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Politique nationale - Page 11

  • « Commémoration » du 19 mars 1962 : une honte pour la France !

     

     

    Même si, sans la moindre vergogne, Macron, prenant, comme d’ordinaire, les Français pour des imbéciles, fait savoir que cette commémoration n’est pas une célébration, quel que soit le mot utilisé il s’agit d’une abomination et d' un mensonge historique !

    C’est en effet un énorme mensonge que de prétendre que le 18 mars 1962 fut la date du cessez-le-feu dans la guerre d’Algérie.

    D’abord, les accords d’Évian ne furent que chiffon de papier et pour le FLN, totalement défait militairement mais qui triomphait diplomatiquement et pourrait tout se permettre ; et pour le général De Gaulle qui, dans toute l’étendue de son cynisme, savait bien qu’il livrait toutes les populations d’Algérie  fidèles à la France, musulmanes, juives, chrétiennes, à la merci des nouveaux maîtres du pays.

    En fait de cessez-le-feu, les accords d’Évian constituèrent un permis non seulement de chasser de chez eux les non soumis au FLN mais de les assassiner dans les pires supplices.

    Par dizaines de milliers, les harkis et autres combattants musulmans dans l’armée française, et leurs familles,  subirent ainsi une véritable entreprise de génocide selon la définition même de ce vocable forgé par Raphaël Lemkin à propos des exterminations par les Turcs des Arméniens (et autres chrétiens d’Orient), des Ukrainiens par les Bolcheviques et des Juifs par les nazis.

     Mais l’indépendance de l’Algérie ne signifia pas seulement les atrocités auxquelles furent voués les harkis mais aussi celles que subirent par milliers des personnes de la population d’origine européenne, les Pieds-noirs, et aussi nombre de juifs.

    On se souvient bien sûr des terribles massacres de plusieurs centaines de personnes le 5 juillet 1962 à Oran et des enlèvements de plus d’un millier de femmes dont pour la plupart on ne sut jamais les atroces destinations vers lesquelles on les transporta.

    Mais ce fut dans toute l’Algérie que se déchaîna la barbarie fellagha et de ses ralliés de la douzième heure.

    On ne peut aussi que se rappeler des ordres de non-assistance à populations françaises en danger de massacres, explicitement intimés à notre armée par le gouvernement du général De Gaulle, et sur la volonté expresse de ce dernier. Ordres ignobles, sans précédent dans notre histoire car le gouvernement de la France n’était pas alors sous la botte d’un ennemi lui dictant ce qu’il attendait de lui.

    Cela n’a hélas pas illustré l’identité française et chrétienne de notre patrie humiliée.

     

  • Bilan démographique de Macron

     

     

    A quatre semaines du 1er tour de l’élection présidentielle, il est temps de faire le bilan du quinquennat d’Emmanuel Macron.

    Dans cette première partie, nous ferons le bilan de ce qui est vital pour l’avenir d’un pays: le bilan démographique. Nous aurions aimé dire le bilan de sa politique familiale mais, avec notamment l’aggravation de l’avortement et la PMA sans père qui a aggravé la PMA pour couples qui, en ce qui concerne les fécondations « in vitro », n’est déjà pas conforme à la morale naturelle, on peut dire que Macron n’a jamais eu de politique familiale mais, bien au contraire, une politique anti-familiale.

     

    1) Natalité en forte baisse

    Avec une moyenne de 711 734 naissances vivantes annuelles en France métropolitaine sur la période allant de 2017 à 2021, la natalité a fortement baissé de 7,8% par rapport à la période de 2012 à 2016 (moyenne de 771 639). L’indice conjoncturel moyen sur la période a été de 1,82 enfant par femme contre 1,95 entre 2012 et 2016.

    Cela s’explique par l’absence de mesures familiales ou, au moins, natalistes et la faible croissance économique (+0,9% par an de 2017 à 2021). Le taux de croissance du PIB (provisoire) de 2021 (+7,0%) ne compense pas la forte récession de 2020 (-8,0%)… provoquée par le confinement dont même l’Université John Hopkins (liée financièrement à l’OMS) affirme depuis peu l’inefficacité quasi-totale sur le nombre de décès.

    Or, l’endettement provoqué par le confinement ne peut avoir qu’un effet négatif sur la natalité à moyen terme, largement supérieur aux rares vies qui auraient été sauvées par le confinement. De plus, il n’est en réalité pas prouvé que le confinement ait sauvé des vies: les exemples de la Suède, qui n’a jamais confiné, et des pays d’Europe du nord et de la Suisse qui n’ont interdit que les sorties à plusieurs, et qui ont eu en 2020 des taux de mortalité attribués au coronavirus plus faibles qu’en France, le démontrent clairement.

     

    2) Mortalité en forte hausse

    La moyenne annuelle des décès en métropole est en effet passé de 565 496 (de 2012 à 2016) à 616 633 (de 2017 à 2021), soit + 9,0%. Si la hausse a été particulièrement forte en 2020 (+12,5% par rapport à 2015, c’est-à-dire 5 ans avant), elle a concerné tout le quinquennat: +6,1% en 2017 par rapport à 2012, +6,8% en 2018 par rapport à 2013, + 9,6% en 2019 par rapport à 2014 et + 10,0% en 2021 par rapport à 2016 (le nombre de morts en 2021: 639 000, est encore provisoire).

    3 causes principales expliquent cette hausse, le vieillissement de la population, la diminution du nombre de lits dans les hôpitaux (ces deux causes sont les principales) et le coronavirus. La surmortalité constatée sur l’ensemble des années 2020 et 2021 est de l’ordre de 78 000 décès. Si on enlève les 4 000 morts causés par la canicule de 2020, d’après Santé publique France, il reste une surmortalité de 74 000 décès, soit environ 29% de la hausse de la mortalité constatée de 2017 à 2021 (3 083 165) par rapport à la période allant de 2012 à 2016 (2 827 481 décès), soit 255 684 décès supplémentaires.

    Il faut aussi tenir compte des effets, non encore mesurés, sur la mortalité hors coronavirus des reports de soins ou de diagnostics, notamment pour les maladies cardio-vasculaires et les cancers. Le coronavirus est donc loin d’être la principale cause de la hausse de la mortalité constatée entre le quinquennat de Macron et celui de son prédécesseur.

     

    3) Accélération de la baisse de la nuptialité

    On en parle moins, mais la baisse de la nuptialité est presque toujours suivie, dans les dix années qui suivent, par une baisse de la natalité (la  hausse des naissances hors mariages ne compensent pas la baisse des naissances dans le mariage). Elle est aussi suivie, et cette fois-ci, c’est sans exception, d’une dégradation de la qualité de l’éducation donnée aux enfants qui subissent l’instabilité des couples et les gardes alternées. Une éducation idéale est donnée par le père et la mère car leur complémentarité est extrêmement importante pour l’éducation des enfants. Leur coopération dans la durée apporte aussi la stabilité affective à leurs enfants.

    Toujours en France métropolitaine, il y a eu en moyenne 226 543 mariages par an de 2012 à 2016, mais 202 000 environ seulement de 2017 à 2021 (les chiffres de 2021 sont provisoires), soit une baisse de 11% environ. La baisse n’avait été (si on peut dire!) que de 9,2% entre la période de 2007 à 2011 et celle de 2012 à 2016.

    C’est donc dans le domaine de la nuptialité que les résultats des gouvernements de Macron sont le pire en matière de démographie. Il est vrai que la sévère restriction du nombre d’invités pendant le confinement a retardé, voire annulé, un grand nombre de mariages. Il y a eu 212 415 mariages en 2019 et seulement 145 999 en 2020, soit une baisse extrêmement marquée de 31,3%. Et sans rattrapage en 2021 où on a enregistré seulement 208 000 mariages environ.

    Cette baisse dramatique de la nuptialité a provoqué une nouvelle diminution de la proportion des naissances dans le mariage: elle s’établit à 36,5% seulement, soit le plus bas niveau depuis que les statistiques démographiques sont publiées annuellement en France, c’est-à-dire depuis 1801.

    Il faut enfin y ajouter les « lois » anti-familiales: avortements jusqu’à 14 semaines de grossesse, PMA sans père et affaiblissement de la transmission des noms de famille par l’oubli du principe « C’est le nom du père qui est transmis ».

    Le bilan démographique du quinquennat de Macron est donc catastrophique dans tous les domaines: législation, nuptialité, natalité et mortalité.

    Que la Sainte Famille réveille, renforce et sauve la France!

     

  • Macron et sa clique font une guerre quotidienne impitoyable aux Français de souche .

     

    L’épisode de Marlène Schiappa prenant la plume pour demander aux préfets de prioriser les clandestins dans la reconstruction du pays sera-t-il la goutte d’eau qui fera déborder le vase ?

    Mais si l’ineffable Marlène mérite ce verdict, y a-t-il un seul membre du gouvernement qui peut échapper à la sentence ? Notre ami Laurent Droit a depuis longtemps estimé que le chef de la clique, Emmanuel Macron en personne, méritait la peine de mort.

    Dans ce cas, que dire de Gérald Moussa Darmanin, mais aussi de ses prédécesseurs LREM Gérard Collomb et Christophe Castaner, mais encore d’autres prédécesseurs comme Bernard Cazeneuve ? Chargés de faire respecter l’ordre, et donc de défendre les Français dans leur sécurité quotidienne, ils ont d’abord imposé à notre peuple, depuis 2015, des millions de nouveaux venus, majoritairement africains et musulmans, qui, par leur présence et leur culture, fort différente de la nôtre, ont transformé nombre de nos villes et villages, et ensauvagé notre pays.

    Mais en plus, leur tradition faisant qu’ils se baladent, pour beaucoup d’entre eux, avec des couteaux, cela se traduit par de plus en plus de Français agressés, blessés à coups de couteaux, et hélas parfois tués, égorgés, au nom d’Allah, ou parfois pour de sombres raisons de vols avec violences. La formule, à présent, nous fait comprendre que la malheureuse victime était « au mauvais endroit, au mauvais moment », comme si c’était finalement de sa faute. Le fait que le frère d’une de ces victimes, à Bordeaux, ait choisi de montrer, en publiant des photos, la réalité physique de ces agressions, confirme que les nôtres sont abandonnés par nos gouvernants, qui veulent surtout cacher la réalité aux Français.

    Darmanin et ses préfets sont capables de multiplier les descentes policières chez des patriotes, à 6 heures du matin, pour leur confisquer leurs armes, mais ils n’ont encore pris aucune décision pour demander aux forces de l’ordre de multiplier les fouilles contre ceux qui ont le profil de porter des couteaux, ou parfois même des sabres, sur eux. Ils ne le font pas pour deux raisons. D’abord, cela ne les dérange pas, au contraire, que la racaille terrorise les Français, dans la rue. Cela leur permet d’asservir encore davantage notre peuple, qui, ne pensant qu’à sa survie, ne mène pas d’actions de lutte contre ce pouvoir d’assassins et de traîtres.

    D’autre part, ils peuvent s’appuyer sur toute la gauche et l’extrême gauche, le Conseil d’État et autres officines gangrenées par la propagande mondialiste et droit-de-lhommiste, pour interdire aux policiers d’effectuer des contrôles au faciès, comme si c’étaient les vieux Français qui faisaient du trafic de drogue ou multipliaient les attaques au couteau.

    Que dire de la guerre quotidienne menée aux Français au nom de la crise sanitaire ? Depuis un an, ce sont d’abord les nôtres qui sont touchés, privés de liberté, harcelés et sanctionnés par les forces de l’ordre, et victimes, notamment pour les professions libérales, de la politique criminelle de ce régime. N’oublions pas nos anciens, livrés à la solitude, au nom de prétendues précautions, qui meurent de désespoir, et les jeunes, privés d’avenir et désespérés, qui sombrent dans la dépression. Et manifestement, ce régime n’a aucune envie d’en finir avec ces restrictions, au contraire, il rêve d’imposer à la France un troisième confinement, pour mieux faire passer l’annulation des régionales, et mieux imposer l’asservissement du peuple.

    Et comme si cela ne suffisait pas, ils veulent nous imposer leur passeport vaccinal européen, même si Macron, selon sa bonne habitude, essaie de nous enfumer avec son « pass sanitaire ». À Nice, sous la direction de l’ineffable Estrosi, on voit même des caméras se mettre en place pour traquer les mauvais confinés.

    Tout cela est lié, et a sa cohérence.

    Les soixante-huitards, au pouvoir depuis 1981, ont méthodiquement détruit la France, tels des taupes creusant ses galeries pour que le sol s’effondre. Tous les secteurs de la société ont été minés de l’intérieur : armée, police, école, justice, médias, université, familles, sports, culture…

    Macron, imposé par le système avec la complicité des juges et des journalistes, a accéléré cette destruction, depuis bientôt quatre ans. Il a été mis là pour cela. Il bénéficie de la complicité de l’ensemble de la classe politique, qui l’appuie sur sa politique migratoire et sanitaire, très complémentaires pour achever une France déjà moribonde.

    Marine Le Pen est-elle le seul rempart, comme le disent nombre de patriotes, pour avoir une chance de gagner en 2022 ? Ou bien est-elle devenue la marionnette préférée de Macron, qui rêve de l’affronter de nouveau ? La candidature Zemmour, qui fait rêver de plus en plus de patriotes – séduits par son discours sans concession – sera-t-elle le grain de sable qui peut bouleverser la donne ? Ou bien serait-il instrumentalisé pour faire battre le RN et l’empêcher d’être au second tour ?

    Au-delà de ces questions, incontournables à quatorze mois de la présidentielle, la France a besoin de vrais Insoumis à la dictature immigrationniste et sanitaire, et ce ne sont pas les pantins de Mélenchon qui peuvent faire l’affaire.

    Les vrais Insoumis, les bêtes noires du régime, aujourd’hui, s’appellent les médias de la réinformation, ceux que nos ennemis de la collabosphère appellent la fachosphère ou complosphère, et nous avons la fierté d’en faire partie, avec d’autres. Mais nous avons aussi besoin de voix pour porter notre discours, dans les grands médias, qui demeurent, même si cela nous agace, les lieux où l’opinion de construit et se manipule quotidiennement. C’est un pot de terre contre un pot de fer, les moyens des uns, gavés de subventions bien que propriétés de milliardaires, n’ayant rien à voir avec ceux des autres, qui ne survivent que grâce à leurs lecteurs, et à leurs dons.

    Malgré tout, nous avons encore des porte-parole qui, sur les plateaux de télévision, nous rendent fiers d’être français et d’aimer notre pays. Aujourd’hui, nous avons trois fers de lance : Éric Zemmour, tous les soirs sur CNews, et Florian Philippot, qui mène un combat acharné – et seul – contre la dictature sanitaire, puis enfin Jean Messiha, qui, bien qu’ayant quitté le RN, continue à démasquer les imposteurs et les traîtres, sur les plateaux qui l’invitent encore.

    Face à la guerre quotidienne que mène Macron aux Français, c’est peu ; mais il ne dépend que de nos compatriotes pour que cela suffise à renverser la tendance, et, dans la rue ou dans les urnes, à balayer les nuisibles et les traîtres qui veulent nous éradiquer et nous empêcher de vivre .