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Europe - Page 5

  • Les médias n’en peuvent plus de glorifier le grand assassin Macron !

     

    Les médias aux ordres des pitres qui nous dirigent assènent que la violence c’est mal, que la guerre c’est laid et que l’Ukraine est un pays merveilleux d’où, curieusement, vient aujourd’hui TOUT ce que nous consommons… !


    Les mêmes médias pleurnichent et s’apitoient sur l’affaire de la tuerie de l’école primaire au Texas par un psychopathe, mais pas un mot sur l’envoi en masse, par un autre psychopathe (Macron), d’armes de guerre et de forces spéciales françaises en Ukraine pour l’aider à vaincre la Russie en engendrant encore plus de morts, de blessés et de mutilés de guerre ukrainiens…
    Il faudrait savoir si la violence et la guerre c’est mal ou pas… ?
    Évidemment, on nous repasse à l’occasion le vieux film de la liberté d’être armé aux USA comme à chaque occasion d’une tuerie quelconque.

    Être armé devrait être un droit habituel dans tout pays de droit et de liberté. Les armes ne tuent jamais. Ce sont les hommes qui tuent et ils peuvent tuer avec n’importe quel moyen, même une bonne grosse pierre pour fracasser le crâne de l’autre.
    Que ce soit un couteau, un pistolet ou une bombe atomique, il y a toujours un type qui en fait usage ou appuie sur un bouton.
    Ce n’est pas l’arme qui tue, mais celui qui s’en sert. J’ai été artilleur et je sais qu’un canon de 155 dans un entrepôt ne tuera jamais personne.

    Je pense aussi que le droit d’être armé en France devrait figurer dans notre Constitution sous un certain nombre de conditions.
    En temps de paix, acquisition et détention d’armes simples, de poing ou des carabines à réarmement manuel, mais pas d’armes automatiques de guerre.
    5 cartouches maximum dans le chargeur, mais avec la possibilité d’avoir plusieurs chargeurs à disposition.

    Ensuite, pour toute demande d’acquisition, une chose dont on ne parle jamais, un examen psychiatrique en deux ou trois séances obligatoires devant un psychiatre et pas de casier judiciaire à part pour des délits mineurs comme de petites infractions routières sans violence ni conséquences.
    Les délits de violence volontaires, vols avec armes, viols et crimes de sang sont exclus, bien évidemment.
    Également l’appartenance à n’importe quel groupe humain incitant à la haine et à la violence contre d’autres humains, exclut automatiquement du droit à l’acquisition et la détention d’armes, notamment les groupuscules nazis ou autres violents ou les musulmans dont l’idéologie inclus dans ses textes le meurtre de tous ceux qui ne sont pas comme eux (voir Coran, charia et hadiths).

     
    Le simple port d’une arme n’empêchera jamais de se faire égorger par surprise (spécialité de nos amis au croissant vert).
    Le droit d’être armé chez soi devrait être libre . Par contre, en cas de besoin majeur de porter son arme sur soi (certains métiers, activités ou certains lieux) il devrait être obligatoire de le déclarer aux autorités de police par un simple courrier précisant les dates des périodes d’usage.
    Il n’y a pas de raison qu 'en France seuls les bandits et les terroristes soient armés en toute impunité avec le feu vert du gouvernement !...

    Macron, l’État, les institutions, les médias et les réseaux sociaux (grands détenteurs et diffuseurs de la nouvelle morale universelle islamogauchiste) tentent de nous culpabiliser sans arrêt par rapport à la haine et à la violence qu' eux mêmes ont engendrées.

    Nos dirigeants qui ne respectent pas les français, ne font pas leur travail et nous abreuvent de mots d’amour, de paix, de solidarité, d’accueil, de partage, de respect, etc.
    On se doit certes d'accueillir les Ukrainiens , au moins les vrais, femmes et enfants qui fuient la guerre et la ruine de leur pays provoquées par leur chef d’État nazi, acteur et clown de service sous la coupe des USA, de l’OTAN, de l’UE et de l’ONU.

    Leur but est que l’Ukraine entre dans l’OTAN (qui aurait dû être dissoute depuis au moins 40 ans) et permette la mise en place sur son sol de vecteurs balistiques tactiques nucléaires pointés sur la Russie. C’est la seule raison des USA dévorés par leur haine de la Russie et leur volonté de continuer à être les maîtres du monde pour nous imposer leur loi.


    La Russie a raison de refuser cela.

    À côté de ça, Macron envoie de l’argent (12 milliards d' euros)  à l’Ukraine pour l’aider à « gagner la guerre contre la Russie » qui est bien plus puissante…
    La France envoie aussi des canons Caesar et des missiles Milan, tandis que les USA et l’Angleterre envoient aussi des véhicules blindés, des drones explosifs et des missiles antichars.
    Le territoire ukrainien pourrait devenir, à l’image de pays comme la Syrie ou l’Irak, des territoires de guerre permanents où les maîtres du monde jouent aux échecs et commercialisent les armes de guerre qu’ils produisent…Et ces armes pourront demain se retourner contre nous !

    Tout ce que fait Macron ( chef d’État inopérant qui a dépassé sa date d’obsolescence programmée) en accord avec ce chien de Zelenski, c’est de prolonger cette guerre dans la durée et de permettre largement à Poutine de détruire plus totalement le pays et de tuer encore plus de populations ukrainiennes innocentes.
    Macron, le grand stratège devant l’Éternel, ne connaît rien à la guerre (ni à quoi que ce soit d’autre, d’ailleurs) et en particulier aux dégâts que peuvent provoquer des pièces d’artillerie mal encadrées (PC de tir).  Quand on tire au canon à 5, 10, 15, 20 ou 25 kilomètres, on ne voit pas sur quoi on tire... Et on peut tout autant détruire des structures amies qu’ennemies et tuer des gens du camp adverse comme de son propre camp.
    Macron est bel et bien un assassin, une fois encore, par ses mauvais choix et ses décisions absurdes.

    Macron grand chef de guerre et assassin détourné, incapable de gérer un pays de 67 millions d’habitants dont une majorité lobotomisée a voté pour lui…
    Ainsi, les médias encensent ce "grand chef de guerre" (qui n’a jamais touché une arme de toute sa vie) et veulent en faire un héros au service de la paix alors que ce n'est qu'un bouffon…
    On oublie aussi tous les crimes, assassinats et égorgements rituels commis en France chaque jour contre notre propre peuple (Français de souche,  chrétien ou juif) par des populations immigrées arabo-africaines au nom d’un culte sectaire barbare et génocidaire, sous le regard très bienveillant et approbateur du grand criminel Macron et de son ministricule Moussa Darmanin…
    Mais si un islamogauchiste se fait trucider, on en fait un débat pendant six mois.

     La réalité est que l’Ukraine est en ruine, finie, lessivée, rectifiée et a déposé les armes depuis longtemps et une grande partie des dernières troupes lucides ont déjà démissionné sagement face à une guerre qui les dépasse et dont ils savent qu’elle est d’ores et déjà perdue.
    Ils ne veulent pas être les derniers cadavres à joncher les rues et préfèrent rentrer chez eux.

    Les dernières poches de combattants survivants à résister encore sont ces fameux nazis qui savent qu’ils seront exécutés par l’armée russe pour leurs crimes contre les Russes et la population ukrainienne.

    Et toutes les absurdités distillées par les médias concernant la faiblesse de la Russie et une hypothétique maladie de Poutine ne sont que du vent. 

     

  • Les barbus ne veulent plus de Merluchon !

    Merluchon alias Jean-Luc Mélenchon a construit une grande partie de sa stratégie électorale pour l’élection présidentielle sur la séduction des quartiers abusivement appelés « populaires », qui sont en réalité les cités de l’immigration. Et pour capter cet électorat des français de papier et des musulmans de France, il n’a pas épargné ses efforts : éloge passionné de la « créolisation » de la société, promotion du droit du sol intégral, défense du voile islamique, attaques contre la police toujours suspecte de « racisme », et promesse de revenir sur la pourtant bien timide loi macronienne « contre le séparatisme ».

    Indiscutablement, ses exercices de danse du ventre ont porté leurs fruits puisque le candidat de l’extrême gauche est arrivé en tête des suffrages dans nombre de ces zones que certains appellent « les territoires perdus de la République ». Pas perdus pour tout le monde en l’occurrence. En fin de compte, 69 % des électeurs musulmans ont voté pour le chef de file des « insoumis » au premier tour de la présidentielle 2022. Avec de tels résultats, l’insoumis en chef pouvait penser avoir remporté la timbale, devenant le « leader » incontesté de la « nouvelle France » multiethnique et islamisée. Las, c’était faire preuve de beaucoup d’optimisme et d’une totale cécité face aux mouvements profonds qui travaillent l’Hexagone.

    Car malgré toute sa bonne volonté, Merluchon reste un homme blanc, athée et bourgeois, bref un vestige de la « France d’avant » qu’il a certes totalement trahie mais dont il reste le pur produit. Or ce profil ne convient pas du tout à une part grandissante de la population issue de l’immigration qui n’entend plus déléguer le pouvoir à des « babtous », fussent-ils serviles, mais bien prendre elle-même en main la défense de ses intérêts et la promotion de ses objectifs communautaires. C’est ainsi que l’Union des démocrates musulmans de France, un parti communautaire islamique, a annoncé avoir investi une centaine de candidats pour les élections législatives de juin prochain. Des candidats qui se trouveront donc en concurrence directe avec ceux de « l’union de la gauche » menée par Mélenchon.

    Créée en 2012 par Nagib Azergui, un ingénieur en télécommunication, l’UDMF avait seulement présenté une dizaine de candidats aux élections législatives de 2017. Cinq ans plus tard, le mouvement en annonce une centaine, principalement concentrés dans les bastions du vote communautaire musulman (48 candidats en Ile-de-France, 16 en Auvergne-Rhône-Alpes).

    Cette croissance exponentielle est une démonstration irréfutable du développement du communautarisme musulman dans notre pays, d’autant que l’UDMF est ouvertement islamiste comme le montre son tract de campagne où est représentée une femme voilée. Le parti est d’ailleurs régulièrement pointé du doigt comme étant une émanation de la confrérie des Frères musulmans, mouvement par ailleurs interdit dans nombre de pays musulmans comme l’Egypte et la Syrie.

    Le petit timonier Mélenchon sera-t-il à son tour « grand remplacé » par ceux-là mêmes qu’il a tant flattés et cajolés ? C’est un scénario, énième version de l’arroseur arrosé, qui apparaît fortement probable et dont on pourrait sourire s’il n’était pas, malgré tout, un nouveau et inquiétant symptôme de la profonde transformation ethnico-culturelle de notre nation !!

     

  • Macron vient de couler Renault avec ses sanctions imbéciles !

     

    ……………………………Renault Arkana, un SUV Coupé pour la Russie

    Quelles qu’en soient les raisons !

    Renault se voit privé de son deuxième marché !
    2 ou 3 milliards d’investissements vont partir en fumée… et que récupèreront les Russes ! 
    Belle opération !!! Le travail de Carlos Ghosn est littéralement démoli… comme celui de son remplaçant !

     

    Renault quitte la Russie : chronique d’un départ en catastrophe

    Poussé par Macron dans ses retranchements, Renault a fini par céder en annonçant mercredi soir la suspension de ses activités en Russie et la possibilité de se désengager du constructeur russe Avtovaz. Un scénario inimaginable il y a encore un mois et qui se solde par une perte financière colossale. Récit d’un mois où tout a basculé.

    C’est jour de fête à Boulogne-Billancourt ce 18 février. Luca de Meo, le directeur général du groupe Renault, s’apprête à annoncer à la presse et à l’ensemble de la communauté financière des comptes de résultats miraculeusement bons dans un contexte pourtant défavorable avec la pénurie de semi-conducteurs, la hausse des prix des  matières premières, ou encore la baisse des marchés. Tous les voyants sont au vert : cash flow, profit opérationnel, résultat net…

    Tout semble sourire à ce nouveau Renault que l’Italien, arrivé en juillet 2020, est parvenu à remettre sur les rails en un temps record. Le groupe automobile français est même prêt à enclencher une nouvelle étape dans son plan de reconquête : l’international. Dans les couloirs du siège, on prépare le lancement imminent de trois nouveaux modèles en… Russie. Ces modèles sont fin prêts, et certains cadres préviennent les journalistes de l’imminence d’une grande opération de lancement à Moscou même.

    Inimaginable…
    Renault est à des années-lumières d’imaginer qu’une semaine plus tard, le président russe enverrait ses troupes en Ukraine…

    C’est tout juste si Luca de Meo est interrogé sur les conséquences d’un embargo sur la production russe. Il assure alors que la forte localisation des approvisionnements des usines de Renault, à plus de 90% explique-t-il, protègera les activités russes. Sauf que la crise du Covid a montré qu’il suffisait qu’une seule pièce manque pour paralyser pendant plusieurs semaines une usine.

    A ce moment de l’Histoire, personne chez Renault (comme ailleurs puisque le monde entier a été surpris par la tournure géopolitique des événements en Ukraine) n’envisage le pire. D’autant que la Russie représente des enjeux industriels colossaux pour le groupe français. C’est d’abord le rachat d’Avtovaz, le fabricant des célèbres Lada, dans lequel le groupe détient 63% du capital.

    Depuis dix ans, plusieurs milliards d’euros ont été injectés dans la modernisation des usines, puis la refondation d’une nouvelle gamme… Renault a commencé à tirer les premiers fruits de ses investissements avec un premier exercice profitable en 2021.

    Le groupe s’attendait à ce que la Russie, son deuxième marché mondial en volume, monte désormais en puissance dans la contribution aux profits du groupe. Avec la nouvelle gamme que Renault s’apprêtait à lancer, Luca de Meo voulait appliquer sa nouvelle formule visant à privilégier la création de valeur, c’est-à-dire augmenter la profitabilité unitaire par rapport à une stratégie de volumes. Pour Renault, le levier était alors perçu comme immense.

    Un déni ?
    Puis la guerre survint, et son cortège de sanctions internationales mais qui semblent préserver, sur le papier du moins, la légalité des opérations de Renault en Russie. « Nous resterons toujours en conformité avec les sanctions », a toujours expliqué Renault. Même le scénario d’une nationalisation russe n’est pas pris au sérieux : le pays de Vladimir Poutine ne serait pas capable de poursuivre les opérations industrielles, veut-on croire à Boulogne-Billancourt.

     

    Pertes et profits
    Un conseil d’administration réuni dans la soirée de ce mercredi 23 mars, a acté la fin de l’aventure russe. Et de préciser qu’il « évalue les options possibles concernant sa participation dans Avtovaz ». Autrement dit, Renault prépare son retrait de Russie, et passe ses lourds investissements autant en cash qu’en ressources humaines (ingénieurs, transferts technologiques…) par pertes et profits.

    Le préjudice s’élève à plusieurs milliards d’euros, trois milliards si l’on en croit la valeur comptable inscrite dans les comptes de 2021. Bien plus si on projette les profits prévus sur les dix prochaines années, additionnés aux investissements des dix années précédentes. Colossal !

    Au passage, Renault abandonne son objectif d’une génération de trésorerie d’un milliard d’euros cette année, et baisse d’un point son objectif de marge opérationnelle (3%). Une annonce qui ne devrait pas stopper la chute du titre qui a déjà perdu 21% en Bourse depuis un mois…

     

    Quoiqu’ils pensent de leur embargo, comme suite à celui de 2014, la Russie en ressortira gagnante !

    Les Européens, dont les Français, seront les grandes perdants !