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Partis politiques - Page 3

  • En 2023, la hausse de la taxe foncière s’apparente à un racket fiscal des propriétaires .

     

     
    Taxe-foncière 
     

    Hausse moyenne de la taxe foncière s’échelonnant entre 7,1% et 59% : 2023 sera une année noire pour les propriétaires immobiliers !

    Tant que le fruit rend du jus, il faut le presser. L’année 2023 risque de mettre sur le flanc des millions de contribuables locaux déjà en prise avec une inflation alimentaire galopante, et pris au piège de la fiscalité locale.

    Le rendement des taxes foncières (35,3 milliards d'euros en 2021), sur les propriétés bâties et non bâties va faire un bond significatif.

    Ces taxes touchent près d’un Français sur deux. En 2022, la taxe foncière a coûté 29 milliards d'euros aux contribuables.

    Et 2023 sera pire. Cette année, ce sera la double peine.

    La taxe foncière va augmenter pour deux raisons.

    D’abord, le montant forfaitaire des bases cadastrales a été revu à la hausse de 7,1% après le vote de la loi de Finances, en décembre dernier. Il avait déjà bondi de + 6,1% en 2022.

    Cette valeur locative représente le niveau de loyer annuel théorique qu’une propriété produirait si elle était louée. C’est l’une des bases servant au calcul de la taxe foncière.

    Cette valeur théorique est ensuite modifiée par des coefficients forfaitaires d’actualisation et de revalorisation.

    Effet mécanique de cette hausse de 7,1% appliquée urbi et orbi : quelles que soient les communes, toutes les taxes foncières subiront cette augmentation.

    Second facteur d’augmentation, beaucoup de collectivités, privées de taxe d’habitation font jouer la fiscalité locale pour pallier cette perte de revenus.

    Théoriquement ce manque à gagner devait être compensée par une dotation globale de fonctionnement (DGF), mais celle-ci a baissé entre 2014 et 2017 (- 11 milliards d'euros) et le compte n'y est pas.

    Taxe foncière : les collectivités incapables de réduire leur train de vie

    Plutôt que de se serrer la ceinture, la plupart des collectivités se tournent vers les propriétaires fonciers pour sauvegarder leur train de vie.

    Au final, si la fin de la taxe d’habitation a soulagé les locataires, elle a pour effet d’accabler des propriétaires à qui les collectivités reprennent d’une main ce qui leur a été donné de l’autre par l’État.

    Dans certaines villes, la hausse 2023 de la taxe foncière va atteindre des niveaux stratosphériques, notamment à Paris où à rebours de sa promesse électorale, la maire socialiste a annoncé pousser les feux de + 59,1 % (52% +7,1%) en un an !

    Le taux d'imposition passe ainsi de 13,5% à 20,5%. Ce coup de massue devrait rapporter 580 millions à la Ville.

    Parmi les plus beaux dérapages, on peut aussi mentionner + 25% à Grenoble, + 14,3% à Metz ou encore de + 9% à Lyon.

    L'outre-mer et la région francilienne sont les zones où la taxe moyenne est la plus élevée.

    Cette année, les augmentations sont si élevées qu’elles risquent de provoquer un risque social.

    Interrogé sur BFMTV, Christophe Demerson, président de l'Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI), estime notamment qu’à ce rythme, les classes moyennes, à qui l’exécutif promettait de l’aide il y a encore quelques jours, ne pourront plus rester chez elles.

    Les personnes âgées, dont le revenu est gelé, figurent parmi les principales victimes de l’emballement de la fiscalité locale.

    Ces hausses vont aussi naufrager les propriétaires bailleurs puisque le modèle économique se lézarde avec des rendements négatifs sur plus de la moitié du territoire, ajoute l’UNPI.

    Ces hausses de la fiscalité locale peuvent être remises en cause.

    Ainsi, à Marseille, des recours ont été déposés auprès du tribunal administratif par un conseiller municipal d’opposition et plus de 230 propriétaires marseillais s’opposant à l’augmentation de la taxe foncière 2022.

    En avril dernier, le rapporteur public a fini par annuler les hausses de taux des taxes foncières et la Ville pourrait être contrainte de restituer 50 millions d’euros à ses administrés !

     

  • Une immigration forcenée, voulue et contrôlée par la Franc-Maçonnerie

     

    La France a subi trois invasions allemandes, elle subit une quatrième invasion, l’immigration, majoritairement islamique. Au problème démographique s’ajoute le problème religieux.

    Les trois premières étaient militaires et volontaires : les envahisseurs venaient avec leur armée. La quatrième est sournoise : les envahisseurs infiltrent le pays homme à homme, année après année. Il y a occupation, en douceur, sans combats … pour le moment.
    Les trois premières étaient partielles. Les Allemands n’ont jamais occupé tout le territoire, ni en 1870, ni en 1914, ni en 1940. Aujourd’hui, l’occupation vise tout le territoire, y compris l’outre-mer.

    Les trois premières étaient européennes : les Allemands étaient de culture chrétienne, parmi eux des protestants et des néo-païens. Leur occupation n’aurait pas changé la culture chrétienne de la France. La quatrième invasion, faite d’extra-Européens, fortement islamique, a une connotation religieuse extra-chrétienne. Selon Pierre Brochand, elle est « sans précédent historique, massive, croissante, cumulative, pilotée par les juges, très éloignée culturellement, économiquement dysfonctionnelle, budgétairement coûteuse, potentiellement conflictuelle, impopulaire, irréversible ».

    L’extrême gauche a obtenu en justice que soient distingués Islam et islamisme. Cette décision de justice érige une autorité civile en juge religieux. L’État décide en matière religieuse, subvertit la laïcité. Mais il y a un seul Islam avec ses croyances et ses rites. Le but de l’Islam est la conquête, quelles qu’en soient les étapes et les tactiques. C’est la doctrine de « l’Oumma », la nation musulmane que les fidèles doivent contribuer à établir sur la terre entière. Ce fait religieux a des incidences politiques : l’Islam prône une théocratie.


    Pour Mélenchon, franc-maçon, anticlérical haineux, athée ennemi de Dieu, les religions sont des « chicayas » qui troublent l’ordre public, sauf l’Islam. Cette position a déjà été suggérée au temps des Lumières, référence de Mélenchon.

    L’Islam est un instrument des forces occultes pour nous détruire.

    Mais ces forces occultes ne laisseront pas achever la conquête. Les musulmans participent à la déchristianisation de la France, mais ils n’en feront pas un pays musulman. L’Islam sera lui aussi interdit. En effet, l’ennemi des forces occultes est le catholicisme et Dieu. La Synagogue de Satan veut éradiquer le catholicisme, mais ce n’est pas pour lui substituer l’Islam, c’est pour établir une religion mondiale de l’humanité, cosmique et satanique, une gnose naturaliste. Elle utilise toutes les formes de religion pour abattre le catholicisme : l’Islam, le protestantisme, le bouddhisme, le Zen, le New Age, le wokisme.

    Pour les Grands Initiés, l’Islam doit servir, mais pas se servir.

    Dans leur esprit, l’Europe entière, puis le monde doivent être soumis, non pas à l’Islam, mais au « Roi du monde ».
    La pire occupation n’est pas l’occupation de l’immigration, occupation d’en bas, mais l’occupation du politique, occupation d’en haut. L’anti-France est au pouvoir, et elle veut lancer les musulmans contre les chrétiens, contre les athées. Tout le monde sera victime, y compris les immigrés, et au premier chef les enfants lancés dans la Révolution.
    Les gauchistes poussent à l’immigration musulmane en France et en Europe, mais ils méprisent l’Islam, ils méprisent toutes les religions.

    Parmi les ennemis de Dieu, figurent les Juifs apostats et les Francs-Maçons.

    La Franc-Maçonnerie spéculative, née en 1717, a été l’œuvre des Rose-Croix qui vénéraient Lucifer. Les Rose-Croix avaient appelé à la révolution anti-catholique. Leurs héritiers maçons ont préparé, mené et poursuivi cette Révolution. Les événements résultent d’un complot de forces occultes diaboliques. Les Francs-Maçons se sont compromis dans la Révolution avec la Finance apatride.
    Les Francs-Maçons, cosmopolites donc anti-catholiques et anti-Français, pro-immigration, sont des ennemis de la France.

    Les Francs-Maçons, initiés orientaux, sont anti-occidentaux. Le Grand Orient de France ne s’appelle pas le Grand Occident.

    L’immigration est voulue par la Finance apatride qui veut réduire en esclavage et les immigrés et les autochtones.

    L’immigration, instrument de la guerre des loges contre l’Occident, est un mot d’ordre maçonnique.

    Toutes les obédiences maçonniques sont immigrationnistes, même la Grande Loge Nationale Française. La GLNF est favorable à l’islam. Elle respecte un grand Architecte qu’elle prétend Dieu. Elle pratique des rites communs aux obédiences qui ont accueilli des athées. Elle partage l’omerta sur les crimes communistes dont les maçons athées se sont rendus coupables. Elle est complice de ces crimes.

    La distinction d’une Maçonnerie régulière et d’une Maçonnerie irrégulière est donc fictive. Les obédiences maçonniques nombreuses se disputent, mais la Franc-Maçonnerie spéculative est une. Sa « religion » est une gnose naturaliste, une gnose illuminative qui réunit toutes les obédiences dans un culte cosmique anti-chrétien : la Nature est le seul principe.

    Les Francs-Maçons sont des « co-Allah-bos ». L’islam est une religion cosmique qui leur sert d’instrument pour lutter contre la civilisation chrétienne. En effet, tous les maçons modernes héritent des Rose-Croix, qui eux-mêmes héritaient de l’hermétisme, de l’Islam et de la Kabbale. C’est pourquoi leur « tolérance » est à géométrie variable.

    La Franc-Maçonnerie accepte toutes les religions, sauf le catholicisme. La Franc-Maçonnerie impose l’indifférentisme, l’égalité des religions, mais l’histoire a toujours démenti ce conformisme. La Franc-Maçonnerie ment au peuple, et le mensonge est une signature.
    Le dogme des « Droits de l’homme » réunit toutes les loges. En son nom, les Juifs et les gauchistes instrumentent l’Islam, et un jour interdiront les religions, dont l’Islam.

    Les "Droits de l’Homme" participent à la destruction de la France. Les Droits de l’Homme, philosophie de la Révolution, complot maçonnique qui a institué la République.

    La République est donc maçonnique. Par conséquent, la République est anti-française et met à mort notre nation traditionnelle. La République favorise l’immigration islamique pour déchristianiser la France. La République n’est pas au service du peuple, elle est l’ennemie du peuple.

    Les révolutionnaires veulent rendre la situation irréversible. Si le pays de la Révolution abandonnait la Révolution, l’effet « domino » mettrait en cause le mondialisme. Notre nation, historiquement la plus symbolique, est devenu un laboratoire de l’irréversible. Et notre pays est particulièrement enclin à se soumettre. La masse est plutôt collaborationniste.

    Dans l’immédiat, l’immigration cause la ruine et le malheur. A la ruine économique, s’ajoute le péril religieux. L’Islam est une menace. Les anticléricaux ont éliminé le catholicisme, ils « bouffent encore du curé », mais l’imam est nettement moins comestible. Avec l’immigration islamique, l’identité de la France est en voie d’être supprimée. La République et ses fausses élites trahissent la France et les Français depuis des décennies .


    La France et l’Europe se laissent pénétrer par le cheval de Troie de l’immigration. L’Union européenne conduit cette politique à l’insu des peuples, sous couvert d’humanitaire. En effet, la toile de fond marxiste explique le succès de l’offensive islamiste : l’islam est la religion du pauvre.

    Au renoncement de la culture européenne, correspond l’affirmation de la culture musulmane. La normalisation de la culture islamique accompagne le refus des valeurs occidentales traditionnelles. La neutralisation de la pensée occidentale garantit l’affirmation d’un Islam conquérant.

    Le délit d’opinion permet d’éliminer toute critique de l’islam et de faire taire les Européens.

    L’islam a déclaré une guerre culturelle à l’Europe, et ses meilleurs alliés sont les intellectuels qui vendent la culture occidentale. Le déclin de l’intelligence, le déclin du savoir, le déclin des connaissances, participent à cette régression culturelle.
    Le « Pacte mondial pour les migrations », signé le 10 Décembre 2018 à Marrakech, couronne la politique d’immigration. Le pacte mondial prône « l’élimination de toutes les formes de discrimination dont le racisme, la xénophobie, et l’intolérance, à l’endroit des migrants et de leurs familles ».

    Les rédacteurs définissent l’esprit du pacte : « Les migrations ont toujours fait partie de l’expérience depuis le début de l’histoire, et nous reconnaissons qu’à l’heure de la mondialisation, elles sont facteur de prospérité, d’innovation et de développement durable, et qu’une meilleure gouvernance peut permettre d’optimiser ces effets positifs. ».
    Pas une seule fois n’est mentionné le respect des identités nationales. En revanche, les mots « travailleurs » et « travail » apparaissent à maintes reprises. Ce texte donne un cadre humanitaire au grand marché des esclaves du siècle qui vient, à une traite humaine. Nos sociétés devront être inclusives et multiculturelles. Toute protestation sera sanctionnée comme « crime de haine ».

    Par le pacte de Marrakech, le pouvoir prépare la submersion du pays par « l’armée de réserve du Capital », c’est-à-dire par l’immigration massive et permanente financée par le peuple. Les États signataires s’engagent à « recadrer le discours sur les migrations » afin d’en montrer « le rôle positif ». Les auteurs présentent le pacte comme « symbolique » et « non-contraignant », ils cherchent à éviter tout débat démocratique sur le sujet.


    Le traité de Troyes de 1420, signé » par la reine Isabeau de Bavière et le duc de Bourgogne Philippe III, stipule que, après sa mort, le roi de France Charles V aurait pour successeur le roi d’Angleterre Henri V. Le traité de Troyes donnait la France aux Anglais. Le pacte de Marrakech donne la France aux étrangers, avant de la donner au gouvernement mondial.

    L’immigration de masse doit conduire à l’uniformisation de l’être humain. Avec la religion humanitaire, ou religion des droits de l’homme, la promesse de perfection sociale réclame la négation de toute différence entre les humains. Au nom de l’humanité divisée, les droits de l’homme visent à la régénération des hommes par l’instauration sur terre du bien absolu.

    Le bien absolu met en œuvre une idéologie de l’identité entre tous les humains. Les peuples  européens se sont dotés de longue date d’un haut niveau de savoir et de développement économique et social. Pour le millénarisme humanitaire, leur disparition constitue l’équivalent de ce que fut pour le millénarisme communiste l’obsession de détruire la bourgeoisie.

    La civilisation de l’Europe occidentale est condamnée parce que sa population est blanche, et son niveau de vie est perçu comme une injustice. Les zélateurs du millénarisme des droits de l’homme, grands bourgeois intellectuels ou financiers, se conduisent comme des tyrans fascistes. Ils font payer au peuple leur train de vie fastueux : la rigueur n’est pas pour eux, le métissage n’est pas pour eux, la servitude n’est pas pour eux.
    Le socle de cette religion humanitaire est le dogme du mêmisme, le dogme du « tous pareils », l’indifférenciation entre tous les humains, une idéologie de l’identité entre tous les humains.

    Au nom de ce dogme, les Européens sont sommés de disparaître en tant que civilisation, en tant que nations … pour se fondre dans le grand tout d’une humanité mondialisée. Le millénarisme humanitaire est capable de broyer des millions d’êtres humains, comme le millénarisme communiste l’a fait. Dans les deux cas, au nom de l’amour...


    Et les Européens éprouvent une sensation de supériorité morale à s’effacer au profit d’autrui. La haine de soi, la culpabilisation, la repentance constituent un moyen de faire passer l’autre avant soi.

    Jean Saunier

     

  • Acharnement contre Vincent Reynouard : la France délivre contre lui un second mandat d’arrêt !

     

    L’ACHARNEMENT contre Vincent Reynouard atteint des niveaux inouïs.

    Alors que la justice écossaise devait décider le Jeudi Saint, le 6 avril, de son extradition ou non vers la France, voici que, lors de l’audience “relais” du 9 mars, les autorités françaises ont délivré contre le militant révisionniste un second mandat d’arrêt (voir l’interview de l’intéressé en page 3). Pourquoi cela ?

    Tout simplement parce qu’elles avaient conscience que leur dossier était mal ficelé, l’affaire mal engagée car, répétons-le, outre-Manche le révisionnisme historique n’est pas un délit.

    Le général de gendarmerie, le très conformiste Jean-Philippe Reiland, patron de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et contre les crimes de haine (sic !), dès l’arrestation par six policiers britanniques le 10 novembre 2022 du valeureux chercheur, avait pudiquement évoqué « des difficultés juridiques ». Mais, ajoutait-il, cela ne doit pas empêcher la police et la justice françaises de traquer les auteurs de « crimes de haine ». Accuser Vincent Reynouard de commettre des « crimes de haine », c’est particulièrement fort de café quand on connaît sa personnalité qui est incapable d’éprouver la moindre haine envers qui que ce soit. Craignant de perdre leur proie, les pouvoirs publics aux ordres du Lobby de la Mémoire ont donc décidé d’ajouter de nouvelles charges contre l’historien révisionniste afin d’obtenir son extradition vers la France. C’est ainsi qu’on l’accuse tout à coup d’incitation à la haine raciale à propos d’une vidéo de 2020 où il parle des juifs. Or tout esprit intellectuellement honnête et objectif ne peut déceler la moindre haine dans cette production. Mais qu’importe, comme dit l’adage, qui veut noyer son chien l’accuse d’avoir la rage.
    Ce nouveau mandat d’arrêt, dont Vincent et son avocat, Paul Dunne, n’ont eu connaissance que lors de l’audience “relais” du 9 mars, a pour conséquence directe et immédiate le prolongement de deux mois supplémentaires du séjour en prison à Edimbourg du militant révisionniste. En effet, les magistrats écossais ne rendront finalement leur décision quant à l’éventuelle extradition de Vincent que le jeudi 8 juin 2023. De sorte qu’il sera resté au minimum sept mois derrière les barreaux, de novembre 2022 à juin 2023, de manière tout à fait arbitraire. Car encore une fois il n’a commis aucun délit au regard de la loi britannique. Son arrestation et sa détention sont donc scandaleuses. Et l’acharnement des autorités françaises à son endroit est tout à fait révoltant. On a d’ailleurs mis les grands moyens pour le repérer, le traquer et l’appréhender puisqu’on sait maintenant que le contre-espionnage britannique s’en est mêlé comme si l’on avait eu affaire à un dangereux terroriste, à un poseur de bombes.
    Mais c’est qu’en réalité la bombe que constitue le révisionnisme historique est beaucoup plus redoutable pour les dirigeants actuels car elle met ouvertement en question la clé de voûte du Système mondial depuis 1945. Et c’est pourquoi, bien que Vincent Reynouard soit isolé, esseulé, suivi et soutenu par un nombre limité de personnes, il faut absolument le faire taire. Il a fallu aller le chercher au fin fond de l’Ecosse dans un introuvable lieu-dit, dans la modeste chambre d’hôte qu’il occupait au premier étage d’une maison délabrée, aux alentours du petit port de pêche d’Anstruther sur la côte est, au nord d’Edimbourg. Le Système actuel ne souffre pas même un murmure, pas même un bourdonnement. Il faut que le silence se fasse, que la vérité officielle règne partout, à l’école, dans les médias, sur la Toile, dans les cerveaux et les consciences, dans les esprits et dans les âmes.

    CE FAIT n’est pas nouveau. Il n’est que de voir la façon dont Vincent Reynouard a été traité depuis qu’il a osé s’intéresser de près à la tragédie d’Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944 et que, contrairement à beaucoup d’historiens qui se contentent de lire des livres et de les régurgiter, il s’est rendu sur place, a mené une enquête sérieuse, longue et approfondie, a interrogé les villageois contemporains du drame, a examiné de fond en comble l’église et le clocher, a étudié de près les corps des cadavres, lui qui est ingénieur chimiste de formation, a analysé les différents témoignages et dépositions pour juger de leur crédibilité, de leur cohérence, de leur véracité. Le premier livre qu’il a écrit et publié sur la question, Le Massacre d’Oradour-sur-Glane : un demi-siècle de mise en scène, en 1997, a été interdit. La cassette vidéo qu’il a réalisée sur le même sujet a été elle aussi interdite en 2001 et on a même utilisé pour l’occasion une disposition destinée à protéger les bonnes mœurs des mineurs ! A deux reprises, le tribunal et la cour d’appel à Limoges, en 2003 et en 2004, ont osé condamner le chercheur pour un délit qu’il n’avait pas commis. On l’a en effet condamné à trois mois puis à six mois de prison ferme pour apologie de crime de guerre. Mais comment pouvait-il faire l’apologie d’un crime dont précisément il contestait l’existence ? Comme à cette époque la contestation d’un crime de guerre n’était pas un délit, contrairement à la contestation d’un crime contre l’humanité (depuis la loi Rocard-Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990), il a donc fallu tordre le droit pour pouvoir le condamner. Cela n’a gêné ni le juge d’instruction qui l’a mis en examen pour apologie de crime de guerre, ni les magistrats en première instance et en appel qui l’ont jugé à Limoges dans un climat de terreur.
    Il est d’ailleurs impressionnant et en même temps terrifiant de constater que de longues décennies après les faits on ne puisse pas disposer de la liberté de recherche, d’expression et de publication sur les événements de la Seconde Guerre mondiale. On parle régulièrement de la mort du communisme mais en réalité ses méthodes, son état d’esprit, ses façons d’être et d’agir n’ont peut-être jamais été aussi prégnants. Le règne du mensonge, la désinvolture vis-à-vis de la justice et de la vérité n’ont peut-être jamais été aussi écrasants. Et ce hélas dans l’indifférence générale, dans un silence sépulcral. Faut-il que l’amour de la vérité et de la justice ait considérablement diminué dans la conscience de l’homme moderne pour que l’on accepte aussi facilement qu’un innocent soit à ce point bâillonné, maltraité, pourchassé, persécuté ?

    ET IL NE faut pas croire que Vincent Reynouard soit un cas isolé. Lorsqu’on ne dénonce pas publiquement et fermement une injustice, une ignominie, alors immanquablement les injustices se multiplient, se banalisent et finissent par avoir force de loi. Et c’est bien ce qui se passe actuellement. On ne compte plus les dissolutions arbitraires de mouvements, de groupements, d’associations que prononce régulièrement le ministre de l’Intérieur, Gérald Moussa Darmanin, alors même que lesdits groupements n’ont commis aucun délit, n’ont été impliqués dans aucune violence, dans aucun acte séditieux ou terroriste.

    Mais qu’importe, il suffit de déclarer, d’édicter que ce sont des associations incitant à la haine, et le tour est joué. Lutte contre la haine, que de crimes, que d’infamies on commet en ton nom ! C’est ainsi que certains sites communautaires, comme BTA (Balance ton antisémite), la LICRA et quelques autres, ainsi que le vice-président du CRIF, l’inénarrable Gil Taieb, demandent désormais aux pouvoirs publics l’interdiction de RIVAROL au motif que notre modeste publication, vieille de 72 ans, inciterait à la haine. On se permet ainsi de réclamer la tête de tous ceux qui n’ont pas l’heur de plaire, de tous ceux qui dérangent. Et hélas le plus souvent cet odieux chantage est couronné de succès. C’est ainsi que LCP, la chaîne parlementaire, a renoncé au dernier moment sous pression à un entretien avec Kémi Séba, agent d’influence du groupe russe Wagner, parce que ce dernier a tenu par le passé des propos jugés antisémites et négationnistes et que cela est insupportable au Lobby de la Mémoire. Il y a quelques semaines, une conférence prévue à Lyon à l’occasion du trentième anniversaire des accords d’Oslo entre l’entité sioniste et l’Autorité palestinienne, alors représentée par Yasser Arafat, a pareillement été annulée au dernier moment, à la suite des vives protestations et des violentes attaques du lobby judéo-sioniste parce qu’avait été invité à ce colloque, parmi bien d’autres participants, un avocat palestinien défendant les droits de son peuple à une terre et à un Etat. Or le Lobby le considérait comme un affreux terroriste. Il est vrai que le plus modeste soutien à la cause palestinienne est aujourd’hui assimilé à de l’antisémitisme et à de la complicité active avec le terrorisme. Voilà où l’on en est ! Mais là encore l’injustice nourrit l’injustice, le mensonge appelle le mensonge, la répression suscite la répression. Beaucoup se sont tus lorsque l’on a créé un ahurissant délit de négationnisme, empêchant la libre recherche et la libre expression sur l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Il n’y a aucune raison pour que l’injustice et la tyrannie ne s’étendent pas à d’autres questions, concernent d’autres domaines. C’est aujourd’hui la cause palestinienne qui est délégitimée, criminalisée, diabolisée. Et ses partisans avec elle. Mais ce qui est vrai pour la Palestine l’est également pour la famille et pour la nation française. Défendre la morale naturelle et la famille traditionnelle est aujourd’hui un délit nommé homophobie, transphobie, etc.  Lutter contre le Grand Remplacemernt, contre l’invasion migratoire est un délit appelé racisme, xénophobie. Et on pourrait multiplier le exemples. Tout ce qui déplaît au Système arc-en-ciel est considéré comme de l’incitation à la haine. C’est tellement facile !
    Nous sommes victimes d’un terrorisme intellectuel et moral de plus en plus violent, de plus en plus extrémiste, de plus en plus étendu qui a sans cesse besoin de chair fraîche, qui réclame quotidiennement que des têtes tombent, qui est assoiffé de sang, qui ne fonctionne que par la loi des suspects et par une impitoyable terreur. Plus que jamais le devoir de l’homme libre et brave est de résister calmement et vaillamment à cette oppression, à cette volonté d’engourdissement des consciences et d’asservissement des âmes.

     

    J.BOURBON