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ivg - Page 3

  • Démographie en France : une catastrophe nationale.

     

    Périodiquement, les media nous informent que la natalité en France a enregistré une baisse inquiétante : en 2017, celle-ci a été de moins 14 000. En tout, 785 000 bébés sont nés, soit le plus bas niveau depuis 1999 . Ce qui n’a pas empêché la population de notre pays d’atteindre, au 1er janvier 2018, 265 000 habitants de plus que l’année précédente et de compter désormais 66 991 000 d’habitants. Cette croissance serait due essentiellement à l’excédent des naissances par rapport aux décès. À +198 000, ce solde naturel est cependant le plus faible depuis quarante ans ans, même s’il reste le principal moteur de la croissance démographique, devant le solde migratoire (+67 000). 

     

    CATASTROPHE NATIONALE

     

    Faut-il en déduire que tout va à peu près bien en France ? Hélas, il faut ajouter immédiatement que l’on enregistre une réduction de la fécondité pour la deuxième année consécutive, à 1,93 enfant par femme contre 1,96 en 2015 et 2 en 2014, après huit années de relative stabilité, selon l’INSEE.

    On sait qu’il faudrait que le taux soit de 2,1 enfants par femme pour seulement renouveler les générations…

    La catastrophe nationale engendrée par la loi Veil du 17 janvier 1975 continue d’aboutir au sacrifice de 250 000 enfants par an.

    En 2014, selon l’Institut des études démographiques (INED), on enregistrait 27,1 avortements pour cent naissances vivantes, soit un avortement toutes les deux minutes et demie ! Ce qui signifie que, pratiquement, le quart de chaque génération est mis à mort chaque année, ce qui se compte, depuis quarante ans que cela dure, par millions de Français !

    La pratique toujours plus encouragée de la contraception et du préservatif n’a nullement freiné le recours à ce que l’on appelle avec une fausse pudeur « l’interruption volontaire de grossesse ». Rien d’étonnant : tout ce qui habitue les couples mariés ou éphémères à éviter de donner la vie les conduit un jour ou l’autre à l’avortement…

    Certes, tous ces bébés ne seraient peut-être pas parvenus à l’âge adulte, mais il est effarant de songer à la foule de plusieurs millions d’hommes et de femmes de moins de quarante ans qui manquent aujourd’hui à la France, sans qu’elle n’ait connu ni guerre ni famine.

     

    FAIBLESSE DÉMOGRAPHIQUE = INDÉPENDANCE NATIONALE EN CAUSE

     

    Il faut rappeler que la faiblesse démographique d’une nation ne saurait s’accompagner d’une politique extérieure bienfaisante ni d’un effort d’indépendance nationale. À la veille de la Révolution dite française, notre pays était le plus peuplé d’Europe et, dans le monde, quatre hommes parlaient français pour un qui parlait anglais ; cent cinquante ans plus tard, en 1939, un homme parlait français pour quatre parlant anglais. La France avait vu sa fécondité baisser avant les autres pays européens, signe que le cataclysme de 1789 avait été perçu dans toutes les couches de la population comme une période de désespoir.

    Depuis lors, les femmes françaises n’eurent plus assez d’enfants pour assurer le remplacement numérique des générations. Ainsi s’explique, en tenant compte des pertes causées par les guerres de la Révolution et de l’Empire, puis par la guerre de 1870 et par la guerre de 1914-1918, le fait qu’en dépit d’une forte immigration, la France ait dû se contenter d’une population stagnante jusqu’en 1939. Cette année-là, les mesures prises à la veille de la guerre de 1939-40, ensuite la politique familiale mise à l’honneur par le gouvernement du maréchal Pétain, permirent à la France de connaître pendant trente ans un taux de fécondité excédant nettement le taux de renouvellement des générations.

    Mais survint, en 1967, la loi Neuwirth dépénalisant la pilule contraceptive, suivie en 1975 de la légalisation de l’avortement qui a entraîné depuis quarante-trois ans le génocide de près de dix millions d’enfants à naître, environ 250 000 par an.

    Aujourd’hui, alors que l’hécatombe continue, tout concourt à susciter l’individualisme, le matérialisme, l’hédonisme, la dissociation de la sexualité et de la procréation. On voit de plus en plus de couples sans enfant ou qui se marient tard afin de « bien jouir de la vie », on voit aussi de plus en plus d’enfants uniques élevés comme des produits de luxe plus que comme des hommes, on voit aussi de plus en plus de vieux vivant seuls et dont nul ne sait qui paiera les retraites.

    Quant au gouvernement de la République, que fait-il en faveur de la famille ?

    Le bilan est pratiquement nul : allocations familiales distribuées avec parcimonie et même fiscalisées (ce qui revient à taxer les bébés), mises sous condition de ressources, baisse du quotient familial, système d’aides aux familles incitant les mères à travailler hors de chez elles au lieu d’élever elles-mêmes leur progéniture, législation poussant toujours plus à l’instabilité des ménages (divorce à la carte), normalisant le concubinage, voire les liaisons homosexuelles…

     

    Avec cela, la France ne renouvelle plus sa population en dépit d’une folle politique d’immigration et de naturalisations à outrance !…

     

  • La loi sur l’extension du délit d’entrave à l’IVG définitivement adoptée .

     

     

    Ce jeudi matin 16 février,  a été adoptée à l’Assemblée nationale la loi sur l’extension du délit d’entraves à l’IVG. Sont visés par ce texte, sous couvert d’interdire une soi-disant désinformation en matière d’avortement, les sites pro-vie qui s’efforcent d’aider les femmes à garder leur enfant plutôt qu’à le supprimer.

    Le Sénat, pourtant à droite, avait deux jours auparavant, sortit une version édulcoré visant moins directement les sites anti-IVG que les « pressions morales et psychologiques » menées à l’encontre des femmes enceinte.

    Les députés de l’Assemblée Nationale ont voté, à main levé, la première version « plus précise » selon l’entourage des rapporteurs du texte, et visant de manière plus explicite les portails internet concernés. 

    Tous les groupes de gauche et une majorité de l’UDI ont voté pour, alors que Les Républicains ont voté contre « une atteinte à la liberté d’expression ».

    Le député (LR) Christian Kert, estime que cette proposition de loi constitue une entrave, non pas à l’IVG, mais à la liberté d’expression. « L’IVG est un droit garanti en France sur lequel il ne semble pas y avoir de danger » a-t-il déclaré ce jeudi, « mais il existe un réel risque d’arbitraire avec ce texte. »

    Jacques Bompard a trouvé un titre qui va comme un gant à cette nouvelle loi liberticide et privilégiant la mort sur la vie : Délit d’entrave à l’affirmation du drame qu’est l’avortement!

     

    Francesca de Villasmundo

  • Abomination totalitaire socialiste : le soi-disant délit d’entrave numérique à l’avortement !

     

     

     

    Les porte-parole et soutiens du gouvernement socialiste sur ce seul point où ils réalisent leur unité usent du procédé habituel des dictateurs totalitaires, nazis, communistes ou islamiques : ils osent marteler sur tous les médias que ce n’est pas l’information qu’ils veulent museler mais les « fausses informations » qu’ils veulent interdire !

    On est vraiment là dans une cynique tartufferie d’État, on est vraiment dans le règne du « Big Brother » célèbre du roman « 1984 » de Georges Orwell. Car c’est exactement du contraire qu’il s’agit !

    Ce sont en effet les prosélytes de l’avortement sans limite, désormais érigé en un intouchable tabou, en valeur fondamentale de « civilisation », qui font massivement dégouliner leur désinformation.

    Leur première abomination consiste en l’interdiction de l’information fondamentale du fait que l’IVG est plus exactement une IVV : interruption volontaire de vie.

     Selon le moment dans la grossesse de son exécution, l’IVV consiste en l’élimination d’un embryon ou ensuite d’un fœtus, et enfin d’un bébé : dans tous ces cas, l’information vraie est qu’il s’agit de la suppression d’un être humain en développement.

    Voilà la réalité, voilà la vérité irréfutable que nul ne saurait nier avant tout débat sur les applications légales de l’avortement.

    Ce que veulent en fait interdire les fanatiques abortophiles Laurence Rossignol et Marisol Touraine ou encore Bruno Le Roux, le président du groupe parlementaire socialiste, c’est la possibilité d’un temps de réflexion, d’une recherche de conseil pour la femme en détresse ne se résolvant pas sans hésitation à supprimer l’être qu’elle a conçu avec son mari, son amant ou son « partenaire ». Pour ces ministres et politiciens, toute IVV est une victoire idéologique !

    Il s’agit là de quelque chose de fascinant : pour la première fois dans l’histoire de l’humanité on veut imposer une interdiction étatique d’écoute d’arguments plaidant le laisser-vivre pour un être humain en développement.

    On mesure aujourd’hui l’étendue du mensonge d’État.

    Hier, la loi Giscard-Chirac-Veil de 1975 fut présentée lors de sa promulgation comme un texte motivé par la recherche d’un moindre mal. En fait, elle consista aussitôt en un appui à la banalisation de l’avortement. Aujourd’hui l’avortement est devenu le tabou des tabous.

    On mesure ainsi combien le combat pour la défense de la vie innocente est simultanément un combat pour la vérité et pour la liberté.

    C’est le combat pour une civilisation de la vie dont il s’agit, face à la barbarie triomphante de la culture de mort, la barbarie nihiliste du racisme antihumain.  

    Quoique avec une majorité classée à droite par la politologie régnante, le Sénat, présidé d’ailleurs par le filloniste frère Gérard Larcher, a voté la nouvelle loi totalitaire permettant à l’État « Big Brother » d’interdire des sites numériques mettant en garde contre les dangers de l’avortement.

    Cela est d’une effroyable exemplarité liberticide.

    Le prétexte invoqué est que ces sites donneraient des informations contraires à la vérité ! Il est en effet bien connu que le gouvernement et ses ministres prosélytes de l’IVV (Interruption volontaire de vie) ne donnent que des informations conformes à la vérité…

    Ce prétexte de vérité est très exactement celui utilisé sans exception depuis plus de deux siècles par toutes les dictatures totalitaires, jacobines, communistes, nazies, maçonniques, islamiques et autres, pour faire taire toute critique et éliminer leurs opposants.

    Dans son prophétique roman d’analyse des totalitarismes et d’anticipation « 1984 », Georges Orwell a magistralement dépeint cela. C’est évidemment au nom de la vérité que l’on bâillonne la vérité. Le néo-totalitarisme actuel s’inscrit parfaitement dans cette continuité et sophistication du mensonge.

    C’est l’État qui est le dispensateur de la « vérité » ! Le seul intitulé du ministère détenu par Laurence Rossignol est en soi une perfection de contre-vérité chimiquement pure : « ministère des Familles (sic !), de l’Enfance (sic !) et des Droits des femmes (sic !) ».

    Et cette Rossignol-là, avec l’inénarrable Marisol Touraine, et dame Najat Vallaud-Belkacem et encore Florence Azoulay, et toujours bien sûr avec elles, en réserve, Christiane Taubira, s’efforcent de faire que leur sexe supplante idéologiquement le masculin dans la course vers « le meilleur des mondes ».

    C’est évidemment le même procédé de confiscation–manipulation de la vérité-mensonge qui sera demain utilisé pour faire taire toute opposition des défenseurs de l’écologie intégrale, du respect de la vie innocente et de la dignité humaine à l’euthanasie généralisée et à toutes les manipulations génétiques de tous les nouveaux docteurs Frankenstein.