Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

pédophilie

  • L’État nous terrorise à une cadence de plus en plus effrénée et s'immisce de façon inconstitutionnelle dans la vie des familles !

     

    Nous reproduisons ici la tribune de Carmen Daudet publiée par Egalité & Réconciliation.

    Cela faisait longtemps que l’État avait dans sa ligne de mire l’Instruction En Famille (IEF) ; depuis des années déjà, nos députés et nos ministres utilisaient pour prétexte la montée en puissance de l’islamisme pour augmenter et durcir les contrôles, faute de pouvoir supprimer la liberté – garantie par la Constitution et par la Déclaration universelle des droits de l’homme – de choisir le mode d’instruction pour ses enfants. Et ce qui n' a pas empêcher Mcron de faire liberer de prison des milliers de djihadistes dès la fin du confinement !

     

    On nous a servi "l’école de la confiance" en 2019, loi qui a fait passer l’âge de l’instruction obligatoire de 6 à 3 ans ; et voici que, seulement deux ans après, le projet de loi anticonstitutionnelle contre les séparatismes nous est dévoilé par le président Macron. Après le massacre des Gilets jaunes, la série de décrets liberticides sortis du chapeau COVID, la loi Bio-éthique qui légalise l’infanticide votée en urgence cet été, voici venir l’obligation de la scolarisation.

    Jusqu’à présent, c’était l’instruction qui était obligatoire, et elle pouvait être dispensée dans le cadre scolaire, mais aussi dans la cadre familial. Cette seconde option ne concernait certes qu’une infime minorité des foyers français [1], mais le nombre d’enfants non scolarisés n’avait eu de cesse d’augmenter, surtout depuis la soi-disant pandémie mondiale qui nous a valu le port du masque obligatoire dès le collège, et les tests de dépistage sans préavis aux parents, au sein des établissements scolaires.

    Pourquoi un tel acharnement contre ce qui est un phénomène ultra marginal ? Comme le dit l’auteur de l’excellente chaine YouTube La Mite dans la Caverne :

    « Ce système considère tout espace de liberté comme un cancer qui met en danger son existence et n’aura de cesse de tous les éradiquer. » [2]

    En effet, ce qui est combattu c’est cette porte ouverte sur la liberté et l’indépendance d’esprit, dans laquelle s’engouffraient de plus en plus de parents, conscients de la médiocrité dans laquelle s’enfonce notre société, où la Sainte Égalité n’officie qu’en nivelant par le bas, en coupant tout ce qui dépasse ! ...

    Cette sortie de secours permettait au parents de protéger leurs enfants, notamment ceux qui, souffrant ou non de « troubles de l’apprentissage », n’arrivaient pas à apprendre dans une classe ordinaire, mais également ceux qui étaient victimes de malveillance ou de harcèlement. Le cadre rassurant et aimant du foyer leur permettait de se reconstruire et de progresser à leur rythme.

    Hormis ces situations extrêmes, où le choix de déscolariser se faisait dans l’urgence, il y avait des cas où la décision de l’instruction dans le cadre familial était prise en réponse au manque d’ambition de l’école pour ses élèves, avec des programmes de plus en plus allégés, l’instruction ayant cédé sa place à l’éducation, comprenez au formatage idéologique.

    Ainsi, certains « Gaulois réfractaires » pouvaient jusqu’à présent se payer le luxe de ne pas soumettre – du moins pas trop tôt – leur progéniture à la propagande du Nouvel Ordre mondial.

    Luxe, le mot n’est pas trop fort, quand on sait à quel point ce choix impacte la vie quotidienne, en terme de temps et d’argent : l’organisation de la vie familiale est centrée autour de la recherche permanente d’activités, de rencontres, de sorties et de supports pédagogiques adaptés à chaque enfant, cette disponibilité impliquant très souvent le renoncement à l’un des salaires du couple. C’est le prix à payer pour assurer l’épanouissement de sa marmaille.

    Et d’après les rares études portant sur ce thème, les enfants instruits par leurs parents réussissent bien mieux que la moyenne, même lorsqu’ils sont issus de classes modestes [3].

    Or ces familles sont systématiquement accusées de « sectarisme », de maltraitance, de « radicalisation ». Comme toujours, on se sert du cas particulier pour imposer à la majorité une loi qui restreint ses libertés.

    Nos droits et nos devoirs de parents nous sont peu à peu confisqués, et cela, au nom du bien-être de nos enfants : quelle farce, quelle absurdité !

    En quoi Macron serait-il légitime pour prendre des décisions en faveur de nos petits, lui qui, délibérément, n’a jamais su, voulu et eu à assumer la responsabilité d’être père ?

    Par une inéluctable logique diabolique, ce système place toujours les pires aux commandes ; il n’est qu’à constater à quel point l’Éducation nationale et la Protection de l’enfance sont parasitées par la pédophilie. [4]

    L’objectif est de verrouiller toutes les portes, de boucher les issues ; c’est le moment : entre dangers terroriste et sanitaire la diversion est parfaite.

    Il est devenu illégal de nous réunir, de nous embrasser, d’exprimer notre pensée, ou d’instruire nos enfants ; en revanche, nous avons gagné le droit d’assassiner le bébé qui a grandi neuf mois dans nos entrailles !

    C’est meilleur pour la planète, et ses cellules seront « recyclées » en crème anti-rides : la réalité a déjà dépassé la fiction ! Bientôt, l’usine à bébés : la FIV et l’utérus artificiel permettront de fabriquer à grande échelle du Gamma, main d’œuvre bon marché et jetable ; la raison d’être de cette classe stérilisée sera de produire dans la réalité, et de prendre du plaisir virtuellement.

    Les Alpha, eux, seront conçus de façon naturelle – privilège de l’élite –, et portés par des professionnelles diplômées en GPA. Entre les deux, les bêta, arrachés à leurs géniteurs au sortir de la maternité, seront pris en charge par l’État dès leur naissance, avec droit de visite des parents les week-ends…

    En nous dépossédant de notre progéniture, on nous arrache notre humanité, ce qu’il y a de meilleur en nous, le don inconditionnel, l’amour, le sacrifice. La famille est le cadre premier à toutes ces vertus chrétiennes.

    Satan étend son règne et les franc-maçons règnent en maîtres.

    Prions pour nos enfants, prions pour Soral et Ryssen, prions pour la France, et gardons la tête haute, de défaite en défaite, jusqu’à la Victoire.

    Carmen Daudet

     

    Retrouvez Carmen Daudet chez Kontre Kulture :

     

    Notes

    [1https://laia-asso.fr/chiffres-etudes/

    [2https://www.youtube.com/watch?v=hnR…

    [3] Home-Education : Rationales, Practices and Outcomes, Paula Rothermel, University of Durham, 2002

    [4https://qactus.fr/2020/09/27/q-scoo… partie-1/

  • Pédophilie – Un dignitaire franc-maçon échappe à la prison ...

     

    L’intérêt des médias dominants pour les affaires de pédophilie est très sélective. Qu’un prêtre soit incriminé et journaux et télévisions s’en délectent. Par contre, si les criminels pédophiles sont rabbins, moines bouddhistes, francs-maçons, politiciens socialistes, écologistes, personnalités du showbiz, militants LGBT ou immigrés, le sujet ne les intéresse plus.

    L’exemple d’Alan Wright est significatif. Aucun grand média francophone n’a abordé l’affaire de pédophilie dans laquelle il a été impliqué.

    Alan Wright, 75 ans, ancien Grand maître franc-maçon, est connu pour avoir assisté à des tenues maçonniques aux côtés du Prince Michael de Kent.

    Mais il a été interpellé par la police à la fin de l’année 2016 pour tentative de corruption de mineur.

    La police du Suffolk l’a débusqué après avoir recueilli des renseignements sur sa vie privée grâce à des officiers spécialisés ayant crée un faux compte d’enfant en ligne.

    Wright pensait qu’il communiquait avec un garçon de 14 ans et lui envoyait des photos de ses parties génitales par Internet. Grâce à l’application de rencontres pour homosexuels Grindr, il s’est arrangé pour retrouver le «garçon» à la gare de Bury St Edmunds dans le Suffolk, en novembre dernier.

    Mais lorsque Wright est arrivé, il a été accueilli par des agents de police qui l’ont emmené au commissariat pour interrogatoire. Ancien Grand Maître du Grand Conseil des Maîtres Royaux et Select (« Grand Council of Royal and Select Masters ») , il était aussi le Grand Maître de la Grande Loge Provinciale de Maîtres Maçons Mark d’Essex.

    Un porte-parole de la Grande Loge unie d’Angleterre avait déclaré :

    « Nous avons été mis au courant d’une allégation contre un franc-maçon le 1er décembre 2016, qui a immédiatement démissionné de l’organisation.

    « Ayant pris connaissance de la situation, nous n’avons pas d’autres informations à ce jour et nous croyons pleinement qu’il s’agit d’un incident ponctuel et isolé.
    « Nous pouvons confirmer que nous aiderons pleinement la police et les autorités compétentes si nous sommes contactés ou si nous constatons que nous pouvons volontairement le faire. Aucune demande n’a été faite.
    « La Grande Loge unie d’Angleterre accorde une grande importance à la transparence totale dans ses relations avec les membres et nous avons un système disciplinaire robuste pour traiter avec les membres qui enfreignent la loi, enfreignent nos règles ou se conduisent d’une manière qui déconsidère la franc-maçonnerie.
    « L’activité criminelle est totalement inacceptable au sein de l’organisation et totalement étrangère à nos valeurs. »

    Alan Wright risquait une peine de dix ans de prison lors de son procès au tribunal de la Couronne d’Ipswich au mois de mars 2017. Mais que croyez-vous qu’il est arrivé ? Il s’en est sorti avec une peine symbolique (16 mois avec sursis), une amende de 1.200 £ et 80 heures de travaux d’intérêt général…