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  • Le prétendu " art contemporain " .

    Samedi, l’hôtel de la Monnaie de Paris, monument historique construit sous Louis XV pour abriter une institution fondée en l’an 864 et devenue un établissement public industriel et commercial (EPIC), a inauguré en ses murs une exposition d’art contemporain dans le cadre de la Fiac (Foire internationale d’Art contemporain). Pas n’importe quel art contemporain. Il s’agit pour l’hôtel de la Monnaie de Paris d’accueillir Paul McCarthy et ses “sculptures” sordides et obscènes inspirées de “jouets sexuels”.

    Auparavant, Paul McCarthy s’était illustré en érigeant son “sex toy” gonflable place Vendôme, présenté comme un « sapin de Noël » géant  alternatif. Fort heureusement, un acte de résistance à ce mauvais goût avait dégonflé l’infâmie. Tandis qu’un communiqué de Civitas rendait hommage à la ou les personne/s ayant mis fin à cette mascarade, François Hollande, président de la République, affirmait “être du côté de l’artiste souillé dans son œuvre”. En terme de souillure, il suffit pourtant de consulter l’article assez complet qu’Olivier Berruyer du site les crises.fr a consacré à Paul McCarthy pour comprendre que la souillure est le fonds de commerce de ce soi-disant artiste.

    Si François Hollande se souciait véritablement de l’Etat qu’il prétend gouverner, c’est l’honneur souillé de la France qu’il devrait défendre. Autrefois la France était un phare dans le domaine des Arts et des Lettres. Désormais, elle n’est plus que le terrain d’exposition des turpitudes de quelques esprits dépravés portés au pinacle.

    Les médias nous ont aussi appris que si Paul McCarthy n’a rien vendu pendant trente ans, il a aujourd’hui parmi ses acheteurs le richissime homme d’affaires François Pinault. Avec l’aval de la fausse gauche et de la fausse droite, l’une comme l’autre esclaves du veau d’or et se vautrant dans la décadence, Paul McCarthy peut donc tranquillement exposer ces “plugs anaux”  et autre “Père Noël un peu queer” ( selon le quotidien de Pierre Bergé) dans l’enceinte d’un monument historique.

    Nul doute que s’il prenait à quelqu’un l’idée saugrenue d’organiser une telle exposition dans un lieu historique de la Pologne, de la Hongrie ou de la Russie, il ne faudrait que quelques heures pour que quelques centaines, voire quelques milliers, de gens décidés, viennent empêcher un tel naufrage de l’intelligence. Malheureusement, les quarante dernières années ont émasculé la volonté des hommes de France pour qui la vertu de force ne signifie plus rien si ce n’est l’incompréhension.

    Pour enrayer ce déclin, il ne suffit pas de protester mais il importe plus que jamais de former les intelligences au discernement. C’est pourquoi Civitas vient d’éditer un numéro de sa revue qui analyse les mécanismes provocateurs de ce qui nous est présenté comme l’art contemporain. Un dossier d’une quarantaine de pages est intitulé “Le prétendu art contemporain : le démasquer, s’y opposer”. On y trouvera notamment :
    - une réflexion philosophique sur l’Art et le Beau, par l’Abbé Renaud de Sainte-Marie ;
    - une analyse de la consécration du subjectivisme à travers le prétendu art contemporain ;
    - une réflexion profonde sur ce que c’est qu’être artiste, par le peintre contemporain Guillaume Le Baube ;
    - un entretien avec la journaliste Anne Brassié.

    Commandez, lisez et diffusez cette revue afin de remettre en place les idées et de lutter contre la supercherie qui consiste à faire passer les “performances” les plus répugnantes pour des œuvres artistiques.

  • La Taqiya, dissimulation islamiste, fait des ravages dans les prisons françaises .

     

     

    Selon le Figaro , un rapport du député UMP Guillaume Larrivé intitulé: «Pour un plan d’action anti-radicalisation islamiste en prison», pointe les dangers de l’islamisme propagé dans les prisons aujourd’hui.

    Il faut préciser que cette propagation est déjà ancienne, elle existe depuis 20 ans au moins, mais selon lui elle a changé de mode opératoire, elle est aujourd’hui camouflée.  

    «Alors qu’environ 60 % de la population carcérale en France, c’est-à-dire 40.000 détenus, peuvent être considérés comme de culture ou de religion musulmane, la radicalisation islamiste est aujourd’hui susceptible de concerner plusieurs centaines de détenus.» explique-t-il.

    L’élu, qui a planché sur le budget de l’administration pénitentiaire pour 2015, recommande une thérapie de choc: « La création d’Unités spécialisées anti-radicalisation (USAR) pour les détenus de retour du djihad», «La sonorisation des prisons», «le rétablissement des fouilles» et «le blocage des portables non autorisés».

    Guillaume Larrivé rappelle que, dans les prisons aujourd’hui, les «signes extérieurs de radicalisation ont presque totalement disparu, laissant la place à une radicalisation et à un prosélytisme beaucoup plus discrets et, partant, plus difficiles à repérer.» Il ajoute: «Cette stratégie de dissimulation ou de camouflage est théorisée par certains radicaux sous le nom de Taqyia.»

    La Taqiya est la loi de la dissimulation qui est préconisée par le Coran et à laquelle les musulmans font appel à chaque fois qu’ils le jugent nécessaire pour la propagation ou la préservation de l’Islam. Le mensonge et l’hypocrisie sont alors des vertus pour tout musulman face à des non-musulmans. Il est heureux que ce député mettre cette pratique en exergue, si seulement le pape François et autres ecclésiastiques bien-pensants pouvaient en tenir compte, ils dialogueraient moins avec eux...

    Christiane Taubira toujours à la manœuvre pour l’anti-France

    Guillaume Larrivé met en cause l’action de Christiane Taubira à la tête du ministère de la Justice: «l’essentiel des marges de manœuvre créées par la loi de finances pour 2015 au sein du budget de l’administration pénitentiaire se trouvent, en réalité, absorbées par la mise en œuvre de la «loi Taubira», c’est-à-dire par la volonté de privilégier une approche de «traitement social» des délinquants, en dehors de l’enceinte pénitentiaire», déplore-t-il.

    Il précise: «Votre rapporteur pour avis ne peut que regretter vivement que le gouvernement ait fait le choix de privilégier le maintien en liberté, dans le cadre de la contrainte pénale, de délinquants dont la place est en prison et de procéder à des augmentations des effectifs de conseillers d’insertion et de probation qui ne permettront pas d’assurer un contrôle sérieux des condamnés.»

    Selon lui, cette politique se fait «au détriment de la poursuite d’un programme immobilier adapté aux besoins de notre pays et de la sécurisation de nos établissements pénitentiaires.» Les crédits seraient mieux employés, conclut-il, «s’ils étaient affectés à la mise en place d’un véritable plan de lutte contre la radicalisation islamiste dans les prisons qui reste à bâtir.»

    Le Figaro de demain, 23 octobre, donnera de larges extraits de ce rapport.

    Il reste tout-de-même étonnant que des téléphones portables puissent être autorisés dans les prisons, même à titre exceptionnel ainsi que le précise ce rapport. Ne doutons pas que les imams vont encore en profiter pour demander à être plus nombreux, se présentant comme des remèdes au mal, alors que c’est surtout depuis que les mosquées poussent comme des champignons dans notre ex-douce France, que l’Islamisme se radicalise. On sait que déjà des aumôniers dans l’Armée et ailleurs ont été remplacés par des imams…

  • La franc-maçonnerie, des sectes sataniques .


    La franc-maçonnerie, des sectes sataniques .

     
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    Daniel Keller, “grand maître” du Grand Orient de France (GODF), tire la sonnette d'alarme :« L’antimaçonnisme est aujourd’hui avec l’antisémitisme et l’homophobie l’un des trois symptômes de la crise de la République. » Bouh, ça fait peur !...
    Le GODF, plus importante obédience maçonnique, lance une campagne nationale contre « la dangereuse résurgence de l’antimaçonnisme ». Un cycle de conférences a donc été entamé à Lille samedi soir et se poursuivra jusqu’en mai à Strasbourg, Lyon, Avignon, Toulouse, Bordeaux, Nantes et Rouen. Car, bien entendu, l’antimaçonnisme est “une menace pour les fondements de la République » ! 
    Sans surprise, les catholiques ont été pointés du doigt. L’historien Yves Hivert-Messeca a rappelé les “heures sombres”, les écrits pontificaux condamnant la franc-maçonnerie et a effrayé son auditoire à propos du « climat épouvantable » qui a permis qu’en 1934 soit déposé un projet de loi visant à interdire la franc-maçonnerie.
    Quant au journaliste Jiri Pragman, il s’est inquiété du rôle « d’Internet et des réseaux sociaux ». Et de s’émouvoir que, lorsque l’internaute recherche sur Google « la franc-maçonnerie est… » , il lui soit proposé comme réponse par le moteur de recherche « …une secte satanique ».
    franc-maçonnerie-secte-google