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communautarisme

  • Avec son “apartheid”, Valls encourage le communautarisme voire la guerre civile...

     

     
    Présentant mardi ses vœux aux journalistes, le Premier ministre n’a pas hésité à employer l’expression « d’apartheid territorial, social et ethnique » pour évoquer la situation catastrophique des banlieues françaises. Une expression à la fois anachronique et géographiquement inappropriée qui, non contente de montrer l’inculture de ceux qui nous gouvernent, abonde dans le sens de la culpabilisation de notre pays.

    « Les mots ont un sens »

    Ce n’est pas la première fois que Valls se hasarde à cette comparaison. En 2005 déjà, au lendemain des émeutes qui avaient mis à feu et à sang les banlieues, celui qui était alors maire d’Evry établissait ce parallèle douteux dans son livre La Laïcité en face. Depuis, il nous le ressert régulièrement, expliquant notamment en 2009, sur la chaîne Direct 8, « qu’un véritable apartheid s’est construit, que les gens bien-pensants voient de temps en temps leur éclater à la figure, comme ça a été le cas en 2005, à l’occasion des émeutes de banlieues ». Mardi, le Premier ministre est donc revenu à la charge en déclarant que « ces derniers jours ont souligné beaucoup des maux qui rongent notre pays » et « qu’à cela, il faut ajouter toutes les fractures, les tensions qui couvent depuis trop longtemps et dont on parle peu, (…) la relégation périurbaine, les ghettos, (…) un apartheid territorial, social, ethnique, qui s’est imposé à notre pays ».
    Des mots qui ont, bien sûr, suscité de vives réactions dans la classe politique. Ainsi le député UMP Philippe Gosselin, jugeant ces propos « vraiment excessifs », a-t-il rappelé que « les mots ont un sens » et que « la France aujourd’hui ne connaît pas l’apartheid que pratiquaient les dirigeants de l’Afrique du Sud ». Et de son côté, Florian Philippot a estimé pour le FN que le Premier ministre « a tenu des propos aussi irresponsables qu’insultants pour notre pays », ajoutant que Valls « ne peut ignorer que ses propos ne feront que jeter de l’huile sur le feu ».

    « Renforcer les processus de victimisation »

    En fait, comme le rappelait très justement le géographe Laurent Chalard, cité par le Figarovox, ces propos « sont particulièrement maladroits », parce que le Premier ministre « fait référence à un contexte historique et géographique très particulier (…) qui n’a strictement rien à voir avec la France et qui, si l’on suit sa définition stricto sensu, laisserait entendre que l’Etat français est responsable de cette situation, ayant volontairement “parqué” certaines populations dans des territoires réservés (nos grands ensembles étant nos bantoustans) et les empêchant de participer au reste de la vie de la société à travers une législation spécifique suivant l’origine ethnique des individus ». Une « interprétation erronée », ajoutait-il, qui « risque de renforcer les processus de victimisation et de déresponsabilisation déjà à l’œuvre parmi les personnes censées subir ce soi-disant apartheid » !
     
    F. DELETRAZ
     
     
    Commentaires: Valls et son gouvernement en parfaits marxistes,en quête de voix , tout en obéissant aux loges maçonniques, encouragent le communautarisme , l' immigration de masse( alors qu' il n' y a plus de travail et de logements pour les Français de souche), immigration qui nous mène à  la guerre civile et qui entraîne la destruction de la Nation Française .
     

  • Dans l' immédiat, le libéralisme serait une solution pour endiguer le communautarisme et le chômage.

    Après l’émotion, le moment est venu de faire le bilan et de passer à l’action. Le « sursaut républicain » ne doit pas rester un simple cache-sexe de l’impuissance publique. Il est d’ailleurs important de préciser que l’adjectif « républicain » qu’on entend à satiété ces jours-ci a été (ou est) utilisé dans l’ancienne URSS (qui était une République) comme en Iran (qui est aussi une… République islamique). Dans un moment de lucidité, les décideurs politiques comprendront peut-être que le moment est venu de faire les vraies réformes dont la France a tellement besoin? Non seulement en renforçant les services de sécurité, la police et l’armée mais aussi en renonçant au modèle social français et aux dérives de notre Etat providence.

     

    Oui, il faut un vrai Etat de droit qui se concentre sur ses véritables missions, en particulier la protection de ses citoyens. A condition qu’il soit efficace et qu’il ne gaspille pas l’argent des contribuables. Mais il faudrait commencer en amont et réformer l’école phagocytée par les syndicats et par l’idéologie marxisante.

    Inculquons aux enfants le goût du travail, du mérite et de la réussite.

    Il faut dire la vérité : tous les élèves ne se valent pas. L’égalitarisme est une utopie destructrice. Certains sont plus travailleurs et plus talentueux que d’autres et la seule possibilité de les rattraper est de travailler encore plus. Libérons les écoles et leur accordant une vraie autonomie, pédagogique et financière. Instaurons les chèques éducation et la concurrence entre les écoles, comme c’est le cas dans de nombreux pays comme la Suède, le Danemark, les Pays-Bas, l’Allemagne, la Grande-Bretagne, etc… Faisons de l’instituteur et de l’enseignant une personne à respecter et qui soit bien payée. Parallèlement, changeons les manuels qui déforment l’histoire de la France ou le monde de l’entreprise. Un vrai manuel d’histoire doit rappeler les racines chrétiennes de notre pays et celui d’économie doit encourager l’esprit entrepreneurial chez les élèves. Donnons-leur l’envie de créer une entreprise et de s’enrichir ! Arrêtons de condamner les patrons et les riches !

    Nos politiques – de droite et de gauche – doivent enfin comprendre que le modèle social français que tout le monde nous envie mais que personne ne copie est un échec et que l’Etat providence coûte de plus en plus cher et ne sert qu’à fabriquer des chômeurs.

    C’est bien l’Etat qui a fait faillite dans les banlieues. La politique de la ville comme celle de lutte contre le chômage des jeunes sont des échecs terribles malgré les dizaines de milliards d’euros dépensées.

    De plus, on a nié le phénomène d’islamisation des banlieues en menant une politique erronée qui considère que les "jeunes" sont des « victimes de la société ». Pourtant, certains ont eu le courage de tirer le signal d’alarme il y a pas mal d’années. Dans un ouvrage intitulé La guerre des rues (Plon, 1999), le sociologue Christian Jelen avait déjà montré qu’il n’existait pas de relation de cause à effet entre le chômage, la misère et les phénomènes d’insécurité et de violence. Après avoir enquêté sur place pendant plusieurs années, Jelen avait rassemblé suffisamment de données pour affirmer que des zones moins touchées par le chômage que la moyenne nationale et mieux entretenues (la banlieue de Strasbourg, les Yvelines dans la région parisienne) étaient le théâtre d’un taux de violence beaucoup plus élevé que d’autres régions comme le Nord de la France (Roubaix et sa banlieue) frappées de plein fouet par la désindustrialisation et la misère. C’est donc bien le communautarisme et l’intégrisme qui poussent ces jeunes à la violence et pas  la misère sociale.

    Il faudrait donc retourner aux racines mêmes du libéralisme qui est l’ennemi juré du communautarisme et de l’intégrisme. En privilégiant l’individu, il accorde une chance à tous au-delà de toute religion ou dogmatisme. En inculquant l’envie de réussir et l’esprit concurrentiel, il s’oppose au nihilisme et à l’égalitarisme. Contrairement au socialisme et au communisme, le libéralisme a la capacité de se réformer et de corriger ses défauts. Ce n’est pas un égarement, ni une utopie, et il n’a pas la prétention de fournir des recettes miracle en dupant ceux qui croient en lui. Il ne s’appuie que sur l’expérience. C’est peut-être la raison pour laquelle ses adversaires écartent tout dialogue (le plus souvent, il s’agit d’un monologue) sur le terrain des faits et des résultats et préfèrent le situer dans les hautes sphères de l’idéologie. Car on n’évalue jamais une idéologie. « L’économie de marché, écrit Jean-François Revel dans La Grande Parade (Plon, 2000), fondée sur la liberté d’entreprendre et le capitalisme démocratique, un capitalisme privé, dissocié du pouvoir politique mais associé à l’état de droit, cette économie-là seule peut se réclamer du libéralisme. Et c’est celle qui est en train de se mettre en place dans le monde, souvent à l’insu même des hommes qui la consolident et l’élargissent chaque jour. Ce n’est pas que ce soit la meilleure ni la pire. C’est qu’il n’y en a pas d’autre – sinon dans l’imagination. »

    Ce sont bien l’esprit de liberté et l’efficacité retrouvée d’un Etat à la dérive qui sauveront la France et non pas les déclarations larmoyantes ou les promesses démagogiques...