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Médecine - Page 13

  • Remarquable intervention du député Emmanuelle Ménard contre le terrible projet de loi bio-éthique .

     

    Le député Emmanuelle Ménard, a déposé une motion de rejet du texte de loi bio-éthique qui passe en 2e lecture à l’Assemblée nationale ces jours-ci, en catimini, « sans que les Français puissent manifester ».

    Remarquable intervention qui dénonce ce texte qui « va donner vie à des enfants volontairement programmés sans père… sans père ! »

    « En réalité, ce qui se joue ici, insiste madame Ménard, c’est une rupture. Profonde. Anthropologique. »

    Et de conclure :

    « La motion de rejet que je défends pose cette question simple : est-ce juste ? Est-ce juste de priver, en l’espace d’un vote, des milliers d’enfants de leur père pour les générations à venir ?

    J’en appelle à votre conscience. J’en appelle à votre courage. Oubliez les stratégies partisanes. Pensez à la profondeur des bouleversements d’une telle loi et résistez ! Résistez aux idéologies d’une poignée et osez répondre à cette question en votre âme et conscience : qui suis-je pour infliger cela à un enfant ? 

    Finalement, cette loi bioéthique sera votre seul bilan. Et elle sera votre honte… »

     

     

     

    “Monsieur le Président,

    Monsieur le ministre,

    Madame la Présidente de la Commission spéciale,

    Monsieur le rapporteur,

    Chers collègues,

    Ce n’est donc pas un cauchemar. L’examen en deuxième lecture du projet de loi bioéthique démarre bien aujourd’hui, la dernière semaine de juillet très exactement, en plein cœur de l’été. C’est le tout nouveau Premier ministre lui-même, Jean Castex, qui a décidé, dès son entrée en fonction, d’allonger la session parlementaire dans cet objectif.

    Curieuse décision. D’autant que le Sénat, qui sera en période électorale à la rentrée, ne siègera pas en septembre… Il n’y avait donc aucune urgence du côté de l’Assemblée nationale à examiner ce texte dans un hémicycle plus que clairsemé, et même quasiment désert côté majorité en début de séance, quand les Français, ou du moins ceux qui le peuvent, sont davantage préoccupés par leurs vacances que par les discussions du Palais Bourbon.

    Curieuse décision encore lorsque le Premier ministre, toujours lui, prétend que sa première préoccupation est la crise, avec ses enjeux sanitaires et économiques. En phase pour cela avec les Français qui, selon une enquête Ifop publiée le 15 juin dernier, sont 71 % à considérer que ce projet de loi devrait être suspendu ou même retiré, afin que priorité soit donnée à la gestion des conséquences de la crise du Coronavirus. Mais il est tellement plus simple de céder sur la réforme des retraites quand on peut s’en prendre sans vergogne aux familles et aux plus petits d’entre nous : ces enfants, ces enfants que vous voulez priver de père !

    Scandaleuse décision quand on se penche sur les conditions d’examen du texte lui-même : c’est en effet, comme en première lecture, le temps législatif programmé qui a été choisi. Une procédure qui permet de limiter la durée des débats de façon drastique !

    Vous devez être bien peu sûrs de votre fait pour tenter, par tous les moyens, de brider, de contrôler, d’entraver les débats et de limiter la parole. 30 minutes, j’ai bien dit 30 minutes sont en effet « gracieusement » accordées à l’ensemble des députés non inscrits pour défendre leurs convictions en matière de bioéthique… 30 minutes, c’est-à-dire rien du tout… Moins de 8 secondes par amendement déposé en ce qui me concerne. Mais la majorité En Marche osera nous expliquer, une fois encore, qu’elle souhaite un « débat serein et apaisé »…

    Dans le fond, cette décision d’imposer au plus vite ce prétendu « engagement de campagne » n’est pas surprenante. Car finalement, Emmanuel Macron aura failli sur toutes ses promesses. Que pourra-t-il revendiquer dans 600 jours lorsque l’heure du bilan aura sonné ? Une économie en berne : la France fait partie du peloton de queue de l’Union européenne, avec un PIB qui devrait chuter de 10,6 % en 2020. Des crises sociales à répétition : gilets jaunes, réforme des retraites finalement pitoyablement repoussée après avoir mis notre pays à genoux, un personnel de santé exsangue, des forces de l’ordre au bord de l’explosion, etc.

    Mais, avec la loi bioéthique, Emmanuel Macron tient enfin l’occasion de satisfaire son camp. À quel prix ? Celui de l’avenir de nos enfants… Des enfants – je l’ai dit et je le redirai sans cesse – que vous vous apprêtez à faire naître sans père… Que l’un d’entre vous ose, oui ose nous dire qu’un enfant n’a pas besoin de père ! Qu’il ose.

    Mais c’est vrai que vous osez tout : le bébé médicament, l’embryon transgénique, les chimères animal-homme, l’absence du consentement du conjoint sur le don de gamètes, l’élargissement du diagnostic préimplantatoire aux maladies non héréditaires, la suppression de l’équipe pluridisciplinaire pour préparer les couples à la procréation médicalement assistée. Oui, vous osez tout !

    Et en plus, vous mentez ! Vous avez juré, main sur le cœur, que vous diriez non à la gestation pour autrui. C’est faux ! Votre nouveau texte lui ouvre la porte quand il prévoit une transcription quasi automatique à l’état civil de l’acte de naissance de l’enfant né de GPA désignant un parent d’intention. Comment empêcherez-vous, demain, au nom de votre sacro-sainte égalité, un couple d’hommes de pouvoir avoir des enfants en louant le ventre d’une femme quand vous autorisez aujourd’hui un couple de femmes à procréer ? Toutes vos dénégations n’y changeront rien.

    Vous exigez la parité, sauf pour la filiation ! Vous exigez l’égalité, sauf pour les enfants dont certains connaîtront leur père et d’autres, de votre faute, qui ne le connaîtront pas. Vous qui invoquez à tout bout de champ le principe de précaution, vous l’oubliez quand il s’agit des enfants, de nos enfants ! J’aurais aimé pouvoir interroger le garde des Sceaux, lui qui aime les défis : les défendra-t-il ces enfants qui, dans 20 ans, attaqueront l’État français pour les avoir délibérément privés de pères ?

    Finalement, cette loi bioéthique sera votre seul bilan. Et elle sera votre honte…”

    Francesca de Villasmundo

     

  • Coronavirus – Neuf “experts” de Macron sont liés financièrement à l’industrie pharmaceutique qui veut nous vendre un vaccin obligatoire ! ...

     

     

    Il y a des informations sur lesquelles il faut régulièrement revenir pour permettre à une part de plus en plus grande de l’opinion publique de discerner les manipulations en cours pendant cette période d’épidémie de coronavirus.

    Ainsi, parmi les “experts” des conseils scientifiques chargés de conseiller le président Emmanuel Macron sur l’épidémie de coronavirus, plusieurs ont des liens d’intérêts financiers avec d’importants laboratoires pharmaceutiques.

    Neuf experts du conseil scientifique placé auprès d’Emmanuel Macron ainsi que du Comité analyse et expertise (Care) chargé de l’éclairer sur les questions purement scientifiques liées au Covid-19 ont bénéficié en cinq ans de nombreux avantages (déjeuners, dîners, hébergements à l’hôtel, frais de transport et honoraires) payés par l’industrie pharmaceutique.

    Parmi les industries pharmaceutiques les plus généreuses avec des médecins bien placés, citons la société américaine Merck Sharp and Dohme (MSD) et la société suisse Roche, deux laboratoires considérés comme en pointe dans la recherche contre le coronavirus.

    Faut-il dès lors s’étonner que ces “experts” mettent systématiquement en doute l’efficacité d’un traitement à l’hydroxychloroquine et à l’azithromycine tel que le propose le Professeur Raoult aux malades diagnostiqués à l’IHU de Marseille ? Et faut-il s’étonner que les mêmes “experts” considèrent tous que les Français ne peuvent retrouver une vie “normale” sans avoir préalablement été vaccinés ?

    Non aux vaccins !

     

     

  • De l' IVG / infanticide au grand remplacement .

    Le génocide français s’accélère : plus que jamais, résistance !

    Sous le rideau de fumée de l’agitation médiatico-coronavirale, le génocide français (culturel et moral, démographique, politique) s’accélère :

    • Alors que nul souci gouvernemental pour la protection des mères enceintes et de leurs bébés n’a été manifesté en cette période, les acharnées ministricules de la culture de mort et de l’avortement ont fait accomplir une nouvelle avancée au meurtre légal des enfants à naître : l’avortement chimique est désormais permis jusqu’à la neuvième semaine d’aménorrhée.
    • Peu à peu, la banalisation de l’I.V.G. progresse vers celle de l’infanticide !
    • Le coronavirus cache de plus en plus le corano-virus islamiste qui s’est propagé par les effets de la tsunamigration et de l’islamigration. Le gouvernement et les médias alignés dissimulent la réalité d’émeutes dans nombre de ville comme Grigny, encadrées par des « grands frères » islamistes, tels qu’il y en a, nombreux, parmi les cinq mille détenus libérés par la ministre de la justice Nicole Belloubet.

    Et voilà que cent quatre parlementaires demandent la régularisation de tous les immigrés clandestins en cette période de confinement tandis que des centaines de milliers de sans-papiers s’apprêtent encore à déferler sur les pays d’Europe dès la fin de l’épidémie.

    Se développant sur les deux axes de l’avortement (élimination de trois cent mille enfants à naître chaque année) et de l’immigration (plus de trois cent mille entrées chaque année), notre pays subit le processus d’un génocide par substitution.

    Il est évidemment sous tendu « culturellement » par toutes les formes du vieux déconstructionnisme freudo-marxiste soixanthuitard modifié peu à peu, il est vrai, par les avancées conquérante islamo-gauchistes.