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regroupement familial

  • Giscard et Macron, deux fossoyeurs acharnés responsables du génocide des français .

    S’il existe assurément une communion des saints, il existe tout aussi sûrement une communion des imposteurs.

    Le 3 décembre, dans son allocution télévisée, Emmanuel Macron a ainsi rendu un vibrant hommage à l’ancien président Valéry Giscard d’Estaing qui venait de décéder la veille, à 94 ans et 10 mois, des suites du coronavirus. En dressant le panégyrique de VGE, le chef de l’Etat faisait en creux l’éloge de sa pensée et de son action car l’actuel locataire de l’Elysée est sans doute celui qui, malgré un demi-siècle de différence, s’inscrit le plus et le mieux dans le sillage de l’Auvergnat. Comme Giscard, Macron est devenu président à la quarantaine. Il a même devancé là son prédécesseur puisqu’il a été élu à la magistrature suprême à 39 ans, là où l’ex-maire de Chamalières est devenu président à 48 ans. 

    Comme Giscard, Macron est fondamentalement un européiste forcené.

    Lors de la campagne présidentielle de 2017, l’ex-banquier d’affaires était le seul candidat à faire agiter sur les podiums et dans les salles de ses réunions des drapeaux de l’Union européenne. Giscard fut toute sa vie un européiste militant. Dans sa jeunesse, il militait pour les Etats-Unis d’Europe. Sous De Gaulle, il entendait incarner, avec sa Fédération nationale des Républicains indépendants, « l’élément centriste et européen de la majorité ». Elu chef de l’Etat, Giscard est à l’origine de la création en 1974 du Conseil européen, du lancement en 1978 du Système monétaire européen (SME), dont sortiront l’Union monétaire et l’euro. L’unité de compte européenne, l’écu, est créée en 1979, première étape vers la monnaie unique. On doit également à VGE l’élection du Parlement européen au suffrage universel direct.

    Une fois battu par Mitterrand en 1981, Giscard, qui fut élu onze fois député du Puy-de-Dome, occupa presque tous les mandats possibles et fut même élu académicien, poursuivit inlassablement son combat européiste. Il conduisit la liste RPR-UDF aux européennes de juin 1989, devint député européen. Il s’engagea fortement pour le oui à Maastricht en 1992 et, devenu président de la Convention pour l’avenir de l’Europe, qui élabora un projet constitutionnel pour l’Union européenne, il s’engagea fortement pour le oui lors du référendum du 29 mai 2005, qui certes échoua. Mais Sarkozy, deux ans plus tard, imposa par voie parlementaire le traité de Lisbonne qui reprenait les principales dispositions du traité constitutionnel de VGE. 

    Comme Giscard, Macron est avant tout un homme de la finance internationale et fait sienne une vision essentiellement économiste et mercantile de sa mission.

    VGE était inspecteur des finances, fut sous De Gaulle, puis sous Pompidou, ministre de l’Economie et des Finances et, pendant son septennat, c’est la dimension matérialiste et “économistique” de son action qu’il privilégia, au détriment de la défense de la civilisation, du patrimoine, de la famille traditionnelle et de la morale naturelle. On doit également à Giscard, alors qu’il était ministre des Finances de Pompidou, la loi dite Rothschild, du 2 janvier 1973, qui limite drastiquement le financement de l’Etat par la Banque centrale, ce qui conduisit les pouvoirs publics à s’endetter auprès d’acteurs privés et internationaux, prêtant avec de forts intérêts, ce qui est directement à l’origine d’une dette publique de plus en plus massive. Bien qu’officiellement libéral en économie, Giscard augmenta massivement les prélèvements obligatoires à chaque fois qu’il eut des responsabilités gouvernementales ou élyséennes. 

    Ministre de l’Economie et des Finances, il étend la TVA créée en 1954 et réservée initialement aux grandes entreprises aux commerces de détail. Sa réforme de l’impôt sur le revenu des personnes physiques accroît considérablement le nombre d’assujettis. Président, il institue en 1975 la taxe professionnelle, désastreuses pour les commerçants, artisans, petites et moyennes entreprises. Polytechnicien et énarque, il ne comprend pas que trop d’impôts tue l’impôt et que, pour réduire le chômage qui dépasse les un million officiels sous son mandat présidentiel et créer de la richesse, attirer des investisseurs, favoriser l’initiative, récompenser les talents, la créativité, il faut au contraire, réduire considérablement la pression fiscale sur les pauvres mais aussi sur les classes moyennes et supérieures qui créent de l’emploi et réinjectent l’argent qu’ils gagnent dans l’économie.

    A l'instar de VGE, Macron se veut résolument moderne.

    D’où le "couple" étonnant qu’il forme avec Brigitte, de très loin son aînée. D’où son soutien public et enthousiaste à la Gay Pride, aux musiques et “artistes” dégénérés (on l’a vu en juin 2018 lors d’une effarante Fête de la musique à l’Elysée, où un des danseurs, en grande partie dénudé, exhibait sur son maillot l’inscription « Fier d’être noir, immigré et pédé »), à la PMA pour les lesbiennes, etc.

    Avant lui, Giscard avait renoncé dès son élection au costume traditionnel en queue de pie. Sur la photographie officielle, il ne pose pas, contrairement à ses prédécesseurs, avec le collier de Grand Maître de la Légion d’honneur. C’est lui également qui met fin aux solennités de la fête de Jeanne d’Arc le deuxième dimanche de mai, en ne se déplaçant pas à la statue de la Pucelle place des Pyramides. Elu, il tient son premier discours en anglais, ce qu’il fera régulièrement par la suite. Macron agit pareillement. Giscard et Macron sont fondamentalement deux libéraux-libertaires. 

    On doit au premier la loi dépénalisant l’avortement le 17 janvier 1975, ce qui est à l’origine du génocide de plus de dix millions de bébés à naître en 45 ans et ce qui contribua à désacraliser l’enfance, à détruire les repères moraux, la loi instaurant le divorce par consentement mutuel le 11 juillet 1975, ce qui accéléra la destruction de la cellule familiale, favorisa l’infidélité conjugale et l’instabilité des couples et des foyers.

    Giscard est également à l’origine de la libéralisation, et donc de la massification, de la pornographie. L’idée avancée était que les gens pourraient ainsi se détendre et qu’il y aurait moins de crimes, notamment à caractère sexuel. Ce fut exactement le contraire qui se produisit, ce genre de spectacle nauséabond excitant au contraire les pulsions mauvaises et violentes et donnant une image totalement déformée, bestiale et avilissante de l’amour et de la sexualité.

    Bien plus tard, au moment du vote de la loi Taubira, Giscard se prononça en faveur du “mariage” homosexuel et de l’adoption.

    Bref, VGE est resté fidèle toute sa vie à de désastreuses options libérales-libertaires, sapant les fondements moraux et anthropologiques de la société.

    Sur le plan éducatif, on doit à Giscard la désastreuse réforme Haby qui créa le collège unique, réforme qu’on a pu, à juste titre, résumer par ce slogan « collège unique, collège inique » puisque, au nom d’une conception égalitariste de l’enseignement reposant sur le nivellement par le bas, méprisant la diversité des talents et des vocations, et négligeant donc l’apprentissage pour les métiers manuels, on a imposé un socle commun et une prolongation de la scolarité à des jeunes gens et des jeunes filles qui n’étaient pas faits et qui n’avaient pas le goût ou l’aptitude pour des études spéculatives. Enfin, par démagogie et par jeunisme, VGE abaissa l’âge de la majorité civile et électorale de 21 à 18 ans, une mesure qui profita à son adversaire socialiste, les deux millions de jeunes qui en bénéficièrent ayant massivement voté en 1981 pour François Mitterrand.

    A l'image de son prédécesseur, Macron n’a absolument pris aucune mesure contre l’immigration de masse, maintenant les frontières ouvertes (même pendant la farce du COVID), conservant, voire aggravant, toutes les mesures favorisant l’invasion et la submersion de notre pays. Mais Giscard et Chirac, alors Premier ministre, ont eu, quant à eux, une responsabilité historique encore plus grande en transformant l’immigration de travail en immigration de peuplement, par le décret du 29 avril 1976 instaurant le regroupement familial. C’est vraiment à partir de Giscard que le visage de la France commença vraiment à changer, avec une immigration de plus en plus imposante, même si ses successeurs immédiats ont encore aggravé le phénomène. 

    Avec sa loi sur l’avortement en 1975 et celle sur le regroupement familial en 1976, Giscard avait posé les conditions d’un carnage biologique et spirituel, d’un Grand Remplacement de la population, mais aussi des cœurs, des esprits et des âmes. Il a donc bien mérité de leur République mortifère et criminelle !

  • La loi Asile-Immigration de G. Collomb: un nouveau leurre aux dépens des français de souche et l' accélération du "grand remplacement"!

    Trop soft pour les uns, trop répressif pour les autres, qu’en est-il réellement ?

    Cette loi est sur le même schéma que les précédentes qui se succèdent depuis des décennies : le pack comprend quelques mesures répressives sur lesquelles toute la bien-pensance humanitariste et médiatique s’insurgent, ce qui permet de détourner l’attention des Français de l’ensemble des mesures laxistes allant toujours dans le même sens immigrationniste.

    Parmi ces dernières, une des plus graves concerne « l’extension du regroupement familial » qui conduira à un appel d’air supplémentaire pour les immigrés : les mineurs reconnus comme réfugiés ou protégés pourront faire venir leurs frères et sœurs, et non plus seulement leurs parents.

    Les autres points négatifs sont  :

    – la mise en place d’un schéma national fixant la part de demandeurs d’asile accueillis dans chaque région ;

    – l’aide au retour volontaire possible pour les étrangers en rétention : il s’agit d’une somme pouvant aller jusqu’à 2500 € donnée à chaque personne. Nous risquons de devenir l’Euromillions des étrangers : une fois retournés dans leur pays, ils reviendraient une nouvelle fois pour retoucher l’aide. Cela coûte déjà actuellement 6M: ce coût risque encore d’augmenter ;

    – l’augmentation insuffisante des délais de retenue administrative et des possibilités de rétention administrative : en réalité, la rétention devrait être la norme le temps de l’examen des demandes d’asile. (La rétention administrative ne se fait pas en milieu pénitentiaire, ce n’est donc vraiment pas une rétention de sanction) ;

    – sous couvert de lutte contre l’excision, la mise en place d’une authentique politique de rapatriement des parents, frères et sœurs des potentielles victimes de ces pratiques ;

    et enfin la réduction des délais de recours et développement de la vidéo audience amènent à une augmentation des coûts pour la justice française ; on assiste à une véritable préférence étrangère aussi en matière de justice.

    Des questions ont été sciemment oubliées telle la réforme des procédures de Dublin, sur le droit d’asile européen ; aucune mention du contrôle de Schengen ; et aucune mesure pour lutter contre le fléau des Mineurs Non Accompagnés (MNA) qui vont coûter près de 2 Mds€ aux départements pour 2017 et qui sont deux fois plus nombreux qu’en 2016.

    Concernant le droit d’asile en France et les expulsions de migrants sans titre, en situation irrégulière, les mesures du plan Collomb ne sont qu’un leurre ! La soi-disant instauration de « mesures renforcées de restriction, de contrôles et de ‘tris’, à des fins d’empêchement d’entrée ou d’expulsion et de bannissement du territoire », est un attrape-nigaud pour faire croire en une fermeté inexistante dans la réalité puisque de nombreuses contraintes techniques empêchent ces expulsions : déjà actuellement 96% des déboutés du droit d’asile restent en France (chiffre Cour des Comptes) ! Le quotidien ultra-bien-pensant La Croix lui-même explique qu’expulser plus de migrants est quasi impossible :

    « La chose est cependant plus facile à décréter qu’à faire. En 2016, rappelle le rapport du sénateur ­François-Noël ­Buffet, en métropole, sur 92 076 mesures d’éloignement prononcées, seules 16 489 ont été exécutées (18 %), soit de façon spontanée, soit de façon aidée, soit de façon forcée. De fait, seuls 12 961 retours forcés, autrement dit des expulsions, ont eu lieu cette année-là. Et force est de constater que les précédents gouvernements n’ont guère fait plus, avec 15 161 en 2014 sous la présidence ­Hollande, ou 12 031 en 2010, pendant le mandat Sarkozy. Ça va changer, assure en substance le ministère de l’intérieur. « En 2015 et 2016, les efforts avaient été un peu laissés de côté. L’an dernier, il y a eu une reprise de la mobilisation et les résultats ont suivi », explique-t-on place Beauvau. En 2017, effectivement, le nombre d’éloignements a augmenté de 10 % et les expulsions de 14,6 %. Mais, en valeur absolue, cela ne représente que quelques milliers de plus. Et la moitié des retours forcés a eu lieu vers l’Union européenne… d’où il est plus facile de revenir. »

     

    Cette énième loi sur l’asile et l’immigration n’est qu’une stratégie d’endormissement des Français… pendant ce temps-là l’invasion va continuer avec l’aide de nos gouvernements de droite et de gauche !