Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Famille - Page 10

  • Le franc-maçon Macron interdit tout culte catholique pour des mois !

    Le règne de la censure et de la tricherie

     

    Le conseil d'état l’a confirmé dans un arrêt du 7 novembre : les cultes publics restent interdits en France. On parle bien sûr ici des cultes religieux et non du culte shoahtique et laïciste qui, lui ,reste plus que jamais en vigueur pendant le confinement.

    Depuis le 3 novembre et au moins jusqu’au 1er décembre, tous les cultes publics, et particulièrement le culte catholique, sont interdits.

    Et tout laisse à penser que cette interdiction pourrait durer des mois puisque le Parlement a voté en lecture définitive, ce même 7 novembre, le projet de loi prolongeant l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 16 février 2021, avec la possibilité d’adopter des mesures transitoires jusqu’au 1er avril. Autant dire que, sauf à assister à des messes clandestines comme sous la Révolution française (où à cette époque on risquait sa vie), les baptisés catholiques seront probablement privés de sacrements pendant de longs mois, et rien ne dit qu’une exception sera faite pour Noël.

    On voit là les méthodes et l’esprit de la maçonnerie, toujours aussi puissante et influente sous la République, qui, après avoir interdit tout office publique pour le Carême, la Semaine Sainte, Pâques et le temps pascal jusqu’à l’Ascension inclusivement, entend contraindre les croyants à renoncer à tout culte public pour le mois des défunts, pour l’Avent, pour les fêtes de la Nativité et probablement pour le temps après l’Epiphanie.

    On peut aller travailler au bureau, prendre les transports en commun où l’on est généralement serré comme des sardines (un chauffeur de bus nous disait que depuis le confinement dans son véhicule de 25 mètres carrés il y a toujours autant de monde : 60 personnes, mais là ce n’est pas gênant pour la circulation du virus !), faire la queue à la caisse au supermarché, en revanche il n’est pas possible de se rendre à l’église le dimanche, ni la semaine, où il est rare que les foules soient au rendez-vous et où il est tout à fait possible de conserver sans grande difficulté la sacro-sainte distanciation sociale. On voit donc bien qu’il y a là un deux poids deux mesures et une persécution anti-catholique qui ne dit pas son nom. 

    Qui eût imaginé il y a seulement quelques années qu’en 2020 la liberté de circulation, de réunion, de rassemblement et de culte serait à ce point entravée voire confisquée pendant une longue période en France, mais aussi dans beaucoup de pays en Europe et en Occident ? Qui eût imaginé que, pour conduire et aller rechercher nos enfants à l’école, faire nos courses, prendre l’air, promener un chien, il nous faudrait remplir une attestation dûment signée faute de quoi, en cas de contrôle par la police ou la maréchaussée, nous risquerions 135 euros d’amende, 1 500 en cas de récidive et 3 750 euros et six mois de prison ferme si cela se produisait trois fois en l’espace de trente jours ?

    Et le pire, c’est que la masse du peuple ne semble pas trouver cela anormal, excessif, disproportionné et illégitime !... La République nous parle sans cesse de liberté mais elle a su transformer les citoyens en hilotes, et ce spectacle est particulièrement pénible à vivre.

     

    Si les églises doivent fermer leurs portes, ainsi que les lieux de pèlerinage et d’apparition, comme la grotte de Lourdes, et en tout cas renoncer à tout culte public, les tribunaux de la République, eux, contrairement au premier confinement, continuent à fonctionner normalement. C’est ce qui a permis à la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris de condamner le 4 novembre Jerôme BOURBON à trois mois de prison avec sursis, 4 000 euros d’amende (dont 1 500 euros sous forme de 100 jours-amende à 15 euros, un dispositif qui conduit à la case prison si on ne s’acquitte pas de la rançon en temps voulu) et 11 000 euros de dommages et intérêts à verser à la LICRA, à Sos Racisme et à Avocats sans frontières de l’avocat franco-israélien Gilles-William Goldnadel, tant apprécié de tous ceux qui, à droite, ont les yeux de Chimène pour l’entité sioniste, et les yeux en pleurs à l’évocation de l’Indicible, c’est-à-dire, vous l’avez compris, de la Shoah, ou plutôt de la “schouina”. Nous reviendrons ultérieurement en détails sur ces condamnations ahurissantes qui en disent long sur l’état de la liberté d’expression en France, alors même qu’on n’a de cesse de vanter cette même liberté d’expression avec Charlie et l’affaire Paty. 

    Mais nous n’en sommes pas à une contradiction près : la LICRA qui n’a rien trouvé à redire au massacre de 59 Palestiniens par l’armée israélienne au moment du 70e anniversaire de l’entité sioniste, et qui n’a même pas manifesté la moindre compassion ou sympathie à l’égard des victimes, toutes civiles, et pour beaucoup mineures, sur lesquelles Tsahal a tiré sans sommation, a exigé la dissolution de Génération identitaire qui avait simplement procédé à l’arrestation pacifique, sans heurts et sans violences, de quelques migrants illégaux au col de l’Echelle dans les Alpes Maritimes. Ce cynisme est absolument insupportable. 

     

    Nous vivons vraiment l’époque de la censure et de la dictature.

    Lesquelles ne visent pas seulement quelques journalistes indépendants et anticonformistes comme nous autres puisque même le président actuel des Etats-Unis est censuré par les chaînes de télévision de son pays qui ont osé couper son intervention en direct depuis la Maison-Blanche quelques jours seulement après le scrutin présidentiel et Twitter ose masquer une grande partie de ses tweets, affirmant qu’ils sont mensongers ou controversés. Ce qui est inouï. Car le public est assez grand pour se faire une idée par lui-même et pour faire preuve de distance critique envers ce qu’il lit et ce qu’il entend, du moins faut-il l’espérer.

    Il est incroyable que des organes dits d’information, que des GAFA se permettent de dire arbitrairement ce qui est vrai et ce qui est faux, ce qui est bien et ce qui est mal, ce qui est beau et ce qui est laid.

    Cette attitude tyrannique de ces géants du web, qui s’ajoute à la dictature covidesque, est particulièrement inquiétante car elle semble ne plus connaître de freins. Twitter dit déjà que, dès son départ supposé de la Maison-Blanche le 20 janvier prochain, Donald Trump pourrait purement et simplement être banni de ce réseau social. La censure s’exerce donc jusqu’à un chef d’Etat en exercice, ou ayant été en fonctions, tout simplement parce qu’il n’est pas assez politiquement correct. C’est hallucinant !

    Cette attitude violemment hostile et injuste des grands media envers Trump rend d’autant plus crédibles les soupçons de fraude à grande échelle dans un pays où il est particulièrement facile de tricher dans les grandes largeurs avec le vote par correspondance et par procuration, sachant que dans maints Etats une carte nationale d’identité n’est pas exigée, et que pas ou peu de vérifications sont faites. Depuis des mois, grâce à une actualité covidentielle, les Démocrates ont eu largement le temps de pourrir cette élection, d’altérer gravement la sincérité du scrutin en faisant voter les morts, et plusieurs fois la même personne, en faisant le tour des maisons de retraite et des mouroirs pour obtenir des bulletins de vote et même en falsifiant la date du cachet de la Poste dans les Etats comme la Pennsylvanie où on peut recevoir, encore trois jours après la fermeture des bureaux de vote, des bulletins postaux, ce qui est inouï. La Pennsylvanie étant aux mains des Démocrates et les services postaux étant historiquement hostiles au Parti Républicain, il n’y a pas besoin de faire un dessin pour comprendre qu’il était facile d’antidater massivement des enveloppes et d’égarer par la même occasion moult bulletins républicains. Toute la difficulté est bien sûr de prouver ces trafics qui ont nécessité toute une chaîne de complicités et un professionnalisme certain. 

    Il était étonnant de voir Biden sûr de sa victoire quelques heures seulement après la fermeture des bureaux de vote à un moment où Trump était largement en tête dans la plupart des Etats clés. Comme s’il savait que cette élection avait été truquée et qu’il ne pouvait donc pas la perdre!

    On notera que le Premier ministre israélien a immédiatement lâché Trump, en se félicitant de la victoire de Biden, ami d’Israël depuis 40 ans. Preuve que toutes les concessions faites à l’entité sioniste par Trump n’ont servi à rien. D’ailleurs BHL l’avait décrété : Trump est un faux ami pour les juifs. Il a beau être israélophile, il est contre l’accord de Paris sur le climat, contre la tyrannie covidesque, contre l’immigration de masse, il n’a pas fait carrière dans un parti du Système, il n’est donc pas suffisamment fiable, pas assez sûr...

    Avec Biden, en revanche, pas de souci. C’est le parfait soumis du NOM (Nouvel ordre mondial).

     

  • L’inquiétant programme des écolos verdâtres pour les élections départementales et régionales de 2021 .

     

     

    Fort de ses résultats aux élections municipales de mars et juin 2020 avec 7 villes de plus de 100 000 habitants conquises (Lyon, Strasbourg, Bordeaux, Tours, Annecy et Besançon, et Grenoble déjà gagnée en 2014), auxquelles on pourrait ajouter Marseille, le parti Europe Écologie Les Verts (EELV) se prépare pour les élections départementales et régionales de 2021.

    La « vague verte », comme l’ont parfois appelée les commentateurs politiques, est cependant  à relativiser pour plusieurs raisons. La première est que la plupart de ces victoires sont dues à des alliances avec les autres partis de gauche dès le premier tour. La seconde est que les villes de moindre importance n’ont pas cédé à la tentation verte. Si l’on étend le spectre aux 3 168 villes de plus de 3 500 habitants, on remarque que EELV n’en a remporté qu’une trentaine. Moins de 1 %. La « vague verte » ressemble davantage à un clapotis qu’à un tsunami !

    Il est vrai que ces victoires emblématiques aux municipales font suite aux bons résultats du parti aux élections européennes de 2019 : 13,48 % des voix, soit la troisième place derrière le RN et LREM, et 13 sièges emportés sur 79 (soit 16,5 %). D’ailleurs, on se demande jusqu’à quel point il ne conviendrait pas d’ajouter à ces chiffres ceux de la liste du Parti socialiste qui s’appelait, pour la circonstance, « Envie d’Europe écologique et sociale » (6,19% des voix et 6 sièges).

    L’écologie a le vent en poupe et les Verts rêvent déjà de l’Élysée en 2022. D’ici là auront lieu en 2021, si la Covid-19 ne pousse par le gouvernement à les reporter, les élections départementales et régionales. EELV s’y prépare sérieusement et a adopté (à 98 % des suffrages exprimés) sa plateforme programmatique lors de son conseil fédéral des 19 et 20 septembre.

     

    Plus de 130 propositions principales sont déclinées sur une petite cinquantaine de pages. Tous les sujets y sont abordés : des transports à l’Europe, en passant par l’économie, la culture, le sport, le logement, la formation, mais aussi la condition animale, le climat, la transition énergétique, etc.

    Certaines de ces propositions sont davantage des déclarations, à l’instar de celles consistant à déclarer l’urgence climatique ou la nécessité à s’adapter au changement climatique.

    D’autres prêtent à sourire. C’est le cas de celles qui visent à éduquer à l’empathie avec les animaux ; à désigner un délégué à la « condition animale » dans les conseils régionaux et départementaux ; à « soutenir les projets de contraception masculine pour que les femmes ne soient pas seules à supporter cette charge mentale et son coût » ; à ouvrir les crédits du Fonds de solidarité logement aux personnes qui habitent en yourte ; ou encore à encourager la formation des personnels des Ehpad à la prise en charge des personnes âgées LGBTQI+.

     

    La plateforme programmatique d’EELV prévoit de nombreuses interdictions. Bien entendu, la 5G est visée puisqu’il s’agira d’instaurer un moratoire sur son déploiement et de lancer un débat sur sa dangerosité.

    Il est question aussi de créer des espaces d’interdiction de la chasse et de la pêche. Les produits animaux issus de l’élevage intensifs seront bannis des cantines publiques, qui devront, en outre, servir deux repas végétariens par semaine.

    Interdiction aussi des centres commerciaux et des plateformes logistiques géantes à la périphérie des villes. Leur démantèlement sera même encouragé. EELV entend également réduire la circulation des poids lourds sur de longues distances, en reportant le transport sur le ferroviaire ou le fluvial.

    Le maire de Lyon, Grégory Doucet, avait créé un tollé en déclarant qu’il n’aimait pas le Tour de France, jugé machiste et polluant. On sait maintenant que ses propos n’avaient rien d’un dérapage, puisque le programme d’EELV précise clairement que « les écologistes envisagent le sport d’abord sous l’angle du développement des pratiques amateurs et de loisirs » et qu’ils ne sont pas intéressés par « les opérations de prestige ou de communication ».

    La voiture – même électrique – ne serait pas totalement interdite mais clairement entravée puisque les Verts veulent « affecter une partie de la voirie départementale aux vélos (pistes cyclables, véloroutes…) et aux transports collectifs (voies réservées aux bus, cars, covoiturage) ». Les projets autoroutiers mis en œuvre par l’État ne seront pas soutenus financièrement par les régions et départements dirigés par EELV.

    L’avion est également dans le collimateur des écologistes, en particulier les petits aéroports régionaux qui ne seront plus subventionnés. Tout projet d’extension ou de privatisation d’aéroport régional sera même annulé.

    Les collectivités écologistes cesseront, en outre, de coopérer avec des banques qui disposent d’actifs dans « les paradis fiscaux » ou qui effectuent des investissements dans les énergies fossiles.

     

    S’étonnera-t-on que le programme contienne une foultitude de dépenses en tout genre ? Le logement en concentre une bonne part : financer les logements « très sociaux », financer massivement la rénovation des logements, aider au financement de logements sociaux dans les zones peu denses, etc.

    Les entreprises seraient également aidées par les conseils régionaux et départementaux écologistes. Il s’agit d’accompagner leur reconversion écologique et la transformation des métiers, d’adopter des plans de relocalisation de l’économie, de créer un fonds de soutien à « l’intelligence écologique (IE) » (sic) à destination des ETI, PME et TPE.

    Mais si EELV veut aider les entreprises à se verdir, elles restent néanmoins suspectes aux yeux du parti qui préfère les structures de l’économie sociale et solidaire (ESS) – coopératives, mutuelles, associations – parées de toutes les vertus !...

    Elles méritent donc amplement l’aide publique régionale et départementale. Les commandes publiques devront ainsi favoriser l’ESS qui, par ailleurs, devrait bénéficier de financements pour créer des emplois d’insertion-environnement.

    Dépenses également en faveur du développement de l’agriculture biologique, des circuits courts, de la culture des protéines végétales et d’une alimentation « moins carnée », des filières alimentaires privilégiant la « logistique douce » comme le vélo-cargo, de la création de « ceintures agricoles autour des villes dans une logique d’autosuffisance alimentaire », de l’embauche de « maraîchers municipaux » pour fournir la restauration collective.

    Le programme prévoit de créer un revenu spécifique destiné aux personnes souhaitant développer un projet ou une activité lié à la transition écologique et sociale. Encourageant la paresse et l' oisiveté,il testera aussi un revenu minimum garanti départemental pour tous, cumulable avec d’autres revenus, y compris salariés. Dans le même ordre d’idée, il est question d’ouvrir le RSA (revenu de solidarité active) aux personnes âgées de 18 à 25 ans sans condition ...

    Un droit à l’alimentation serait créé, qui se concrétiserait notamment par une allocation permettant aux bénéficiaires des aides publiques locales d’accéder à des produits frais, biologiques et locaux.

    L’accueil inconditionnel des migrants serait organisé. Ils bénéficieraient d’un droit à l’hébergement, à la santé, à l’accompagnement juridique, à l’insertion socio-professionnelle, etc.

    Si la voiture et l’avion sont vilipendés, les vacances sont prisées (à condition sans doute que les déplacements se fassent à vélo !). C’est ainsi que les départements et régions écologistes œuvreront pour « le droit aux vacances et à la liberté du voyage » (sic) qui est « la conséquence naturelle du droit au travail et des assistés ...».

     

    Semaine de 32 heures ou 4 jours ?

    Comment financer toutes ces dépenses ? Sur ce point, le programme d’EELV est  muet... Il évoque quand même une taxation des transports avec, notamment, une redevance régionale sur les atterrissages et décollages dans les aéroports, une redevance régionale poids lourds et une vignette sur la masse des véhicules particuliers.

    On le voit à la lecture de ces propositions, EELV nous prépare un monde de décroissance, de dépenses publiques accrues, d’interdictions en tout genre, d’impositions nouvelles… et de propagande car, de la crèche à l’Ehpad, les personnels comme les usagers devront être « formés » – c’est-à-dire endoctrinés – non seulement à l’écologie, mais aussi à la lutte contre les discriminations.

    Cela pourrait passer par l’enseignement de l’esperanto, « langue internationale neutre et équitable ». Surtout, les budgets départementaux et régionaux devront être réservés aux projets sensibles au genre, luttant contre le racisme, les inégalités…

    C'est pire que la gauche qui nous a déjà ruinés sur tous les plans familial, sociétal,économique ...

     

  • 851 immigrés clandestins fichés pour “radicalisation à caractère terroriste” mais seuls 231 devraient être expulsés ! ...

     

     

    Mardi, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a communiqué sur les bienfaits de l’immigration.

    On apprend ainsi que 851 immigrés clandestins seraient fichés pour “radicalisation à caractère terroriste”.

    Parmi ceux-ci, il y a 231 étrangers en situation irrégulière suivis pour radicalisation “qu’il nous faut expulser“, dont 180 actuellement incarcérés, a déclaré le ministre de l’Intérieur lors de la première présentation mensuelle des chiffres de l’activité des forces de l’ordre, ajoutant que 851 immigrés clandestins étaient inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste.

    Ce qui signifie que 620 de ces immigrés clandestins, bien que fichés pour “radicalisation à caractère terroriste”, devraient pouvoir continuer à séjourner sur le territoire français sans être inquiétés.

    On perçoit bien là la fausse poigne de fer d’Emmanuel Macron et de son gouvernement.

    Pour officiellement lutter contre le séparatisme islamique, le président Macron préfère s’en prendre aux familles – majoritairement catholiques – qui ont choisi l’instruction à domicile.