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  • L’abattage halal, source de problèmes sanitaires est passé sous silence par le gouvernement !

    Halal Alain de Peretti
     

     Alain de Peretti, vétérinaire et président de l’association Vigilance Halal, était à Rennes le mercredi 22 mars 2017. Il donnait une conférence sur l’abattage rituel musulman et la notion de viande halal à l’invitation de l’association Kiosque citoyen.
    Entre 40 et 50 personnes étaient réunies à l’Institut de Gestion de Rennes 1. Des habitués des conférences de l’association mais aussi des étudiants et même plusieurs vétérinaires de la région.

    Après cette conférence, il a répondu à deux de nos questions. Premièrement sur la manière dont le Sri Lanka avait banni l’étiquetage « Halal » dans les rayons du pays puis, ensuite, sur l’existence d’un label français permettant d’éviter de consommer un produit halal.

     

    La critique du halal, un interdit ?

    « Personne n’ose aborder le problème du halal de façon frontale » nous a déclaré Alain de Peretti quelques minutes après sa conférence. Durant la séance de questions/réponses avec le public, une vétérinaire n’a pas hésité à présenter sa propre expérience quant au tabou entourant tout questionnement sur le halal dans sa vie professionnelle. Un autre vétérinaire présent a reconnu la qualité des travaux d’Alain de Peretti et a fait part de son étonnement sur le manque de transparence de l’état sur un tel sujet de santé publique.
    Pour Alain de Peretti, ce tabou n’existe que parce qu’il est considéré comme islamophobe et raciste d’étudier les problèmes sanitaires posés par les abattages rituels. C’est d’ailleurs pour éviter les procès en islamophobie qu’il a joint à sa longue présentation une étude réalisée par Sami Aldeeb, universitaire suisse, démontrant que l’obligation de l’abattage rituel ne se trouvait pas dans le coran.

    L’abattage halal, source de problèmes sanitaires

    Devant son auditoire attentif, Alain de Peretti a donc déroulé une présentation maitrisée et percutante sur les dangers sanitaires propres à l’abattage rituel islamique, très différent de l’abattage européen. Des différences entre les deux méthodes qui se retrouvent dans l’augmentation dramatique des risques sanitaires pour les consommateurs de viande halal.

    A l’aide de photographies – parfois très dures – prises dans des abattoirs halal, Alain de Peretti a pu démontrer qu’il existait un réel problème de santé dans l’abattage rituel.
    Outre les problèmes de santé, Alain de Peretti a longuement évoqué les problématiques politiques (financement de groupes terroristes par exemple) ou idéologiques (ré-enracinement identitaire des populations immigrées par exemple).
    Pour permettre aux Français de trouver une boucherie exempte de toute viande issue d’un abattage rituel islamique, Alain de Peretti a conseillé à plusieurs personnes le site Suivez le coq.

    Alain de Perreti est coutumier de ce genre de conférences puisqu’il se déplace dans toute la France, là où on l’invite.

  • Turquie : Erdogan menace d’amplifier les attaques djihadistes, « Aucun Européen ne pourra plus faire un pas en sécurité nulle part dans le monde »

     
     
     

     Le président islamiste turc, Recep Tayyip Erdogan, a encore fait monter la tension entre la Turquie et l’Europe.

    Après avoir assuré que les musulmans déclencheraient une « guerre de religions » sur le Vieux Continent (lire ici) et qu’il souhaitait mobiliser « tous les musulmans et étrangers » contre l’Europe (lire ici), Erdogan a précisé sa pensée hier.

    Le président islamiste a assuré que les Européens ne seraient « plus en sécurité nulle part dans le monde.

    Valeurs Actuelles (source) :

    “Je m’adresse une nouvelle fois aux Européens (…) La Turquie n’est pas un pays qu’on peut bousculer, dont on peut bafouer l’honneur, dont on peut expulser les ministres. Le monde entier suit ce qui se passe de très près. Si vous continuez de vous comporter de cette manière, demain, aucun Européen, aucun Occidental, ne pourra plus faire un pas en sécurité, avec sérénité dans la rue, nulle part dans le monde. »

    Une allusion très claire à des attaques djihadistes contre les populations européennes. En avril 2016, le Roi de Jordanie avait indiqué que le gouvernement islamiste de Recep Tayyip Erdogan était derrière les attaques commises par les musulmans en Europe tout comme de l’invasion migratoire afro-orientale (source).

     

  • Présidentielle : rien ne changera !

     

    C’est reparti pour un tour. Le président du Conseil constitutionnel, Laurent Fabius, dont la carrière jalonnée de postes aussi prestigieux que rémunérateurs, n’a manifestement pas souffert du scandale du sang contaminé, a annoncé le 18 mars, au cours d’une conférence de presse rue de Montpensier, que onze candidats étaient officiellement habilités à briguer la magistrature suprême, la dixième au suffrage universel direct de la Ve République. De toutes les campagnes présidentielles depuis plus d’un demi-siècle, celle que nous vivons actuellement est de loin la plus insignifiante. Et ce ne sont pourtant pas les émissions politiques et les débats télévisés qui font défaut. Jamais une telle couverture n’a été donnée à une campagne, depuis les primaires des Républicains puis du Parti socialiste, jusqu’aux trois grands débats qui ponctueront les ultimes semaines avant le scrutin. La médiocrité du personnel politique n’a jamais été aussi abyssale qu’aujourd’hui. On se pince pour croire que ces vils politiciens briguent la fonction suprême de l’Etat et que l’un de ceux-là prendra ses quartiers à l’Elysée à la mi-mai !

    Toute la campagne a été ponctuée par le déballage d’affaires politico-financières : François Fillon, qui était il y a quelques mois encore, le favori du scrutin, a été mis en examen le 14 mars pour « détournement de fonds publics, complicité et recel de détournement de fonds publics, complicité et recel d’abus de biens sociaux et manquement aux obligations de déclaration à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique » pour l’embauche présumée fictive de son épouse Pénélope puis de ses deux enfants Marie et Charles comme assistants parlementaires. Et si Marine Le Pen n’avait pas refusé sa convocation par la police puis par les juges d’instruction dans l’affaire des emplois présumés fictifs des parlementaires frontistes au Parlement européen, elle eût été mise en examen pour abus de confiance pour l’embauche de son chef de cabinet Catherine Griset, elle-même mise en examen pour ce délit. A cela s’ajoutent les interrogations sur le patrimoine d’Emmanuel Macron, qui aurait mystérieusement fondu alors que ce dernier a gagné des millions d’euros chez Rothschild, sur son utilisation des fonds de Bercy pour lancer sa campagne lorsqu’il était ministre de l’Economie et des Finances, sur le financement d’une soirée à Las Vegas sans qu’il y ait eu d’appel d’offres au préalable comme la loi y oblige. Les media se sont montrés beaucoup plus discrets sur les affaires de Macron, leur candidat de cœur, que sur celles mettant en cause François Fillon et Marine Le Pen. Mais cette désinvolture dans l’usage des deniers publics, et le cynisme des politiciens qui se disent toujours innocents de tout, comme Dreyfus, même lorsqu’ils sont pris la main dans le pot de confiture, en disent long sur la décadence morale inouïe de notre époque. Autrefois cette corruption n’était pas générale : aussi acharnés qu’aient pu être leurs contempteurs, on n’a jamais pu reprocher aux différents régimes fascistes, non plus qu’au maréchal Pétain, le moindre scandale politico-financier, le moindre enrichissement personnel suspect. Autres temps, autres mœurs. Non seulement les politiciens d’aujourd’hui ne servent rien, sinon à nous détruire, mais de plus ils se servent !

     

    Le plus frappant peut-être dans cette campagne — et le grand débat sur TF1 entre les cinq autoproclamés grands candidats le 20 mars l’a confirmé —, c’est l’absence totale de souffle, de vision et plus encore de transcendance, de verticalité, de spiritualité.

    Aucun ne voit ou ne veut admettre que la crise que nous connaissons, avant d’être politique ou économique, est d’abord morale et spirituelle. Il est vain d’espérer redresser le pays, d’inverser la courbe du déclin tant que les mœurs ne seront pas réformées et tant que l’on ne se mettra pas au service d’une cause supérieure qui dépasse et qui transcende, au service du bien, du beau, du vrai. Or, l’on sait d’ores et déjà que quel soit le candidat parmi les onze qui sera élu le 7 mai au soir le massacre industriel des enfants à naître se poursuivra, ainsi que son remboursement à 100 %. Or comment redresser une nation, construire un avenir, donner un sens à la vie si l’on tue légalement chaque année plus de 200 000 Français dans le ventre de leur mère et que l’on considère ce génocide bien réel comme un droit fondamental et une fantastique conquête ?

    Parmi les différents postulants c’est d’ailleurs à celui qui ira le plus loin dans la culture de mort : les candidats de gauche, Hamon et Mélenchon, ont ainsi inscrit à leur programme la légalisation de l’euthanasie active et du suicide assisté et le héraut de « la France insoumise » entend même graver dans l’airain constitutionnel le droit à l’avortement, à l’euthanasie et au suicide !

    Peut-on aller plus loin dans la folie, dans la négation de la vie, dans les transgressions les plus effrayantes ? Aucun des candidats ne parle de l’accueil de la vie et de la défense de la famille, pourtant cellule de base de la société. Aucun n’évoque le combat pourtant essentiel contre la drogue et la pornographie dont les effets sont si dévastateurs pour l’ordre social et la dignité de l’homme. Sait-on assez qu’un enfant sur deux du primaire a déjà vu au moins une fois un film X ? Comment pourra-t-il demain croire à l’amour lorsque ce mot aura été à ce point profané, comment pourra-t-il construire plus tard un couple et un foyer stable après avoir subi de telles déformations ? Mais sur tous ces sujets les différents prétendants n’ont rien à dire ni à redire. Non plus d’ailleurs que sur l’aggravation du Pacs et l’institution du “mariage” homosexuel que tous entendent peu ou prou maintenir. Pendant les primaires le débat entre Juppé et Fillon, le prétendu catholique, était de savoir s’il fallait accorder aux “couples” d’invertis le droit à une adoption simple ou plénière ! Et Marine Le Pen entend substituer à l’actuelle loi Taubira une union civile homosexuelle qui donne aux homosexuels exactement les mêmes droits fiscaux, successoraux et patrimoniaux que les personnes mariées et hétérosexuelles...

     

    Quel que soit le candidat élu, les vomitives Gay Pride continueront à s’ébranler dans nos rues, la laïcité, l’antiracisme unilatéral et l’idéologie anti-discriminatoire seront toujours enseignés et promus du berceau à la mort, de la maternelle à l’université.

    La religion de la Shoah continuera à régner de manière toujours plus implacable. Les lois Pleven et Gayssot resteront en vigueur. Ceux qui pensent que Marine Le Pen desserrera sur ce point le carcan s’illusionnent complètement. Elle a exclu son père pour avoir défendu le maréchal Pétain dans ces colonnes et avoir maintenu ses propos sur le “détail”, elle vient d’exclure l’identitaire Benoît Loeuillet qui, dans une caméra cachée, tient des propos historiquement incorrects. Et sa nièce Marion Maréchal Le Pen, elle aussi héroïque, a aussitôt exclu le coupable du groupe FN au conseil régional de PACA. L’exclusion est immédiate, définitive et sans appel. On ne badine pas au néo-FN avec la version officielle et obligatoire de la Seconde Guerre mondiale. Loeuillet n’a même pas le droit de présenter sa défense, de faire valoir ses arguments, de préciser de surcroît qu’il a été piégé, qu’il ne se savait pas filmé, que les propos tenus sont finalement prudents (il dit ne pas quoi savoir penser de la thèse révisionniste). Mais l’expression d’une simple doute, d’une interrogation est déjà un crime. Le silence même peut être coupable. Dans un communiqué Loeuillet a eu beau faire profil bas, dire que ses propos ont été coupés, qu’il n’a jamais contesté la Shoah, rien n’y fait, il est mort politiquement, il est mort socialement. Il est exclu à vie du FN. Il a commis le crime pour lequel il n’est ni oubli ni pardon. Qu’il est loin le temps où le bureau politique du FN votait à l’unanimité une motion de soutien à Bruno Gollnisch pour ses propos en 2004 sur les chambres à gaz, qu’elle est loin de nous, et sans doute définitivement révolue, l’époque où Georges Theil pouvait rester membre du Front national, avec l’accord explicite de Jean-Marie Le Pen, malgré ses propos publics explicitement révisionnistes.

    Les différents candidats peuvent bien nous parler de liberté, de vérité, de redressement, d’honneur, de dignité, ces mots dans leur bouche sont une imposture. Ils sont tous menteurs et fourbes. Une promesse n’engage-t-elle pas que celui qui y croit, comme l’avait édicté feu Charles Pasqua ? Comme s’il suffisait d’un bulletin de vote pour que tout changeât, tout s’arrangeât. Comme s’il n’était pas évident que plus l’on fait voter les masses, plus on les conduit à l’abattoir. Plus l’on multiplie les scrutins en tous genres, plus s’accumulent les ruines, plus s’entassent les cadavres. Plus l’on organise de prétendus débats entre personnes qui ont sur l’essentiel la même vision du monde, professent les mêmes faux principes et acceptent les mêmes tabous, plus la libre recherche est étouffée, la libre expression interdite, la vérité et la justice mises sous le boisseau.

    Octave Mirbeau avait bien raison, lui qui écrivait : « Les moutons vont à l’abattoir, ils ne disent rien, eux, et ils n’espèrent rien. Mais, du moins, ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera, et pour le bourgeois qui les mangera. Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons, l’électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. Il a fait des révolutions pour conquérir ce droit... »