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valls

  • Selon la justice française (maçonnique), il est permis d’attaquer une manifestation officielle mais interdit de riposter ! ...

     

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    Ah, la fameuse justice républicaine !

    Clémente avec les antifas d’extrême gauche. Impitoyable à l’encontre des défenseurs de la famille.

    Débonnaire avec les Femen. Injuste et répressive à l’encontre des défenseurs de la Famille.

    Durant trois jours s’est tenu le procès de huit hommes accusés d’avoir agressé les Femen et la militante intégriste laïco-lesbienne Caroline Fourest. Les faits remontent à la manifestation de CIVITAS le 18 novembre 2012. Les Femen attaquent l’arrière du défilé de Civitas contre le projet de loi Taubira dénaturant le mariage. Les Femen, travesties en religieuses, cornettes sur la tête, se dépoitraillent et brandissent des gazeuses dont elles vident le contenu sur les manifestants venus en famille. Un nuage blanchâtre envahit l’endroit. Des vieillards, des femmes, des enfants, des petits en poussettes, sont la cible des gazeuses des hystériques militantes Femen.

    http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2014/01/Femen-agression_poussette-MPI.jpg

    Quel homme normalement constitué n’aurait pas cherché à intervenir pour protéger les familles agressées et repousser ces Femen ?

    Mais dans un monde où tout est inversé, ce sont les Femen, sorte de milice antichrétienne et blasphématrice, et leur complice Caroline Fourest qui les accompagnait, qui se présentent comme des victimes.

    Et ce sont les défenseurs de la famille qui sont accusés d’être des

    bourreaux ! ...

    Et tant pis si des reportages en faveur des Femen les ont montré s’entraîner pour cette attaque durant plusieurs jours, le visage rempli de haine anticatholique, sous le regard approbateur de Caroline Fourest.

    Et tant pis si des certificats médicaux ont été produits pour démontrer la toxicité du contenu des gazeuses utilisées par les Femen contre des familles venues paisiblement marcher en faveur de la conservation du mariage comme l’union d’un homme et d’une femme.

    Et tant pis si la plainte de Civitas contre les Femen, déposée au même moment, croupit toujours au fond d’un placard.

    La Cour a condamné sept des huit hommes poursuivis par ce qui ressort de la "justice française".

    F-X G. a été condamné à un an de prison avec sursis et 800 euros d’amende.

    R. L. a été condamné à six mois avec sursis.

    Tous deux sont également condamnés à verser à Caroline Fourest 2.000 euros de préjudice moral et chacun 500 euros de frais de défense.

    L. D. a été condamné à deux mois avec sursis. Tout comme un Colonel à la retraite.

    Deux autres jeunes hommes ont été condamnés à six mois avec sursis. L’un des prévenus, dont le parquet avait requis la relaxe au bénéfice du doute, a été condamné à un mois avec sursis.

    Au total, sept hommes ont été condamnés pour avoir riposté à une attaque menée par des Femen entraînées qui bénéficient toujours, elles, d’une totale impunité. Comme fut aussi le cas dans le procès qui opposait les Femen au service d’ordre de la Cathédrale Notre-Dame de Paris.

    Quoi d’étonnant quand on se souvient qu’il y a peu, la Mairie de Paris a été mise à disposition pour que la franc-maçonnerie accorde un prix à la dirigeante des Femen, devant des invités parmi lesquels plusieurs figures politiques telles que Manuel Valls, Jean-Pierre Chevènement, ou Anne Hidalgo.

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    Pauvre république !

     

     

     

  • Valls, un "enragé" franc-maçon du grand orient ...

     

    Sur le blog « franc et maçon de l’Express » est paru ce 19 mai 2015 une « révélation » qui explique mieux les aspects troubles de la personnalité de Manuel Valls. Nous avions appris que Manuel Valls avait un double visage et qu’il avait ré-écrit complètement sa propre histoire, qu’il était naturalisé français de fraiche date, qu’il avait  déclaré que par sa « femme [il était] lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël », nous savions encore que Pour Manuel Valls: « le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens», mais une grosse part d’ombre supplémentaire vient de sauter avec cette appartenance à la loge la plus révolutionnaire du révolutionnaire Grand Orient de France. Manuel Valls, le Premier ministre de François Hollande n’est pas un socialiste modéré, ce que certains se plaisent à croire, mais  un « enragé » au sens jacobin du terme, puisqu’il a fait « le choix de «ni maîtres ni dieux» comme loge-mère, pour son initiation maçonnique, en 1989. 

    L’année 1989, l’année du bicentenaire de la Révolution fêtée en grande pompe par la République, a été, en effet, une excellente année pour vendre son âme au diable.

    Selon cet article,  Manuel Valls a été membre du Grand Orient de France, de 1989 à 2005, alors que cela a été jusqu’ici tenu hermétiquement secret et n’apparaît dans aucune de ses biographies officielles, ni dans celles, déjà nombreuses, qui lui ont été consacrées, même pas dans le livre d’Emmanuel Ratier: le vrai visage de Manuel Valls, qui pourtant est chargé en révélations!

    Le secret n’est pas une rareté dans la secte maçonnique, lequel appartient à ses fondements mêmes. mais depuis que la laïcité a été reconnue religion officielle de la République par Vincent Peillon, ex-ministre de l’Education nationale, les frères trois points prennent certaines libertés avec le secret.

    On comprend mieux le verrouillage autour de cette question quand on apprend « le choix de sa loge-mère, «ni maîtres ni dieux», où il fut initié en 1989 , un atelier de trublions, de rebelles, de libertaires, d’anarchistes, de socialistes autogestionnaires ou de communistes, » commente Alain Bauer.

    Au terme de plusieurs semaines d’enquête, L’Express publie ce 20 mai un dossier de couverture titré «Un franc-maçon nommé Valls».

     

    Dans cet article de l’Express, Alain Bauer, maçon haut gradé du GODF, raconte que « le parrain de Manuel Valls fut en fait le rocardien Jean-Pierre Antebi, à l’époque Grand Secrétaire aux Affaires extérieures au Conseil de l’ordre du GODF, et que les deux hommes ont été présentés par le frère Yves Colmou (27 ans plus tard, il est aujourd’hui l’un de ses plus proches conseillers à Matignon). C’est Antebi qui a entraîné Valls dans la loge qu’il avait contribué à fonder en 1986, « ni dieux ni maîtres », qui avait à l’époque pour Grand maître Roger Leray.

    Il est tout-de-même amusant d’avoir un Grand maître, pour une loge qui prétend n’avoir ni dieux ni maitres… 

    Alain Bauer, pillier du Grand Orient de France, des ministères et des grandes administrations estime lui-même que cette loge était révolutionnaire au sein du Grand Orient, déjà réputé comme la plus extrême des maçonneries:

    J’ai pu rencontrer plusieurs anciens vénérables maîtres (qui se faisaient appeler «maillet d’Orient») de Ni maîtres ni dieux où Manuel Valls venait «s’encanailler», alors qu’il était déjà un socialiste ambitieux, conseiller au cabinet de Michel Rocard, à Matignon, dit-il.

    Selon l’auteur de l’article, son parrain, Jean-Pierre Antebi,  était extrêmement « fier de sa recrue pour laquelle il voyait il y a un quart de siècle un destin de président de la République ! »

    Manuel Valls restera six ans et demi à «ni maîtres ni dieux» avant de changer de loge fin 1995, car les jours des tenues (réunions) deux fois par mois n’étaient pas compatibles avec ses obligations au siège du PS. Là, il ne cherche pas midi à quatorze heures : il demande à Alain Bauer d’organiser son transfert dans la loge dont il est le vénérable maître, L’Infini maçonnique.

  • Le vrai visage de Manuel Valls .

     

    Ecoutez Valls, avec son faciès de garde chiourme à qui on aurait volé sa soupe, le doigt pointé, vociférant sa dernière intimation cinglante : « La nostalgie, et notamment la nostalgie de l’Algérie française, n’apportera rien de bon. Aujourd’hui, on a besoin de regarder l’avenir avec de l’optimisme et le Front National n’aime pas la France »… Récupérant sans vergogne la manifestation de Béziers dans son impudente campagne électorale de Premier ministre socialiste, il traitera même le FN de « parti non républicain, rance, triste… ».

    Mais qui a parlé de “nostalgie” ? Sinon les cafards associatifs qui se serraient sous les bannières du PCF. Il n’est pas sans intérêt que plus de 50 ans après l’exode d’un million de réfugiés le Premier ministre cible “notamment” la Nostalgérie dans sa diatribe de cour d’école.

    Il sera d’ailleurs rejoint par le ministre Le Foll, dans sa vicieuse discrimination d’une importante minorité de la nation : « Avec Denoix de Saint-Marc, Ménard  montrait leur visage : réécrire l’Histoire, mépriser la mémoire et s’en prendre à la République. » En une phrase, dégoulinante de sectarisme, le porte-parole du gouvernement a dévoilé le vrai visage de ces gens-là. Un demi-siècle après le drame de l’exode ils n’ont donc toujours rien compris. Du fond de leur blessure plus vivace que jamais, les « Nostalgiques de l’Algérie Française » ne demandaient pourtant pas grand-chose. Une petite plaque de 30 cm sur 20, avec un nom qui parle encore à leur souvenir et les rattache petitement à leur passé. Rien que cela. Et c’était encore trop pour les paranoïaques de la Mémoire enrégimentée. Les psychorigides détenteurs des valeurs dites républicaines. Ils étaient là, grelottant de haine, avec leurs beuglements de hyènes. Leurs poings brandis. Leurs faucilles et leurs marteaux de pacotille. Et arc-boutés derrière eux, les Valls, les Le Foll appelaient à la guerre sainte anti-fasciste...

    Depuis plus d’un demi-siècle, ils sont des centaines de milliers en France à continuer leur guerre d’Algérie contre les Pieds-Noirs. A se mobiliser dans les rues et dans leurs media de masse dès que dix de ces derniers érigent une stèle, parviennent à obtenir trois salles pour en faire un musée, demandent — quelle audace — que les manuels scolaires de leurs enfants cessent d’insulter leur histoire, remettent un peu d’intégrité dans ce discours de haine. La France est couverte de mausolées, de monuments, de murs des lamentations. Il n’est pas de jour qu’une excellence accompagnée de bataillons de caméras et de micros ne vienne se recueillir sur les héros d’hier ou d’il y a cent ans, ne fête quelque débarquement, n’exalte les déportés de ceci et les résistants de cela. Pas de jour ne passe sans que les autorités ne se pressent autour de quelque rabbin, au nom de la Mémoire! Que l’on ne s’incline devant un Juste entré dans notre Histoire. Tous ici ont droit à cette part de recueillement qu’ils exigent d’une République dont ils ont la bouche si pleine. Valls lui-même, le 20 février 2015, se recueillit devant le monument élevé à la mémoire des 220 000 Républicains espagnols — combien d’éventreurs de nonnes parmi ces braves rojos — qui passèrent par le Camp des Sables à Argelès. Puis il se lança dans une violente philippique contre la France : « Je suis fils d’Espagnols, commença-t-il, d’une famille républicaine catalane […] mais je suis devant vous comme Premier ministre de la France ».

     

    L’ALGERIE NOSTALGIQUE DE SA GUERRE DE LIBERATION

     

    On ne saurait trop conseiller à nos lecteurs de se procurer le dernier ouvrage d’Emmanuel Ratier — Le vrai visage de Manuel Valls (Editions Facta) — Ils y découvriront toutes les impostures du personnage. En particulier que, né d’une mère suisse richissime, il est issu par son père d’une lignée de notables catalans qui combattirent vigoureusement les Rouges. Ce n’est qu’en 1951 que cette famille abandonna l’Espagne et l’anti-franquisme ne joua aucun rôle dans cette décision purement opportuniste. Ecoutons-le encore épancher sa nostalgie et le venin “rance” qu’il déverse sur la France à cette occasion : « Ces hommes et ces femmes ont traversé la frontière car ils avaient refusé la dictature, défendu la République, ils fuyaient pour beaucoup les troupes franquistes après la chute de Barcelone […] mais tout ce qu’ils avaient trouvé en arrivant, ce sont les camps du mépris ». Ayant dû concéder que cet accueil leur avait été réservé par un gouvernement de Gauche, il insiste : « Ils ont souffert de la faim, de la soif, du froid, ils ont dormi dehors, à même le sol. Ces hommes qui s’étaient battus pour la liberté ont été enfermés entre des barbelés ». Et de conclure : « Notre première responsabilité, c’est de reconnaître que la France n’a pas été à la hauteur des espérances de ces hommes et femmes ». Tout Catalan qu’il soit, Valls montre infiniment plus de compassion pour les réfugiés espagnols qu’il n’en a pour les victimes d’une épuration ethnique qui n’a laissé aucune trace dans l’Histoire officielle des Droits Humains.

    Il faut, de la même façon, parcourir la presse algérienne. Et surtout les sites Internet, souvent remarquablement faits. Ils ne sont certainement pas dépourvus, bien plus souvent qu’en France d’ailleurs, d’analyses et de commentaires objectifs sur les réalisations de l’Algérie Française. En revanche ce qui frappe c’est l’omniprésence de la « Guerre d’Indépendance », de l’héroïsme, du résistancialisme et surtout du courage, de la noblesse, de la bravoure, du stoïcisme des moudjahid du FLN. Si les quelques rares monuments élevés en France à la mémoire des martyrs de l’OAS ont été soit démontés, soit déplacés, en tout cas ont fait l’objet de manifestations de haine hystérique, l’Algérie, elle, s’est littéralement couverte d’ouvrages à la gloire des chouhada, martyrs de la révolution. La plus orgueilleuse réalisation architecturale de l’Algérie indépendante est sans contexte le Mémorial du Martyr qui se dresse à Alger au-dessus du Clos Salembier, surplombant le Hamma. Un des sites les plus spectaculaires de la Ville Blanche. Culminant à 93 mètres, il représente, pour reprendre le titre d’un article de l’historien Emmanuel Alcaraz, grand admirateur de l’Algérie libérée de ses chaînes,  « la mise en scène de la mémoire officielle de la guerre d’indépendance algérienne ».

    Qu’ils ne rêvent pas, les Pieds-Noirs, ils ne sont pas prêts de se voir offrir un aussi imposant monument pour calmer leur nostalgie et rendre hommage à leurs héros...