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Christianophobie - Page 43

  • En pleine crise du coronavirus, la quasi totalité des entreprises sont à l’arrêt et la priorité est de maintenir les avortoirs en marche !

     

    Nos États "démocratiques" se veulent le gestionnaire de la personne humaine, de la vie à la mort, de leur vie et de leur mort. La nature n’a plus ses droits et l’Etat a tous les droits.

    Notre société post-moderne respire l’orgueilleux par tous ses pores et les contradictions par toutes ses dispositions et se dresse contre son créateur.

    D’un côté, les gouvernements occidentaux, pressés par des juges et médecins altruistes, prônent l’euthanasie pour les vieillards, handicapés et malades las de la vie, et dont les EPAD, hôpitaux, sécurité sociale et familiers sont las, l’affaire Vincent Lambert en fut un exemple parlant, d’un autre ils confinent des millions de concitoyens en bonne santé pour sauver quelques probables futurs euthanasiés qui de leur “bonne mort” naturelle seront privés pour être soumis à la “douce mort” par injection interposée, et la mise à mort des enfants dans le ventre de leur mère reste un souci primordial du gouvernement Macron en plein confinement humanitariste…

     

    Pour Laurence Rossignol, l’ancien ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des Femmes sous la présidence de Hollande, la priorité en pleine crise du COVID19 est de continuer à pratiquer des avortements. Une priorité qu’a entendu Jérôme Salomon, le directeur général de la Santé. Vendredi 20 mars, il a précisé, lors de son point presse, que malgré le confinement qui frappe la majorité des Français, point de confinement naturel pour les bébés à naître dont la mère ne veut pas : « les centres pour réalisation d’IVG restent ouverts pendant la crise » !

    Tout est dit. Ces politiciens et technocrates au pouvoir ne sont qu’une bande d’hypocrites. De la vie, de la mort, de la nature, ils n’en ont cure…

     

  • Pandémie, journaleux et dictature !

     

     

    Comme pour l’incendie de Notre Dame, aucune question n’est posée sur les causes de cette pandémie...

    Que s’est il passé à Wuhan ? Nous avons en Chine un laboratoire de recherche bactériologique dit P4, c’est à dire hautement pathogène. Nous avons un ancien patron de l’Inserm, mari de l’ancienne ministre de la Santé qui a inauguré, le 23 février 2017, ce laboratoire créé en collaboration avec un pays si peu démocratique qu’il enrégimente sa population quand elle ne l’envoie pas en laogai ! Nous avons une querelle ancienne sur l’utilité de certains vaccins entre Monsieur Levy Buzyn et le professeur Raoult. Nous avons un décret en février pour classer le médicament du professeur sur la liste des substances vénéneuses par le ministère de la santé encore dirigé par madame Buzyn. Nous avons des laboratoires qui cherchent vite, vite les bons remèdes bien rentables alors que le remède du professeur Raoult n’est pas couteux…

     

    Le vrai journaliste ne serait-il pas celui qui pose les bonnes questions ?
    Tous les gouvernements ou presque signent des traités de non prolifération d’armes chimiques . La bactériologie ne rentre-t-elle pas dans ces traités ? On signe un accord avec un pays qui a tué des millions d’enfants avec sa politique de stérilisation et d’avortement. N’est-ce pas gênant ? Comment ose-t-on préparer des virus pour tuer l’adversaire ? Pourquoi personne n’interroge monsieur et madame Bill Gates sur leurs véritables intentions philanthropiques et leur bilan déjà réalisé en Inde. Stérilisation forcée et avortement en masse des petites filles aboutissent à un pays sans femme…Pourquoi les féministes ne s’agitent-elles pas sur ce drame ? Pourquoi certains se permettent-ils d’appeler à l’élimination des vieux et des pauvres comme le suggérait Margaret Sanger, la fondatrice du Planning Familial, en 1916 aux USA et le judéo maçon Attali ?

    2ème question
    Le professeur Raoult n’a pas que les cheveux longs, il a aussi les idées longues et les recherches poussées. Comment un journaliste qui n’a pas fait dix à quinze ans d’étude peut-il contrer vulgairement un homme de science ? La seule attitude correcte et utile d’un journaliste c’est de poser des questions et mettre en valeur un savant, un artiste ou un homme politique si celui-ci en vaut la peine. Le reste est bavardage du café du commerce et on en est saoulé.

     

    3ème question
    Est ce au gouvernement et à ses fonctionnaires de décider du travail d’un médecin ?

    Le professeur Raoult a répondu par la négative. Depuis Hippocrate le médecin est seul responsable devant son malade. Pourquoi les enseignants obéissent-ils au garde à vous à l’Etat, alors que les méthodes imposées par celui-ci ont fait la preuve de leur échec ? Pourquoi les hôpitaux privés n’ont-ils pas joué de leur indépendance pour continuer à soigner ceux qui en avaient besoin alors que leurs lits sont restés vides.
    Bref pourquoi et comment sommes nous dans un état totalitaire ? Le soviet suprême décidait des cultures en URSS selon son idéologie très éloigné du réel. Les catastrophes sont arrivées en rafales .

    Bref cette pandémie est une occasion inespérée de reprendre notre destin en main. Plus de délégation à l’Etat qui n’a que 3 prérogatives, la justice, la sureté et l’exécutif. Ces 3 domaines sont pourtant calamiteux. Il est à croire que les gouvernements qui se succèdent depuis des décennies n' ont qu' un objectif: détruire et déraciner la France !

     

     

     

  • Amendes salées pour les indigènes sauf pour les "chances pour la France" ...

     

     

    Tandis que des catholiques, réunis à une douzaine pour entendre la sainte Messe hier dimanche, ont été verbalisés par des gendarmes zélés pour un non respect, plutôt subjectif, des règles de confinement, dealers et « djeunes » en banlieues s’en donnent à cœur joie pour ne rien respecter du tout :

    «  La nuit de samedi à dimanche n’a pas été de tout repos pour les pompiers et les policiers de Seine-Saint-Denis, relate Actu 17.

    Secours et forces de l’ordre ont été contraints d’intervenir à plusieurs reprises à Clichy-sous-Bois, ce samedi, pour des incendies volontaires. La première intervention a eu lieu vers 20h30, lorsque deux camionnettes ont été incendiées dans l’allée du Bois-du-Temple.

    Les pompiers escortés par les policiers en prévision d’un éventuel guet-apens ont effectivement été ciblés par une pluie de projectiles dès leur arrivée. Visiblement déterminés à blesser voire pire, les assaillants ont visé les fonctionnaires avec des boules de pétanque, relate Le Parisien.

    Sept médiateurs de l’équipe mobile de tranquillité mobile ont également subi des jets de projectiles, d’après le maire de la commune. À peine une trentaine de minutes plus tard, c’est entre le commissariat de la commune et la caserne de pompiers que des poubelles ont été incendiées.

    En Seine-Saint-Denis, des émeutiers harcèlent les forces de l’ordre et les secours depuis le début de la mise en place du confinement lié à la pandémie de Covid-19.

    Mardi soir à Aulnay-sous-Bois, une vingtaine de jeunes leur ont tendu un guet-apens dans la cité des 3 000. Les policiers ont pu interpeller et placer en garde à vue six suspects pour « participation à un attroupement armé ».

    Le Figaro traite du sujet pareillement :

    «  Au-delà des délinquants, les policiers constatent beaucoup d’infractions: bars ouverts, petits groupes, voitures avec quatre ou cinq passagers… Avec de fortes tensions en cas de contrôle.

    L’épidémie est un révélateur de la crise des «quartiers sensibles» et nul ne devrait s’en étonner. Secrétaire général de Synergie-officiers, Patrice Ribeiro déplore que «des individus, minoritaires, s’y considèrent au-dessus des lois. Et toute intervention policière est prétexte à affrontement».

    Les faits parlent d’eux-mêmes. Dès mardi, dans une cité d’Elbeuf (Seine-Maritime), des policiers sont pris à partie une heure durant par une cinquantaine de jeunes organisant un barbecue géant et un feu d’artifice…

    Mercredi, dans la région lyonnaise, des policiers sont insultés par une dizaine d’individus. À Massy et Savigny-sur-Orge (Essonne), des contrôles tournent à l’échauffourée. À Millau (Aveyron), un trentenaire, apparemment fiévreux et connu des services de police, crache sur les policiers pendant un contrôle.

    Même révélations sur le plateau de l’émission “L’Heure des Pros” (CNews) du 20 Mars 2020.

     

     

     

    C’est un choix délibéré de l’État: le confinement n'est désormais pas appliqué dans les zones criminogènes. Or, si certains veulent acheter la paix sociale, l’ancien préfet Michel Aubouin craint que l’assèchement des trafics de drogue ne mène à de nouvelles émeutes, au pire moment.

    «Ce n’est pas une priorité que de faire respecter dans les quartiers les fermetures de commerces et de faire cesser les rassemblements», a déclaré le Secrétaire d’État Laurent Nuñez lors d’une visioconférence avec les préfets le 18 mars. Une révélation du Canard enchaîné qui conforte les instructions aux policiers du 92 que nous avions dévoilées la semaine dernière: alors que le confinement se révèle impraticable dans les zones de non-droit, l’État recule.

    «C’est une question de rapport de forces: pour confiner tous ces gens, il faudrait des moyens policiers que nous n’avons pas», regrette l’ancien préfet Michel Aubouin au micro de Sputnik.

     

    Ancien haut fonctionnaire, auteur de l’essai 40 ans dans les cités, notre interlocuteur connaît la réalité des zones sensibles. Pour lui, la situation est hautement inflammable: «ça ne m’étonnerait pas que ça se transforme franchement en émeute», nous confie-t-il. «Les maires que je vois sont très inquiets», ajoute-t-il, avant de préciser: «les préfets laissent les maires assez démunis et la Police municipale a peu de moyens juridiques, à part dire aux gens de rentrer chez eux...»

     

    Les maires appellent l’État au secours…

    Alors que les attroupements, les rodéos urbains et autres barbecues se multiplient avec le printemps et en dépit du bon sens sanitaire, certains élus craignent en effet le pire. La maire de Vénissieux (Rhône), Michèle Picard (PCF), a lancé un appel au secours pour obtenir des renforts de police. Avec 34 agents, la police municipale de cette ville de 66.000 habitants est débordée et n’est pas en mesure de faire respecter le confinement.

    Mais les renforts viendront-ils? 100.000 agents devaient quadriller le territoire national, selon Emmanuel Macron, mais l’annonce tarde à être suivie d’effet. Il faut dire que la police est déjà exsangue, d’autant plus que les agents contaminés sont de plus en plus nombreux. Ayant reçu l’ordre de ne pas porter de masque, les agents sont particulièrement exposés à la contagion. Au 25 mars, 100 sont officiellement malades, et 5.000 sont quant à eux confinés. Du côté de la gendarmerie, on compte 25 malades et 600 confinés.*

    … mais l’État tente d’acheter la paix sociale

    Face au désarroi des élus, les représentants de l’État ne rassurent pas. Ainsi, le préfet de Seine-Saint-Denis a-t-il exigé du maire d’Aubervilliers de lever l’arrêté de couvre-feu, menaçant de l’attaquer devant une juridiction administrative pour illégalité. Pourtant, 112 villes en France l’ont édicté… tout comme le préfet des Alpes-Maritimes. Une façon d’acheter la paix sociale? Entre des émeutes urbaines au pire moment ou la propagation du virus, l’État semble avoir tranché pour le deuxième des maux.

     

    Comme d’habitude, selon Michel Aubouin, la situation reflète une méconnaissance des quartiers et des réflexes culturels propres aux familles d’origine étrangère. L’échec du confinement dans les zones sensibles était presque prévisible: «pour toutes les familles originaires du Maghreb, les appartements abritent les femmes et les filles, et les garçons ont souvent peu de raisons d’y être,» affirme l’ancien fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, familier des quartiers défavorisés: «je ne crois pas que quelqu’un ait pris la peine d’y réfléchir.» Et le préfet d’ajouter que les consignes sanitaires télévisées n’ont pas de sens dans ces parties du territoire: «ils ne regardent pas ces chaînes», indique-t-il. Ainsi les maux des quartiers «populaires» se révèlent-ils autant dans cette crise que ceux des décideurs politiques:

     

    «On continue de penser que les problèmes sont loin, qu’il suffit de cantonner ces gens dans leurs quartiers, et de penser les quartiers comme des espaces extérieurs à la nation», estime Michel Aubouin.

    Or, un tel raisonnement est condamné à échouer. Car plus encore que le confinement dans ces quartiers, confiner ces quartiers est impossible: «les livreurs ou chauffeurs de VTC, les milliers de travailleurs indépendants en viennent», relève Michel Aubouin en guise d’exemple. La propagation du virus est dès lors garantie.

    L'intervention tant attendue de l'armée?

    Mais à l’échec du confinement dans les zones de non-droit, pourrait s’ajouter un coup brutal à leur économie. Les trafics de drogue, qui n’ont pas cessé à l’heure actuelle, pourraient bien s’assécher dans les jours à venir. Le secteur représente deux à trois milliards d’euros par an et pourvoit plus de 20.000 emplois à échelle nationale. Si certains collègues préfets de Michel Aubouin pensaient que le trafic pacifierait les quartiers, celui-ci dénonce «une énorme bêtise»: «je pense exactement le contraire: ça les rend incontrôlables.» Le gagne-pain de quartiers entiers est menacé à moyen terme, alors que les «go fast» sont rendus plus difficiles avec les nombreux contrôles policiers:

    «Ça va créer une tension qui ne peut s’exprimer que par la violence, je ne crois pas qu’ils resteront tranquillement à regarder la télévision chez eux… sans parler des 5.000 détenus que Nicole Belloubet envisage de libérer», soupire notre interlocuteur.

    Alors Michel Aubouin ne craint pas d’évoquer «d’autres types de moyens», et non des moindres: «je pense à l’armée», précise-t-il, sans craindre le politiquement incorrect. Mais est-ce vraiment réaliste? Oui, selon l’ancien préfet: «on le fait pour des opérations Sentinelle, je ne vois pas pourquoi on ne le ferait pas pour des situations d’urgence sanitaire.»

    Un besoin d’aide militaire qui se fait par ailleurs sentir en d’autres points du territoire, selon Michel Aubouin. En effet, les marchés sont désormais fermés, notamment dans les quartiers populaires de la capitale, à Barbès ou aux Batignolles. Le scénario du prolongement n’est pas à écarter:

    «à un moment ou un autre, il faudra distribuer des produits alimentaires à la population des métropoles. On ne tiendra pas encore plusieurs semaines comme ça, et s’il faut le faire, c’est l’armée qui le fera

     

     
    Deux heures après le plaidoyer de Michel Aubouin pour l'intervention militaire, Emmanuel Macron annonçait le lancement de l'opération «Résilience» à Mulhouse, où les hôpitaux sont actuellement débordés par la pandémie. Distincte de l'opération «Sentinelle» comme l'envisageait l'ancien préfet, elle sera consacrée au soutien à la population dans les domaines «sanitaires, logistiques, et de la protection.» Reste à savoir si cette «protection» incluera des opérations de maintien de l'ordre dans des zones jugées sensibles. Une hypothèse pour l'instant peu probable, compte tenu des craintes du gouvernement ! ...