Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Médecine - Page 9

  • Tyranie sanitaire en France :les chiffres de l’épidémie de Covid-19 en France étaient surévalués depuis des mois ! ...

    Une " erreur "dans la méthode de calcul a conduit Santé publique France à publier des chiffres surévalués sur l’épidémie de Covid-19, et ce depuis plusieurs mois.

    Son "nouvel algorithme" affiche désormais un taux d’incidence 12% plus bas sur la France entière ...

    Une erreur dans le système SI-DEP, lequel calcule les cas Covid-19 confirmés, a poussé Santé publique France (SPF) à revoir sa méthode. C’est ce qu’explique l’établissement public dans un communiqué du jeudi 20 mai. Ainsi, tous les indicateurs annoncés depuis plusieurs mois étaient surévalués et viennent d’être revus grâce à un nouvel algorithme.

     

    Changements majeurs

    La révision des résultats a apporté une différence non négligeable dans les indicateurs clés de l’épidémie. Ainsi, le taux d’incidence dans la France entière a été abaissé de 12%, le taux de positivité de 8% et le nombre total de cas confirmés de 6%. Autant de données sur lesquelles se base le gouvernement pour affiner sa tyranie sanitaire et prendre des "décisions" en termes de restrictions sanitaires !

     

    Diminution des chiffres

     Entre le 10 et le 16 mai, SPF a constaté une diminution de 31% des nouvelles hospitalisations de patients Covid-19, et cela passe à 33% pour les nouvelles admissions en réanimation.

    Le nombre de décès sur sept jours a lui aussi diminué, passant de 1.570 à 1.248 et l' on sait que l' on ne meurt plus en France que du covid ...

     

  • L’ancien vice-président de Pfizer dénonce : “Les gouvernements vous mentent et préparent le dépeuplement massif”

     

     

    Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer dont il fut scientifique en chef pour les allergies et les voies respiratoires, a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le poste de recherche le plus élevé» en son domaine. Il a accordé un entretien d’une grande importance au site américain LifeSiteNews.

    Il y dénonce la propagande des gouvernements au sujet du COVID-19, y compris le «mensonge» de variants dangereux, l’aspect totalitaire des «passeports vaccinaux» et la forte possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait conduire à quelque chose de bien pire que les guerres et les massacres du 20e siècle.

    Ses principaux arguments :

    1. Il n’y a «aucune possibilité» que les variants actuels du COVID-19 échappent à l’immunité. C’est «juste un mensonge».
    2. Nous assistons non seulement à un «opportunisme convergent», mais à une «conspiration». Pendant ce temps, les médias et les plateformes Big Tech sont engagés dans la même propagande et la même censure de la vérité.
    3. Les sociétés pharmaceutiques ont déjà commencé à développer des vaccins de «complément» («de rappel») inutiles pour les «variants». Les entreprises prévoient de fabriquer des milliards de flacons, en plus de la campagne expérimentale actuelle de « vaccin » COVID-19 .
    4. Les agences de régulation telles que la Food and Drug Administration des États-Unis et l’Agence européenne des médicaments ont annoncé que, puisque ces vaccins «d’appoint» seront si similaires aux injections précédentes qui ont été approuvées pour une autorisation d’utilisation d’urgence, les sociétés pharmaceutiques ne seront pas tenues d'” effectuer des études de sécurité clinique ».
    5. Ainsi, cela signifie pratiquement que la conception et la mise en œuvre de vaccins à ARNm répétés et forcés aboutiront à l’injection d’une séquence génétique superflue sans justification.
    6. Pourquoi font-ils cela? L’utilisation de passeports vaccinaux et d’une «réinitialisation bancaire» pourraient aboutir à un totalitarisme sans précédent. Le «dépeuplement massif» reste une issue logique.
    7. Tout le monde doit combattre ce totalitarisme.

    Le Dr Yeadon se présente volontiers comme étant simplement un «gars ennuyeux» qui est allé «travailler pour une grande société pharmaceutique… »

    «Mais l’année dernière, j’ai réalisé que mon gouvernement et ses conseillers mentaient au peuple britannique sur tout ce qui avait trait à ce coronavirus. Absolument tout. C’est faux, cette idée de transmission asymptomatique et que vous n’avez pas de symptômes, mais que vous êtes une source de virus. Que les confinements fonctionnent, que les masques ont une valeur protectrice pour vous ou pour quelqu’un d’autre, et que les variants sont effrayants et que nous devons même fermer les frontières internationales pour empêcher ces variants étrangers désagréables d’entrer.

    «Ou, qu’en plus de la liste actuelle des vaccins génétiques que nous avons miraculeusement fabriqués, il faudra des vaccins «complémentaires» pour faire face aux variants.

    «Chacune de ces choses est manifestement fausse. Mais toute notre politique nationale est basée sur le fait que toutes ces choses sont globalement justes, même si elles sont toutes fausses. »

    Conspiration et pas seulement opportunisme convergent

    «Mais ce que j’aimerais faire, c’est parler de ce qui, je pense, est probablement une conspiration. L’année dernière, je pensais que c’était ce que j’appelais «l’opportunisme convergent», c’est-à-dire qu’un groupe de différents parties prenantes a réussi à bondir sur un monde en plein chaos pour nous pousser dans une direction particulière. Il semblait donc que c’était un peu lié, mais j’étais prêt à dire que c’était juste une convergence. »

    «Je pense maintenant que c’est naïf. Il ne fait plus aucun doute dans mon esprit que des organismes très importants dans le monde avaient soit prévu de profiter de la prochaine pandémie, soit ont créé la pandémie. La preuve est que des dizaines et des dizaines de gouvernements disent tous les mêmes mensonges et font les mêmes choses inefficaces qui coûtent manifestement des vies.

    «Et ils parlent tous du même genre de script futur qui est, «Nous ne voulons pas que vous vous déplaciez à cause de ces «variants»» et ils disent tous «ne vous inquiétez pas, il y aura des vaccins «d’appoint». Ils disent tous cela alors que c’est manifestement absurde.

    «Chaque individu sur la planète aura une identification numérique mondiale et un indicateur d’état de santé qui indiquera vacciné ou pas… et cette sorte de base de données unique, exploitable de manière centralisée, applicable partout pour contrôler, fournira en quelque sorte un privilège, celui de pouvoir ou non effectuer telle transaction particulière selon ce que les contrôleurs de cette base de données de la population humaine mondialedécident. Et je pense que c’est de cela qu’il s’agit, car une fois que vous avez cela, nous devenons des jouets et le monde peut être comme le veulent les contrôleurs de cette base de données.

    “Par exemple, vous constaterez peut-être qu’après une réinitialisation bancaire, vous ne pourrez dépenser qu’en utilisant une application reliée à cette base de données, avec votre identifiant, votre nom et votre indicateur d’état de santé.”

    «Franchir une frontière internationale est certainement l’utilisation la plus évidente de ces passeports vaccinaux, comme on les appelle, mais ils pourraient être nécessaires pour que vous puissiez entrer dans des espaces publics fermés. Je m’attends à ce que s’ils le veulent, vous ne puissiez plus quitter votre maison à l’avenir sans une autorisation accordée sur votre application.

    «Même si ce n’est pas avec certitude la vraie intention de la campagne de vaccination, peu importe, le fait que cela puisse être vrai signifie que tout le monde lisant cela devrait se battre comme un fou pour s’assurer que le système de passeport vaccinal ne se réalise jamais .

    «Avec un tel système, c’est ce qu’ils pourraient en faire, et je pense que c’est ce qu’ils vont faire.

    «Imaginez l’invention d’une histoire sur un virus et ses variations, ses mutations au fil du temps. Une l’histoire relayée à travers les médias soumis, une histoire que personne ne peut mettre en doute grâce à la censure des sources alternatives. Une histoire qui est un mensonge.

    «Mais, néanmoins, il vous est répété que c’est vrai, et que nous avons le remède, avec un vaccin complémentaire. Vous recevrez un message, par l’intermédiaire du système d’identification global : «Bing! Dr. Yeadon, l’heure de votre vaccin complémentaire. Et, en passant, il ajoutera que vos privilèges immunitaires existants restent valables pendant quatre semaines. Mais si vous ne recevez pas votre vaccin complémentaire pendant cette période, vous serez malheureusement une «personne bannie», et vous ne le voulez pas, n’est-ce pas ? C’est comme ça que ça fonctionnera, et les gens vont simplement marcher et ils recevront leur vaccin complémentaire.

    Le gouvernement ment, Big Pharma va de l’avant. Bientôt un dépeuplement de masse ?

    «Je ne sais pas de quoi parle Vanden Bossche. Il n’y a aucune possibilité du tout, sur la base de tous les variants qui sont connus, environ 4000, qu’un d’entre eux devienne plus dangereux.

    «Néanmoins, les politiciens et les conseillers en santé (de nombreux gouvernements) disent qu’ils le sont. Ils mentent. Eh bien, pourquoi ?

    «Voici l’autre chose : les sociétés pharmaceutiques affirment qu’il sera assez facile d’ajuster leurs vaccins génétiques.

    «Et voici la partie vraiment effrayante, les régulateurs mondiaux des médicaments comme [la Food and Drug Administration] FDA, l’agence japonaise des médicaments, l’Agence européenne des médicaments, se sont réunis et ont annoncé… puisque les vaccins complémentaires seront considérés comme si similaires à ceux déjà approuvés par une autorisation d’utilisation d’urgence, que les sociétés pharmaceutiques n’auront plus à réaliser des études d’innocuité clinique.

    «Donc, vous avez d’une part, les gouvernements et leurs conseillers qui vous mentent sur les variants et prétendent que, même si vous êtes immunisé ou vacciné, vous êtes un risque et vous devrez revenir recevoir un vaccin complémentaire. Et, d’autre part, vous avez des sociétés pharmaceutiques qui vont fabriquer des vaccins complémentaires sans contrôle. Et si Yeadon a raison, et je suis sûr d’avoir raison ou je ne vous dirais pas cela, on va injecter aux bras de centaines de millions de personnes une séquence génétique superflue dont il n’y a absolument aucun besoin ni justification.

    «Et s’ils veulent introduire une caractéristique qui pourrait être nocive et pourrait même être mortelle, ils peuvent même l’ajuster pour la mettre dans un gène qui causera des lésions hépatiques sur une période de neuf mois, ou pour que vos reins se détériorent progressivement. La biotechnologie vous offre des moyens illimités, franchement, d’invalider ou de tuer des milliards de personnes. 

    «Et cette possibilité sera utilisée pour le dépeuplement massif, car je ne peux penser à aucune autre explication bénigne.»

     

  • La crise du coronavirus et la mise en place de la vaccination ont servi de révélateur à un fait grave : malgré une multitude d’instances de prévision et de gestion des crises sanitaires, la France est incapable d’apporter des solutions!!

     

    Un an après le début de la crise sanitaire, près d’un mois après le début de la vaccination, le gouvernement français n’a toujours pas l’air plus efficace face à la crise.

    Toujours en position de réaction plus que d’anticipation, à la traîne de nos voisins européens en termes de gestion de crise et de distribution et d’injection des doses de vaccin, la France est totalement fragilisée et impuissante.


    Notre pays dispose pourtant de 10 organismes qui auraient dû prévoir la crise et organiser la réponse étatique : directions générales, conseils, agences gouvernementales…
    Et si c’était la multitude des  acteurs qui a empêché une gestion cohérente ?

    Ainsi Santé publique France, le Haut Conseil à la Santé publique et la Direction générale de la Santé ont tous des prérogatives de prévision, respectivement « observation et surveillance épidémiologique », « fournir aux pouvoir publics l’expertise nécessaire à la gestion de crise », et « protéger des menaces sanitaires nationales et internationales ».

    Pourtant, dès le début de la crise sanitaire, rien n’a été anticipé ni même géré : il y a d’abord eu une pénurie de masques, puis une incapacité à tester massivement, et maintenant une véritable cacophonie autour de la vaccination.

    Vaccination : qui commande ? Tout le monde et personne ...

    Pour le cas précis de la vaccination, là encore, la France est dotée d’organismes spécifiques ...

    Il y a notamment l’Agence nationale de la sécurité du médicament (ANSM), responsable de la sécurité des produits de santé, et la Commission technique des vaccinations, qui élabore la politique de vaccination générale. C’était insuffisant pour le gouvernement, qui a jugé nécessaire de se doter également d’un Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale début décembre 2020. En plus de ces instances de décision et de conseil, Santé publique France est l’entité concrètement chargée de l’approvisionnement en vaccins, avec les résultats que l’on connaît. Il faut ajouter le ministère de la Santé, ainsi que les ARS (Agences régionales de santé), censées dispatcher les doses de vaccin à travers le territoire et s’assurer de leur répartition dans les centres. Concrètement, les ARS sont chargées de « piloter une cellule opérationnelle de vaccination dans chaque département », mais aussi de recenser les vaccinations. Une compétence partagée avec l’ANSM, qui doit surveiller les effets indésirables et anticiper les ruptures de stock…

    Avec cette accumulation, la mauvaise organisation de la logistique vaccinale, décentralisée tout en étant sous la coupe de l’Etat, doit-elle étonner ?

    Ces entités aux compétences quasi identiques entrent finalement en contradiction les unes avec les autres, et, tout le monde étant chargé de tout, personne ne décide vraiment de rien.

    De manière générale, il faut simplifier drastiquement l’organisation des politiques sanitaires, en délimitant clairement les compétences de chacun, et en supprimant les instances qui font doublon.

    Il faut aussi faire confiance aux professionnels de la santé et permettre aux praticiens d’agir dans les conditions qu’ils jugent les meilleures.
    En termes de santé publique comme en politique générale, la simplicité et la rapidité sont gage d’efficacité. Ce dont nous avons besoin plus que jamais.

    Compétences des différents organismes en charge de la santé en France

    PNG - 153 ko

    Source : https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/PointSur?clef=2

    Sources :

    https://www.santepubliquefrance.fr/ ...
    https://www.ars.sante.fr/quest-ce-q ...
    https://www.has-sante.fr/jcms/c_452 ...
    https://www.ansm.sante.fr/L-ANSM/Une-agence-d-expertise/L-ANSM-agence-d-evaluation-d-expertise-et-de-decision/(offset)/0