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  • Le gouvernement, avec l’appui du PS, fait illégalement délivrer un « diplôme » pour blanchir l’imam salafiste de Brest qui légitimait le viol des femmes non-voilées .

     

    BREIZATAO – POLITIKEREZH (21/12/2017)

    Comme nous l’annoncions le 31 octobre 2016, l’imam salafiste de Brest affilié aux Frères Musulmans (source) avait entamé un pseudo cursus universitaire en coordination avec le ministère de l’Intérieur et l’aide du PS en Bretagne afin de le blanchir aux yeux de l’opinion et ainsi poursuivre sa politique d’alliance avec les islamistes.

     

    Tentative gouvernementale grossière de réhabilition du prédicateur salafiste

    Objectif : fournir un « Diplôme Universitaire » (DU) à Rachid Abou Houdeyfa et l’institutionnaliser. En Bretagne, le Parti Socialiste Français joue un rôle moteur dans l’alliance avec les Frères Musulmans et c’est sans surprise l’ancien ministre socialiste et ex-maire de Roazhon (Rennes), Edmond Hervé, qui a présidé à la remise du diplôme précité au prêcheur salafiste...

    Le prédicateur salafiste Rachid Abou Houdeyfa aux côtés de ses parrains socialistes et gouvernementaux lors de sa remise de « diplôme » frauduleuse

     

    Le journal socialiste « Le Télégramme », allié à la mairie socialiste de Brest, s’est livré à la promotion de ce tour de passe-passe politico-administratif (source) :

    Rachid El Jay, plus connu sous le nom de Rachid Abou Houdeyfa, s’était en effet inscrit à cette nouvelle formation déployée par l’université rennaise. Une promotion de neuf femmes et six hommes qui ont choisi pour parrain l’ancien maire de Rennes et ministre socialiste Edmond Hervé. La remise du diplôme s’est faite en présence de ce dernier, tout comme du préfet de Bretagne Christophe Mirmand et du président de l’Université de Rennes 1 David Alis.

    Nous l’avions déjà expliqué à cette époque, une telle délivrance est parfaitement illégale, le prédicateur islamiste ne disposant pas du niveau d’études nécessaire (lire ici). Rachid El Jay s’expose donc à une procédure d’annulation devant le tribunal administratif si des citoyens vigilants décident de faire tourner court cette grossière manipulation socialiste au profit du prédicateur islamiste.

    La presse d’état, Le Télégramme et Ouest-France en tête, se livre sur ordre à une campagne de réhabilitation de cet agitateur religieux, conformément à la politique d’indigénat progressivement mise en oeuvre sur le territoire français et breton par le gouvernement central.

    Son objectif : créer un système d’administration parallèle des populations afro-musulmanes en s’appuyant sur les islamistes, Frères Musulmans en tête.

    Cette politique du ministère de l’Intérieur et du Parti Socialiste repose sur l’approche du fait accompli et n’a à ce stade aucun caractère officiel. La population bretonne se voit imposer cette politique par le gouvernement central et ses relais politiques et médiatiques « régionaux ».

    Ainsi donc, celui dont l’ancien Président de la République François Hollande disait qu’il prêchait dans un « lieu de haine » ne s’est jamais aussi bien porté qu’en 2017 et ce grâce au soutien inconditionnel du Parti Socialiste en Bretagne.

     

    La bienveillance – pour ne pas dire la complicité – de la mairie socialiste de Brest est d’ailleurs telle, que le prédicateur salafiste a pu ouvrir en 2016 une madrassa (école coranique) où sont embrigadés les enfants qui y sont envoyés (lire ici).

    Proche de l’islamiste Marwan Muhammad, organisateur de prières de rue

    Rachid Abou Houdeyfa est affilié à la confrérie islamiste des Frères Musulmans et fréquente certaines de ses figures les plus connues, notamment Marwan Muhammad. Ce dernier était encore récemment en pointe de l’agitation islamiste à Clichy-la-Garenne où il haranguait les musulmans présents pour les encourager à envahir l’espace public afin de faire pression sur la municipalité.

  • A bout d' arguments, le gouvernement prend la route du tout répressif ! ...

     

    80-kmh
     
     
     
     Si les mesures concernant la sécurité quotidienne des français se font toujours attendre, le gouvernement ne compte pas lésiner sur les moyens  pour s’engager sur la voie du tout répressif concernant la prétendue sécurité routière et les automobilistes ! ...

    Mardi 9 janvier, le Premier ministre Edouard Philippe a ainsi annoncé toute une série de mesures, lucratives pour l’Etat, mais qui risquent d’entrainer retraits de permis à profusion, amendes, notamment pour les populations les plus précarisées et les plus isolées qui n’habitent pas dans les grandes métropoles et pour qui la voiture est un outil fondamental.

    Les 18 mesures du plan de Sécurité Routière

    1. Favoriser un engagement fort et global des citoyens en faveur de la sécurité routière
    2. Signature d’une charte numérique après la réussite à l’examen du permis de conduire. Prévu pour fin 2018
    3. Signature d’une charte numérique après la réussite à l’examen du permis de conduire. Prévu pour fin 2018
    4. Lancement d’une réflexion sur la valorisation des comportements exemplaires. Prévu pour 2019
    5. Améliorer la prise en charge des victimes d’accidents de la route. Prévu pour début 2019
    6. Réduire la limitation de vitesse à 80 km/h sur les routes à double sens sans séparateur central. Mise en place en juillet 2018
    7. Régulation dynamique des vitesses sur certains tronçons. Prévu pour 2020
    8. Publication d’une carte présentant l’implantation des radars automatiques en lien avec l’accidentalité et les recettes générées. Prévu début 2018
    9. Echapper à la suspension de permis pour excès de vitesse de 40 km/h et plus en installant un contrôleur électronique de vitesse. Prévu pour 2021
    10. Protéger les piétons en améliorant la visibilité aux abords des passages piétons, en donnant la possibilité de signaler ces derniers par une ligne d’effet pour indiquer l’endroit où les véhicules doivent s’arrêter, en optimisant les dispositifs sonores et tactiles des feux rouges pour les mal et non-voyant, en encourageant le développement des pedibus et velobus pour les piétons et cyclistes, en permettant la constatation sans interception des infractions aux règles de priorité, en renforçant les sanctions contre les conducteurs.
    11. Accompagner le développement de la pratique du vélo en généralisant le « savoir rouler » que les enfants devront maîtriser à leur entrée en 6e, en augmentant la pratique de la « remise en selle » pour les adultes, en améliorant les connaissances sur les bénéfices des équipements de protection.
    12. Lutter contre l’alcool au volant en supprimant l’obligation de détenir un éthylotest, en généralisant la mise à disposition d’éthylotests dans les débits de boissons alcoolisées, en généralisant la vente d’éthylotests à proximité des rayons boissons alcoolisées, en rendant obligatoire la pose d’un éthylotest anti-démarrage (EAD) avec suivi médico-psychologique en cas de récidive et en donnant la possibilité de conduire pendant une suspension en installant un EAD dans son véhicule.
    13. Permettre aux forces de l’ordre de suspendre temporairement les systèmes de localisation de leur contrôle d’alcoolémie et de stupéfiants. Prévu pour 2018
    14. Permettre la suspension de permis pour un conducteur téléphone en main qui commettrait une infraction supplémentaire. Prévu pour 2019
    15. Mise en fourrière immédiate du véhicule de l’auteur d’une infraction grave (conduite sans permis, usage de stupéfiants, taux d’alcoolémie délictuel). Prévu pour 2019
    16. Protéger et responsabiliser les usagers de deux-roues motorisés en autorisant l’allumage des feux de brouillard de jour, en encourageant le port de bottes et d’un airbag CE, en modernisant les modalités d’examen pour les catégories A1 et A2, en expérimentant un rendez-vous pédagogique pour les parents d’un enfant mineur qui se présente au permis AM. Prévu pour 2018
    17. Protéger les acheteurs d’un véhicule d’occasion en mettant à disposition de tout acheteur l’historique des réparations importantes survenues sur le véhicule. Prévu pour 2018
    18. Améliorer la prise en compte des récidivistes en augmentant la durée des stages de sensibilisation de 2 à 3 jours pour les conducteurs ayant déjà suivi 2 stages dans une période de 5 ans. Prévu pour 2019.
    19. Anticiper les nouvelles technologies en lançant une étude de conception sur les moyens technologiques futurs des forces de l’ordre, en créant un fonds spécial innovation et en améliorant la pertinence de la localisation des opérations de contrôle à l’aide d’une cartographie des données d’accidentalité. Prévu pour 2019

     

    Pour l’association 40 millions d’automobilistes, dont la pétition contre l’abaissement de la vitesse rencontre un franc succès (plusieurs millions de signatures),  « Cette décision est absurde  car elle ne repose sur aucun fondement ; le seul pseudo-argument avancé par les défenseurs de cette mesure est un théorème mathématique élaborée par un chercheur suédois dans les années 1980, l’inconvénient principal de cette étude étant qu’elle ne prend en compte ni les réalités actuelles de l’état des routes, ni les performances des véhicules modernes en matière de sécurité, ni le comportement qu’induit une limitation de vitesse à 80 km/h non comprise par les usagers.»

    Ironie de l’histoire, le Premier ministre Edouard Philippe, qui a annoncé ces mesures,  avait été contrôlé en 2015 à plus de 150km/h sur une route limitée à 110km/h. Faites ce que je dis, pas ce que je fais …

     

     

     
     
     
  • L’Eglise Catholique conciliaire exige que l’Etat ne puisse plus rechercher les clandestins dans les mosquées, en faisant de facto des sanctuaires pour djihadistes infiltrés ! ...

    BREIZATAO – ETREBROADEL (11/01/2018)

    Le clergé catholique , s’inscrivant dans une dérive de plus en plus marquée, a encore renforcé son alignement sur les organisations immigrationnistes d’extrême-gauche mais aussi sur l’agenda arrêté par la finance internationale en matière d’immigration.

    La Conférence des Evêques de France a appelé à faire des mosquées des lieux où l’état ne pourrait plus intervenir pour expulser des migrants clandestins, transformant de facto ces dernières en zone où ne s’exercerait plus la souveraineté française.

    Libération :

    L’Eglise catholique a demandé mercredi, lors d’une conférence de presse, la «sanctuarisation des centres d’hébergement» marquant ainsi son désaccord avec la circulaire du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, diffusée aux préfets début décembre. Cette circulaire, qui permet d’identifier les sans-papiers présents dans les structures d’accueil, avait provoqué la colère des associations. «Les personnes doivent pouvoir s’y rendre en confiance», a soutenu Carlos Caetano, directeur de la Pastorale des migrants, le service de l’épiscopat dédié à ce dossier. Le prêtre a aussi inclus dans cette «sanctuarisation» les écoles, les hôpitaux et les lieux de cultes.

    Si cette mesure était adoptée comme l’exige le clergé catholique – qui rompt là son devoir de neutralité politique en s’ingérant dans un domaine strictement régalien – elle serait une véritable aubaine pour les organisations djihadistes.

    Comme l’ont démontré les attaques du Bataclan et de Nice, des migrants clandestins musulmans s’infiltrent en Europe et en France pour y commettre des attentats. Si les mosquées échappaient au contrôle du gouvernement, comme le prône à présent le clergé catholique conciliaire, elles deviendraient de facto des forteresses idéales pour les djihadistes, ces derniers étant certains de ne pas y être recherchés.

    Pour protester contre les menées subversives de l’agent pro-islamiste George Pontier, contactez l’intéressé ici :

    Tél. : 04 91 14 28 90
    Fax. : 04 91 31 06 81
    archeveque-marseille@wanadoo.fr