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Lobbies homosexuels - Page 20

  • Le pouvoir macroniste LGBT est en guerre contre les familles !

    Si l'on avait annoncé à des générations de Poilus que les députés français voteraient officiellement en 2019 la suppression du père et de la mère des formulaires administratifs des écoles, soit ils auraient cru à une plaisanterie de mauvais goût, soit ils seraient devenus fous. C’est pourtant bien ce que la représentation nationale a acté : les père et mère disparaissent au profit de parent 1 et de parent 2 !

    C’est là une nouvelle étape, et elle est décisive, dans la mise en œuvre méthodique et systématique d’une tyrannie LGBT.

    Il n’est en effet pas excessif d’affirmer que l’Etat macronien est un pouvoir ouvertement pédérastique et contre-nature.

    A peine élu, Emmanuel Macron rédigeait un communiqué officiel de la présidence de la République pour approuver et encourager la Gay Pride...

    Déjà soutenue par la mairie de Paris et le conseil régional d’Ile-de-France, cette manifestation des fiertés homosexuelles est officiellement parrainée par l’Elysée depuis 2017. Et l’année dernière, au moment de la Gay Pride 2018, les murs de l’Assemblée nationale ont été recouverts par de larges banderoles arc-en-ciel de la communauté LGBT. Le symbole était fort : cela signifiait que la République faisait corps avec la communauté homosexuelle et ses revendications les plus maximalistes, que la représentation nationale tout entière, loin de défendre la famille traditionnelle et de promouvoir la natalité française, glorifiait les inversions et se reconnaissait en elles. D’ailleurs, au même moment, Macron transformait l’Elysée en lupanar pédérastique en accueillant, lors de la fête de la musique, des danseurs noirs LGBT clamant sur leurs maillots : « Fils d’immigré, noir et pédé ». Trois mois plus tard, comme pour se faire bien comprendre, Macron enlaçait des délinquants de couleur, torses nus, aux Antilles, et se faisait photographier avec eux, les prisonniers faisant ostensiblement un doigt d’honneur !

     

    On aurait cependant tort de croire que Macron est à l’origine de ce renversement. Voilà vingt ans au moins que les pouvoirs publics, de “droite” comme de gauche, cèdent aux revendications du lobby LGBT, lui-même appuyé par les cénacles mondialistes (ONU, Conseil de l’Europe, Parlement européen, Cour européenne des droits de l’homme…) qui veulent ainsi détruire ce qui reste de société et de morale traditionnelle et bâtir un monde fondé sur le nomadisme, le sans-frontiérisme, l’absence de toute racine et de toute identité ethnique, sexuelle et religieuse. 

    A l’instar du lobby immigré et du lobby juif, le lobby LGBT a procédé, pour avancer, selon la technique du voleur chinois qui consiste à déplacer de manière presque imperceptible un objet jusqu’à ce qu’il disparaisse.

    Tout a vraiment commencé avec le PACS, le Pacte civil de solidarité en 1999. Accorder des droits sur le plan fiscal, successoral et patrimonial à des paires homosexuelles choquait alors à juste titre une large partie de l’opinion. Traditionnellement l’Etat accordait un certain nombre de droits et de facilités aux familles parce que le mariage assurait le renouvellement des générations et donc la préservation, la continuation voire le développement de la société. Il n’en va pas de même pour des invertis dont l’activité ne débouche pas sur de nouvelles naissances. Ce qui en sort n’ira jamais en maternelle ! 

    C’était donc une folie, en plus d’être une profonde immoralité, de légiférer en faveur de ces marginaux. Mais pour rassurer les récalcitrants, on prit soin de mentir en affirmant que jamais le PACS ne déboucherait sur le “mariage” homosexuel car le mariage, répétait-on, c’est l’union d’un homme et d’une femme.

    C’est alors ce que clamait à l’Assemblée nationale le ministre de la Justice de l’époque, la socialiste Elisabeth Guigou. On sait ce qu’il est advenu de ces belles déclarations.

    En 2013 le “mariage” inverti fut voté, promulgué et appliqué dans les 36 000 mairies de France et l’on s’apprête à autoriser, cet été, la procréation médicalement assistée (PMA) pour les lesbiennes, le comité national d’éthique (interdit de rire !) ayant donné son feu vert, avant d’autoriser officiellement la gestation pour autrui, la GPA, comme nous y invitent fortement le présentateur gay Marc-Olivier Fogiel qui a même écrit un livre particulièrement glauque sur la question et l’humoriste ratée et invertie Muriel Robin qui a depuis longtemps dépassé la date de péremption ! 

    On avait agi de la même manière pour l’avortement, officiellement limité aux cas de détresse en 1975 et précédé d’un entretien préalable dissuasif, et qui est aujourd’hui considéré comme un droit élémentaire et fondamental, une inestimable conquête de la femme, le gage de son émancipation et de sa liberté, un nouveau droit de l’homme, une des religions de la République comme en témoigne la panthéonisation de Simone Veil.

     

    Pour être sûrs d’avoir gain de cause et de ne connaître aucun obstacle sur ce chemin de perdition, les pouvoirs publics ont fait voter en 2004 un délit d’homophobie qui interdit dans les faits toute critique véritable de l’homosexualité, ce qui paralyse les adversaires du lobby LGBT.

    Cette loi Perben, du nom du ministre de la Justice de l’époque, décidée par un gouvernement (Raffarin) et un président (Chirac) dits de droite, comme ce fut déjà le cas de la loi Veil sous Giscard et Chirac, condamne en effet à un an de prison ferme et à 45 000 euros d’amende, soit à la même peine que le révisionnisme historique (loi Gayssot) et les discriminations raciales, nationales ou religieuses (loi Pleven), les propos, écrits ou considérations “homophobes”.

    De même qu’avec la loi Neiertz en 1993 créant un délit d’entrave à l’IVG, on avait interdit les manifestations et prières de rue à proximité des avortoirs (on sait que le docteur Dor a été condamné à 10 000 euros d’amende pour avoir seulement apporté pacifiquement des chaussons de bébé au Planning familial !), de même qu’il a été question d’instituer un délit d’entrave numérique à l’IVG pour interdire les sites et les argumentaires s’opposant à l’avortement, de même la création d’un délit d’homophobie qui date déjà de quinze ans a considérablement facilité la tâche du lobby LGBT et permis d’intimider, de neutraliser ou de faire condamner ses opposants. L’accusation d’homophobie fonctionne comme celle de racisme et d’antisémitisme : elle est un rayon paralysant, un gaz incapacitant, une arme de guerre d’une violence inouïe qui tue socialement, professionnellement, médiatiquement, politiquement. 

     

    Plus l' on nous parle de dialogue et de débats, moins il est possible de penser et de s’exprimer librement, moins il est permis de défendre le bien, le beau, le vrai !

    Il ne s’agit pas de débattre rationnellement entre gens civilisés, il s’agit sans cesse d’accuser l’autre d’être un affreux réactionnaire, un ennemi des libertés, un sexiste, un raciste, un antisémite, un homophobe, qui ne mérite donc pas d’avoir droit à la parole et dont le propos est par avance disqualifié. On utilise la violence et le mensonge pour discréditer le contradicteur. Ce sont des procédés détestables, soviétoïdes, mais qui hélas sont systématiquement utilisés en Occident pour détruire la société traditionnelle et faire triompher une révolution arc-en-ciel, mondialiste, nomade. 

    Ces principes dissolvants, destructeurs et mortifères tirent leur origine de la philosophie des Lumières, de la déclaration des droits de l’homme et ont été réactivés et aggravés à Nuremberg en 1946. Maurice Bardèche l’avait bien compris qui, dans son monumental et prophétique Nuremberg ou la Terre Promise, paru en 1948 et qui lui valut une condamnation à un an de prison ferme (déjà !), écrivait ainsi lumineusement : « Nous vivions jusqu’ici dans un univers solide dont les générations avaient déposé l’une après l’autre les stratifications. Tout était clair : le père était le père, la loi était la loi, l’étranger était l’étranger. On avait le droit de dire que la loi était dure, mais elle était la loi. Aujourd’hui ces bases certaines de la vie politique sont frappées d’anathème. Car ces vérités constituent le programme d’un parti raciste condamné au tribunal de l’humanité. En échange, l’étranger nous recommande un univers selon ses rêves. Il n’y a plus de frontières, il n’y a plus de cités. D’un bout à l’autre du continent, les lois sont les mêmes, et aussi les passeports, et aussi les monnaies ». Plus d’un demi-siècle à l’avance, Bardèche avait prévu la suppression de notre monnaie nationale, de nos frontières nationales, des distinctions entre l’étranger et le national et la suppression de la notion de père. Qui a dit que dans notre camp il n’y avait pas de grands esprits et de grands visionnaires ?

     

  • Face à un gouvernement totalement corrompu et qui est le principal ennemi des français, ne votons plus !

     

    ATTENDRE DE BOURREAUX qu’ils deviennent des bienfaiteurs est faire preuve d’une sottise sans nom. Or, à en croire certains représentants autoproclamés des Gilets jaunes, il serait possible de dialoguer avec le pouvoir en place et d’obtenir de lui des réformes, dont le fameux RIC, le référendum d’initiative citoyenne. Croire cela, c’est ne rien comprendre au fonctionnement du pouvoir oligarchique qui nous opprime et qui n’a d’autre finalité que de nous détruire et de poursuivre et d’amplifier sa domination communautaire.

    Jamais l’Etat profond n’acceptera de donner la parole au peuple sur des sujets fondamentaux et vitaux qui engagent son avenir. Lorsque Macron et ses acolytes disent qu’ils acceptent de dialoguer, c’est qu’en réalité ils veulent continuer à enfumer, à manipuler et à tromper.

    Lorsqu’ils affirment qu’ils sont prêts à poser des questions au peuple français par voie référendaire, c’est qu’ils veulent faire taire la contestation, désarmer l’insurrection sans rien lâcher. 

    C’est si vrai que les questions envisagées pour ce référendum qui pourrait avoir lieu le jour des élections européennes, le 26 mai prochain, sont sans aucun rapport avec les causes profondes du mouvement des gilets jaunes, non plus qu’avec leurs revendications fondamentales comme l’augmentation du pouvoir d’achat, l’aspiration à pouvoir vivre décemment des fruits de son travail.

    On nous parle de limitation du cumul des mandats, de réduction du nombre de parlementaires, de modification du mode de scrutin. On croirait un gag tellement c’est insultant à l’égard du peuple en général et des gilets jaunes en particulier mais ce n’en est pas un.

    Le pouvoir pédérastique et rothschildien que nous subissons n’est là que pour mener à son terme la révolution arc-en-ciel. Puisque le peuple constitue une gêne, un obstacle, il convient de le manipuler, de le pervertir voire de le dissoudre. Par la destruction de la famille et de l’identité, par la submersion migratoire et la promotion tous azimuts du métissage, par la promotion de toutes les déviances. 

     

    POUR METTRE FIN à un conflit, une opposition, un mécontentement, une insurrection, rien de mieux pour le Système qu’un pseudo-débat national et qu’une “bonne” élection. Les Européennes sont ainsi du pain bénit pour le pouvoir en place car pendant qu’on blablate, qu’on parlote, on n’agit pas, on endort le peuple, on l’anesthésie.

    Le vote est un moyen de canaliser, de neutraliser la radicalité des contestations. De Gaulle l’avait bien compris qui, dès qu’il est revenu au pouvoir, a organisé des élections en Algérie pour diviser ainsi les Pieds-Noirs qui étaient jusque-là tous unis, dans la volonté de maintenir la présence française outre-Méditerranée. Croire que la renaissance nationale puisse naître aujourd’hui d’une « bonne élection » est faire preuve d’une confondante naïveté. Ne serait-ce que parce que les groupements et personnalités qui sont préemptés, qui ont accès aux radios et aux télévisions sont sélectionnés précisément parce qu’ils ne représentent aucun danger pour le Système actuel. Dans les démocraties occidentales, comme naguère dans les pays communistes, mais de manière plus subtile, n’a droit de cité qu’une opposition contrôlée. C’est le cas évidemment d’un Mélenchon qui fut ministre de Jospin, resta trente ans au PS, fut sénateur socialiste et qui est depuis fort longtemps un membre du Grand Orient. Mais, disons-le, c’est aussi le cas d’une Marine Le Pen qui, dès le début du mouvement des gilets jaunes, a pondu un texte réaffirmant son attachement aux institutions actuelles et à la Ve République, a redit à plusieurs reprises son rejet de l’antisémitisme et son refus de toute violence — comme si la politique ne reposait pas fondamentalement sur la peur et la violence, qu’elle soit directe ou indirecte, que cette illettrée lise Georges Sorel ! — et qui, loin de défendre réellement les intérêts des travailleurs français, campe sur une ligne national-sioniste. 

    Or il est radicalement incompatible de se prétendre au chevet des catégories populaires et des classes moyennes entrepreneuriales et en même temps de faire des risettes à Goldnadel, à la Ligue de Défense juive et à toute cette camarilla communautaire dont la domination repose précisément sur l’esclavage salarial et fiscal du peuple à base d’anti-nationalisme, de dumping social et de métissage organisé.

    Ce n’est pas un hasard si les personnalités médiatisées de la communauté étoilée, de BHL à Haziza, en passant par Daniel Cohn-Bendit, Kassovitz et consorts ont pris dès le départ une position très hostile aux gilets jaunes et fort méprisante à leur égard. C’est qu’ils sentaient que leur domination insolente était menacée par une insurrection populaire, si elle devait aller à son terme et renverser le pouvoir actuel qui n’est jamais qu’une émanation du CRIF, du Congrès juif mondial, d’Attali et de la banque Rothschild. 

     

    IL FAUT BIEN comprendre que le pouvoir actuel, c’est essentiellement le pouvoir bancaire par la dette.

    En effet pus les Etats sont endettés, plus le pouvoir des usuriers est élevé. Or, d’après l’INSEE, au troisième trimestre 2018, la dette publique française s’élève à 2322,3 milliards d’euros. Soit près de 100 % du Produit intérieur brut, c’est-à-dire la totalité de la richesse produite en France en un an. Si l’on ajoute les engagements hors bilan, comme les retraites futures des fonctionnaires à payer et toute une série d’engagements pris par les pouvoirs publics, l’endettement réel du pays est de 6 500 milliards d’euros, une somme colossale.

    Au nom du remboursement de la dette et du paiement des intérêts, eux aussi colossaux, de la dette, on appauvrit le peuple, on le fragilise, on le martyrise. En réduisant ou en comprimant sans cesse les prestations, les salaires et les pensions d’une part.  En augmentant les taxes et les impôts d’autre part. En réduisant le nombre des services publics, de surcroît de plus en plus défaillants, singulièrement dans les zones rurales où l’on ne compte plus la fermeture des hôpitaux et des maternités, des écoles, des crèches et des bureaux de poste.

    C’est donc une politique délibérée d’enrichissement de prédateurs internationaux, de financiers apatrides, d’usuriers sans scrupules qui est mise en œuvre par les gouvernements successifs au détriment du peuple, à rebours du bien commun. 

    Et à ce pouvoir bancaire s’ajoute une idéologie cosmopolite à la fois pro-migrants et pro-LGBT qui consiste à organiser l’invasion de l’Europe et de l’Occident par des masses d’allogènes et leur dissolution par l’homosexualisme, la théorie du genre, une révolution anthropologique, sociétale et civilisationnelle sans précédent par son ampleur et sa rapidité dans l’histoire des hommes.

    Mais en réalité il s’agit du même pouvoir concentré dans les mêmes mains : il n’est que d’aller sur le site de la LICRA ou d’autres sites communautaires pour se rendre compte que ces organisations défendent avec autant d’ardeur le lobby LGBT et l’ouverture totale des frontières aux migrants qu’elles condamnent et poursuivent devant les tribunaux tout ce qu’elles considèrent comme manifestation d’homophobie, de racisme et d’antisémitisme.  Sachant que pour la LICRA, être révisionniste ou anti-sioniste, c’est être antisémite, promouvoir la famille traditionnelle et s’opposer au “mariage gay”, à la GPA et à la PMA, c’est être homophobe et rejeter l’immigration de masse, c’est être raciste.

     

    PAR CONSÉQUENT, il ne faut pas avoir peur de désigner l’ennemi. Car si l’on n’ose même pas le nommer, comment peut-on espérer le combattre ? Et si l’on fait ami-ami avec lui, c’est déjà qu’on a trahi. Un opposant sans concession au pouvoir actuel sera nécessairement traqué et diabolisé, les plateaux télé lui seront fermés. C’est à la façon dont le pouvoir médiatique traite les opposants qu’on sait à qui l’on a affaire. 

    Car il n’y a aucune illusion à se faire : pour conserver ses prébendes et sa domination, ce pouvoir est prêt à tout, y compris à tirer sur la foule. L’acquisition de nombreux flash-balls va clairement dans ce sens. La police française utilise de plus en plus les méthodes israéliennes de répression des manifestations. Depuis Sarkozy il y a eu en effet des échanges discrets mais nombreux et suivis avec de hauts responsables israéliens quant aux méthodes musclées de maintien de l’ordre.

    On veut nous traiter comme des Palestiniens dans une vaste Cisjordanie à la française, dans une bande de Gaza étendue aux six coins de l’Hexagone. Nous vivons dans un territoire occupé et cela va finir très mal .

     

     

  • Macron et son gouvernement : provocation, mépris et dénigrement des français .

     

    ALORS que le mouvement des gilets jaunes dure depuis bientôt trois mois, le président de la République, loin d’écouter la colère, le désarroi et la détresse de ces Français qui n’en peuvent plus de conditions de vie de plus en plus détériorées, multiplie les provocations verbales et continue à se moquer du monde, preuve que ce monstre technocratique est sans cœur, sans principe et sans honneur. « Si être Gilet jaune, c’est vouloir moins de parlementaires et que le travail paie mieux, moi aussi je suis Gilet jaune », a ainsi déclaré Emmanuel Macron le 31 janvier devant des journalistes du Système lors d’un entretien au coin du feu. Pire, il s’en est pris ouvertement aux manifestants qui ne sont, selon lui, que « 40 à 50 000 militants ultras qui veulent la destruction des institutions ». D’ailleurs, selon Paris-Match, présent lors de ces confessions, Emmanuel Macron assure ne pas croire aux sondages relayant que plus de la moitié des Français (69 % selon le dernier sondage BVA) soutiendraient cette colère. Ce qui est une façon de nier la réalité et de mépriser la vox populi.

    L’homme qui nous tient lieu de chef de l’Etat s’est également fermement opposé au principe de « votations populaires » comme elles existent dans la Confédération helvétique après avoir déjà rejeté la mise en œuvre du Référendum d’initiative citoyenne, le fameux RIC. « On n’est pas du tout fait pour ça, a déclaré péremptoirement l’Elyséen.

    La France n’est pas la Suisse et la Suisse ne marche pas aussi bien qu’on le pense. Le modèle suisse est inadapté. La Suisse, c’est 6 millions de personnes. Et d’ailleurs les Suisses, comme disait je ne sais plus qui, ils commencent toujours avec des questions de gauche et ils finissent avec des réponses de droite. » On ne saurait exprimer avec plus de force et de morgue le mépris du peuple et le refus de lui donner réellement la parole, de répondre à ses craintes, à ses demandes, à ses aspirations. Si le peuple pense à droite, il ne faut surtout pas lui donner la parole. Pis, s’il pense mal, il faut le dissoudre, lui, et non l’Assemblée !

     

     Que ce soit Macron ou un autre, jamais le pouvoir oligarchique, pro-migrants et pro-LGBT, ne rendra la parole au peuple.

    Ni sur les sujets dits sociétaux et civilisationnels, ni sur les grandes questions qui déterminent l’avenir de notre nation, ni sur un programme de véritable justice sociale. Alors que les gilets jaunes demandent simplement à pouvoir vivre de leur travail, à se nourrir, à se chauffer, à se soigner, à élever leurs enfants dans des conditions décentes et qu’on cesse de leur pourrir la vie avec la multiplication incessante des taxes, des impôts, des radars, de dogmes écologiques, de législations liberticides bridant chaque jour davantage les libertés de circuler, de s’exprimer, de manifester, Macron envisage de coupler les élections européennes du dimanche 26 mai avec un référendum portant sur des questions aussi vitales que l’éventuelle diminution du nombre de parlementaires ou la limitation dans le temps du cumul des mandats ! Peut-on davantage mépriser le peuple ? Peut-on manifester de manière plus cinglante, plus radicale que l’on n’a cure de ce cri de détresse d’un peuple qui ne veut pas mourir ?  

    Après avoir promis de distribuer quelques misérables pièces jaunes le 10 décembre, ayant alors senti le vent du boulet, après avoir organisé un débat national complètement pipé avec des maires complaisants soigneusement sélectionnés, et où toutes les questions essentielles n’ont pas droit de cité (ni l’immigration, ni le rétablissement de la peine capitale, ni l’abrogation des lois anti-familiales et immorales, ni le rétablissement du franc et la sortie de l’Union européenne, ni le poids excessif et délétère des banques et de la finance internationale), Macron entend neutraliser la colère populaire en organisant un référendum totalement bidon où ne seront posées que des questions totalement subalternes et sans aucun rapport avec la souffrance réelle et profonde d’un peuple qu’on nie dans son existence, qu’on n’entendait jamais jusque-là à la télévision et à la radio où ne sont promues que des minorités (très) visibles voire ostentatoires et qu’on est en train d’assassiner et de remplacer. D’assassiner par le refus d’encourager une politique familiale et nataliste ambitieuse, par la promotion dès l’école de toutes les déviances, par la diffusion massive de la pornographie. De remplacer par une immigration de peuplement qui se substitue chaque jour davantage dans les villes, dans les quartiers, dans les maternités, dans les administrations, dans un nombre grandissant de corps de métiers aux Français de souche.

     

    NOTRE PEUPLE, on ne le dira jamais assez, subit à la fois aujourd’hui le Grand Remplacement, le Grand Déclassement et le Grand Effacement.

    Le Grand Remplacement, on l’a dit, par une immigration de masse qui modifie chaque jour davantage la substance du pays et jusqu’à la composition de nos rues et de nos paysages.

    Le Grand Déclassement par la paupérisation des classes moyennes et des catégories populaires qui ont de plus en plus de mal à finir leur fin de mois.

    Et enfin le Grand Effacement car ce peuple n’est nullement représenté dans les institutions et palais de leur République, non plus que sur le petit écran où l’on ne voit que des militants LGBT, des allogènes et des membres d’une communauté étoilée.

    Alors que la France est le pays d’Europe qui a à la fois sur son territoire la communauté juive et la communauté mahométane la plus nombreuse, les Français de souche, les Gaulois tendent chaque jour davantage à disparaître.

    Si les radars automatiques les traquent sur les routes et les autoroutes, ils ont en revanche totalement disparu des radars du gouvernement tellement ils sont absents des préoccupations d’un pouvoir oligarchique qui n’a au contraire de cesse de les domestiquer, de les martyriser, de les culpabiliser et de les remplacer. 

    Sait-on suffisamment qu’il existe une délégation ministérielle spécialement chargée de traquer tous les Français lucides et traités comme des délinquants de la pensée ? Il s’agit de la DILCRAH (c’est presque pareil que la LICRA tant au niveau des principes que de la sonorité !), la Délégation interministérielle à la lutte contre le Racisme, l’Antisémitisme et… la Haine anti-LGBT !

    Non, vous ne rêvez pas, les pouvoirs publics mènent une guerre de chaque instant contre leur peuple : si celui-ci refuse l’immigration de masse, il est accusé de racisme, s’il en a plus qu’assez des culpabilisations incessantes et de l’obsession autour de la dernière guerre, il est suspecté d’antisémitisme, le crime des crimes, et s’il trouve que le lobby LGBT en fait quand même trop et que cela devient insupportable, il est accusé d’homophobie, autant de délits passibles de fortes amendes,  de peines de prison ferme et d’une relégation sociologique et professionnelle bien réelle.

    Ce n’est donc pas seulement Macron qu’il faut destituer, c’est cette République criminelle, ce régime abject et contre-nature qu’il faut balayer. Il en va de la survie de notre peuple, de notre nation, de notre civilisation.