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loi veil

  • Les députés français veulent inscrire l’avortement dans la Constitution !

     

    A peine la Cour suprême des Etats-Unis avait-elle inversé le 24 juin sa jurisprudence, en renonçant au droit fédéral à l’avortement 49 ans après le tristement célèbre arrêt Roe contre Wade de 1973 et en laissant aux cinquante Etats américains la liberté de légiférer sur cette question fondamentale (voir l’article de Scipion de Salm en pages centrales) que les députés français se faisaient fort de graver dans le marbre constitutionnel, de sanctuariser (ce qui est un mot particulièrement déplacé quand on sait de quoi il s’agit) l’assassinat de millions d’enfants à naître dans le ventre de leur mère. Jusque-là la proposition d’inscrire dans la Constitution le droit à l’IVG était une mesure-phare de la France insoumise qui l’avait intégrée dans son programme présidentiel en 2017 et de nouveau en 2022.


    La constitutionnalisation de l’IVG avait par ailleurs déjà été mise sur la table de l’Assemblée en 2018 par la France insoumise et en 2019 par le Parti socialiste, mais la décision, vendredi, de la Cour suprême de ne plus garantir au niveau fédéral « le droit à l’avortement » (qui est en réalité le droit de tuer le fruit de ses entrailles, crime atroce s’il en est !) a conduit les députés et le gouvernement à aller encore plus loin et plus fort dans l’horreur. Inclure le droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution afin d’en garantir la pérennité, voilà ce que proposent de concert Aurore Bergé, la présidente du groupe Renaissance, sa collègue de La France insoumise, Mathilde Panot, aussitôt soutenue par le Premier ministre, Elisabeth Borne.

    Y-A-T-IL TOUTEFOIS des oppositions au sein du Parlement devant cette nouvelle avancée de la culture de mort ? Pensez-vous ! Contrairement aux Etats-Unis, il n’y a plus de droite en France. Les Républicains et le Rassemblement national sont totalement soumis au totalitarisme de la gauche. Les Républicains qui représentent officiellement la droite parlementaire sont incapables de prendre une position claire et unanime sur le sujet mais penchent pour le vote de cette proposition de loi visant à constitutionnaliser « le droit à l’IVG », c’est-à-dire en France le droit de tuer jusqu’à 14 semaines de grossesse les fœtus, ce qui oblige à fracasser sauvagement dans le sein de la mère le crâne du bébé avant de l’aspirer. Voilà ce dont on parle, voilà l’horreur absolue, voilà la barbarie dont il s’agit.

    Interrogée sur la question, Marine Le Pen, l’air pincée, a dit qu’elle aussi voterait ce texte, avec les 89 députés RN, s’il était soumis à la représentation nationale. Quant au président par intérim du Rassemblement national, le juvénile Jordan Bardella, qui fait toujours où lui dit de faire sa maîtresse, il a tweeté : « Aucun mouvement politique sérieux ne remet en cause en France la loi Veil, acquis à protéger ». Et Marine le Pen a surenchéri deux heures plus tard, déclarant que « le RN n’a jamais attenté au droit des femmes à recourir à l’IVG ». Le tout avec un graphique du vote montrant que la majorité présidentielle s’était, en revanche, opposée à « sanctuariser ce droit » dans la Constitution en 2018, ainsi que le demandait la France insoumise. Autrement dit la benjamine de Jean-Marie Le Pen se veut encore plus à gauche que la Macronie sur la question de l’avortement. Mais si c’est pour voter comme tous les autres parlementaires sur des sujets aussi fondamentaux, à quoi sert-il d’avoir 89 députés RN ? A rien. Qu’il en ait 1, 10, 100, 200 ou 300, cela ne change rien.
    C’est d’ailleurs pourquoi le Système n’a nullement diabolisé les candidats du RN entre les deux tours des législatives puisque le RN est désormais favorable à l’avortement, au “mariage” homosexuel, à la PMA, à la loi Pleven et à la loi Gayssot, à l’Union européenne et à l’euro, à Schengen et à la Cour européenne des droits de l’homme, à la laïcité, à la parité et à la mixité raciale. Il ne représente aucun danger, aucune menace pour l’Etablissement. On le diabolise encore un peu pour des raisons purement électorales et de maintien de parts du gâteau comme lors du second tour de la présidentielle : c’était nécessaire qu’il fît encore un peu peur pour que Macron fût réélu pour cinq ans, mais, à la vérité, il n’incarne en rien une alternative au Système en place dont il épouse désormais les idées, les mots d’ordre, les tabous. Cette révolution s’est faite sous la houlette de Marine Le Pen depuis 20 ans, depuis 2002 quand elle s’était dite favorable au maintien de la loi Veil, c’est-à-dire au « droit à l’avortement », contrairement au programme officiel du FN de l’époque. Depuis cette période, les plateaux de télévision et les antennes de radio lui sont grandes ouvertes. Elle a donné les gages nécessaires. Elle fera de même peu après avec la Shoah. Elle en a fait des tonnes sur « la barbarie nazie » et elle cautionne la barbarie, elle active, actuelle et continue, consistant à assassiner par millions des enfants parfaitement sains et viables dans le ventre de leur mère.

    Comment prétendre défendre la nation, œuvrer à sa pérennité lorsqu’on approuve l’avortement de masse et qu’on entend même constitutionnaliser ce “droit” ? Et comment prétendre lutter contre le Grand Remplacement lorsqu’on promeut ce qui en est le principal moteur : 220 000 enfants tués par an, plus de 10 millions en 47 ans ? Il est vrai que Marine Le Pen n’a rien trouvé de mieux que de choisir l’homosexualiste Sébastien Chenu, fondateur de Gay-Lib et organisateur de gigantesques Gay Pride, comme l’Europride de Marseille il y a quelques années, comme candidat du RN à la présidence de l’Assemblée nationale et elle a imposé un autre homosexualiste et militant LGBT, Jean-Philippe Tangui, transfuge de Debout la France, pour la présidence de la stratégique commission des Finances. Sur 89 députés, elle n’a donc rien trouvé de mieux que ces deux folles. Il est loin décidément le temps où le FN, avec Martine Lehideux, défendait la famille et le mariage entre un homme et une femme ! Qu’avons-nous subi comme avanies pour avoir écrit dès 2010 que Marine Le Pen était entourée d’arrivistes sans scrupule et d’invertis notoires ? Nous ne disions pourtant que la vérité qui est de plus en plus criante pour qui veut voir.
    On comprend dans ces conditions qu’une députée macroniste a pu déclarer que le gouvernement était prêt à accepter, sur des textes de loi, les voix du RN. Le très gauchiste et très haineux Eric Dupond-Moretti, ministre de la Justice de Macron, a dit publiquement des choses similaires, considérant le RN comme un partenaire possible. Quant au président du Sénat, le franc-maçon, Gérard Larcher, il a déclaré que la présidence de la commission des Finances devait échoir au RN, premier groupe de l’opposition en nombre de députés. On est loin là du cordon sanitaire qui fut mis en place entre 1986 et 1988 autour des 35 députés FN conduits par Jean-Marie Le Pen. On est loin surtout du programme de gouvernement du FN de 2002, Pour un avenir français, qui avait pour propositions l’abrogation des lois Veil, Pleven et Gayssot, du Pacs, la sortie de l’Union européenne, la défense de la liberté d’expression. Marine Le Pen, c’était le rôle qui lui a été attribué et qu’elle a parfaitement rempli, était de désactiver le cœur nucléaire du FN, d’en renier les fondamentaux, bref de faire du FN devenu RN un parti comme les autres. Elle y a parfaitement réussi avec l’aide des media et hélas de son… père !

    LA DÉCISION historique de la Cour suprême doit toutefois nous remplir d’espérance. Certes rien n’est définitivement gagné, et on peut compter sur le camp de la culture de mort pour pousser des cris d’orfraie et essayer d’imposer l’IVG partout où ils le peuvent aux Etats-Unis, mais ce succès certes partiel prouve que lorsqu’on est fidèle à ses convictions, à ses certitudes, à ses principes, on peut remporter des victoires, même tardives, même inattendues. C’est pourquoi il faut toujours se battre. Comme des lions. Il n’est en effet que les batailles que l’on ne mène pas, et que l’on ne conduit pas jusqu’au bout, qu’on est sûr de perdre. Et il faut pareillement refuser toute diminution, tout attiédissement, toute compromission sur les principes, sur la foi et sur la morale.  
    Dans la bataille pour le vrai, le bien, le beau, dans le service de Celui qui est le Chemin, la Vérité et la Vie, aucune concession n’est possible, aucun abandon n’est acceptable, aucun retard n’est excusable. Et vivre selon ses principes, c’est finalement ce qui peut rendre un homme heureux, même ici-bas. Car, comme l’écrivait Paul Bourget : « à force de vivre contrairement à ce que l’on pense, l’on finit par penser comme l’on vit ». Et le grand saint Augustin disait déjà des siècles auparavant : « A force de tout voir on finit par tout supporter… A force de tout supporter on finit par tout tolérer… A force de tout tolérer on finit par tout accepter… A force de tout accepter on finit par tout approuver ! »

     

  • Dans notre France barbare, il est interdit de nier l’holocauste des juifs et il est interdit parallèlement de parler d’holocauste pour les dizaines de millions d’enfants avortés chaque année !

    Avortement jusqu’à 14 semaines : toujours plus loin dans les sacrifices humains !

     

    Jusqu'où iront-ils dans le crime et la folie ?

    Après avoir voté en deuxième lecture le 29 juillet l’extension de la procréation médicalement assistée aux lesbiennes et en première lecture un amendement ouvrant la possibilité d’avorter jusqu’à neuf mois, dans les cadre des IMG (interruptions médicales de grossesse), en cas de « détresse psycho-sociale » de la mère, l’Assemblée nationale débat de l’allongement de la durée légale de l’IVG (interruption volontaire de grossesse) de 12 à 14 semaines.

    Fixé à dix semaines dans la loi Veil (1975), le délai pour avorter, c’est-à-dire pour tuer le fruit de ses entrailles, avait déjà été allongé de deux semaines par la loi Aubry en 2001. Vingt ans plus tard, il risque donc d’être à nouveau allongé.

    C’est logique : dès lors que l’on s’en prend frontalement à la vie, à la morale, au bon sens, à la nature et donc au Créateur, il n’y a aucune raison que l’on n’aille pas toujours plus loin dans l’horreur, dans l’abomination, dans l’assassinat industriel des innocents.

    On a agi de même s’agissant des droits accordés aux invertis dans une course folle vers l’abîme : en instituant le Pacs en 1999, puis le “mariage” homosexuel en 2013, puis la PMA pour les lesbiennes, et demain la GPA. Selon une gradation continuelle dans la folie et dans tout ce qui est contre-nature.

    Et pour être sûr que l’on ne détricote pas demain ce qui a été fait en faveur du lobby LGBT, les pouvoirs publics ont créé en 2004 un délit d’homophobie destiné à disqualifier moralement et à pourchasser judiciairement les défenseurs de la famille traditionnelle et de la morale naturelle. Et ils ont également institué un organisme gouvernemental, destiné à poursuivre en justice tous ceux suspectés de manquer d’enthousiasme à l’égard des “avancées” dites sociétales. Cet organisme s’appelle la DILCRAH : Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT

    Même le détestable Israël Nisand, président du Collège national des gynécologues et obstétriciens de France (CNGOF), et qui est pourtant un fanatique de l’avortement, semble comprendre — ou plutôt feint de comprendre — les réserves de beaucoup de ses confrères devant ce projet de nouvel allongement des délais pour avorter.

    Selon lui, en effet, l’IVG n’est pas du tout semblable à douze et quatorze semaines. « Concrètement, à douze semaines, un fœtus mesure 85 millimètres, de la tête aux fesses. À quatorze, il mesure 120 mm et a la tête ossifiée. Ce qui veut dire qu’il faut couper le fœtus en morceaux et écraser sa tête pour le sortir du ventre. On peut donc comprendre que ce soit assez difficile à réaliser pour beaucoup de professionnels », affirme le chef du service de gynécologie-obstétrique du CHU de Strasbourg dans une interview accordée au Monde.

    Ces propos, pourtant exprimés de manière détachée et qui se placent sur un plan purement technique, et nullement sur un plan moral, permettent de mieux comprendre le crime absolu, barbare et abject, la boucherie immonde que constitue tout avortement, et plus encore bien sûr tout avortement tardif : il faut écraser la tête du bébé, couper le fœtus en morceaux.

    Voilà ce que font des médecins qui sont censés défendre la vie, guérir des malades et qui ont tous prononcé le serment d’Hippocrate ! C’est à cela qu’on mesure à quel point notre société est pourrie jusqu’à l’os. C’est la complicité, active ou passive, du grand nombre qui autorise une aggravation continue de la situation dans tous les domaines.

     

    Comme toujours, ceux qui s’opposent à ce nouveau pas dans l’horreur et l’abjection sont lamentables dans leur argumentation et d’une écœurante lâcheté. Ils s’opposent pour des raisons techniques ou psychologiques mais se gardent bien de remettre en question le sacro-saint « droit à l’avortement ».

    Or, le problème principal n’est pas que l’on étende le délai des IVG (que ces acronymes qui dissimulent des réalités horribles sont laids et hypocrites !) mais que ce crime soit légalisé, promu, et pire encore remboursé à 100 %.

    Dans les manuels d’histoire ou dans des documentaires radiotélévisés, on évoque parfois les sacrifices humains qui se perpétraient dans d’anciennes civilisations, chez certains peuples, et non des moindres. Mais on ne s’interroge jamais pour savoir si notre société, qui se veut civilisée et aseptisée, autorise ou promeut légalement, à sa manière, des sacrifices humains.

    Et pourtant le massacre industriel des enfants à naître ( 300 000 par an en France, plus de dix millions depuis la loi Veil) n’est rien d’autre, si l’on se donne la peine d’y réfléchir, qu’un sacrifice humain à grande échelle. Légalisé, sacralisé, remboursé. 

    C’est si vrai que Macron a panthéonisé en 2018 Simone Veil, grande prêtresse de ce sacrifice. La présidente de la fondation pour la mémoire de la Shoah a ouvert la voie par sa loi à l’holocauste des enfants à naître.

    Il est interdit de nier l’holocauste des juifs et il est interdit parallèlement de parler d’holocauste pour les dizaines de millions d’enfants avortés chaque année dans le monde. Cette double interdiction devrait donner matière à réfléchir au degré d’imposture et de mensonge du monde dans lequel nous vivons.

    Les progrès de la science, et notamment de l’échographie, ne laissent aujourd’hui aucun doute sur le fait que le processus vital qui va donner naissance à un enfant commence dès la conception. Les différentes échographies réalisées pendant la grossesse permettent de mieux se rendre compte de la merveille de la vie, d’entendre le cœur du bébé qui bat, de voir sa tête, ses jambes, ses bras, ses petites mains, ses pieds, etc.

    C’est donc en toute connaissance de cause que les différents gouvernements, en lien avec la maçonnerie, légalisent et promeuvent des crimes de masse.

    On évoque sans cesse des meurtres de masse censément commis par des régimes politiques n’ayant plus cours aujourd’hui mais on s’interdit de considérer et de dénoncer les crimes de masse qui se commettent tous les jours sous nos yeux. Dans l’indifférence générale et un silence sépulcral. Pourtant, dans Passeport Santé, qui est distribué très officiellement aux femmes enceintes, on affirme bien qu’à 14 semaines le bébé est bien vivant et qu’il est déjà un petit homme : « En cette 14e semaine de grossesse, la taille du bébé est de 14 cm et son poids de 110 g. Sa croissance va désormais prendre un rythme très rapide. En une semaine seulement, il aura quasiment doublé son poids. Tous ses principaux organes sont en place et commencent à fonctionner, individuellement pour commencer, puis au fil des semaines, de façon coordonnée. Lorsque le fœtus a 14 semaines, son apparence se rapproche de plus en plus de celle d’un petit homme, tant au niveau de la position que des proportions des différentes parties de son anatomie. Sa tête est droite et ses jambes sont désormais plus longues que les bras. L’intestin commence à réintégrer l’abdomen. Son visage s’humanise avec de petites mimiques : il fronce les sourcils, tournent les yeux. L’ossification de son squelette se poursuit. Il alterne des périodes de veille et de sommeil. Et lorsqu’il est éveillé, il bouge de plus en plus, pliant les bras et les jambes, serrant les poings. Le cœur du fœtus est parfaitement formé, il se contracte et se dilate, envoyant le sang dans les veines qui parcourent son corps. Le fœtus commence à percevoir les bruits du corps de la maman : les battements du cœur, les gargouillis du ventre, les bruits de la respiration. La thyroïde sécrète l’hormone thyroïdienne, très importante pour sa croissance et son développement. » C’est dire toute l’hypocrisie de ceux qui nous dirigent : ils tuent en sachant parfaitement ce qu’ils font !

     

  • La Conférence des évêques de France rend hommage à l’avorteuse Simone Veil !

     

    Hallucinant et écœurant ! Le compte Twitter géré par la Conférence des évêques de France rend hommage à Simone Veil sans émettre une pensée pour les millions de victimes de la loi Veil.

    Comme il est le loin le temps où l’Eglise catholique enseignait de beaux modèles, comme Saint Louis ou Sainte Jeanne d’Arc. Aujourd’hui, les évêques modernistes ne sont que compromission et trahison de la doctrine catholique.