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  • L’éducation nationale a prévu de pervertir les enfants dès la maternelle .

     

    Même parmi les élus de La République en Marche, l’éducation sexuelle des enfants dès la maternelle, qui sera d’application dès la rentrée scolaire, crée des remous. Agnès Cerighelli, élue LREM, qui avait remis son rapport «Protection de l’Enfance et parentalité» le 9 avril 2018 à l’Elysée, a diffusé via son compte Twitter deux pages de ce qui est au programme.

     

    Les fous pervers qui nous gouvernent ont notamment prévu de faire découvrir aux enfants de quatre ans les « organes sexuels comme source de plaisirs nouveaux « . Il est question de « plaisir de s’exhiber et jeux génitaux « , de « l’intérêt érotique à l’égard des parents  » et de « manipulation consciente et répétée de certaines parties du corps et des organes génitaux « .

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    A l’âge de cinq ans, les documents officiels proposent la « découverte des rôles sexuels par le jeu », « jouer au papa et à la maman, familles avec deux mères/pères, monoparentales, jouer à être amoureux, à avoir des relations sexuelles », « faire l’expérience des premières (…) relations amoureuses avec des êtres du même sexe ou de l’autre sexe », « se caresser, s’embrasser »

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  • Macron promet aux ambassadeurs de France un combat « contre les nationalismes » ! ...

     

    Lundi à l’Elysée, Emmanuel Macron s’est exprimé devant les ambassadeurs français et s’est lancé dans un discours qui sent déjà la campagne pour les élections européennes.

    Le président de la république a promis aux diplomates français « un combat ». Pas un combat pour mettre fin à l’immigration illégale qui submerge l’Europe. Pas un combat contre le chômage ou l’insécurité. Un combat contre les « extrêmes et les nationalismes ».

    Plaidant pour une Union européenne plus forte, dans l’esprit mondialiste qui l’anime, Macron a pris pour cibles le premier ministre hongrois, Viktor Orban, et le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini.

    A la façon d’un Churchill du pauvre, Macron a déclaré que «Ce combat européen ne fait que commencer, il sera long, il sera difficile».

    «Nous sommes au milieu d’une crise européenne», a néanmoins avoué Emmanuel Macron.

    Mais au lieu de comprendre les inquiétudes des Français et de leurs voisins européens à l’égard d’une incessante succession de vagues migratoires qui conduit au grand remplacement, Macron a témoigné publiquement de son mépris, déclarant : «Les identités profondes des peuples ont resurgi avec leur inconscient collectif. Les extrêmes ont progressé et les nationalismes se sont réveillés. Est-ce une raison pour abandonner? Certainement pas […]. Il faut en réalité redoubler nos efforts».

    Pitoyable représentation du pays légal férocement hostile au pays réel.

    Deux visions opposées s’affrontent sur le thème de la gestion de l’invasion migratoire en Europe.

    Hier, à Milan, est né de la rencontre entre le premier ministre hongrois et le ministre de l’Intérieur italien un axe anti-immigration Rome-Budapest qui veut changer les règles fixées par Bruxelles au sujet des débarquements et de l’accueil des clandestins. Salvini et Orban ont été très clairs : il faut « revoir les traités pour arrêter ensemble les migrants. » Ils ont également attaqué Emmanuel Macron :

    « Il est à la tête d’une force européenne qui soutient l’immigration. »

    Aujourd’hui est parvenue la réplique macronienne aux dirigeants hongrois et italien :

    « Je ne céderai rien aux nationalistes et à ceux qui prônent ce discours de haine. S’ils ont voulu voir en ma personne leur opposant principal, ils ont raison »,

    a-t-il lancé à des journalistes lors de sa visite au Danemark avant d’ajouter :

    « Nous aurons dans les prochains jours et les prochains mois à prendre des décisions en profondeur pour traiter le sujet des migrations, cela suppose du sérieux et de l’esprit de responsabilité, en restant attaché à nos valeurs, comme le droit d’asile, avec une vraie politique vis-à-vis des pays d’origine et en interne. Ce n’est pas ce que proposent Orban et Salvini. »

    De Paris arrive donc un message tout aussi clair pour Rome et Budapest : l’Europe est en train de se diviser sur le front de l’immigration avec d’un côté un bloc pro-migrants, où se place résolument Macron, et de l’autre un bloc pro-identités défendu par Salvini et Orban. Macron, en insultant cette position identitaire, ferme tout dialogue sur les traités et active à nouveau l’affrontement.

    Matteo Salvini a commenté ironiquement les paroles de Macron :

    « Le principal adversaire de Macron, sondages à la clé, est le peuple français... Plutôt que de donner des leçons aux autres gouvernements qu’il ouvre en grand ses propres frontières, en commençant par celles de Vintimille. Et qu’il arrête de déstabiliser la Libye pour des intérêts économiques. »

     

     

  • Le tartuffe et totalitaire Hulot est parti; bon débarras ! ...

    Hulot, celui qui a convaincu Jacques Chirac d’inscrire le principe de précaution dans la Constitution est un dogmatique et un grand profiteur du marché qu’il pourfend dans les médias. D’un côté, il réalise des films engagés comme « Le syndrome du Titanic » dans lequel il tire à boulets rouges sur le capitalisme, la mondialisation et les entreprises tout en les accusant de tous les maux qui existent sur la planète. De l’autre, il mène rondement ses affaires grâce à sa société… on ne peut plus capitaliste. Ses déclarations de patrimoine l’ont bien montré. Ses charges ridicules contre le pétrole et la pollution de la planète devraient provoquer l’hilarité générale : il possède plusieurs voitures (huit) et autres « moteurs » !

    Avec Macron, il n’a pas réussi à « fermer le nucléaire » mais a eu gain de cause sur l’aéroport Notre-Dame des Landes. Et aussi sur l’alignement par le haut de la fiscalité du gazole sur celle de l’essence en octobre 2017. Il a aussi proposé la majoration, soit de la taxe foncière, soit des droits de mutation, soit les deux pour sanctionner comme il se doit les propriétaires qui s’obstineraient à ne pas soumettre leurs immeubles aux dernières normes énergétiques. Taxes, réglementations, normes… voilà en quoi consiste l’écologie de M. Hulot.

    A cela s’ajoute l’hystérie en faveur des énergies renouvelables dont les coûts ne cessent d’exploser. Au-delà de l’enlaidissement du territoire (tiens, M. Hulot n’a jamais proposé l’installation d’une éolienne à proximité de sa propriété de Saint-Lunaire !), elles ont montré leurs limites. Les Allemands, dont l’énergie est aujourd’hui deux fois plus chère qu’en France (0,30 euro le kWh outre-Rhin contre 0,14 euro dans notre pays), se posent de plus en plus de questions sur leur terrible choix d’avoir abandonné l’énergie nucléaire.

    Profitons de la démission de ce personnage, mélange d’idéologie totalitaire et de tartufferie, pour libérer l’écologie de son carcan dogmatique.

    Ce ne sont pas les taxes et autres réglementations qui « protègent la planète » mais l’innovation et le savoir-faire des hommes ! Grâce aux innovations, la pollution provoquée par les automobiles a baissé de 90 % depuis les années 1990 et cela malgré une très forte augmentation du nombre de voitures... Encourageons les innovations, et les problèmes écologiques seront mieux résolus. Nous n’avons pas besoin de ministres comme Nicolas Hulot, mais d’innovateurs. Ce sera beaucoup plus écologique et beaucoup moins coûteux !