68) supérieure à la moyenne estimée de l’Afrique (4,3 en 2019), la Guyane 3,63, la Réunion 2,39, la Seine Saint-Denis et le Val d’oise 2,27 (ces deux départements ont une importante population immigrée ou d’origine immigrée), 2,11 pour l’Essonne, 2,07 pour les Yvelines.

    Il y a heureusement des départements gardant une importante population catholique qui ont une fécondité au dessus de la moyenne française et renouvellent presque leur génération: par exemple le Vaucluse avec 2,07 enfants par femme, la Mayenne (2,03), dans une moindre mesure la Sarthe (1,96), le Maine-et-Loire (1,91), le Pas-de-Calais (1,90), la Manche (1,89), le Nord (1,87), le Morbihan (1,86), les Deux-Sèvres (1,85). La Corse-du-sud (1,44 enfant par femme) et la Haute-Corse (1,40) ont été les départements les moins féconds de France en 2019.

    Que fait le gouvernement pour relancer la fécondité? Rien.

    Au contraire, il aggrave encore l’accès à l’avortement pendant le confinement et ne s’oppose pas à une tentative d’un groupe d’extrême gauche du Parlement d’aggraver la “loi” Veil (déjà mauvaise en elle-même) une fois de plus en faisant passer le délai de 12 à 14 semaines de grossesse. Gravement immoral et suicidaire politiquement. Prions pour que cette aggravation soit rejetée par le Sénat puis par l’Assemblée nationale en 2e lecture.

     

    Gontran Paume

    Sources des données brutes:

    Tableau T37 ter: https://www.insee.fr/fr/statistiques/4647540?sommaire=4647557

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2012734

  • Peut-on parler des effets nocifs du masque sans être traité de complotiste ? ...

     

     

    Depuis que Karine Lacombe et les  quelques membres de "stop postillon" ont appelé au port du masque en tout lieu et pour tous et que l’obligation du port du masque fait tache d’huile en France, il est prudent, si on ne veut pas être traité de complotiste de sanctifier celui-ci.

    Mais s’agit-il d’une simple croyance, de propagande à visée politique ou de science reposant sur des faits établis ?

    La croyance dans l’efficacité du masque ne repose sur aucun élément scientifique

    En mars et avril 2020, au plus fort des contaminations et des malades réels, le gouvernement d’Édouard Philippe a expliqué successivement que les masques étaient inutiles pour la population générale, puis qu’ils ne pouvaient pas être efficaces, car les Français ne savaient pas les mettre ni les retirer correctement.  Des médecins parlaient de « légende urbaine », les mêmes qui aujourd’hui veulent greffer un cerveau aux collègues qui osent poser des questions et critiquer éventuellement ce port obligatoire, partout et à tout âge ou presque.

     

    Epidémie terminée, masque obligatoire ! LOGIQUE !

    Et maintenant que l’épidémie est terminée, que les malades ne meurent plus et sont devenus des « cas » positifs grâce à une technique qui repère les restes de virus morts non contaminants, le chef de l’état a appelé à en porter :

    « Mettez des masques, mettez des masques… même en extérieur, même quand on a une bonne distance, c’est plus prudent… même les jeunes qui ont souvent des formes légères, ou asymptomatiques qui considèrent que ce n’est pas grave et qu’ils peuvent prendre des risques. Simplement quand ils prennent ces risques, ils accélèrent la propagation du virus » !  Et son gouvernement proclame une obligation généralisée en prétendant qu’elle est efficace. Qui doit-on croire ? Le gouvernement de mars-avril ou celui d’août-septembre (d’autant que ce sont les mêmes personnages, en dehors de la resplendissante porte-parole) ?

    Et sur quels éléments scientifiques basent-ils leurs fluctuants crédos ?

    Interrogée par le Parisien, le Dr Clémentine Denis, médecin française basée à Tampere précise : « le masque, si utilisé correctement, permet d’éviter qu’un porteur du virus ne contamine les autres par pulvérisation dans l’air. Il ne protège pas nécessairement les personnes saines qui le porteraient et peut, de façon paradoxale, être plus à risque de contamination si mal utilisé ».

    Une très complète étude réalisée par F Pesty  qui fait la somme de toutes les articles publiés sur le sujet et en particulier des macroanalyses récentes conclue, comme C. Del Mar et P. Glasziou, co-auteurs de la dernière revue Cochrane 2020 sur le sujet : « l’urgence est à vérifier dans des essais cliniques rigoureux que les masques portés par des personnes supposées infectées, permettent réellement d’éviter la propagation de l’infection virale respiratoire. Seulement dans ce cas, le port du masque serait une bonne alternative ou un complément utile aux autres mesures, distanciation sociale, lavage des mains, confinement. »

    Cette conclusion rejoint celle d’Anders Tegnell, l’épidémiologiste qui a mis en place la stratégie suédoise « il n’est pas prouvé que la généralisation de son port dans la société ait un effet sur la propagation du virus. “J’ai hâte que [cette preuve] arrive”.  « Il est très dangereux de croire que le port du masque puisse changer l’évolution de l’épidémie COVID-19  »

     

    Revenons aux faits établis et publiés par l’OMS

    Il n’existe pas d’étude randomisée fiable sur l’utilité du port du masque généralisé à toute une population. Force est donc d’analyser les faits constatés et en particulier l’évolution récente des contaminations selon la politique sanitaire concernant le port du masque dans les différents pays telle qu’elle est publiée dans les bases de données de l’OMS.

    Lorsqu’on analyse les données récentes de l’OMS on constate que l’obligation policière du port du masque telle qu’elle est imposée en France, Espagne et Italie s’accompagne d’une recrudescence de contaminations alors qu’en Suède, Pays-Bas et Biélorussie pays sans obligation de masque, la situation s’est stabilisée.

    D’après les chiffres publiés par l’OMS, l’Espagne qui impose le masque plus sévèrement que la France est exposée à une multiplication encore plus forte des cas  avec une incidence hebdomadaire de 857/M (40087 nouveaux cas pour 46M d’habitants) contre 701/M en France (43686 pour 65M), et 157/M en Italie.

    Les pays qui n’imposent pas le port du masque, mais émettent de simples recommandations, font confiance à leur population et ne lui mentent pas, comptabilisent dans ces dernières semaines beaucoup moins de contaminations : 246 cas/M au Pays-Bas (4227 pour 17M), 79/M en Suède (802 pour 10M) et 120/M en Biélorussie. (1140 pour 9,5M).

     

    Les faits avérés mettent donc fortement en doute l’intérêt sanitaire de l’obligation généralisée des masques, faisant même craindre un effet pervers imprévu, le masque augmentant éventuellement les contaminations.

     Le masque inutile chez l’enfant est dangereux et peut même tuer.

    Le Professeur G. Desuter, laryngologue aux cliniques universitaires Saint-Luc (Bruxelles), a mis en garde contre les effets nocifs du port permanent du masque par les enseignants.

    “Produire une voix nous en coûte en termes d’énergie…Cela est d’autant plus vrai du professionnel de la voix qui se doit de projeter cette même voix durant de longues heures, souvent dans le bruit et se devant de capter l’attention d’un auditoire par l’intonation. L’effort est intense, et met à mal – en temps normal déjà – la physiologie vocale de l’enseignant, mais aussi de l’avocat, du journaliste, du tribun, du comédien du maraîcher, etc. Projeter la voix est un art, une profession en soi.”

    Porter la voix avec un masque devant la bouche tout au long d’une journée relève de l’hérésie physiologique.

     

    Une hérésie physiologique

    Outre une fatigue professionnelle d’installation quasi immédiate, il sera à haut risque de lésions traumatiques des cordes vocales. En effet, au déficit respiratoire répondra une tentative de compensation – bien illusoire – par un forçage laryngé créant hémorragies, polypes et nodules. Ces lésions rendent dysphonique et parfois même aphonique ».

     

    Recommandations OMS

     Un document baptisé “Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19” publié par l’Organisation Mondiale de la Santé précise : « dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé peut notamment présenter les désavantages suivants :

    Risque potentiellement accru d’auto-contamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées, auto-contamination possible si un masque non médical humide ou sale n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération de microorganismes ; mal de tête et/ou difficultés respiratoires possibles selon le type de masque utilisé ; lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque ; difficulté de communiquer clairement ; sensation possible d’inconfort ; fausse impression de sécurité pouvant conduire à un respect moins scrupuleux des mesures préventives qui ont fait leurs preuves comme la distanciation physique et l’hygiène des mains ; port du masque mal supporté, notamment par le jeune enfant ; problèmes liés à la gestion des déchets ; l’élimination sauvage des masques peut entraîner une augmentation du volume des déchets dans les lieux publics, présentant un risque de contamination des préposés au nettoyage des rues et des risques pour l’environnement ; difficultés de communiquer en cas de surdité et de dépendance de la lecture labiale ; désavantages et difficultés liés au port du masque éprouvés par les enfants, les personnes atteintes de troubles mentaux ou de déficiences développementales, les personnes âgées atteintes de déficiences cognitives, les asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques, les personnes ayant récemment subi un traumatisme facial ou une intervention chirurgicale orale ou maxillofaciale, ainsi que celles qui vivent dans un environnement chaud et humide.»

    C’est l’OMS  qui l’écrit et non pas le complotiste de base ….

     

    Les accidents ne sont pas exceptionnels

    Le 23 avril 2020, un conducteur du New Jersey s’est écrasé sur un poteau de téléphone après s’être évanoui et  avoir porté un masque N95 pendant des heures(. La police de Lincoln Park pense que le conducteur, a perdu connaissance au volant jeudi à cause d’un manque d’oxygène et d’une respiration excessive de dioxyde de carbone du fait au masque, a écrit le département sur Facebook. Le chauffeur a été emmené dans un hôpital local, pour des blessures ne mettant pas sa vie en danger.

    Chez les personnes fragiles (personnes âgées, insuffisants respiratoires, asthmatiques les risques sont accrus et c’est pourquoi ces conditions représentent des contre-indications reconnues au port du masque. Un drame récemment survenu en Allemagne vient de rappeler que refuser de tenir compte d’un certificat médical peut avoir des conséquences dramatiques.

    Une jeune allemande de 13 ans, asthmatique, a pris comme chaque jour le bus scolaire. Malheureusement, le conducteur a refusé de tenir compte de son certificat médical précisant que le port du masque était contre-indiqué chez elle et l’a obligé à en mettre un. En cours de transport, elle a présenté des signes d’asphyxie suivi d’un arrêt cardiaque. Le Samu arrivé en urgence n’a pas permis de la sauver. Imaginez l’état de la famille, des responsables du chauffeur mais aussi du chauffeur lui-même.

    Cela est d’autant plus triste que le port du masque n’a aucune justification médicale à cet âge, car l’enfant ne transmet pas le coronavirus, et que lorsqu’il est infecté (par un adulte proche), il ne souffre que de formes bénignes.

    Et après moins d’un mois de cette maltraitance des enfants et adolescents (adultes aussi, mais ils devraient être capables de se défendre), les consultations chez les généralistes se multiplient.

    Michel Dogna dans sa newsletter  résume les motifs de consultation : « des médecins généralistes qui donnent l’alerte sur le fait que 25% des pathologies actuellement rencontrées en cabinet sont les conséquences dues au port du masque.

    En voici une liste non exhaustive :

    •      Bronchites sévères

    •      Conjonctivites graves (cause expirations rejetées vers le haut)

    •      Furonculoses

    •      Grande fatigue

    •      Herpès labiaux

    •      Impétigo

    •      Staphylococcies sur les lèvres et les joues

    •      Streptocoques

    Sans compter les allergies cutanées dues au frottement du masque et les irritations aux oreilles dues aux élastiques ».

    N’en rajoutant pas en rappelant que malencontreusement il fait des 38 ° 40 ° dehors et dans les classes et que les profs terrorisés par leur direction, elle-même sous pression du recteur, et/ ou par le virus pourtant bien adouci, n’osent pas libérer les enfants. Espérons tout de même que le bon sens règne parfois  et que nous n’entendons parler que des délires multiples et variés et des accidents.

    Il poursuit : Les risques face au port continuel du masque annoncés par des médecins non soumis

    « Les bactéries qui se collent sur les masques se transforment en champignons.

    Il existe 3000 bactéries par centimètre carré sur une main.

    Porter un masque rend malade. En quelques semaines, vous allez faire de l’hyperventilation, vous allez tousser et avoir mal à la gorge, vous allez avoir d’énormes soucis de bronches car vous allez développer un champignon interne dû à la respiration de la moisissure, champignons des bactéries.

    Voici comment ils vont créer la deuxième vague Covid 19 promise ; ils prétendront que c’est une nouvelle épidémie respiratoire. Il est logique que si tout le monde porte un masque, une nouvelle vague va arriver ; or elle ne sera pas à cause d’un virus grippal, mais d’une infection bactériologique des bronches due à une respiration constante dans un cloaque de “cuvette de WC”. »

     

    Il faut aussi insister sur les conséquences nocives du masque  permanent sur le comportement. 

    Selon le psychologue Patrick Fagan “Les masques rendent stupides, et réduisent les barrières morales humanistes.

    “Les masques peuvent désormais être ajoutés à la liste des obligations qui vous rendent stupides. […] voici les faits qui expliquent pourquoi vous ne devriez absolument, catégoriquement, pas porter de masque. Ils vous rendent influençables ; ils vous rendent plus susceptible de suivre les directives de quelqu’un d’autre et de faire des choses que vous ne feriez pas autrement. En bref, ils vous privent de votre fonction exécutive – votre conscience. »

    Un seul exemple, mais il faut lire ce papier et y réfléchir : « Miller et Rowold (1979) ont présenté un bol de chocolats aux participants à Halloween et leur ont dit qu’ils n’avaient le droit d’en prendre que deux chacun. Lorsque les enfants pensaient qu’ils n’étaient pas surveillés, ils se servaient eux-mêmes. Les enfants sans masque ont enfreint la règle, en prenant plus de chocolats, 37% des enfants non masqués, contre 62% pour les enfants masqués. Les auteurs ont conclu que les masques “entraînent une diminution des inhibitions comportementales”. […] »

    « Castle (1986) a écrit que les mascarades du XVIIIe siècle permettaient aux porteurs de masques de libérer leurs pulsions hédonistes et sexuelles réprimées ; et Caillois (1962) a écrit de la même façon sur les carnavals masqués européens impliquant des activités libidinales, notamment “les indécences, les bousculades, les rires provocateurs, les seins à découvert, les imitations de bouffonnerie, une incitation permanente à l’émeute, les festins et les excès de paroles, de bruit et de mouvement”.

    Au XIIe siècle, le pape Innocent III a interdit les masques dans le cadre de sa lutte contre l’immoralité ; et en 1845, l’État de New York a rendu illégal le port de masques en public par plus de deux personnes, après que des agriculteurs aient porté des masques pour attaquer leurs propriétaires. »MORALITE, si vous vous voulez sauver vos chocolats, masquez vos enfants, mais si vous voulez des maris fidèles, ne les masquez pas. Trêve de plaisanterie, nous ne savons pas si nos médecins stop postillons ou autres sont conscients des conséquences neurophysiologiques, comme psychiatriques du port permanent du masque, mais nous les invitons à se plonger dans la  neuro-imagerie avant d’asséner leurs avis péremptoires de pseudo- savants sur les chaines TV et les radios .