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politique de la ville

  • Plutôt que de restaurer l’ordre, l’État a laissé la racaille allogène et les trafiquants prendre le contrôle de cités où les forces de l’ordre ne pénétrent plus !

    Territoires perdus. Plutôt que de restaurer l’ordre, l’État, utilisant la complicité des médias,  a préféré laisser la racaille et les trafiquants prendre le contrôle de cités où les forces de l’ordre ne vont plus. Pour laisser le pouvoir aux islamistes demain ?

     

    une politique ville tous contribuables 2021

     

    Une semaine ordinaire en France… En sept jours, entre la fin février et le début mars, les banlieues ont une nouvelle fois flambé.

    Dans le Rhône, émeutes dans le quartier de La Duchère, à Lyon, avec de multiples affrontements entre « jeunes » et policiers, suite à l’accident d’un adolescent de 13 ans à scooter.

    À Bron, du mobilier urbain a été cassé, plusieurs voitures de particuliers incendiées, un véhicule de police attaqué. Émeutes à Rillieux-La-Pape, dans le quartier des Alagniers, douze véhicules et deux buts ont été incendiés.

    En Picardie, émeutes dans le quartier de Saint-Jean à Beauvais, où les policiers tombent dans un guet-apens. Une trentaine d’émeutiers ont envoyé des mortiers d’artifice sur les forces de l’ordre, obligées de reculer. Tirs de mortier contre des CRS à Nîmes.

    Tentative de meurtre sur un photo-journaliste à Reims qui venait couvrir des « violences urbaines » dans le quartier de la Croix-Rouge.

    Christian Lantenois est retrouvé gisant près de son véhicule. Son pronostic vital est engagé.

    Deux suspects sont mis en examen, dont un Algérien de 21 ans, déjà condamné à huit reprises. Il disposait d’une carte de séjour espagnole.

    Tandis que l’État donne des coups de menton administratifs aux citoyens paisibles tenus de respecter les 18h du couvre-feu, les délinquants et criminels des banlieues semblent, quant à eux, bénéficier d’une forme d’impunité.

     

    Fort avec les faibles, faible avec les forts…

     

    Tandis que l’État donne des coups de menton administratifs aux citoyens paisibles tenus de respecter les 18h du couvre-feu, les délinquants et criminels des banlieues semblent, quant à eux, bénéficier d’une forme d’impunité.

    La France a subi 187 jours d’émeutes dans les banlieues en 2020, la moitié en région parisienne. Ces émeutiers sont de plus en plus jeunes car la justice est aux abonnés absents.


    La politique de la ville, créée vers la fin de la décennie 1970 pour insérer les « quartiers chauds » dans le droit commun et y faire éclore une élite bigarrée, a produit l’effet inverse : concentrer dans ces quartiers d’énormes trafics illicites, contrôlés par des gangs « tenant par ailleurs des politiciens complices ou épouvantés », estime le criminologue Xavier Raufer.

     

     Deux fois plus de points de deal que de bureaux de Poste à Marseille

     

    Depuis 2008, plus de 200 personnes auraient été tuées lors de règlements de compte à Marseille. En 2020, huit individus sont morts dans des règlements de comptes liés au narco-banditisme.

    Le 13 février dernier, deux jeunes hommes de 24 et 28 ans sont fauchés sur la passerelle routière des Plombières par une rafale de kalachnikov tirée d’une BMW, tandis qu'ils tournaient un clip de rap.

    Le 17 février, un homme de 33 ans est tué d'une balle dans la tête dans la cité de la Bricarde, dans les quartiers Nord de la ville. 24 heures après, la police menait une opération contre le trafic de drogue dans la cité.

    Ces meurtres en disent long sur le climat qui règne dans les quartiers de la Cité phocéenne. La violence y est endémique et, de la cité Bassens, à La Paternelle, du Frais Vallon à La Castellane, trafics de drogue, meurtres et braquages font partie du quotidien.

    On aurait pu confier la campagne de vaccination contre le Covid aux dealers des cités, ils s’en seraient largement mieux sortis.

    Même si la police fait des descentes ponctuelles, elle n’est pas présente en permanence. Les dealers en profitent : il y a quelques années les trafiquants de la cité Val Plan avaient créé des cartes de fidélité pour leurs clients.

    Pour l’achat de 50 euros de « shit », la formule « confort » leur donnerait droit à un paquet de Marlboro gratuit, des feuilles à rouler et un briquet !

    À Marseille, comme ailleurs, les dealers ont aussi su s’adapter au contexte sanitaire. Ils ont développé, sous couvert de livraison de pizzas ou autres, la remise à domicile des substances illicites. Un business labellisé « Uber Shit ».

    Comme dit l’autre, on aurait pu confier la campagne de vaccination contre le Covid aux dealers des cités, ils s’en seraient largement mieux sortis.

    Fin février, Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur était en déplacement dans la ville pour annoncer l’arrivée prochaine de 300 nouveaux policiers, dont 100 pour 2021. Avant la parade du ministre, les policiers ont fait un peu le ménage, en donnant néanmoins l’impression de vider l’océan à la petite cuillère.

    Marseille compte en effet deux fois plus de points de deal que de bureaux de Poste. Le meilleur spot de vente reçoit 2 000 clients au quotidien pour un chiffre d’affaires moyen de 80 000 euros par jour.

    Les guetteurs ou « choufs » de moins de 15 ans sont payés 100 euros par jour, avec bonbons et kebab du midi offert.

     

    Un aveu d'échec


    Violences urbaines, fusillades, règlements de compte par arme à feu, agressions sauvages et autres affrontements impliquant des bandes. Si Marseille est devenue la capitale française des tueries, les cités coupe-gorge sont présentes un peu partout en France.

    En 2015, on parlait de « quartiers sensibles de non-droit » (QSND). Six ans plus tard, cette dénomination n’est plus utilisée, tant la situation n’a cessé de se dégrader. Voici les quartiers «de reconquête républicaine», un vocable qui est surtout un aveu d’échec.

    Un ancien ministre de l'Intérieur : "Nous sommes en face de problèmes immenses".

    Cette opération de reprise en main concernait 15 quartiers en 2018, via un déploiement progressif de moyens de police supplémentaires. Un dispositif lancé par le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb en septembre 2018.

    Collomb démissionnera de son poste quelques semaines plus tard en dressant un constat accablant de la situation sécuritaire, le 3 octobre 2018 :

    « On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses. […] Je suis allé [...] des quartiers Nord de Marseille, au Mirail à Toulouse, la situation est très dégradée, c'est plutôt la loi du plus fort qui s'impose, des narcotrafiquants, des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République. »

    Une déclaration en forme d’avertissement pour le Président et tous ses ministres.

    Que s’est-il passé depuis ? Rien, ah si, en 2021, le ministère de l’Intérieur a fait monter la jauge à 62 quartiers de reconquête républicaine.

     

    La criminalité dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville 

     

    En décembre 2020, les services statistiques de la place Beauvau ont sorti un document d’analyse sur la criminalité dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV).

    Il ressort des chiffres de l’Intérieur, que ces quartiers sont bien plus criminogènes que le reste du pays. Et que les braves gens des QPV sont les premières victimes de la racaille. On le savait déjà mais ce document donne des détails.

    Les habitants des QPV déclarent plus fréquemment être victimes d’atteintes relatives à la plupart des formes de délinquance : « Ce constat est particulièrement marqué pour les violences sexuelles ou physiques, les actes de vandalisme ou les vols concernant les véhicules. » Interrogés « sur la fréquence à laquelle ils se sentent en insécurité dans leur quartier », 26 % des habitants des quartiers de la politique de la ville répondent « Oui souvent » ou « Oui, de temps en temps ». La proportion tombe à 10 % pour les habitants du reste de la France.

    Les données sur le « ratio des personnes mises en causes » sont encore plus parlantes (voir le tableau ci-après ).

    Pour les vols violents, le ministère de l’Intérieur parle de « surreprésentation maximale » : on comptabilise 3,9 (vols avec armes) et 3,6 fois (vols sans arme) plus de personnes habitant en QPV parmi les mis en cause que d’habitants n’y vivant pas.

    Pour les vols portant sur les véhicules, les homicides (2,7), les cambriolages, les coups et blessures volontaires et les vols simples, les mis en cause sont de 2 à 2,8 fois plus nombreux qu’ailleurs, à population égale. Pour les viols et viols intrafamiliaux le ratio est de 1,8.

    mis en cause criminalite tableau


    Ces maires collabos


    Le constat est sans appel, cependant nombreux sont les élus qui continuent de nier la situation à coups de cajoleries clientélistes et communautaristes.

    On a vu Éric Piolle, le maire écolo de Grenoble, une des villes les plus violentes de France, demander aux maîtres-nageurs de fermer les yeux sur les femmes en burkini, ou financer entre 2016 et 2018 le très islamiste CCIF (Collectif contre l'islamophobie en France), dissout depuis.

     

    Le maire de Lyon : « On doit continuer à apaiser », tandis que sa ville était sous les panaches de fumée.

    On a entendu le maire écolo de Lyon, Grégory Doucet (celui qui n’aime pas le Tour de France ni la viande dans les cantines) déclarer sur le mode Bisounours : « On doit continuer à apaiser », tandis que sa ville était sous les panaches de fumée.

    Apaiser ? Le mot est juste. Dit autrement, ces élus achètent la paix sociale à coup de subventions et de compromissions.

    Exemple avec le quartier « sensible »de La Duchère qui, depuis des années (et notamment sous les mandats de Gérard Collomb maire de Lyon pendant 17 ans,) est un des enfants chéris de la politique de la ville.

    Les 10 000 habitants soi-disant déshérités de cet « écoquartier » ont à leur disposition, je cite (et j’en passe) : deux crèches, une maison des fêtes, une bibliothèque, une halle d’athlétisme, deux gymnases, deux stades, un médicentre, un cinéma (installé dans une ancienne église), et un musée des sapeurs-pompiers ...

    Le quartier a été refait à neuf : il y en a pour près de 700 millions de rénovation depuis 2003. Le tout avec votre argent et sous vos applaudissements.

    Jean-Baptiste Leon

    Disponible en téléchargement ou en version papier

     une politique ville tous contribuables 2021

     

  • D' halloween au métissage et au grand remplacement .

    Halloween et l’apocalypse en cours

    La monstrueuse fête d’Halloween se substitue de plus en plus en France à la Toussaint et à la Fête des morts.

    Même dans les villages les plus reculés et les plus paisibles de notre pays, le 31 octobre au soir, des enfants déguisés en sorciers ou en diablotins sonnent à la porte pour quémander, souvent même en s’exemptant des traditionnelles formules de politesse, des bonbons ou des espèces sonnantes et trébuchantes pour célébrer Halloween ! Dans des halls d’immeubles à Paris et en province sont glorieusement affichés des dessins d’enfants à l’occasion d’Halloween, à base de citrouilles et de sorcières. Cela ne choque personne. En revanche si des enfants dessinaient des crucifix, représentaient la Sainte Vierge ou si une crèche était installée dans le hall, alors on crierait à l’atteinte à la laïcité et on ordonnerait sur-le-champ le retrait de ces symboles religieux attentatoires au vivre ensemble et à la sacro-sainte laïcité. Des adultes que nous avons croisés le 31 octobre sur des aires d’autoroute se préparaient eux aussi, tout excités, selon leurs propres aveux, à fêter Halloween. 

    Il n’était pas a priori évident que cette détestable fête qui nous vient des Etats-Unis d’Amérique devienne si populaire en France, et de manière si rapide. Et pourtant c’est le cas désormais, au grand bonheur des commerçants et des magasins de farces et attrapes, qui augmentent fortement leur chiffre d’affaires.

    Cela prouve que beaucoup de Français d’aujourd’hui sont profondément déculturés, déchristianisés, dénationalisés, déspiritualisés et qu’il ne faut pas s’illusionner désormais sur les capacités de résistance intellectuelle, mentale et spirituelle de notre peuple.

    Alors que la France était par excellence le pays de la gastronomie, les fast food, du Mc Do au kébab, n’ont eu hélas aucun mal à s’implanter partout dans notre pays, et il est fréquent de voir des parents, et même des grands-parents, se réjouir d’emmener leurs enfants et petits-enfants au McDo ou au Burger King du coin, au lieu de leur faire découvrir les trésors de la gastronomie française. Alors que notre pays, et singulièrement sa capitale, était, par excellence la terre de l’élégance vestimentaire, on s’afflige de voir aujourd’hui la façon dont la plupart des Français sont accoutrés, le négligé et le débraillé vestimentaires l’emportant à peu près partout. C’est à tout cela aussi que l’on mesure l’agonie d’une civilisation. Qu’il est loin le temps où tout un chacun allait se recueillir dévotement sur les tombes de ses parents, se faisait fort de les fleurir et de prier pour les défunts en ce mois de novembre qui leur est consacré ! Le monde dans lequel nous vivons n’a quasiment plus rien à voir avec celui qui a prévalu si longtemps.

    Toute piété filiale, tout enracinement ont été arrachés, bannis, éliminés. C’est le monde de l’anarchie et de l’inversion, de l’ego et du chaos.

     

    C'est dans ce contexte d’apostasie et de démission généralisées où la France se défait un peu plus que les prétentions des nouveaux venus dans notre pays se font de plus en plus exorbitantes, comme en témoignent toute une série de déclarations et d’événements récents lourds de menaces pour la paix civile et l’avenir des indigènes français.

    Le 27 octobre, lors d’un rassemblement parisien contre l’islamophobie, dans une envolée d’une arrogance nickel-chrome, Yassine Bellatar, histrion médiatique de son état, nous avertit ainsi sans ménagement : « Nous ne sommes pas dans un projet d’assimilation…

    La France doit s’habituer au fait que nous restons [sic]… Mon grand-père a défendu ce pays, mon père l’a bâti et moi je le revendique… Ils ne se rendent pas compte de ce que nous avons préparé, c’est-à-dire nos enfants ». Si l’on comprend bien, nous autres, Français arriérés, nous devons nous faire à l’idée que ces ouvriers de la 25e heure (dont beaucoup sont inscrits sur les rôles du Revenu de solidarité active), « sont chez eux chez nous » comme l’avait très tranquillement déclaré avec sa proverbiale “force tranquille”, Mitterrand, dès son accession au trône républicain. D’ailleurs, joignant aussitôt le geste à la parole, l’homme de Jarnac aggravait alors considérablement les politiques suivies par ses prédécesseurs et régularisait derechef 130 000 étrangers en « situation irrégulière ». 

    Or, si nous comprenons bien le sieur Bellatar, c’est “nous” qui sommes désormais « chez eux », aujourd’hui tolérés (jusqu’à quand ?), demain parqués dans des bantoustans, voire carrément expulsés et jetés sur les routes de l’exil ! Irons-nous alors recoloniser l’Afrique, Madagascar ou la Cochinchine ? Le Canada acceptera-t-il notre arrivée en masse comme nous le fîmes pour le million et demi de Pieds-Noirs qui avaient eu à choisir entre « la valise et le cercueil » ? Ce Bellatar n’est pas le premier venu. C’est un homme-orchestre. Wikipédia nous le présente comme un humoriste, un producteur radio et un patron de bar. Ses affinités électives nous disent tout sur le personnage. Ainsi, en novembre 2011, il animait à Strasbourg le Festival du Changement aux côtés de François Hollande, d’Emmanuel Zemmour (de l’Unef et ultérieurement conseiller d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris) et de Guillaume Ayné, directeur général de SOS Racisme fondé par deux fieffés communautaristes : Harlem Désir et Julien Dray. 

     

    Ajoutons que ces gens si arrogants, si sûrs d’eux et dominateurs, ne sont plus seulement installés avec les deux pieds sur la table devant leurs hôtes consternés et penauds, mais, à bien entendre ce magistral malotru, les indésirables, pour finir, ce seraient nous autres. Nous, les autochtones, et non ses petits et ses grands frères qui viennent de cramer, le soir de la fête d’Halloween, une école et un collège à Béziers comme au bon vieux temps des émeutes de 2005 dans la Grande couronne. Dans la nuit du jeudi 31 octobre, une école primaire, un collège et plusieurs véhicules ont en effet été incendiés dans le quartier de la Devèze. Un quartier où l’État a beaucoup investi, en vingt ans près de 300 millions d’euros. Aucun autre quartier de Béziers n’a bénéficié d’autant d’argent. « C’est un échec. L’intégration et tout ce qui tourne autour de la politique de la ville sont un échec. Ils nous ont déjà brûlé des aires de jeux. Une aire de jeux, proche de cette école, a été brûlée 15 fois », dixit Robert Ménard, maire de ladite ville. Quinze fois ! Chiffre qui laisse rêveur lorsqu’on nous bassine avec la pauvreté de ces soi-disant quartiers-ghettos pour “pauvres” grassement subventionnés. 

    Pire encore, ces allogènes ont incendié à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), dans la nuit du samedi 2 au dimanche 3 novembre, le chapiteau d’un « centre des arts de la scène et du cirque » inauguré en juin 2018 après avoir tendu une embuscade aux forces de police et aux pompiers, au cours de ce que la presse qualifie pudiquement de « nuit de violences urbaines ». Caillassages, tirs de mortiers pyrotechniques, les forces de l’ordre étaient attendues par vingt à trente individus munis de bâtons et bien décidés à en découdre. Ne nous aveuglons pas : ce que d’aucuns appelaient les « territoires perdus de la République » sont en fait devenus d’authentiques zones d’interdiction où islamistes et narcotrafiquants réalisent une convergence des luttes, des causes et des intérêts que nos malheureux concitoyens insoumis, segmentés dans leurs revendications, sont bien incapables de réaliser. 

     

    Au reste, à les entendre, ces immigrés ou Français de fraîche date, n’ont-ils pas tous les droits en tant que force nouvelle et prolifique ? De même que la terre appartient à ceux qui la cultivent, la France appartient de plus en plus à ceux qui la mettent en coupe réglée, ce pays laissé en déshérence par ses anciens occupants frappés de caducité et pour beaucoup tombés dans la dépendance du grand âge. Ce pays ne leur revient-il pas de droit, nous susurre-t-on ? Les migrants ne sont-ils pas parfaitement dignes d’éloges, nous dit-on, puisqu’ils fournissent les gros bataillons d’« auxiliaires de vie » procédant à la toilette de personnes hors d’âge que le grand philanthrope Jacques Attali préconisait d’euthanasier passée la soixantaine en raison de leur coût social ? Le grand-père puis le père de M. Bellatar — bis repetita placent — n’ont-ils pas, sans discussion possible, « défendu et bâti » ce pays ? Ce qui, sous-entend que rien (ou pas grand chose) n’existait avant eux. Qu’ils l’ont en quelque sorte inventé et qu’en vertu du principe de causalité, ils en sont à présent les seuls véritables légitimes propriétaires. Qu’en conséquence, ils sont libres, en application d’un postulat du droit romain “usus et abusus”, d’en faire ce que bon leur semble. Brûler les écoles, les voitures, les églises (par exception Notre-Dame serait une chasse gardée de services très spéciaux jouissant d’un monopole quant à l’exercice de la vengeance divine dévolue à certains titulaires héréditaires de cette charge séculière), abattre les croix dans les cimetières, considérer nos dodues oies blanches et nos chères bécasses comme un gibier chassable, tirable et plumable à toute heure et en toutes saisons. Dernier épisode remarquable, le pillage du trésor inestimable de la cathédrale d’Oloron-Sainte-Marie (inscrite au patrimoine mondial) et située dans les Pyrénées-Atlantiques sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Un édifice catholique attaqué par un commando qui a utilisé une voiture-bélier pour briser l’une des portes latérales de la cathédrale dans la nuit du 4 novembre. Un vase et une statue vandalisés ont été retrouvés abandonnés sur le parvis de la cathédrale. 

    Toutes choses impensables ou impossibles si le Gaulois, trop peu réfractaire à « la racaille d’en bas », n’était aussi bien cornaqué et ahurie par la « canaille d’en haut », laquelle regarde nos “sauvageons” (expression datée de 1999, due à Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de l’Intérieur de Jospin, et ayant fait scandale,) avec les yeux de Chimène et les couvre d’une prodigieuse manne pécuniaire tirée directement de nos escarcelles.

    À la décharge de nos compatriotes, rappelons que les leucodermes hexagonaux ont été infestés par de terrifiants parasites idéologiques (égalitarisme, universalisme, relativisme, subjectivisme, egolâtrie, etc.) qui les ont privés de tout libre arbitre, de toute véritable autonomie du consentement, de toute raison critique. 

     

    Dans un tel cadre, on comprend comment, sous couvert de laïcité, l’islam fournit d’inépuisables troupes d’assaut utiles à éliminer — ou à réduire à la portion très congrue — ce qui subsistait encore d’identité spirituelle de la France d’hier. Outre le métissage, promoteur de la destruction de l’identité génétique des populations autochtones, l’Islam est une imparable machine de guerre contre l’Église, l’Ecclésia, autrement dit, contre une communauté de croyants plus que millénaire et jusqu’à il y a peu spirituellement homogène, résultat du prix fort payé à l’occasion des guerres de religion, commençant en 1562 pour ne prendre véritablement fin qu’en 1598 avec l’édit de Nantes. 

    M. Bellatar, dans une belle envolée lyrique, nous dit en fin de compte ce qui nous attend… sans coup férir (en douceur mais sûrement), la pression démographique qui va nous submerger : « ce que nous avons préparé, c’est-à-dire nos enfants », ne disant ni plus ni moins que ce que le président algérien, Houari Boumediene, annonçait en 1974, douze ans après l’indépendance : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront là-bas pour le conquérir, et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire ». Et en effet le ventre toujours fécond de l’Orient est en passe — si ce n’est déjà fait — d’avoir opéré une colonisation à front renversé. Sans combat, si ce n’est celui du messianisme des droits de l’homme, régnant sans partage depuis 1945, qui, depuis soixante-quinze ans, conduit une guerre inexpiable, culturelle et spirituelle, semant en Europe un extraordinaire chaos intellectuel et moral dont les effets pourraient bien se traduire par des fleuves de sang et d’épouvantables misères. Songeons au sort des chrétientés d’Orient qui n’ont cessé de fondre et de se dissoudre depuis un siècle. 

    Car, pendant que le pouvoir amuse la galerie avec l’épouvantable « procréation médicalement assistée », l’avortement ayant été érigé en Droit fondamental et sacré (ce qui en dit long sur le degré d’inversion mentale aujourd’hui atteint), qu’arrive le débat sur le droit à mourir dans la dignité (l’euthanasie pour tous), les migrants nantis d’un authentique esprit de conquête prosélyte, ne pratiquent pas, eux, le coïtus interruptus. A la différence de la plupart des Françaises de souche converties hélas à l’interruption volontaire de grossesse, au carriérisme et au vagabondage sexuel, cela pour ne pas être en reste sur une gent masculine préférant de nos jours résolument la « teuf au taf » [wiktionary.org/wiki/taf].

     

    Tout cela est bel et bon, mais si l’on tourne les regards vers le Septentrion, là où la social-démocratie a pris de l’avance sur les pays latins, les populations dans l’incapacité de faire bouger le monolithe idéologique qui les écrase, préfèrent, plutôt que de supporter les nuisances qui accompagnent les transferts de populations, tailler la route, changer de zones, ou carrément de pays, un peu comme ces fermiers afrikaners, plutôt que de se faire assassiner à domicile (ce à quoi les expose une politique prévoyant des expropriations de terres agricoles sans indemnité) émigrant en Géorgie, en Nouvelle-Zélande ou en Australie. La Suède de Greta Thunberg nous offre un avant-goût des comportements qu’on nous contraindra peut-être à adopter d’ici peu. Finies les marches blanches pour les filles violées et assassinées bestialement, finis les oursons en peluche déposés sur les trottoirs entre deux pisses de chien et des chandelles rouges à la flamme vacillante, il deviendra peut-être hélas difficilement évitable de prendre la tangente et de pratiquer la fuite salvatrice. 

    Mi-octobre la télévision suédoise diffusait un reportage relatif à la crise « existentielle et financière » que traverse Filipstad, ville forte de dix mille âmes. Jim Frölander, responsable de l’intégration au sein de l’administration municipale, déclarait sans ambages : « nous vivons un changement de population. Pensez ce que vous voulez… Mais tel est le constat, c’est ce que nous vivons et c’est ce à quoi nous devons faire face ». En effet, entre 2012 et 2018, 640 Suédois de souche ont quitté Filipstad tandis que 963 allochtones venaient s’y installer. Les partants appartenant aux classes d’âge comprises entre 20 et 64 ans, étaient bien entendu en capacité d’exercer des métiers productifs (d’où une perte nette de recettes fiscales pour une ville devant faire face à une lourde pénurie budgétaire). Pour compléter le tableau, écoutons ce qu’en dit lui-même le maire de Filipstad, Claes Hultgren : « À Filipstad, nous avons environ 750 adultes originaires de Syrie, de Somalie, d’Erythrée, d’Afghanistan et d’Irak… Dans ce groupe de population, le chômage est très élevé, le niveau d’éducation très bas et personne ne peut vivre sans recourir à l’aide sociale. Ces personnes vivent à l’écart du reste de la société et risquent de ne jamais sortir de l’exclusion qui est la leur aujourd’hui. Leur exclusion impacte, par ailleurs, lourdement l’économie locale ». 

    En un mot, les nouveaux arrivants ne possèdent pas les qualifications minimales pour accéder au marché du travail ou ils n’y accéderont que très difficilement et dans tous les cas seront à la charge, en partie ou en totalité, de la communauté. Dans ce cas de figure, parfaitement emblématique du projet totalitaire européen, seule l’idéologie messianique du métissage l’emporte. Périssent les peuples et les économies, et pour la Suède le fruit de deux siècles de développement (auparavant, avant la révolution industrielle du XIXe siècle — à partir de 1850 — fondée sur la sidérurgie et le charbon, elle était un pays agraire d’une grande pauvreté), pourvu que les racines et le terreau vital du “nationalisme” honni soient extirpés, à savoir l’homogénéité ethnique, culturelle et confessionnelle. Mais, rétorqueront les chantres du nouvel Eden cosmopolite, un migrant est un humain comme les autres et dispose des mêmes droits que tout un chacun, qu’il soit productif ou non, c’est un “humain” et rien que cela. Face à la tyrannie des universaux négativistes de toutes spécificités et singularités, nous n’avons, nous susurre-t-on, qu’à rendre les armes et à laisser le champ libre aux incapables majeurs, aux parasites et aux assistés à perpétuité.

     

    Nous ferions bien de méditer l’exemple sud-africain.

    Une terre quasiment vierge défrichée par des laboureurs hollandais. Aujourd’hui ces mêmes fermiers, assassinés et persécutés, en sont réduits à fuir le pays de leurs pères. Au cours des années 1990, les autorités ont recensé quelque 250 000 personnes assassinées. Les données d’Interpol pour l’Afrique du Sud établissent actuellement le nombre d’homicides et de tentatives d’homicides à 48 000 par an, pour 56 millions d’habitants contre 2 000 lorsque la police de l’apartheid était à l’œuvre pour s’interposer entre combattants Xhosas et Zoulous (à titre de comparaison, on recense 700 meurtres annuels en France pour 67 millions d’habitants). Deux meurtres sur cinq visent des Blancs, soit 40 % des victimes, et depuis 1994 ce sont 70 000 Blancs qui ont été lâchement assassinés.

    La démocratie raciale est à cet égard un indéniable franc succès. Un clou chasse l’autre. On comprend alors pourquoi Brandon Huntley, âgé de 31 ans, est allé jusqu’à demander officiellement l’asile au Canada après avoir été attaqué la bagatelle de sept fois dans sa ferme en raison de la couleur de sa peau. Au demeurant se faire traiter au quotidien de « chien blanc » est chez nous d’une grande banalité. Hélas, cela commence par des gros mots et cela finit souvent par des coups. L’Institut sud-africain de relations raciales, le South African Institute of Race Relations (notons que les races existent officiellement en République d’Afrique du Sud, même si chez nous, pays des Lumières, le mot a été supprimé de la Constitution), révélait en 2018 qu’entre 1995 et 2005 ce sont 800 000 Sud-Africains blancs, âgés de 25 à 35 ans, qui ont quitté le pays. Chiffres impressionnants si on les rapporte à la population totale dont seulement 10 % des 49 millions de Sud-africains sont de race blanche. Nous savons ce qui nous attend au terme du processus d’expropriation maintenant déjà très engagé. Que Dieu nous préserve de cette tragédie !

     

    Léon CAMUS et

    Jérôme BOURBON.