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Politique nationale - Page 17

  • La France en 2019: toujours moins de naissances, mais record de naissances d’origine étrangère surtout musulmane !

     

    Les années se suivent et se ressemblent, malheureusement, du point de vue démographique. Une fois de plus, et pour la 9e année consécutive, le nombre de naissances vivantes a diminué en France métropolitaine pour atteindre son 3e plus bas niveau depuis 1945, à savoir 714 029 naissances vivantes. En 2010, date à laquelle a commencé cette baisse, il y en a eu 802 224.

    Pour la deuxième fois depuis la 1e guerre mondiale, le nombre de bébés nés en France métropolitaine ayant deux parents nés en France est tombé sous les 500 000. Après 493 912 en 2018, il n’y en a eu que 485 452 en 2019, soit 68% à peine de toutes les naissances.

    En comptant les naissances vivantes dans les 5 régions d’Outre-Mer (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte et Réunion), il n’y a eu que 507 928 naissances de bébés ayant deux parents nés en France, soit 67,4% seulement des 753 383 naissances enregistrées en tout. En l’an 2000, il y en avait 626 821 sur 807 405, soit 77,6%.

    L’indice de fécondité s’est établi à 1,84 en France métropolitaine en 2019 (comme en 2018) et à 1,87 en France métropolitaine et régions d’outre-mer.

    Il y a d’énormes variations départementales.  Mayotte a un indice conjoncturel de fécondité (4,68) supérieure à la moyenne estimée de l’Afrique (4,3 en 2019), la Guyane 3,63, la Réunion 2,39, la Seine Saint-Denis et le Val d’oise 2,27 (ces deux départements ont une importante population immigrée ou d’origine immigrée), 2,11 pour l’Essonne, 2,07 pour les Yvelines.

    Il y a heureusement des départements gardant une importante population catholique qui ont une fécondité au dessus de la moyenne française et renouvellent presque leur génération: par exemple le Vaucluse avec 2,07 enfants par femme, la Mayenne (2,03), dans une moindre mesure la Sarthe (1,96), le Maine-et-Loire (1,91), le Pas-de-Calais (1,90), la Manche (1,89), le Nord (1,87), le Morbihan (1,86), les Deux-Sèvres (1,85). La Corse-du-sud (1,44 enfant par femme) et la Haute-Corse (1,40) ont été les départements les moins féconds de France en 2019.

    Que fait le gouvernement pour relancer la fécondité? Rien.

    Au contraire, il aggrave encore l’accès à l’avortement pendant le confinement et ne s’oppose pas à une tentative d’un groupe d’extrême gauche du Parlement d’aggraver la “loi” Veil (déjà mauvaise en elle-même) une fois de plus en faisant passer le délai de 12 à 14 semaines de grossesse. Gravement immoral et suicidaire politiquement. Prions pour que cette aggravation soit rejetée par le Sénat puis par l’Assemblée nationale en 2e lecture.

     

    Gontran Paume

    Sources des données brutes:

    Tableau T37 ter: https://www.insee.fr/fr/statistiques/4647540?sommaire=4647557

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2012734

  • L’État nous terrorise à une cadence de plus en plus effrénée et s'immisce de façon inconstitutionnelle dans la vie des familles !

     

    Nous reproduisons ici la tribune de Carmen Daudet publiée par Egalité & Réconciliation.

    Cela faisait longtemps que l’État avait dans sa ligne de mire l’Instruction En Famille (IEF) ; depuis des années déjà, nos députés et nos ministres utilisaient pour prétexte la montée en puissance de l’islamisme pour augmenter et durcir les contrôles, faute de pouvoir supprimer la liberté – garantie par la Constitution et par la Déclaration universelle des droits de l’homme – de choisir le mode d’instruction pour ses enfants. Et ce qui n' a pas empêcher Mcron de faire liberer de prison des milliers de djihadistes dès la fin du confinement !

     

    On nous a servi "l’école de la confiance" en 2019, loi qui a fait passer l’âge de l’instruction obligatoire de 6 à 3 ans ; et voici que, seulement deux ans après, le projet de loi anticonstitutionnelle contre les séparatismes nous est dévoilé par le président Macron. Après le massacre des Gilets jaunes, la série de décrets liberticides sortis du chapeau COVID, la loi Bio-éthique qui légalise l’infanticide votée en urgence cet été, voici venir l’obligation de la scolarisation.

    Jusqu’à présent, c’était l’instruction qui était obligatoire, et elle pouvait être dispensée dans le cadre scolaire, mais aussi dans la cadre familial. Cette seconde option ne concernait certes qu’une infime minorité des foyers français [1], mais le nombre d’enfants non scolarisés n’avait eu de cesse d’augmenter, surtout depuis la soi-disant pandémie mondiale qui nous a valu le port du masque obligatoire dès le collège, et les tests de dépistage sans préavis aux parents, au sein des établissements scolaires.

    Pourquoi un tel acharnement contre ce qui est un phénomène ultra marginal ? Comme le dit l’auteur de l’excellente chaine YouTube La Mite dans la Caverne :

    « Ce système considère tout espace de liberté comme un cancer qui met en danger son existence et n’aura de cesse de tous les éradiquer. » [2]

    En effet, ce qui est combattu c’est cette porte ouverte sur la liberté et l’indépendance d’esprit, dans laquelle s’engouffraient de plus en plus de parents, conscients de la médiocrité dans laquelle s’enfonce notre société, où la Sainte Égalité n’officie qu’en nivelant par le bas, en coupant tout ce qui dépasse ! ...

    Cette sortie de secours permettait au parents de protéger leurs enfants, notamment ceux qui, souffrant ou non de « troubles de l’apprentissage », n’arrivaient pas à apprendre dans une classe ordinaire, mais également ceux qui étaient victimes de malveillance ou de harcèlement. Le cadre rassurant et aimant du foyer leur permettait de se reconstruire et de progresser à leur rythme.

    Hormis ces situations extrêmes, où le choix de déscolariser se faisait dans l’urgence, il y avait des cas où la décision de l’instruction dans le cadre familial était prise en réponse au manque d’ambition de l’école pour ses élèves, avec des programmes de plus en plus allégés, l’instruction ayant cédé sa place à l’éducation, comprenez au formatage idéologique.

    Ainsi, certains « Gaulois réfractaires » pouvaient jusqu’à présent se payer le luxe de ne pas soumettre – du moins pas trop tôt – leur progéniture à la propagande du Nouvel Ordre mondial.

    Luxe, le mot n’est pas trop fort, quand on sait à quel point ce choix impacte la vie quotidienne, en terme de temps et d’argent : l’organisation de la vie familiale est centrée autour de la recherche permanente d’activités, de rencontres, de sorties et de supports pédagogiques adaptés à chaque enfant, cette disponibilité impliquant très souvent le renoncement à l’un des salaires du couple. C’est le prix à payer pour assurer l’épanouissement de sa marmaille.

    Et d’après les rares études portant sur ce thème, les enfants instruits par leurs parents réussissent bien mieux que la moyenne, même lorsqu’ils sont issus de classes modestes [3].

    Or ces familles sont systématiquement accusées de « sectarisme », de maltraitance, de « radicalisation ». Comme toujours, on se sert du cas particulier pour imposer à la majorité une loi qui restreint ses libertés.

    Nos droits et nos devoirs de parents nous sont peu à peu confisqués, et cela, au nom du bien-être de nos enfants : quelle farce, quelle absurdité !

    En quoi Macron serait-il légitime pour prendre des décisions en faveur de nos petits, lui qui, délibérément, n’a jamais su, voulu et eu à assumer la responsabilité d’être père ?

    Par une inéluctable logique diabolique, ce système place toujours les pires aux commandes ; il n’est qu’à constater à quel point l’Éducation nationale et la Protection de l’enfance sont parasitées par la pédophilie. [4]

    L’objectif est de verrouiller toutes les portes, de boucher les issues ; c’est le moment : entre dangers terroriste et sanitaire la diversion est parfaite.

    Il est devenu illégal de nous réunir, de nous embrasser, d’exprimer notre pensée, ou d’instruire nos enfants ; en revanche, nous avons gagné le droit d’assassiner le bébé qui a grandi neuf mois dans nos entrailles !

    C’est meilleur pour la planète, et ses cellules seront « recyclées » en crème anti-rides : la réalité a déjà dépassé la fiction ! Bientôt, l’usine à bébés : la FIV et l’utérus artificiel permettront de fabriquer à grande échelle du Gamma, main d’œuvre bon marché et jetable ; la raison d’être de cette classe stérilisée sera de produire dans la réalité, et de prendre du plaisir virtuellement.

    Les Alpha, eux, seront conçus de façon naturelle – privilège de l’élite –, et portés par des professionnelles diplômées en GPA. Entre les deux, les bêta, arrachés à leurs géniteurs au sortir de la maternité, seront pris en charge par l’État dès leur naissance, avec droit de visite des parents les week-ends…

    En nous dépossédant de notre progéniture, on nous arrache notre humanité, ce qu’il y a de meilleur en nous, le don inconditionnel, l’amour, le sacrifice. La famille est le cadre premier à toutes ces vertus chrétiennes.

    Satan étend son règne et les franc-maçons règnent en maîtres.

    Prions pour nos enfants, prions pour Soral et Ryssen, prions pour la France, et gardons la tête haute, de défaite en défaite, jusqu’à la Victoire.

    Carmen Daudet

     

    Retrouvez Carmen Daudet chez Kontre Kulture :

     

    Notes

    [1https://laia-asso.fr/chiffres-etudes/

    [2https://www.youtube.com/watch?v=hnR…

    [3] Home-Education : Rationales, Practices and Outcomes, Paula Rothermel, University of Durham, 2002

    [4https://qactus.fr/2020/09/27/q-scoo… partie-1/

  • En France, les nationalistes n' ont pas le droit de s' exprimer et sont emprisonnés par la pseudo justice aux ordres du lobby juif .

    Cynisme de la grande presse : la liberté d’expression, oui, mais à géométrie variable !

     

    Difficile d’aller plus loin dans le cynisme et la tartuferie. Alors qu’Hervé Ryssen était incarcéré depuis près d’une semaine à la prison de Fleury-Mérogis pour délit d’opinion, plus d’une centaine de journaux, de revues et de magazines, dont les principaux quotidiens (Le Monde, Libération, Le Figaro, Le Parisien, L’Equipe, L’Humanité — sic ! —) et hebdomadaires signaient un texte commun s’inquiétant des menaces extrêmement graves pesant sur la liberté d’expression. A l’initiative de Riss, directeur de la publication de Charlie Hebdo, la quasi-totalité des directeurs de journaux et de périodiques se sont d’abord réunis pour débattre de ces menaces puis ces publications ont signé et publié une « lettre ouverte à nos concitoyens ».

    Aucun de ces journaux qui proclament pourtant de manière grandiloquente leur « amour de la liberté » n’a cité, même de manière allusive, le cas d’Hervé Ryssen condamné à rester en prison 19 mois (aux dernières nouvelles) pour avoir simplement usé de sa liberté d’expression. Leur attachement à la liberté d’expression est donc à géométrie variable. Quels sont en effet les publicistes, les périodiques qui ont dénoncé cette incarcération d’Hervé Ryssen, sinon exclusivement des personnalités du mouvement national et nationaliste ? Ces directeurs de journaux dénoncent les pressions exercées sur la presse par certains Etats mais ils se gardent bien de citer l’entité sioniste et ses courroies de transmission comme le CRIF (dont le président, Francis Kalifat, a été reçu deux fois en un mois par le ministre de la Justice !) et la LICRA qui exercent un chantage permanent à l’antisémitisme dès qu’on critique les crimes de cet Etat voyou ou que l’on dénonce les menées liberticides d’un certain lobby judéo-sioniste.

     

    Ces signataires affirment solennellement le droit de blasphémer, c’est-à-dire de s’en prendre de manière ignominieuse, obscène, au Christ, à la Sainte Vierge et aux saints, par des dessins et des textes ignobles, et souvent de nature scatologique, mais on n’a pas le droit de s’intéresser de près à la boîte noire de l’Holocauste, pour reprendre la savoureuse expression de l’ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad !

    On peut attaquer fortement le christianisme, et même l’Islam, comme en témoigne la republication des caricatures de Mahomet dans Charlie Hebdo, mais on ne peut pas se livrer à une étude critique du judaïsme tant politique que religieux, ce à quoi s’est employé dans ses ouvrages Hervé Ryssen. 

    Les signataires osent écrire également : « C’est tout l’édifice juridique élaboré pendant plus de deux siècles pour protéger votre liberté d’expression qui est attaqué, comme jamais depuis soixante-quinze ans. Et cette fois par des idéologies totalitaires nouvelles, prétendant parfois s’inspirer de textes religieux. » Ces journalistes et éditorialistes ont plusieurs trains de retard. Voilà près d’un demi-siècle désormais que la loi sur la presse de 1881 a été détricotée, vidée de sa substance, du fait de la succession de législations d’exception, dites antiracistes ou mémorielles : la loi Pleven en 1972, la loi Gayssot en 1990, la loi Lellouche en 2003, la loi Perben en 2004, et du fait de la création d’organismes étatiques s’attaquant directement à la liberté d’expression, de recherche, de publication : la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (HALDE), la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH). Du fait aussi du pouvoir exorbitant donné à des associations comme la LICRA, Sos-Racisme, Avocats sans frontières de Goldnadel (qui dans Valeurs actuelles feint de dénoncer l’incarcération de Ryssen alors que son association a été partie civile contre lui !, contre Soral et contre Bourbon dans maints procès, quelle chutzpah !), le BNVCA (Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme) et désormais l’OJE (Organisation juive européenne) qui peuvent se constituer parties civiles devant le tribunaux, pourchasser des personnes et périodiques dont les idées et les analyses les dérangent, et leur réclamer des dommages et intérêts exorbitants. Ajoutons que la loi Avia qui a été retoquée par le Conseil constitutionnel pourrait être imposée au niveau de l’Union européenne. La Commission de Bruxelles y travaille à la demande du gouvernement français.

     

    Sur Radio J, une avocate de l’OJE, Me Olivia Chafir, le 23 septembre, se félicitait ouvertement de l’incarcération de Ryssen et déclarait qu’elle souhaitait faire mettre en prison d’autres dissidents, Soral, Dieudonné et… le directeur de RIVAROL. Mais naturellement dans son cas ce n’est pas de la haine, ce n’est pas non plus une atteinte à la liberté d’expression. Voici quelques-unes de ses déclarations saisissantes : « L’incarcération de Hervé Ryssen est une grande victoire contre la haine mais le combat n’est pas terminé. Certains continuent de déverser leur haine antisémite, à l’image d’Alain Soral qui n’a encore pas fait un seul jour de prison, au même titre que Dieudonné. » ; « Alain Soral n’est pas encore passé par la case prison mais nous pouvons nous féliciter aujourd’hui que la porte de la prison ait été ouverte et nous travaillons à ce qu’elle ne se referme pas sur Ryssen mais qu’elle puisse accueillir Soral, Dieudonné et autres… (dont Bourbon cité nommément) » ; « Les peines fermes sont déjà prononcées contre Soral, reste maintenant à les faire exécuter. » ; « Il faut savoir que l’Organisation juive européenne aujourd’hui, nous sommes une cinquantaine d’avocats et nous nous subdivisons en sous-groupes et nous nous spécialisons sur les personnalités de la fachosphère (quel honneur nous est fait là !) » Et Me Chafir de déclarer avec gourmandise que le procureur a demandé 16 mois de prison avec sursis et 20 000 euros sous forme de jours-amende au directeur de RIVAROL mais qu’une surprise n’était pas à exclure, c’est-à-dire une peine de prison ferme ! 

    Pour elle, il est nécessaire que ces personnalités jugées antisémites soient mises hors d’état de nuire car elles sont moralement responsables de l’attentat de l’Hyper Cacher ! Ni plus ni moins : « Ces acteurs de la fachosphère ne sont que les maillons d’une même chaine, la chaîne de la haine du juif qui fédère des gens de tous bords, et les gens qui sont poursuivis pour des actes criminels et terroristes, ceux qui sont jugés aujourd’hui dans l’affaire de l’Hypercasher et de Charlie Hebdo, ces gens font tous partie de la même chaîne. »

    Et voilà la boucle est bouclée. Toute critique de l’entité sioniste ou du lobby juif vous assimile au terrorisme, à la violence et au crime de masse. Nous sommes considérés en France comme des Palestiniens. Face à cette tyrannie communautaire, la grande presse en France ne trouve rien à redire. Elle est certes contrôlée par des milliardaires qui font partie de ces cénacles !

     

    Et pourtant tous les hommes épris de liberté et de justice devraient se scandaliser publiquement de l’incarcération d’Hervé Ryssen.

    Parce qu’elle est profondément inique en soi. Et aussi parce qu’elle appelle d’autres embastillements. Ce n’est pas une fin, c’est un début. Aujourd’hui ce sont ceux qui critiquent le lobby judéo-sioniste ou l’Eretz qui sont placés derrière les barreaux, demain ce sont ceux qui critiqueront l’immigration, qui défendront publiquement la famille traditionnelle et la morale naturelle contre les folies du lobby LGBT promues par l’Etat. On connaît l’adage latin : Hodie mihi cras tibi. Un processus révolutionnaire, subversif ne s’arrête jamais. Un régime de terreur réclame toujours plus d’échafauds, de sang et de victimes. C’est un monstre qui a toujours soif, qui est insatiable. La seule façon de mettre fin à cette logique infernale qui broie les consciences, emprisonne les individus, détruit les familles, subvertit les nations, assassine les âmes, démantèle ce qui reste de civilisation et de morale véritable est de résister vaillamment, de refuser hardiment les mots d’ordre du Lobby, de rejeter ses prétentions mortifères, et de défendre tous ceux qui sont injustement persécutés, ignominieusement traités, scandaleusement reclus. Quels qu’ils soient. D’où qu’ils viennent. Et quoi qu’il en coûte. Car la muselière mentale est bien pire encore que le bâillon physique.