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  • Il n' y pas d'islam modéré !

    « Les tortionnaires se ressemblent… Ils appartiennent à la sombre patrie des bourreaux et insultent d’abord à notre espèce avant de salir, au hasard des guerres, le drapeau de leurs victimes » (Pierre Moinot)

     

    Le 22 septembre 2014, l'Etat  islamique (EI) a appelé sur les réseaux sociaux, le monde islamique « à tuer des citoyens, notamment Américains et Français, des pays formant la coalition internationale mise en place pour le combattre en Irak et en Syrie ».

    Dans un  message diffusé en plusieurs langues, sous forme audio en arabe  avec une traduction en Anglais, Français et Hébreu, son porte-parole, Abou Mohammed Al-Adnani a déclaré :

    « Si vous pouvez tuer un incroyant américain ou européen –en particulier les méchants et sales Français– ou un Australien ou un Canadien ou tout citoyen des pays qui sont entrés dans une coalition contre l'Etat islamique, alors comptez sur Allah et tuez-le de n'importe quelle manière ».

                Pour donner plus de poids à cette argumentation, le 24 septembre, le naïf, imprudent et inconscient otage Français, Hervé Gourdel, était, « pour l’exemple », décapité en Kabylie… (Le Département d’Etat américain avait pourtant informé les services français de ne se rendre en Algérie sous aucun prétexte. L’Algérie est sur la liste des pays extrêmement dangereux).

    Cet acte barbare déclencha, en France, un électrochoc d’une intensité jamais atteinte auparavant…

    Et pourtant !... Des égorgements et décapitations, il s’en produit, chaque jour, des dizaines –voire, des centaines- en terre d’Islam sous la sombre indifférence d’un monde par trop égoïste et blasé de tant de violence comme, l’exécution cet été, par l’Etat Islamique de 700 personnes d’une tribu syrienne fidèle à Bachar El-Assad et, à Racca (Nord de la Syrie), de soldats de l’armée régulière dont les têtes ont été plantées sur des poteaux en guise de trophées et largement diffusées sur le net. Début novembre, 600 autres membres d’une tribu Bounemer, en Irak ont connu le même sort…

    Le 16 novembre 2014, une nouvelle vidéo mise en ligne par l’Etat Islamique met en scène la décapitation de dix-huit soldats syriens et de l’otage américain Peter Kassig… qui a adopté le prénom d’Abdul Rahman après sa conversion à l’Islam fin 2013… ce qui ne l’a pas épargné pour autant.

    Depuis le début de ce conflit, nos médias n’ont eu de cesse –comme pour minimiser l’horreur de ces exécutions- de véhiculer l’idée qu’Hervé Gourdel, James Foley, Steven Sotloff, David Haines avaient été décapités… comme la guillotine permettait de le faire il y a encore un demi-siècle, en France. Cela fait plus « propre » et heurte moins les sensibilités… mais la vérité est tout autre. Ces hommes ont été égorgés comme des moutons, exécutés avec une bestialité innommable dans le but de terroriser la victime, la faire souffrir et la reléguer au rang d’animal… ce qui rend actuelle la remarque de Confucius : « Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté ». Cette barbarie accomplie, on les a alors décapités, puis on a posé leur tête sur leur corps. Et quelle que soit la victime sacrifiée, le but à atteindre et les procédés utilisés sont les mêmes…

    On agenouille l’otage, mains liées dans le dos devant une caméra. Durant un laps de temps effroyable d’angoisse qui doit sembler une éternité pour lui (ce qui ajoute à son tourment), le bourreau cagoulé harangue l’occident et la chrétienté. Et pas un secours humain à espérer, rien, personne !... et l’horreur de voir venir sa mort… Puis c’est un bref silence durant lequel le temps paraît suspendre son cours… Une face de bile noire s’écrase sur la victime… Un geste de sacrificateur et l’éclair d’une lame qui s’abat déclenchant aussitôt une salve d’Allah Akbar !… Avec un crissement horrible, elle entaille le cou, pénètre, hache et tranche dans la gorge du supplicié son dernier hurlement sous les vociférations bestiales d’une meute assoiffée de sang tandis que la main libre du bourreau écrase les yeux de la victime.

                Ces scènes reproduites à l’infini dans un but précis atteignent à l’horreur d’une cérémonie ensanglantée par des sacrifices humains… Et le choix de l’égorgement au couteau ne doit rien au hasard… « Dans une société acclimatée à la violence par arme à feu, au cinéma et à la télé, l’Etat Islamique devait se démarquer et gravir un degré supplémentaire dans l’horreur », explique le criminologue Patrick Morvan. « Cette barbarie sanglante est une opération de communication », précise-t-il.

    En effet, les membres de l'État islamique ou autres djihadistes maîtrisent parfaitement la mise en scène de leurs forfaits. Question marketing de la terreur, il semble difficile de les concurrencer sur ce terrain-là.… Les images sont aussitôt diffusées sur les réseaux sociaux dans un but précis : Répandre la terreur !... Laisser la peur envahir les citoyens du monde et,  en premier lieu, les Arabes eux-mêmes, sachant qu’elle demeurerait tapie en eux comme une bête cruelle et s’installerait pour des temps infinis.

    Et cette décapitation relève, en réalité, d’une culture, d’une coutume, d’un rituel, d’une tradition institués par Mahomet qui déclara dans un hadith : « Ô gens de Qoraïch ! Écoutez bien ! Au nom de celui qui détient mon âme entre ses mains, je suis venu à vous par l’égorgement ! »

    Et, joignant le geste à la parole, le fondateur de l’Islam ordonna la décapitation, en l’an 627, de tous les hommes pubères de la tribu juive des Banu Qurayza après la « bataille de la Tranchée » (800 à 900 personnes) et la réduction de leurs femmes et enfants en esclavage.

    « L’Envoyé d’Allah les fit chercher et les décapita dans les fossés alors qu’ils lui étaient amenés par groupes. Ils étaient 800 à 900 », rapporte à cet effet l’historien musulman Ibn Ishaq dans sa biographie de Mahomet (« Sîrat Rasûl Allah », c’est-à-dire « Biographie du Messager de Dieu »), écrite entre l’an 740 et l’an 770.

                Depuis lors, pour justifier leurs décapitations, les barbares se réfèrent au Coran qui, dans sa Sourate 8, 12-13, précise :

    « Et ton Seigneur révéla aux Anges : « Je suis avec vous : Affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants [les non-musulmans]. Donc frappez-les au-dessus des cous [décapitez-les] et frappez-les sur tous les bouts des doigts [amputations]. Cela, parce qu’ils ont désobéi à Allah et à son messager ».

                Par ailleurs, quand les pères, chaque année lors de la « Fête du mouton » (l’Aïd el-Kebir),  apprennent à leurs jeunes garçons à égorger des moutons, ils les rendent, de fait, mentalement insensibles à cet acte barbare qu’ils considèrent naturel, adéquat et juste, approprié à la situation dans laquelle il est accompli.

    Devenus adultes, ils pérennisent à leur tour cette coutume de l’abattage qui, inéluctablement, débouche sur d’inévitables agressions barbares comme, entre autres, celle pratiquée sur les sept marins italiens à bord de leur navire dans le port de Gigel (anciennement Djidjelli), sur les sept moines trappistes français du monastère de Tibhirine enlevés en mars 1996 et retrouvés décapités deux mois plus tard et sur les deux religieuses espagnoles qui aidaient des familles malheureuses dans un quartier pauvre à Alger… autant d’actes monstrueux commis au nom de cet islam que la « bien pensante » qualifie toujours de religion « de paix et d’amour, pacifique et tolérante ».

                Les âmes chagrines disent que la conscience se révolte au spectacle de certains crimes. Nous sommes ici –comme hier, en Algérie- en présence du plus monstrueux florilège du crime qui puisse se concevoir. Ce n’est pas de guerre –au sens conventionnel du terme qu’il s’agit- mais d’extermination ! De massacres perpétrés dans des conditions atroces sur des innocents. Les images qui représentent ces égorgements, ces décapitations, ces visages mutilés au couteau, ces corps déchiquetés, ces femmes vitriolées, lapidées après avoir été violées, reculent les limites assignées à l’horreur. Ni l’amour, ni les bienfaits ne suffiraient à vaincre ce fléau, car ces trésors prodigués pendant des mois, des années, seraient –comme hier, en Algérie- ramenés au néant par un seul cadavre abandonné la gorge ouverte au travers d’une piste ou pendu à l’entrée d’un village.

                Churchill s’est écrié un jour : « Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre ! ». Dans cette logique, la guerre d’Algérie a produit des monstres tout aussi ignobles que ceux qu’il nous est donné de découvrir aujourd’hui et c’est parce que l’on s’est toujours désintéressé de ce douloureux passé que l’on voit, désormais, reproduites à l’identique, ressurgir tant de créatures du diable… et le diable n’apparaît qu’à celui qui le craint.

     

     

  • Non, l' IVG n'est pas un droit .

     
    Le 26 novembre sera soumise au vote des députés une proposition de résolution « visant à réaffirmer le droit fondamental à l’interruption volontaire de grossesse ».

    Ce texte n’a pas de portée normative (une résolution n’est pas un texte d’élaboration d’une loi) mais il exprime l’avis de l’ensemble de l’Assemblée nationale : il a donc une portée symbolique forte.

    Il énonce deux contre-vérités :

    -L’IVG serait « un droit fondamental », ce qui est juridiquement faux car l’IVG est en réalité une dérogation au principe de « respect de l’être humain dès le commencement de sa vie » (article 16 du code civil)
    -Il existerait un « droit universel des femmes à disposer de leur corps », alors que ce droit n’existe dans aucun texte national ou international.

    La portée symbolique est d’autant plus forte que ce texte est signé non seulement par les présidents des groupes de la majorité de gauche, mais encore par les présidents des deux groupes de l’opposition UMP (Christian Jacob) et UDI (Philippe Vigier).

    Les députés doivent savoir que de nombreux citoyens n’acceptent pas que des représentants de la nation célèbrent comme un droit l’atteinte à la vie humaine.

    Pour comprendre les enjeux de cette proposition de résolution, la Fondation Jérôme Lejeune a publié une analyse (Lire l'analyse ici).

    Pour vous mobiliser par mail, une trame de texte est proposée ci-dessous, que vous pouvez copier / coller et envoyer aux députés de votre boîte mail . Vous trouvez également ici une liste des coordonnées des députés de l’opposition (copier/coller la colonne EMAIL).

    Merci par avance pour votre implication !
     

     
    Modèle de lettre à copier / coller et à envoyer aux députés.
     

     
    Madame, Monsieur le député,

    Vous connaissez la proposition de résolution déposée par Mme Catherine Coutelle, présidente de la délégation aux droits des femmes, visant à « réaffirmer le droit fondamental à l’interruption volontaire de grossesse en France et en Europe ».

    Ce texte sera soumis au vote des députés mercredi 26 novembre prochain.
    Il énonce deux contre-vérités :

    - L’IVG serait « un droit fondamental », ce qui est juridiquement faux car l’IVG est une dérogation au principe de « respect de l’être humain dès le commencement de sa vie » (article 16 du code civil)
    Ainsi, la loi exprime de la manière la plus explicite qui soit que l'IVG est une "atteinte" à un "principe", celui du respect de l'être humain au commencement de sa vie. Juridiquement, une atteinte ne saurait être un droit, encore moins un droit fondamental.

    Un droit fondamental est un droit reconnu par une norme conventionnelle ou constitutionnelle. Or, aucune norme constitutionnelle française ne reconnaît l'IVG.

    - Il existerait un « droit universel des femmes à disposer de leur corps »,

    Un tel droit n’est inscrit dans aucun texte national ou international. Par ailleurs cette notion est de nature à développer l’avortement eugénique, et à justifier notamment la procréation médicalement assistée de convenance, la congélation d’ovocyte de convenance, la gestation pour autrui, la prostitution.

    Même si une résolution est un texte dénué de portée normative, cependant il est révélateur de l’avis du Parlement, encourage le gouvernement à agir, et il impacte l’opinion.

    A ce titre, je ne comprendrais pas que le législateur vote un texte erroné sur le plan juridique.
    Je ne comprendrais pas qu’un représentant de la nation célèbre comme un droit l’atteinte à la vie humaine.
    Je compte sur vous.
    Respectueuses salutations.
     

  • Demain, les robots prendront vos emplois…

     

    Par Jan-pierre Dickès

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    C’est à un véritable séisme économique auquel il faut s’attendre dans les années qui viennent. Les Canuts de Lyon s’étaient révoltés contre l’apparition des métiers à tisser qui réduisit toute une partie de la population à la misère la plus totale. C’est ce qui est en train de se passer dans les pays industrialisés par l’arrivée des robots. Tous les gouvernements depuis quarante ans ont laissé s’accumuler les charges sociales des entreprises au profit d’une administration tentaculaire faisant de l’État une sorte de pieuvre gigantesque absorbant l’énergie nationale. Le coût du travail est tellement élevé qu’effectivement une grande partie des métiers se voit menacée.
    Il va de soi que l’informatique a mis au chômage des milliers de secrétaires orientées vers les professions de santé par exemple. Il en est de même dans tous les domaines. L’automatisation des chaînes de montage des voitures a éliminé des milliers d’ouvriers. Mais nous n’avons encore rien vu.
    Prenons un exemple qui concerne ma profession. Cela fait cinq ans que pour un coût très peu élevé il est possible d’acquérir un électrocardiogramme qui fait le diagnostic et propose un traitement de cardiologie. L’homéopathie est complexe et sont mis en vente des programmes proposant des arbres de décision. Combien de temps cela prendra-t-il pour voir un véritable effondrement du nombre de certaines spécialités médicales ?
     
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    Nous allons avoir dans les années qui viennent un nombre d’emplois automatisés absolument considérable. Les robots vont faire irruption dans notre vie quotidienne. Il y a cinq ans Paris Match présentait un personnage qui avait acquis un robot sexuel qui lui donnait satisfaction qualitativement et quantitativement. Mais il y a sur le marché actuellement des robots journalistes, guides de musée, serveurs, assistants psychologiques virtuels, pompiers, gardiens de nuit, chauffeurs, agents de sécurité, policiers etc.
    Dès aujourd’hui c’est l’avenir d’un million et demi de fonctionnaires qui est en jeu. Les banques en ligne éviteront de passer par des employé(e)s. Toutes les transactions se feront d’un Smartphone. Les caisses en libre-service automatisées remplaceront les caissières. Tout le secteur de l’hôtellerie sera géré par des robots. Agents de gardiennage, vigiles, entretien, tourisme, tout cela sera rapidement pris en charge par des humanoïdes. L’éducation nationale n’aura plus besoin de recruter : l’enseignement se fera par Internet à domicile et plus besoin pour les étudiants de se déplacer pour assister au cours magistraux. Nous nous passerons très vite du mammouth d’Allegre. Ce seront des robots qui garderont nos enfants. Conjointement l’effondrement des professions liées à l’agriculture, la pêche et la marine déjà mal en point se trouvera accéléré ; l’automatisation prendra soin des « mille vaches ». La construction des maisons n’aura plus besoin ni d’architectes ni de techniciens de surveillance. Passons le travail des métaux, de la mécanique qui a déjà été livré depuis longtemps aux robots. Idem pour le bois. Des voitures entièrement conduites par des robots sont sur le marché japonais. Toute une partie de l’imprimerie est en perdition en raison du matériel informatique que chacun peut acquérir. L’administration peut commencer à licencier. Quant à l’artisanat il est quasiment en disparition dans nos pays occidentaux en raison du coût extravagant de l’heure de travail. Exemple très simple : ce qui se nomme la dorure sur tranche n’a plus en France qu’un seul artisan pour maintenir le flambeau de cet art.
    En clair d’ici dix ans c’est presque la moitié des emplois qui pourraient disparaître plongeant dans la pauvreté la moitié de la population comme c’est déjà le cas en Grèce.
     
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    Et alors ? Et alors ? Et alors ? Zorro n’est pas arrivé. C’est toute une pédagogie à repenser : celle de l’orientation de nos enfants. Or les politiciens sont essentiellement orientés vers leurs propres ambitions électorales. Qui se soucie du travail qui restera en France dans 20 ou 30 ans ? Qui nous parle ce langage de vérité qu’un enfant comprendrait ? La seule morale qui subsiste est simple : « Après nous le déluge… ». Nos enfants nous maudiront.