Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ouest france

  • OUEST FRANCE un journal de gauche anti démocratique .

    Le quotidien “Ouest Torchon"” a-t-il sa place dans une démocratie ?

    La journaliste de Ouest-France, qui dénonce le recrutement d’un jeune militant Reconquête au sein de la police municipale de Lorient, pour la saison estivale, devrait relire la définition du mot démocratie, ainsi que l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme de 1789. Elle saurait ainsi de quoi elle parle. Elle devrait aussi feuilleter le Code du Travail… art. L.1132-1

    https://www.bvoltaire.fr/quand-ouest-france-denonce-le-recrutement-dun-militant-reconquete-a-lorient/

    1° Le fondement d’une société démocratique, c’est la défense des droits et libertés de la personne

    2° L’article 10 de la déclaration des droits de l’homme stipule que “Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.”

    Par conséquent, on voit mal en quoi un jeune étudiant qui travaille pour financer ses études, serait une menace pour l’ordre public, alors qu’il est précisément embauché pour assurer la surveillance de la voie publique. Un peu de sérieux  et de décence ne seraient pas de trop.

    Nous ne sommes ni en Corée du Nord, ni sous l’Inquisition ! Toute discrimination à l’embauche est interdite.

    • Le parti d’Eric Zemmour serait-il un parti interdit par la République ? Le vote Reconquête serait-il illégal ?
    • Le maire de Lorient doit-il enquêter sur les opinions politiques des employés municipaux ?

    Damien Rieu résume parfaitement la situation :

    “La France, ce pays où les gens qui ne sont pas de gauche sont ouvertement discriminés et persécutés. Honte à Ouest-France !

    Cette journaliste ignore ce que “discrimination à l’embauche” veut dire

    https://travail-emploi.gouv.fr/droit-du-travail/egalite-professionnelle-discrimination-et-harcelement/article/discriminations-a-l-embauche-de-quoi-parle-t-on

    Tout salarié, tout candidat à un emploi, un stage ou une période de formation en entreprise est protégé par la loi contre les discriminations à l’embauche et au travail. Le Code du Travail (art. L.1132-1) interdit toute distinction entre salariés fondée notamment sur :

    • l’origine ;
    • le sexe ;
    • les mœurs ;
    • l’orientation ;
    • l’identité sexuelle ;
    • l’âge ;
    • la situation de famille ;
    • la grossesse ;
    • les caractéristiques génétiques ;
    • l’appartenance ou la non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation ou une race ;
    • les opinions politiques ;
    • les activités syndicales ou mutualistes ;
    • les convictions religieuses ;
    • l’apparence physique ;
    • le nom de famille ;
    • le lieu de résidence ;
    • l’état de santé ;
    • le handicap.

    Dès lors, aucun de ces motifs ne peut être retenu pour écarter une personne d’une procédure de recrutement

    Je rappelle également à cette journaliste que livrer un jeune étudiant de 20 ans à la vindicte populaire pour ses positions politiques n’est pas très joli, ni glorieux. L’éthique et la déontologie du journalisme ne font pas, que je sache, l’apologie de la délation.

    Abonnés Ouest France, ne renouvelez pas votre abonnement !

    Faut-il aussi supprimer l’armée et la police ? Cela va devenir palpitant !

    Rappelons à notre donneuse de leçons que dans ces deux institutions, on vote à 64% pour les partis RN et Reconquête, contre 33% pour la moyenne nationale. Qu’en pense notre journaliste démocrate modèle ? On supprime l’armée et la police ? Voilà qui devrait être palpitant lors des prochaines émeutes !

    https://www.emilemagazine.fr/article/2021/11/28/vote-des-militaires-droite-toute

    On ne peut que saluer la décision du responsable de Reconquête Bretagne, qui porte plainte contre Ouest-France et la journaliste, tout en apportant son soutien au jeune étudiant injustement ciblé pour ses opinions politiques.

    En revanche on ne peut que regretter que le maire de Lorient culpabilise à outrance en jurant qu’on ne l’y prendrait plus, au lieu d’assumer son choix, puisqu’il est interdit de fliquer ses employés municipaux selon leur appartenance politique. Il vient de déclarer pour se justifier :

    « Le service des ressources humaines de la Ville a procédé à ces recrutements vers fin mai, début juin, sur la base du CV et des compétences (le chef de la police municipale est normalement associé à la sélection). Sans avoir googlisé les candidats. On le fera très certainement à l’avenir »...

    Il devrait lui aussi s’informer sur la discrimination à l’embauche…

    Ce maire n'est qu'un arriviste et un lâche ( qu'on se souvienne comment il s'est désolidarisé des militaires anti casseurs lors des dernières émeutes à Lorient ! ...).

    Tout cela démontre une fois de plus combien nos élus sont des lâches face aux médias, jusqu' à interdire même quand le pays est à feu et bientôt à sang aux patriotes et nationalistes de réagir face aux émeutes et défendre les idées de liberté et de souveraineté nationale .

     

    Jacques Guillemain

     

  • La presse française aux ordres du gouvernement et des lobbies financée toujours et encore plus par nos impôts !

    Fin août,  Macron a déclaré vouloir donner 483 millions d’euros à la presse, qui souffre de la crise économique, afin de maintenir la pluralité dans ce secteur...

    Le problème est que ces aides ne servent qu' à contribuer à la survie d’un système sclérosé qui a perdu peu à peu la confiance de la population.


    Dans son rapport annuel de 2018, la Cour des comptes mettait en évidence des disfonctionnements dans les aides à la presse, notamment l’opacité des modalités du dispositif de soutien. Elle constatait par exemple que « certaines exonérations fiscales ne sont pas chiffrées » et que « le secteur de la presse se voit appliquer des régimes particuliers très favorables par certaines législations ». De plus, les documents budgétaires fournis ne permettent pas, selon la Cour, de jauger avec exactitude l’ampleur de ces aides ! ...

     

    Selon le Sénat, la dotation à l’AFP représente un peu moins de la moitié des aides à la presse. En effet, dans le projet de loi de finance pour 2019, les crédits alloués à l’AFP représentaient 133,4 M€, un montant en hausse. Une situation qui est liée, en partie, au statut particulier de l’Agence qui l’empêche de mobiliser des financements. L’Agence France-Presse, du fait de sa structure unique, ne possède en effet aucun capital social, une situation qui rend impossible de trouver un préteur privé pour financer ses investissements. S’il y a eu une volonté de moderniser les statuts par la direction au fil des années, celle-ci n’a pas donné de suite de crainte de mouvements sociaux au sein de l’Agence. Le résultat est que l’AFP possède un budget de 300 millions d’euros qui est proche de celui de l’agence Reuters News. Mais là où cette dernière appartient à un groupe valorisé à plus de 12 milliards de dollars, l’AFP n’a pas la capacité d’attirer des capitaux privés.


    En outre, il ne faut pas oublier le problème de la distribution, contrôlée par Presstalis, société devenue France Messagerie en 2020 après sa liquidation judiciaire. Presstalis était issue des Nouvelles Messageries de la presse parisienne créés en 1947, étroitement liées au Syndicat général du livre et de la communication écrite CGT.

    L’influence de France Messagerie est loin d’être anodine. La coopérative possède de facto le monopole de la distribution des quotidiens nationaux. Cela explique que la CGT puisse, comme elle l’a fait en mai 2019, bloquer la diffusion de journaux s’opposant à ses revendications.

    La radicalité de ses méthodes n’est pas nouvelle : en 1991 ont été découvertes, dans les entrepôts des NMPP, 5000 armes qui avaient été stockées pendant la guerre froide en prévision d’une possible révolution communiste, ce qui impliquait bien sûr de s’assurer la maîtrise de la presse.

    Par tous les moyens apparemment ! Les pouvoirs successifs ont fermé les yeux. Le gouvernement actuel a cherché à sauver Presstalis : en 2018, un prêt de l’Etat de 90 millions lui a été accordé sur 5 ans ; en 2020, la société a reçu 33 millions pendant le confinement, auxquels se s’est ajouté un prêt de 35 millions en mai.


    Au final, l’intervention de l’Etat ressemble plus à une nième usine à gaz qu’à une bouée de sauvetage. La crise devrait être l’occasion de remettre à plat le système plutôt que de tenter de le maintenir tel quel.

    Les Français se méfient de la presse et ils ont raison 

    Les partisans des aides d’Etat pour la presse et la distribution arguent souvent qu’elles relèvent de l’intérêt général et garantissent une information de qualité. Sauf que le résultat n’est pas là : la population est de plus en plus méfiante envers les médias.

    En 2019, un sondage d’Ipsos Global Advisor montrait que seulement 36% des Français faisaient confiance à la presse papier ; en Allemagne, ils sont 65% et aux Etats-Unis, 52%.

    Les Français considèrent même carrément, à 47%, que la presse écrite ne traite pas l’information de manière honnête - contre 64% en Allemagne et 53% aux Etats-Unis.

    Ces chiffres varient peu lorsqu’il est question d’autres medias (audiovisuel et internet). Ce ne sont pas les aides de l’Etat qui changeront la donne.
    La presse allemande, elle aussi, reçoit des aides, mais moindres qu’en France, et jusqu’en 2020 elles n’étaient qu’indirectes, comme aux Etats-Unis. Le gouvernement allemand a maintenant institué des aides directes d’un montant de 40 millions par an. A titre de comparaison, selon le Sénat, elles se montaient à 217 millions en France, en 2019. Aide indirecte, la TVA allemande est réduite à 7%, mais reste moins favorable que le taux de 2,1% français. Et pourtant, le système de distribution est plus étendu et les ventes meilleures en Allemagne qu’en France. Ainsi en 2017, Bild, le quotidien le plus diffusé, vendait quotidiennement environ 1 688 000 exemplaires contre 685 000 pour le torchon Ouest France.


    La constatation s’impose : les aides, en France, profitent surtout aux groupes de pression. Et sans aucun rapport avec la qualité de l’information !

     

  • L' exemple TRUMP face au pitoyable MACRON .

    Les données que vient de publier le Census Bureau, organisme statistique américain, sont absolument impressionnantes.

    Fin 2019, le revenu médian des ménages a augmenté de 4.379 dollars pour atteindre 68.700 dollars, en hausse de 6.8 % par rapport à l’année 2018. Après inflation, ces revenus ont atteint leur plus haut niveau depuis 1967. Cette augmentation du revenu médian est presque 50 % plus élevée que celle durant la présidence d’Obama et elle a profité surtout aux minorités. Grâce à la politique économique de Trump, plus de 4 millions de personnes sont sorties de la pauvreté qui chute à son niveau de 1959 principalement pour les Noirs dont le taux de pauvreté n’a jamais été aussi bas.

     

    De même, le taux de pauvreté des Américains a baissé de 1.3 points par rapport à l’année 2018, tombant à 10.5 %, ce qui n’était jamais arrivé depuis 1959, année où l’on a commencé à le mesurer.

    Environ 4.2 millions de personnes sont sortis de la pauvreté entre 2018 et 2019. Le taux de pauvreté des Noirs a diminué (par rapport à 2018) de 2 points de pourcentage, celui des Asiatiques de 2,8 points et celui des Hispaniques de 1,8 points. Le taux de pauvreté des Noirs (18.8 %) et celui des Hispaniques (15.7 %) sont au niveau le plus bas jamais connu. Tandis que la pauvreté infantile a connu, elle aussi, une baisse deux fois plus importante que durant les années Obama.
    Encore plus impressionnant : la part du cinquième quintile, c’est-à-dire celui qui comprend les ménages les plus pauvres, a diminué à 9.1 % en 2019 alors qu’elle représentait 10.4 % des ménages en 2016 et 11.2 % en 2010. Et ce sont les trois minorités, hispanique, asiatique et noire, qui en profitent surtout, plus que les Blancs. Entre 2018 et 2019, le revenu médian des ménages hispaniques a augmenté de 7.1 %, celui des Asiatiques 10.6 %, celui des Noirs de 7.9 % et enfin, celui des Blancs, de 5.7 %. En fait, durant les trois premières années du mandat de Trump, le taux de pauvreté des minorités a baissé plus que celui des Blancs et le revenu médian des minorités noires, hispanique et asiatiques a augmenté plus que le revenu médian des ménages blancs ! Ceux du quintile le plus pauvre ont donc pu plus facilement accéder au quintile supérieur. Les données montrent que la part des ménages américaines avec des revenus entre 75.000 dollars et 200.000 dollars est passée de 34.4 % en 2016 à 36.1 % en 2019 (elle était de 32.8 % en 2010).

     

    En trois ans, sous Trump, le salaire médian des Noirs a augmenté plus qu' en huit ans sous Obama

    A noter aussi ces statistiques ignorées par la plupart des médias. Fin 2019, avant la crise du Covid, le taux de chômage des Noirs était à 5.4 %, un score jamais atteint depuis les années 1970. Sous Obama, il n’a jamais fait mieux que 7.5 %. Durant les trois premières années de la présidence Trump, le salaire hebdomadaire médian de la minorité noire a augmenté de 19 % contre seulement 11% durant les deux mandats d’Obama, huit ans ! Trump, président raciste ? Et toujours selon les données qui viennent de sortir, la rémunération médiane des femmes a augmenté de7.8 % en une année contre 2.5 % pour les hommes.
    Ces succès économiques et sociaux s’expliquent, non par un renforcement de la redistribution et une augmentation des aides sociales, mais par les baisses d’impôts et la suppression des réglementations. La politique économique et fiscale lancée par Trump en novembre 2017 sous le nom de « Tax Cuts and Jobs Act », une promesse de campagne, aura changé l’économie américaine. Elle a donné un véritable bol d’air, et aux ménages et aux entreprises avec de nombreuses mesures audacieuses, que les Américains attendaient. Par exemple la baisse de la taxe sur les bénéfices des entreprises (de 35 % à 21 %) et la suppression de plusieurs autres, comme la taxe minimum de 20 % sur les bénéfices effectifs.

     

    Sur les quatre derniers mois, l' économie a créé plus d' emplois nets qu' entre 2009 et 2012

    Cette réforme, c’était aussi une véritable remise à plat de l’impôt sur le revenu afin de le rendre plus simple et plus lisible. Autre fait remarquable : depuis 2017, pour chaque réglementation adoptée, l’administration Trump en a supprimé 22 en moyenne ! Mieux encore : depuis le début de la pandémie, plus de 600 mesures de déréglementation ont été prises, la plupart concernant le secteur de la santé, afin d’accélérer la recherche sur les nouveaux traitements, faciliter les tests et la mise sur le marché de produits innovants.
    La crise du Covid a cassé la dynamique de l’économie américaine. Mais les données de début septembre montrent qu’elle est en train de reprendre son souffle très rapidement. En août, 1,4 million d’emplois ont été créés, tandis que le taux de chômage a reculé de 1,8 point de pourcentage pour s’établir à 8,4%. Depuis mai, en seulement quatre mois, ce sont plus de 10,5 millions d’emplois privés qui ont été créés, soit environ la moitié de ceux qui avaient été perdus durant la récession. Après la crise de 2008-2009 il aura fallu trois ans pour enregistrer de tels progrès, et le taux de chômage était encore de 8,1% en août 2012 !
    Difficile de dire si, malgré ces performances, Trump sera réélu en novembre. Il l’aurait très probablement été, s’il n’y avait pas eu la pandémie. Mais quel que soit le résultat des élections, ses exploits économiques et sociaux ont été indéniables et, pour certains, pratiquement sans précédent. On lui avait collé l’étiquette à peine élu en 2016 : Donald Trump, milliardaire dans l’immobilier, allait forcément être le « président des riches ».

    Ainsi, les faits révèlent que ses mesures, les baisses d’impôts et de taxes et les suppressions des réglementations, ont bien profité aux classes moyennes, aux minorités et aux pauvres, honte à Macron, à son gouvernement et aux médias français !!